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Afps - Page 29

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité


  • Tribune de Marwan Barghouthi (Afps)

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    Aucun peuple sur terre n’accepterait de coexister avec l’oppression. Par nature, les êtres humains aspirent à la liberté, luttent pour la liberté, se sacrifient pour la liberté. Et la liberté du peuple palestinien n’a que trop tardé.

    Marwan Barghouthi, leader palestinien emprisonné, député, Président du groupe d’amitié avec la France au Conseil Législatif Palestinien, Membre du Comité Central du Fatah, souvent appelé « le Mandela palestinien »

    L’escalade n’a pas débuté avec la mort de deux colons israéliens.

    Elle a débuté il y a longtemps, et s’est poursuivie durant des années. Chaque jour, des Palestiniens sont tués, blessés, arrêtés. Chaque jour, le colonialisme avance, le siège contre notre peuple à Gaza se poursuit, l’oppression et l’humiliation persistent. Alors que certains veulent que nous soyons accablés par les conséquences potentielles d’une nouvelle spirale de la violence, je continue à plaider, comme je l’ai fait en 2002 , pour que l’on s’attaque aux causes de cette violence : le déni de liberté pour les Palestiniens.

    Certains ont suggéré que la raison pour laquelle nous ne sommes pas parvenus à conclure un accord de paix est le manque de volonté de feu Président Yasser Arafat ou du manque de capacité du Président Mahmoud Abbas, alors que tous les deux étaient prêts et capables de signer un tel accord. Le véritable problème est qu’Israël a choisi l’occupation aux dépens de la paix et a usé des négociations comme d’un écran de fumée pour faire avancer son projet colonial. Tous les gouvernements au monde connaissent pertinemment cette vérité élémentaire et pourtant nombre d’entre eux prétendent que le retour aux recettes éculées nous permettra d’atteindre la liberté et la paix. La folie c’est de répéter sans arrêt la même chose et d’espérer un résultat différent. Il ne peut y avoir de négociations sans un engagement israélien clair de se retirer complètement du territoire qu’Israël a occupé en 1967, y compris en ce qui concerne Jérusalem, une fin de l’ensemble des politiques coloniales, la reconnaissance des droits inaliénables du peuple palestinien, y compris le droit à l’auto-détermination et au retour, et la libération de tous les prisonniers palestiniens. Nous ne pouvons coexister avec l’occupation israélienne, et nous ne capitulerons pas devant elle.

    On nous a demandé d’être patients, et nous l’avons été, donnant une chance après l’autre pour la conclusion d’un accord de paix, y compris depuis 2005 et jusqu’à aujourd’hui. Il est peut-être utile de rappeler au monde que notre dépossession, exil et transfert forcés, et l’oppression que nous subissons ont duré près de 70 ans et nous sommes le seul point toujours à l’agenda des Nations Unies depuis sa création. On nous a dit qu’en ayant recours aux moyens pacifiques et aux cadres diplomatiques et politiques, nous engrangerions le soutien de la communauté internationale pour mettre fin à l’occupation. Et pourtant, comme en 1999 à la fin de la période intérimaire, la communauté internationale n’a pas réussi à adopter une seule mesure significative, y compris mettre en place un cadre international assurant la mise en œuvre du droit international et des résolutions onusiennes, et adopter des mesures pour mettre fin à l’impunité, y compris à travers le boycott, les désinvestissements et les sanctions, en s’inspirant des outils qui ont permis de débarrasser le monde du régime d’apartheid.

    En l’absence d’intervention internationale pour mettre fin à l’occupation, et en l’absence d’actions sérieuses des gouvernements pour mettre fin à l’impunité d’Israël, et en l’absence de toute perspective de protection internationale accordée au peuple palestinien sous occupation, et alors même que la colonisation et ses manifestations diverses, y compris les attaques violentes des colons israéliens, s’intensifient, que nous demande-t-on de faire ? Laisser faire et attendre qu’une autre famille palestinienne se fasse brûler, qu’un autre jeune palestinien se fasse tuer, qu’une nouvelle colonie soit construite, qu’une autre maison palestinienne soit détruite, qu’un autre enfant palestinien soit arrêté, qu’une nouvelle attaque de colons ait lieu, qu’une autre agression contre notre peuple à Gaza soit lancée ? Le monde entier sait pertinemment que Jérusalem est la flamme qui peut inspirer la paix ou déclencher la guerre. Alors pourquoi demeure-t-il impassible alors que les attaques israéliennes contre le peuple palestinien dans la ville et les lieux saints musulmans et chrétiens, notamment Al-Haram Al-Sharif, continuent sans relâche ? Les actions et les crimes israéliens ne détruisent pas seulement la solution à deux Etats sur les frontières de 1967 et violent le droit international. Ils menacent de transformer un conflit politique qui peut être résolu en un conflit religieux éternel qui ne fera que déstabiliser plus avant une région qui fait déjà l’expérience de bouleversements sans précédents.

