Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Ce jour-là : le 29 décembre 1983 les émeutes du pain embrasent la Tunisie (Jeune Afrique)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le Fond Monétaire International (FMI) souhaite depuis un certain temps remettre de l’ordre dans l’économie du pays, et propose un plan d’austérité.

    Le 29 décembre 1983, à la surprise générale des Tunisiens, le gouvernement du Premier ministre Mohamed Mzali réduit les subventions sur les produits céréaliers. 

    Résultat : le prix des aliments de base flambe. La baguette coûte désormais 90 millimes, au lieu de 50, et le prix de la semoule augmente de 70% !

    Dès cette annonce, les braises de la révolte se propagent, du sud au nord du pays. Le Sud, désertique, est la région des déshérités, des plus pauvres, mais le Nord lui aussi se lève et sort manifester sa colère dans la rue. C’est le début des émeutes du pain de 1983-1984.

    La plus grande révolte populaire depuis l’indépendance

    Douz, Kebili, Kasserine, Gafsa, puis El Hamma s’embrasent tour à tour. Les centres urbains se transforment en lieux d’émeute. Les manifestants − surtout des jeunes, des chômeurs et des paysans pauvres − inondent les rues pour crier leur rage. Ils brandissent une baguette ou du pain, tel un drapeau ou une pancarte de protestation.

    Face à ces manifestants, pacifiques, s’oppose une répression policière féroce. Les lacrymogènes brûlent les yeux, les coups de matraque pleuvent. Toutefois, ils n’arrêtent pas la colère des lycéens qui bientôt rejoignent la fronde. 

    Le vent de la révolte souffle fort et atteint Gabès – où une statue de Bourguiba est renversée – le 2 janvier 1984, puis c’est au tour de Sfax et de Monastir de s’enflammer.

    État d’urgence et intervention de l’armée

    Le 3 janvier, la révolte atteint son paroxysme lorsque la capitale Tunis se soulève également. Le président Habib Bourguiba décrète un couvre-feu et déclenche l’état d’urgence.

    Pour la troisième fois en 27 ans d’indépendance – après la grève générale du 26 janvier 1978 et l’insurrection armée de Gafsa le 26 janvier 1980 – l’État fait appel à l’armée, qui investit alors la capitale avec ses blindés.

    Les émeutes se poursuivent durant trois jours, dans un climat de guérilla urbaine. Une épaisse fumée noire recouvre plusieurs points de la capitale. Pillages de commerces, incendies de voitures, bâtiments publics investis, barricades dressées : la ville et, plus largement, le pays sont totalement paralysés.

    Devant cette fronde populaire, le président Bourguiba intervient le 6 janvier à la télévision nationale. Dans un bref discours, il annonce que « toutes les augmentations sont annulées » et termine son allocution par « Que Dieu bénisse le peuple tunisien ». La Chambre des députés confirme la décision du « Combattant suprême » et vote l’annulation immédiate des augmentations céréalières.

    Pour la première fois, le régime cède face à la gronde de la rue. L’annulation des augmentations est accueillie avec ferveur par la foule qui rend hommage à Bourguiba.

    Jeune Afrique dresse le bilan de 143 morts 

    Dans les jours qui suivent cette semaine d’émeute, à cheval sur 1983 et 1984, Jeune Afrique parvient à interviewer le Premier ministre, Mohamed Mzali.

    Dans le n°1201 de JA du 11 janvier 1984, le chef du gouvernement évoque 70 morts, plus de 400 blessés et environ 800 arrestations. Après enquête, Jeune Afrique annonce pour sa part environ 143 morts et plus d’un millier d’arrestations.

    Si le Premier ministre conserve son poste (jusqu’à son remplacement par Ben Ali en 1986), la semaine suivante Bourguiba renvoie son ministre de l’Intérieur Driss Guigah pour sa gestion des troubles.

    Pierre Houpert 29 décembre 2016  
     
  • Algérie : Difficile résistance des travailleurs (NPA)

    algerie.jpg

    Alors que les élections législatives du 1er trimestre 2017 se préparent dans l’indifférence la plus totale, le gouvernement continue à se positionner en défenseur du caractère social de l’État. Mais dans la pratique, il fait exactement le contraire !

