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Solidarité - Page 121

  • Des «concessions de chacun» : mais de quoi parle-t-on ? (Anticapitaliste.ch)

    Palestine-asf

    Mercredi 6 août, la co-rédactrice en cheffe du journal Le Courrier, Christine Pasteur, se fendait d’un éditorial (à lire ici) dans lequel elle expliquait que «la seule solution garantissant l’avenir d’Israël et de l’entité palestinienne réside dans un plan de paix impliquant des concessions de chacun».

    En réponse à cette chronique, Paolo Gilardi et Daniel Künzi ont rédigé conjointement le texte que nous publions ci-dessous.

    Mais de quoi parle-t-on ?

    Dans un éditorial paru dans Le Courrier du 6 août, sa co-rédactrice en chef, Christiane Pasteur écrit que «la seule solution garantissant l’avenir d’Israël et de l’entité palestinienne réside dans un plan de paix impliquant des concessions de chacun».

    Mais de quelles concessions parle-t-on?

    Quelles concessions de la part des Palestiniens dont une partie vit dans des camps depuis 1948, depuis 66 ans, depuis la Naqba, chassés qu’ils furent de leur terre par l’implantation d’une entité confessionnelle militarisée, le dit Etat d’Israël?

    Quelles concessions de la part de ces paysans palestiniens vivant à quelques centaines de mètres de Sderot, ville juive construite dès 1951 sur les décombres de leur ancien village, Najd,  rasé en 1948 par l’Hagana, le bras armé du sionisme, dans le cadre de l’opération Barack?

    Quelles concessions de la part des gazaouis enfermés depuis 2006 dans cette prison à ciel ouvert qu’est la «bande de Gaza», privés de biens essentiels, de l’électricité si nécessaire à la vie, du ciment indispensable pour reconstruire les écoles, les maisons et les hôpitaux détruits tous les deux ans au gré des différentes actions punitives décidées par l’entité sioniste?

    Quelles concessions de la part de ces pécheurs de Gaza interdits de pécher le long de leurs côtes? De la part des 900’000 enfants vivant à Gaza et soumis à la peur, à la terreur des agressions successives qui les marqueront à vie?

    Et quelles concessions de la part des populations de Cisjordanie, soumises aux humiliations quotidiennes lors du passage des check-points, par exemple, ou lors des «opérations de police» menées par les soldats de l’armée sioniste, soumises à l’expropriation de leurs terres par l’installation systématique de colonies juives en violation flagrante de la quatrième Convention de Genève, au chantage sur les biens alimentaires qui leur viennent de l’autre côté du mur, un mur dont la construction a été jugée comme illégale par la cour internationale de justice en 2004 ?

    Et quelles concessions de la part des «arabes israéliens», cantonnées dans une véritable situation d’apartheid dans une entité étatique, le dit «Etat d’Israël», fondé sur le principe qui fut celui de son théoricien, Théodore Herzl, celui de «l’Etat des juifs», donc d’un Etat confessionnel. Basée sur l’appartenance religieuse, cette entité étatique consacre la discrimination des non juifs dont le mariage, par exemple, n’a aucune validité dans la mesure où la loi ne reconnaît come valables que les mariages bénis par l’autorité religieuse.

    Non, ce n’est pas aux palestiniens de faire des concessions. C’est à la politique de l’entité sioniste, de l’agresseur, de l’occupant, qu’il faut mettre un terme. Un terme à l’agression militaire contre Gaza, aux crimes de guerre que l’armée sioniste y perpètre ; un terme au blocus assassin de Gaza ; un terme aux implantations juives y compris par leur démantèlement ; un terme à l’occupation.

    Car, au-delà du soutien indispensable à celles et ceux qui à Tel Aviv s’opposent à l’agression, c’est dans la désignation claire du coupable, l’entité étatique confessionnelle juive, dont il faut bloquer la politique assassine, qu’on pourra poser les bases d’une paix durable en Palestine.