    Aucun peuple sur terre n’accepterait de coexister avec l’oppression. Par nature, les êtres humains aspirent à la liberté, luttent pour la liberté, se sacrifient pour la liberté. Et la liberté du peuple palestinien n’a que trop tardé. Pendant la première Intifada, le gouvernement israélien a lancé une politique « briser leurs os pour briser leur volonté », mais une génération après l’autre, le peuple palestinien a démontré que sa volonté ne peut être brisée et ne doit pas être testée.

    Cette nouvelle génération palestinienne n’a pas attendu les pourparlers de réconciliation pour incarner une unité nationale que les partis politiques ont échouée à réaliser, dépassant les divisions politiques et la fragmentation géographique. Elle n’a pas attendu d’instructions pour mettre en œuvre son droit, et même son devoir, de résister à cette occupation. Elle le fait sans armes, alors même qu’elle est confrontée à une des plus importantes puissances militaires au monde. Et pourtant, nous demeurons convaincus que la liberté et la dignité l’emporteront, et que nous triompherons. Et que le drapeau palestinien que nous avons levé avec fierté à l’ONU flottera au-dessus des murailles de la vieille ville de Jérusalem, pas pour un jour, mais pour toujours.

    J’ai rejoint la lutte palestinienne pour l’indépendance il y a 40 ans, et fus emprisonné pour la première fois à l’âge de 15 ans. Cela ne m’a pas empêché de plaider pour une paix fondée sur le droit international et les résolutions de l’ONU. Mais j’ai vu Israël détruire méthodiquement cette perspective année après année. J’ai passé 20 ans de ma vie dans les geôles israéliennes, y compris les 13 dernières années, et ces années n’ont fait que renforcer ma foi en cette vérité inaltérable : le dernier jour de l’occupation sera le premier jour de paix. Ceux qui veulent réaliser cette dernière doivent agir, et agir maintenant, pour précipiter la première.

    Marwan Barghouthi prison de Hadarim cellule n°28

    The Guardian - octobre 2015, lundi 12 octobre 2015

    http://www.france-palestine.org/Tribune-de-Marwan-Barghouthi

  • Palestine, quand le discours dominant envahit les médias (Afps)

     

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    Le parti-pris pro-israélien des dirigeants français – et de nombre de dirigeants européens sans parler des Etats-Unis – est une constante. Ainsi les déclarations de M. Hollande lors d’un dîner avec M. Nétanyahou (« j’aime Israël et ses dirigeants » [1]), les premières affirmations que la sécurité d’Israël primait sur le droit, international et humanitaire, pendant l’attaque israélienne contre Gaza à l’été 2014, ou encore la criminalisation de la solidarité avec le peuple palestinien, notamment BDS. La permanence de la politique française au Proche-Orient est une allégeance réitérée à l’axe Tel-Aviv/Washington.

    Ce tropisme se reflète bien évidemment dans la plupart des « grands » médias classiques qui à leur tour le véhiculent et le propagent. Cercle vicieux qui porte bien son nom.

    En témoigne la couverture de la situation explosive qui existe aujourd’hui en Cisjordanie occupée.

    Le Monde écrit ainsi des titres révélateurs les 4 et 5 octobre 2015 : Vives tensions après plusieurs agressions à Jérusalem [2] / Vaste opération israélienne dans le nord de la Cisjordanie après le meurtre de deux colons [3], titres qui donnent à comprendre que la responsabilité première incombe aux Palestiniens.

    RMC, le 4 : "Deux morts à Jérusalem, deux Israéliens tués à l’arme blanche par deux Palestiniens, les agresseurs ont été abattus". On notera que cela ne fait que deux morts, pas quatre !

    Ou le Figaro, toujours le 4 : Jérusalem : fermeture de la Vieille ville après une attaque au couteau [4] puis, pire, le 6 octobre : Face au regain de violence, Nétanyahou promet d’agir « avec une main de fer » [5].

    Libération annonce lui, le 5 octobre, Israël : une intifada venue de la rue [6], article bien documenté mais qui omet que c’est en Palestine occupée et non en Israël que la révolte palestinienne gronde, tandis que le journaliste reprend à son compte le vocabulaire israélien : Tsahal ou Etat hébreu, terme qui nie la réalité palestinienne en Israël (21% de la population d’Israël est palestinienne).

    Reuters se contente, encore le 5, de titrer Deux agressions à l’arme blanche en quelques heures à Jérusalem [7], mais le corps de l’article est éclairant sur le regard porté et véhiculé.

    Cependant, RFI se distingue, honorablement, par des articles qui n’incitent pas le lecteur à une compréhension partisane de l’information. Ainsi : Heurts en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, vers une troisième intifada ? Mais le titre de la rubrique est : Israël. [8]

    Et l’Humanité fait évidemment exception à cet alignement sur le discours israélien dominant en titrant par exemple le 6 octobre : L’armée israélienne tire à vue sur les Palestiniens [9].