    Le pouvoir continue sa politique d’intégration à la finance mondiale. Le  « nouveau modèle économique », nouveau slogan du gouvernement, sonne comme un pas de plus dans le processus de libéralisation ­entamé il y a déjà quelque temps.

    Libéralisation économique à pas cadencés

    Avec 900 millions de dollars emprunté auprès de la Banque africaine de développement (BAD), salué par le milieu libéral, le gouvernement de Bouteflika annonce son renouement avec l’endettement extérieur. Il offre à l’occasion de nouveaux avantages aux investissements étrangers, notamment dans l’assouplissement de la règle des 51/49 % qui constitue le verrou du code de l’investissement en Algérie, et cela dans le but « d’attirer des Investissements directs étrangers (IDE) ». Dans ce cadre, Abdesselam Bouchouareb, ministre de l’Industrie et des Mines, proclame que le gouvernement crée une « dynamique sans précédent qui vise, à moyen terme, une intégration effective et positive de l’économie algérienne dans le système économique mondial ». Pourtant, la réalité est à l’encontre de cette intégration « positive ». L’accord d’association avec l’Union européenne a permis à l’Algérie d’exporter pour 12 milliards d’euros vers l’Union européenne. Mais cette dernière a exporté l’équivalent de 195 milliards d’euros vers l’Algérie !

    Sur le plan des subventions, la politique gouvernementale, relayée par la critique libérale, s’attaque aux maigres aides de l’État des produits de base (lait, pain, sucre, etc.) encore en vigueur. Et les classes populaires de subir ainsi une réduction des subventions sur les produits de première nécessité, une hausse de 2 % de la TVA, une hausse des tarifs de l’énergie et par conséquent des transports… Le blocage des recrutements dans la fonction publique et le gel de certains investissements publics feront grimper le chômage.

    Dans le même élan, la loi sur les retraites des salariéEs, loi qui leur interdit le départ en retraite à l’issue de 32 années de travail, est toujours en vigueur malgré l’amendement « oral introduit sur instruction du président de la République », selon le rapport  fait par le ministre du Travail à l’Assemblée. Cette mesure prépare la casse du système de protection sociale.

    En revanche, les contributions et autres avantages pleuvent sur les possédants et les classes dominantes à travers l’abaissement du taux de la taxe sur l’activité professionnelle, l’absence d’impôt sur la fortune, le laxisme fiscal... Au même moment, l’exécutif prépare la privatisation des entreprises publiques par l’entrée des hommes d’affaires dans leur capital. Il « régularise » les situations acquises dans « l’informel » (télévisions offshore...) et ouvre la voie à la création d’hôpitaux et d’universités privés…

    Une mobilisation limitée

    Pour faire face à ces attaques, les travailleurs se mobilisent à l’appel de la coordination des syndicats autonomes ou des structures combatives de l’UGTA. Les chômeurs de la ville pétrolière d’Ouargla affiliés à la CNDDC marchent. Les étudiants inquiets pour leur avenir se mobilisent à Boumerdes, Oran, Constantine… Les habitants des villes et villages du pays dénoncent la cherté de la vie (Adrar, Ouargla, Béchar, El Oued…) et manifestent leur mécontentement.

    Mais la résistance reste laborieuse.

    Ainsi, les dernières manifestations sur les retraites organisées par les syndicats autonomes sont restées en deçà des mobilisations souhaitées : la retraite n’est pas mobilisatrice au même titre que les revendications salariales, souligne le secrétaire général du CLA, d’autant plus qu’il y a de plus en plus de travail informel et précaire qui préoccupe le monde du travail.

    Face à l’inquiétude et au mécontentement légitimes qui s’amplifient, le pouvoir refuse toute concertation et réprime. Les atteintes aux libertés démocratiques se multiplient.

    Devant la dégradation de la situation, l’heure est à la résistance contre la politique de spoliation des richesses et de l’économie nationale au profit d’une minorité d’affairistes algériens et d’entreprises étrangères. Il faut continuer à dénoncer la remise en cause des acquis sociaux et la répression dont sont victimes les classes populaires et leurs représentants syndicaux, associatifs, politiques, et apporter le soutien plein et entier aux luttes des travailleurs, des chômeurs, des étudiants en vue d’une convergence démocratique, antilibérale et anti-impérialiste, pour construire une alternative populaire à l’actuelle politique.