    Car, c’est cette dernière, qui seule pourra mettre un terme à la répétition des drames, pas une démarche diplomatique qui devrait, comme le prétend Christiane Pasteur, garantir «l’avenir d’Israël et de l’entité palestinienne»…

    Daniel Künzi et Paolo Gilardi  8 août 2014 

    http://www.gauche-anticapitaliste.ch/?p=12305

     

  • La crise humanitaire s’aggrave à Ghaza (El Watan)

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    Jamais depuis 1948, un exode forcé aussi massif de la population palestinienne n’a été signalé, à la différence que cette fois, personne n’a franchi la frontière.

    En l’absence d’une solution négociée, dans ce qui ressemble, désormais, à une guerre d’usure entre les factions palestiniennes armées et Israël, cinq Palestiniens sont tombés au deuxième jour ayant suivi un cessez-le-feu de 72 heures qui a expiré vendredi à 8h. Deux cousins de la famille Al Msadar ont été tués par une roquette tirée à partir d’un drone israélien, qui ne rate presque jamais sa cible, alors qu’ils circulaient à motocyclette dans le camp de réfugiés de Maghazi, dans le centre de la bande de Ghaza.

    Les trois autres victimes ont été retirées des décombres de la mosquée Al Qassam, dans le camp de refugiés de Nousseirat, non loin de Maghazi. Des avions de chasse de type F16 ont bombardé trois mosquées dans la seule matinée d’hier. Deux dans le camp de Nousseirat, sur la côte ghazaouie, et un dans le quartier Ezzeitoun, au sud-est de la ville de Ghaza. Dans ce qui semble être une campagne planifiée contre les lieux de culte, près de 70 mosquées ont été rasées par la machine de guerre israélienne depuis le début de l’opération militaire baptisée Bordure protectrice.

    Après le retrait des forces israéliennes terrestres et leur redéploiement à l’intérieur du territoire israélien, dans la nuit de lundi à mardi, les bombardements et les destructions sont devenus moins intensifs. Depuis vendredi matin, c’est surtout l’aviation israélienne qui se charge d’attaquer. Les frappes sont moins fréquentes et moins fortes qu’avant, ce qui explique le nombre relativement peu élevé de victimes palestiniennes tombées quotidiennement.

    Avant l’annonce de la trêve de trois jours, plus de 100 Palestiniens tombaient par jour sous les bombardements effectués non seulement par l’aviation mais aussi par l’artillerie et la marine de guerre. De son côté, la résistance palestinienne se contente de tirer seulement quelques dizaines de roquettes quotidiennement au lieu de plusieurs centaines comme auparavant. Les brigades Ezzedine El Qassam, branche armée du Hamas, avaient prévenu Israël qu’elles lui imposeraient une guerre d’usure qu’il ne pourra pas supporter, au cas où il ne répond pas positivement aux revendications présentées par la délégation palestinienne qui se trouve au Caire.

    En effet, bien que les roquettes palestiniennes soient moins nombreuses à tomber en territoire israélien, la vie reste paralysée dans l’Etat hébreu, où les gens vivent dans les abris depuis le début des hostilités. L’aéroport international Ben Gourion, près de Tel-Aviv, a été fermé vendredi, pour la deuxième fois depuis le début de cette guerre sanglante. Pour la population palestinienne de Ghaza, l’actuelle agression s’est avérée beaucoup plus sanglante que tout ce qu’a entrepris l’armée israélienne dans l’étroite bande côtière auparavant. L’opération Plomb durci, lancée en décembre 2008 avait duré trois semaines avec moins de 1500 morts et 5000 blessés.

    Piliers de fumée de novembre 2012 s’est soldée par la mort de moins de 200 Palestiniens, tandis que l’actuelle agression, dont c’est la 5e semaine consécutive, a fauché près de 2000 vies de citoyens, en majorité des civils, et causé des dégâts matériels considérables, surtout dans le domaine de l’habitat. Près de 30 000 maisons palestiniennes ont été directement bombardées ou ont subi des dommages collatéraux, qui les ont rendues inhabitables.

