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Maroc dans le Rif (Euronews)

Tous les manifestants réclament la “libération des prisonniers”. En tête de cortège, ils brandissaient une banderole et le portrait du leader de la contestation, Nasser Zefzafi, arrêté lundi pour “atteinte à la sécurité intérieure”. A l’heure actuelle 25 personnes sont toujours sous les verrous et en attente d’un procès qui doit avoir lieu la semaine prochaine.

La région du Rif est livrée depuis de longues années à la pauvreté et aux trafiquants de drogue. Les manifestants et le mouvement “Hirak” que dirigeait Zefzafi réclament des droits socio-économiques, dénoncent le chômage, la prédation et le manque d’infrastructures. Ils attendent une réaction du roi du Maroc Mohammed VI.

De nouveaux visages du mouvement Hirak sont apparus sur le devant de la scène, comme Nawal Benaissa, 36 ans et mère de quatre enfants.
Disant être convoquée par la police, celle-ci s’est rendue jeudi matin au commissariat d’Al-Hoceïma, d’où elle est ressortie libre peu après et a affirmé avoir été interrogée notamment à propos du mot d’ordre de grève générale qu’elle avait relayé la veille.

Grève générale très suivie par les commerçants d’Al-Hoceïma, une nouvelle manifestation d’environ 2 000 personnes, la contestation populaire dans la région du Rif au Maroc ne faiblit pas.
Le mot d’ordre de grève a été très suivie à Al-Hoceïma et dans les villes voisines d’Imzouren et Beni Bouyaach selon des habitants joints par téléphone. Et comme à chaque nuit tombée depuis une semaine, les manifestants se sont de nouveau rassemblés dans le quartier Sidi Abed. Aucun incident n’a été signalé. Le rassemblement s’est dispersé vers minuit.

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Tous les manifestants réclament la “libération des prisonniers”. En tête de cortège, ils brandissaient une banderole et le portrait du leader de la contestation, Nasser Zefzafi, arrêté lundi pour “atteinte à la sécurité intérieure”. A l’heure actuelle 25 personnes sont toujours sous les verrous et en attente d’un procès qui doit avoir lieu la semaine prochaine.

La région du Rif est livrée depuis de longues années à la pauvreté et aux trafiquants de drogue. Les manifestants et le mouvement “Hirak” que dirigeait Zefzafi réclament des droits socio-économiques, dénoncent le chômage, la prédation et le manque d’infrastructures. Ils attendent une réaction du roi du Maroc Mohammed VI.

De nouveaux visages du mouvement Hirak sont apparus sur le devant de la scène, comme Nawal Benaissa, 36 ans et mère de quatre enfants.
Disant être convoquée par la police, celle-ci s’est rendue jeudi matin au commissariat d’Al-Hoceïma, d’où elle est ressortie libre peu après et a affirmé avoir été interrogée notamment à propos du mot d’ordre de grève générale qu’elle avait relayé la veille.

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