    D’Alger, Nadir Djermoune

     

    Lire aussi:
  • Fillon et Mélenchon doivent enfin s’exprimer sur la reprise de Palmyre par Daech (Anti-k)

    affiche-conference-de-jp-filiu-midan-mounira.jpg

    François Fillon et Jean-Luc Mélenchon avaient tous deux bruyamment célébré la « libération » de Palmyre par Assad et Poutine en mars 2016. Leur silence, trois semaines après la reprise de cette cité-martyre par Daech, n’en est que plus accablant.

    François Fillon et Jean-Luc Mélenchon ont construit une partie de leur stature diplomatique de présidentiable sur leur position tranchée face à la crise syrienne. L’un comme l’autre n’ont pas ménagé leur énergie pour contester les orientations de la France et sa volonté de promouvoir en Syrie une troisième voie qui ne soit ni Assad ni Daech.

    Tout à leurs amalgames, le futur candidat des Républicains et l’Insoumis auto-proclamé avaient porté aux nues l’importance de la reconquête de Palmyre par Assad et Poutine, en mars 2016, après dix mois de supplice de la ville aux mains de Daech. Relisons MM. Fillon et Mélenchon avec attention. Car pour qui prétend aux plus hautes fonctions de la République, chaque mot compte. Et pèse.

    François Fillon publie alors dans l’hebdomadaire « Marianne » une tribune intitulée « Les Leçons de Palmyre ». La conclusion en est catégorique :

    « Pour endiguer la progression de l’Etat islamique en Syrie, Vladimir Poutine a fait preuve d’un pragmatisme froid mais efficace. Il a sauvé le régime alaouite d’un effondrement probable et lui a donné les moyens de reconquérir le terrain perdu. Pendant qu’Obama et Hollande s’offusquaient du choix des Russes de bombarder les opposants à Assad sans distinction, Poutine redonnait de l’air aux forces syriennes qui sont désormais en mesure de combattre efficacement l’Etat Islamique ».

    On a du mal à comprendre comment le « choix des Russes de bombarder les opposants à Assad sans distinction » permettrait de « combattre efficacement l’Etat Islamique ».

    D’aucuns ont d’ailleurs dénoncé le fait que l’oasis de Palmyre, isolée en plein désert, avait été livrée sans grand combat à Daech en mai 2015, afin de mieux mettre en scène sa « libération » ultérieure. C’est sans doute ce que M. Fillon appelle du « pragmatisme froid mais efficace ».

    Quant à Jean-Luc Mélenchon, il s’approprie sur son blog la reconquête de Palmyre avec son narcissisme coutumier :

    « Comme je suis pour ma part équipé d’un cerveau doté de mémoire (aussi longtemps que l’addiction au smartphone ne sera pas parvenu à effacer l’un et l’autre), je suis donc en état de jouir finement de l’avantage de me souvenir de ce que les uns et les autres disent, gribouillent, éructent, profèrent, fulminent, et ainsi de suite. Que ce jour est suave de ce point de vue. Oui, comment laisser passer cette douce revanche sur les détracteurs permanents de mes positions sur la Syrie, la Russie et ainsi de suite ».

    Les deux candidats à la présidentielle ont été nettement moins éloquents lors de l’abominable siège d’Alep. Il a fallu attendre le 15 décembre 2016, soit un mois après le début de l’offensive généralisée de la Russie et de l’Iran, en appui au régime Assad, pour que l’un et l’autre trouvent le temps de s’exprimer. Le temps, mais pas forcément les mots. Pour M. Fillon, il est urgent de « mettre autour de la table toutes les personnes qui peuvent arrêter ce conflit sans exclusive, et donc y compris ceux qui commettent des crimes aujourd’hui ».

    M. Mélenchon, pour sa part, exprime son indignation face aux bombardements, mais où qu’ils se produisent, à Alep, à Mossoul ou au Yémen. Il martèle que « la paix consiste à nommer les problèmes et à tâcher de les régler un à un ». Il en appelle à une « coalition universelle pour en finir avec Daech ».