    De ce fait, près de 300 000 citoyens sont aujourd’hui sans domicile. Jamais depuis 1948, un exode forcé aussi massif de la population palestinienne n’a été signalé, à la différence que cette fois personne n’a franchi la frontière. Il s’agit d’un déplacement de la population à l’intérieur de son territoire.

    Une crise humanitaire à plusieurs facettes

    Avec des localités et des quartiers entiers rasés et rayés de la carte et un nombre toujours croissant de réfugiés, la bande de Ghaza mérite aujourd’hui sa dénomination de zone sinistrée. Les responsables de l’Unrwa, l’agence onusienne pour l’aide aux réfugiés palestiniens, qui accueille dans ses écoles la grande majorité des réfugiés de cette guerre, ainsi que les responsables du ministère palestinien de la Santé ne cessent, depuis plusieurs jours, d’attirer l’attention du monde entier sur la nécessité vitale de faire parvenir des aides humanitaires internationales à toutes ces victimes d’une guerre qu’ils n’ont pas voulue.

    Avec plus de 50 personnes par classe, des conditions d’hébergement inadéquates et hygiéniques déplorables vu le manque d’eau potable, des rations alimentaires insuffisantes, l’apparition de maladies contagieuses, cutanées, du système digestif, du système respiratoire et même des cas de méningite, la crise humanitaire peut faire encore plus de dégâts que les attaques féroces de l’armée israélienne. L’Unrwa, et les initiatives locales ne peuvent subvenir aux besoins de ce grand nombre de citoyens. Il suffit de visiter une de ces écoles pour se rendre compte de l’ampleur du drame que vivent les Ghazaouis.

    Leur situation a changé en un temps record. Après avoir perdu leur habitation, généralement le fruit de toute une vie de travail, même s’ils avaient eu la chance de s’en sortir tous vivants, ils se retrouvent à demander l’aumône. Chose difficile à concevoir par la plupart, dont la dignité a été égratignée. «J’ai perdu non seulement ma maison, mais aussi mon petit camion qui nous permettait de vivre dignement avec mes 7 enfants. Le plus âgé de mes fils a 22 ans, il est encore étudiant à l’université.

    Aujourd’hui, je suis sans abri et surtout sans revenus... Je ne sais pas ce que je vais faire après la fin de cette sale guerre», nous a dit en soupirant Abou Omar, réfugié de Chedjaiya, rencontré dans une école de l’Unrwa, dans le quartier Ennasr, à l’ouest de Ghaza. Chedjaiya est ce quartier de l’est de la ville de Ghaza, dont des pâtés entiers ont été rasés et plus de 150 citoyens ont été tués en une seule nuit. Des cas comme celui d’Abou Omar se comptent malheureusement par milliers à Ghaza aujourd’hui.

    La crise humanitaire qui frappe l’enclave palestinienne ne se limite pas aux seuls réfugiés. Le manque terrible de courant électrique s’est répercuté sur d’autres secteurs stratégiques, en particulier ceux de l’hydraulique et de la santé. La population de la bande de Ghaza dans son ensemble a soif aujourd’hui. L’eau potable est devenue un luxe difficile à obtenir. Les stations de pompage des eaux usées sont à l’arrêt dans certaines régions. Des mares d’eaux usées commencent à se former dans certains quartiers.

    Des épidémies de toutes sortes peuvent apparaître à tout moment. Avec des hôpitaux dépassés par le grand nombre de blessés, manquant de médicaments et de matériel médical, le système de santé palestinien ne pourra jamais faire face à autant de défis. Cette situation chaotique ne prendra fin qu’avec une aide internationale adéquate et l’arrêt de la campagne militaire israélienne, dont l’un des objectifs, était justement de punir collectivement une population qui ne fait que revendiquer son droit à la vie. le 10.08.14 | 10h00

     

    Fares Chahine

    http://www.elwatan.com/international/la-crise-humanitaire-s-aggrave-a-ghaza-10-08-2014-267507_112.php

  • Israël, Palestine, quel avenir ?

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    Une réunion publique sera organisée le mardi 12 août 2014 au Havre. Jean-Guy Greilsamer, de l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP) sera présent, en compagnie de deux Havrais de retour de Cisjordanie

    Israël, Palestine, quel avenir ? 
    Le mardi 12 août 2014 à 17h30
    Salle Franklin de la Maison des syndicats,

    119 cours de la République
    Le Havre

    http://www.ujfp.org/spip.php?article3440

  • En finir avec l’impunité : la Cour Pénale Internationale doit poursuivre Israël !

    Un appel du Centre d’Information Alternatif (AIC - Jérusalem / Bethlehem)

    Si les dirigeants israéliens devaient une fois de plus bénéficier de l’impunité pour leurs crimes en raison de la complicité de la communauté internationale, cela imprimerait la marque de Caïn sur le front de l’humanité.

     

    Le Centre d’information alternative (AIC) appelle les mouvements de solidarité avec la Palestine, les organisations des droits de l’homme et tous les mouvements sociaux à se mobiliser et poursuivre les criminels de guerre israéliens responsables de l’agression sanglante actuellement en cours contre la bande de Gaza et ses habitants.

    L’AIC appelle en outre à une solidarité effective avec les Palestiniens pour mettre fin à l’occupation israélienne, la raison de l’attaque de Gaza et des crimes de guerre, étant précisément fondée sur le fait qu’Israël est un occupant. L’Opération « Protection Edge" n’est pas la première guerre de massacre perpétré par Israël. Elle ne sera pas non plus la dernière, si l’occupation continue.

    La Mission d’enquête des Nations Unies sur le conflit de Gaza (Commission Goldstone), présidée par le juge Goldstone après l’attaque de Gaza par Israël (l’Opération Plomb Durci) a clairement conclu que des crimes de guerre avaient été commis au cours de cette opération, et peut-être même des crimes contre l’humanité. Par rapport à ce que les gens de Gaza ont subi ces trois dernières semaines, « Plomb durci » a été une opération mineure avec des dégâts limités.

    Les conclusions de la Commission Goldstone, ont cependant été enterrés par le Conseil de sécurité de l’ONU en raison du veto des États-Unis.

    Il est impératif qu’un État, une région ou tout autre instance gouvernementale exigent une enquête impartiale par le bureau du procureur de la Cour pénale internationale et que, le cas échéant, elle donne lieu à un acte d’accusation de la CPI à l’encontre des responsables politiques israéliens et des hauts responsables militaires qui ont dirigé le massacre à Gaza. Les pays qui ont pris des engagements dans le domaine de la justice internationale ne devraient pas attendre pour commencer une telle enquête, et doivent agir maintenant.

    Si la communauté internationale, ou au moins un de ses acteurs, n’assume pas sa responsabilité, c’est au mouvement social mondial - ses partis, syndicats, mouvements et associations - d’agir pour mettre fin à l’impunité des criminels de guerre israéliens.

    Le mouvement social mondial a également pour mission de développer la solidarité avec le peuple palestinien et d’aider à mettre fin à l’occupation israélienne. La société civile palestinienne en général et les habitants de Gaza en particulier, appellent à un renforcement de la campagne BDS ; à un embargo sur les ventes et les fournitures d’armes à Israël ; à l’augmentation des manifestations publiques et des déclarations ; à adopter toutes mesures susceptibles d’être efficaces en solidarité avec le peuple palestinien.  vendredi 8 août 2014 par AIC

    Articles de cet auteur

     

    http://www.ujfp.org/spip.php?article3447

  • Gaza. Nouvelle manifestation de soutien aux Palestiniens à Quimper (OF)

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    Associations et organisations ont appelé à manifester ce samedi à Quimper en solidarité au peuple palestinien. Le défilé s'est déroulé dans le calme.

    « Gaza, Palestine, c'est l'humanité qu'on assassine ! » « Vite, vite, un État palestinien! » « Une seule solution : arrêter l'occupation ! » C'est au son de ces slogans et de bien d'autres qu'une centaine de personnes selon la Police et 300 selon les organisateurs ont manifesté leur soutien au peuple palestinien, ce samedi après-midi, à Quimper.