    Or, au moment même où M. Fillon parle de « crimes » sans en désigner les auteurs et où M. Mélenchon s’avère incapable de « nommer les problèmes », Daech a repris le contrôle de Palmyre depuis plusieurs jours. Le bien mal-nommé « Etat islamique » a en effet profité de l’acharnement d’Assad, de Poutine et de l’Iran sur Alep pour s’emparer de la seule ville que le régime syrien pouvait prétendre avoir « libérée » des mains des jihadistes.

    La destruction à l’explosif d’un dépôt de munitions par des unités russes à Palmyre a accentué le désordre du retrait des pro-Assad face à Daech. En revanche, ce sont des avions américains, qui, le 15 décembre, ont détruit des blindés que Daech avait pu saisir à Palmyre. Quant à la malheureuse population de l’oasis, elle ne voit à ce stade aucune issue proche à son calvaire.

    Que MM. Fillon et Mélenchon aient des problèmes d’expression sur Alep, on peut le comprendre, à défaut de l’excuser. En revanche, qu’ils expliquent clairement pourquoi Palmyre signifiait tant en mars et ne signifie plus rien en décembre. Prôner une diplomatie alternative en campagne présidentielle participe de la vitalité du débat républicain. Mais ce droit implique un certain nombre de devoirs, au premier rang desquels celui de cohérence.

  • Les dindons de Palestine (Anti-k)

    carte_3_cisj_2_v2.png

    «Le monde commence à sauver Israël de lui-même», titrait lundi le quotidien israélien progressiste Haaretz, saluant la résolution de vendredi dernier du Conseil de sécurité qui déclarait «illégales» les colonies de l’Etat hébreu en Palestine.

    Un vote historique, puisque pour la première fois depuis 1980 les Etats-Unis ont décidé de ne pas opposer leur droit de véto à une décision sur ce sujet au sein de l’organe suprême de l’ONU.

    Un «cadeau de Noël» d’Obama à l’avant-veille de son départ, qui contraste avec ses oppositions constantes aux résolutions épinglant Israël aux Nations Unies durant huit ans de mandat. Volonté de laisser sa marque dans l’histoire à la dernière minute? Ou de savonner la pente au nouveau président Donald Trump, notoirement favorable à la colonisation israélienne?

    Quoi qu’il en soit, la résolution du Conseil de sécurité constituera désormais un outil de campagne pour les partisans de la paix au Proche-Orient. Il ne faudra pas en attendre davantage. Le texte n’entraîne ni sanctions, ni mécanismes de mise en œuvre dignes de ce nom.

    Israël peut continuer à feindre de ne pas comprendre le soit disant «biais anti-israélien» de l’ONU, et retirer des financements à l’institution internationale, voire crier à l’antisémitisme. Sa réaction montre encore une fois les claires intentions de la clique au pouvoir dans ce pays: continuer à morceler peu à peu la Cisjordanie afin de, tôt ou tard, l’annexer en partie, quitte à déplacer en masse les Palestiniens.

    Et il ne faut pas se leurrer. Israël a déjà transformé la Palestine en peau de léopard, avec des colonies disséminées sur tout le territoire (sauf Gaza) qui réunissent quelque 500 000 personnes et constituent pour certaines de véritables villes.

    Ainsi, si la résolution de l’ONU – qui réaffirme l’attachement de la communauté internationale à la solution de deux Etats séparés – est la bienvenue, elle apparait comme bien tardive.  Et même hypocrite: car ni les Etats européens membres du Conseil de sécurité, ni les Etats-Unis n’ont la moindre intention d’exiger réellement le démantèlement de ces complexes urbains israéliens. Encore moins d’adopter des sanctions contre Israël afin de le contraindre à rétablir une unité du territoire palestinien nécessaire à la création du nouvel Etat de Palestine.

    Quand à la solution d’un seul Etat laïque et démocratique pour les deux peuples sur l’ensemble du territoire Israël-Palestine, pas grand monde n’ose l’envisager. A l’aune de cette impasse, les Palestiniens restent les dindons de cette farce de Noël.

    Le Courrier
  • Retraite anticipée, pouvoir d’achat... : L’intersyndicale promet une année chaude (Algeria Watch)

    labour_day_01.jpg

    La refonte de plusieurs textes régissant la retraite et les dispositions de la loi de finances 2017 a suscité un front de protestation qui risque de mener un long mouvement de fronde durant l’année à venir.

    L’intersyndicale de la fonction publique représentant quatorze syndicats autonomes issus de plusieurs secteurs a affiché son mécontentement face à la modification de certaines dispositions relatives à la retraite. La nouvelle loi stipulant la suppression de la retraite anticipée sans conditions d’âge après 32 ans de service et l’abandon de la retraite proportionnelle a été élaborée conformément aux recommandations de la tripartite de 2016.

    Les syndicats accusent d’ailleurs le gouvernement d’avoir élaboré un texte conforme aux propositions du patronat au détriment des acquis des travailleurs. Plusieurs grèves ont été observées pour réclamer l’abandon du projet, mais sans succès, puisque le texte a bien été adopté par le parlement. Un autre texte aussi impopulaire a été également adopté malgré la tension suscitée.

    L’intersyndicale a particulièrement prévenu contre les conséquences des augmentations prévues dans la loi de finances qui étranglera les ménages dont les revenus seront insuffisants pour couvrir les besoins élémentaires d’une famille à revenus moyens, selon les formations syndicales. L’intersyndicale a donc mené campagne contre ces textes qui représentent « un pas supplémentaire dans l’abandon des acquis des travailleurs jetés un peu plus chaque jour, dans la précarité ». Après les grèves cycliques observées en octobre et novembre, l’intersyndicale menace de durcir le ton.

    Une réunion est d’ailleurs prévue le 7 janvier pour décider de la suite à donner à ce mouvement de protestation. Maintenant que les textes sont adoptés, les syndicats réclament des mesures de protection de leur pouvoir d’achat ainsi que des dispositions de transition avant l’application de la nouvelle loi sur la retraite. L’intersyndicale appelle également à la mobilisation pour faire avorter l’avant-projet de texte portant amendement du code du travail qui constitue, selon les syndicats, la généralisation des contrats à durée déterminée et la précarisation de l’emploi.

    F. A. K.- A. El Watan, 28 décembre 2016

    http://www.algeria-watch.org/

     

    Lire aussi:

    Éducation : les syndicats affûtent leurs armes (Liberté)

  • Nouveautés sur Agence Médias Palestine

     
    Faire l’expérience cruelle de l’industrie d’armement israélienne

    Faire l’expérience cruelle de l’industrie d’armement israélienne

    Matt Kennard – Electronic Intifada – Ramallah -27/12/ 2016 Des manifestants palestiniens dans un nuage de gaz lacrymogène lancé par les forces israéliennes lors de confrontations dans la ville cisjordanienne de Bethlehem en octobre 2015. Anne Paq ActiveStills.   À l’arrière du principal hôpital de Ramallah se trouve la maison de Iyad Haddad, un enquêteur...
     
     
    Tournée du Théâtre National Palestinien à Ivry, Strasbourg et Genève du 20 janvier au 8 mars 2017

    Tournée du Théâtre National Palestinien à Ivry, Strasbourg et Genève du 20 janvier au 8 mars 2017

    Les acteurs du Théâtre National Palestinien seront en France et en Suisse du 20 janvier au 8 mars 2017 pour plusieurs représentations du spectacle en arabe surtitré en français « Des roses et du jasmin ». Voir ci-dessous les informations sur ce spectacle et la tournée: DES ROSES ET DU JASMIN ADEL HAKIM 20 JAN > 05...
     
     
    Il est temps pour la communauté internationale de faire preuve de sévérité envers Israël

    Il est temps pour la communauté internationale de faire preuve de sévérité envers Israël

    Par Ben White – Middle East Eye – 24 décembre 2016 Les discussions en privé et les ménagements doivent appartenir au passé. Israël peut être mis sous pression pour changer. 2017 doit être l’année où enfin la communauté internationale durcit le ton et, plus important, ses actions, quand il s’agit d’Israël. Le cas est bien...
     