    Le cortège s'est ébranlé au départ du plateau de la Déesse avant de regagner la place Saint-Corentin. Là, ont été égrenés les noms de victimes palestiniennes tuées ces dernières semaines par des Israéliens dans la bande de Gaza. Des minutes de silence ont également été observées.

    25 organisations et associations et de simples citoyens ont pris part au défilé (1). Gabriel Brun, un communiste de 84 ans, est l'un d'eux : « J'ai toujours été un partisan de la paix. Je demande l'arrêt des hostilités, de l'extermination du peuple palestinien et la reconnaissance d'un état palestinien. »

    Yves Jardin, de l'association France Palestine solidarité, était l'un des coordinateurs de la manifestation. « C'est le 6e rassemblement que l'on tient à Quimper. On demande la paix, la levée du blocus de la bande de Gaza et l'arrêt des bombardements. »
    Quimper - 09 Août

    (1) L'association France Palestine solidarité, Amnesty international Quimper, l'Association républicaine des anciens combattants (Arac), la CGT, Europe écologie Les Verts, le Front de gauche, la Ligue des droits de l'Homme Quimper, le Mouvement pour la paix, NPA 29 et bien d'autres...

    http://www.ouest-france.fr/gaza-nouvelle-manifestation-de-soutien-aux-palestiniens-quimper-2750373

  • Soutien à Gaza. Un convoi de solidarité organisé samedi, à Morlaix (OF)

     

    L'Association France-Palestine (AFPS) a organisé une action de soutien au peuple palestinien au centre-ville pendant la mobilisation du Collectif de soutien à Gaza.

    Samedi, l'Association France Palestine (AFPS) a organisé un convoi de soutien au peuple palestinien, samedi matin vers 11 heures. Le convoi était composé d'une demi-douzaine de voitures habillées aux couleurs du drapeau des territoires palestiniens. Un équipement son qui trônait sur le toit de l'un des véhicules a servi aux manifestants pour passer des slogans du type : « sanctions, sanctions, halte au massacre du peuple palestinien ». En plus des slogans, les Klaxons ont retenti dans la ville entre 11 heures et 12 h 30.

    En ce samedi de marché, le convoi a déambulé dans un centre-ville très fréquenté. Cette action de l'APF s'est déroulée en marge du rassemblement du Collectif de soutien à Gaza, sur le parvis de la mairie.

    Depuis le début des rassemblements, le 30 juillet, c'est la première fois qu'une telle action est menée. Les organisateurs promettent de continuer la mobilisation en imaginant de nouvelles façons de se faire entendre. Morlaix - 09 Août

    http://www.ouest-france.fr/soutien-gaza-un-convoi-de-solidarite-organise-samedi-morlaix-2750321

  • Gaza. Nouvelle manifestation mais moins suivie à Vannes (OF)

     

     

    Ils défilaient dans le calme pour réclamer la fin du blocus de Gaza

    Le mouvement s'est essoufflé en cette quatrième semaine de protestation. Les manifestants étaient moins d'une centaine cet après-midi pour réclamer l'arrêt des bombardements et du blocus de Gaza.

    Mais ceux qui ont défilé, dans le calme, n'avaient rien perdu de leur détermination. Ils ont à nouveau tenté, par leur présence, remarquée dans la rue, de sensibiliser un public constitué pour une grande part d'estivants. 

    « Près de 2000 morts dont 450 enfants, 106 personnes âgées, 250 femmes ; plus de 10 000 blessés dont 2 600 enfants et 1 500 femmes ; 2 500 maisons détruites... » a rappelé au micro, Odile Le Normand, de l'association France Palestine Solidarit.

    « Plus d'eau potable, plus d'électricité à Gaza, c'est une catastrophe humanitaire qui se produit sans que la communauté internationale prenne les mesures pour l'empêcher. Il faut lever ce blocus inhumain... » 
    Vannes - 09 Août

    http://www.ouest-france.fr/gaza-nouvelle-manifestation-mais-moins-suivie-vannes-2750432

  • Lannion, samedi 9 août

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