     
    AFPS 63: De New-York à Clermont-Ferrand, contre la colonisation israélienne

    AFPS 63: De New-York à Clermont-Ferrand, contre la colonisation israélienne

    Communiqué de presse de l’AFPS 63.   De New-York à Clermont-Ferrand, contre la colonisation israélienne.   L’Association France Palestine Solidarité 63 remercie les élus du conseil municipal de Clermont-Ferrand qui ont voté le 16 décembre, à une large majorité (*), un vœu pour que la France stoppe les importations de produits des colonies israéliennes en...
     
     
    Pourquoi la résolution de l’ONU sur les colonies serait néfaste aux Palestiniens

    Pourquoi la résolution de l’ONU sur les colonies serait néfaste aux Palestiniens

    Par Ali Abunimah  – 22 décembre Le texte de la résolution de l’ONU qui passe pour s’opposer aux colonies israéliennes sur la terre palestinienne occupée ouvre en fait la voie à la possibilité de les légitimer. (Mahfouz Abou Turk, APA images) Actualisation Avec 24 heures de retard et une grosse crise diplomatique, la résolution a...
     
     
    Israël écarte plus de 1000 plaintes contre la torture

    Israël écarte plus de 1000 plaintes contre la torture

    Ali Abunimah  – 12 décembre 2016 La famille d’Arafat Jaradat pleure à ses funérailles dans le village de Sair, en Cisjordanie occupée, le 25 février 2013. Ce père de deux enfants est mort à la suite d’un interrogatoire dans la prison israélienne de Megiddo, et une autopsie a révélé qu’il avait été torturé. (Oren Ziv...
     
     
    Pétition : Accordez au réalisateur Mohamed Jabaly un visa de travail

    Pétition : Accordez au réalisateur Mohamed Jabaly un visa de travail

    L’industrie cinématographique norvégienne a besoin de réalisateurs internationaux comme Mohamed Jabaly. Nous soutenons le réalisateur de Gaza, Mohamed Jabaly, et les producteurs d’AMBULANCE (producteur principal : John Arvid Berger, avec les producteurs exécutifs : Christine Cynn, Hermann Greuel et Kristian Mosvold), dans leur demande à la Direction norvégienne de l’immigration (UDI) d’accorder à Mohamed Jabaly un visa...
     
     
    Une affaire d’expulsion de Jérusalem revient devant la Cour suprême d’Israël

    Une affaire d’expulsion de Jérusalem revient devant la Cour suprême d’Israël

    Charlotte Silver – 20 décembre 2016 Des membres de la famille Sub Laban manifestent à Jérusalem devant le quartier général de l’UE pour exiger une protection contre les colons juifs qui essaient de s’emparer de leur logement dans la Vieille Ville de Jérusalem, le 3 décembre 2015. (Mahfouz Abu Turk / APA images) La résolution...
     
     

    En Cisjordanie, Israël « remplace un vol de terre par un autre »

    Par Charlotte Silver – 19 décembre 2016 Maryam Hamad, du village de Silwan en Cisjordanie avec, en arrière-plan, la colonie israélienne d’Ofra. Elle est l’un des propriétaires de la terre sur laquelle l’avant-poste Amona s’est monté. Selon la décision de la Haute Cour israélienne, les colons doivent l’évacuer ce mois-ci. (Keren Manor/ActiveStills) Le jour de...

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

     

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

    5554482lpw-5554515-article-jpg_3811768_660x281.jpg

     

  • Collectif pour une Syrie Libre et Démocratique

     
    La imagen puede contener: una o varias personas, multitud y exterior

    Comme lors des cessez-le-feu précédents, les syriens re-sortent dans les rues pour manifester dans les zones tenues par l'opposition. Les slogans appellent à l'unité de la révolution, refusent les déportations forcées par le régime et affirment que leur aspiration à la liberté est plus forte que les bombes

    Facebook

    15727397_776994692452320_4030803121913678521_n.jpg

    Atarib, Aleppo
    الشعب يريد إسقاط النظام
     
  • Eau en Palestine

    Hommage à  Jean-Christophe Victor, présentateur du Dessous des cartes, décédé hier

    Israël - Palestine, la guerre de l'eau (Dessous des cartes Arte du 17/03/2010)