    Si certains médias présentent des articles qui couvrent aussi la violence imposée aux Palestiniens dans l’ensemble de la Cisjordanie occupée, fort peu reviennent sur les raisons de cette « explosion de violence ». 20 minutes oui, qui titre par exemple Violences en Cisjordanie : « Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg » [10].

    Nombre d’articles font commencer « le regain de violence » à la mort de colons le 2 octobre. L’image donnée des colons est celle de civils innocents. Fort peu de médias relatent que, depuis des années, les milices lourdement armées des colons et/ou l’armée israélienne agressent quotidiennement les Palestiniens, ou, comme ces jours-ci, tirent à balles réelles sur des manifestants armés de simples pierres, abattent à bout portant une jeune Palestinienne portant un sac à Hébron, un écolier rentrant de l’école à Bethléem, un jeune homme à Jérusalem qui, pourchassé par des colons, cherche refuge auprès des soldats qui l’abattent…

    Quels articles, dans les médias traditionnels, sur l’arrachage des oliviers palestiniens multi-centenaires, le rasage des maisons et bâtiments palestiniens de la vallée du Jourdain, l’appropriation de l’eau au profit des colons, les routes réservées à l’armée et aux colons, interdites aux Palestiniens sur la terre palestinienne ? Quel journaliste « mainstream » raconte que, comme en Afrique du Sud sous l’apartheid, la démolition des maisons, l’utilisation de chiens d’attaque contre les civils, sont une pratique israélienne courante ? Qui dit les quelque 6000 prisonniers palestiniens illégalement détenus sur le territoire israélien ? Où a-t-on lu les provocations des colons et de certains hauts dirigeants israéliens d’extrême droite dans Jérusalem-Est occupée, notamment l’esplanade des mosquées ? Quelle couverture médiatique « grand public » est réservée au blocus illégal de Gaza ou à la colonisation tout aussi illégale de la Cisjordanie ? Qui rappelle que la résistance est un droit et qu’elle découle de l’occupation, que les peuples ont le droit à l’autodétermination, et que la colère palestinienne nait de l’injustice et de la violence coloniale ?

    Pour obtenir ces informations factuelles et ces rappels, il faut recourir aux médias palestiniens et arabes rarement disponibles en français [11] ou aux réseaux sociaux.

    Et bien sûr, des journaux de grande qualité comme le Monde diplomatique et ses blogs, le site Médiapart ou encore Orient XXI [12] présentent régulièrement de véritables analyses qui s’opposent à la désinformation ou la superficialité de médias susmentionnés. De même pour des centres de recherche comme l’Iris ou l’Iremmo dont les sites sont accessibles à tous [13]. [14]

    Bilan désolant mais qui doit motiver d’autant plus les médias alternatifs ou militants à faire connaître la situation sur le terrain, à analyser et partager y compris avec les journalistes des médias « grand public » pour les inciter à mieux s’informer et à plus de déontologie. Pour contrer le rouleau compresseur du discours dominant, relais de la politique coloniale israélienne, malheureusement partagé par de nombreux médias et dirigeants politiques.

    Claude Léostic, membre du Conseil National de l’AFPS, présidente de la Plateforme Palestine, mardi 6 octobre 2015

    http://www.france-palestine.org/Quand-le-discours-dominant-envahit-les-medias

  • Palestine Rassemblement samedi 10 à Brest (afps)

     

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    AFPS 1 Rue de l’Harteloire 29200 Brest

    Permanence: 1er samedi du mois de 11h à 12h30

    Mail : afps29n@yahoo.fr

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

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  • Israël et la Palestine au bord du gouffre (Politis)

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    L’Europe doit enfin prendre ses responsabilités, estime le président de l’Association France Palestine solidarité, Taoufiq Tahani.

    La politique de Benyamin Netanyahou a un mérite : elle produit des résultats. Au fil des semaines, les colonies s’agrandissent, ancrant toujours davantage dans le paysage la marque de la domination d’un peuple sur un autre. Rien à négocier, et Tzipi Hotovely, la vice-ministre des Affaires étrangères, l’a dit tranquillement sur le ton de l’évidence : « Le monde doit réaliser que la Judée-Samarie restera sous la souveraineté de facto d’Israël. Ceci n’est pas une monnaie d’échange et ne dépend pas de la bonne volonté des Palestiniens. C’est la terre de nos ancêtres. »

    Et voilà que de nouveaux résultats nous arrivent, eux aussi malheureusement annoncés. Après l’autorisation donnée à l’armée israélienne de tirer à balles réelles, une série de meurtres a été commise contre de jeunes Palestiniens, sans sommations ni explications. Il y a obligation de résultat : briser la résistance d’un peuple en multipliant les punitions collectives, avec toujours cette même devise : « Ce qu’on ne peut obtenir par la force, on peut l’obtenir par plus de force. » Sauf qu’arrive le retour de bâton. Jeudi, un couple de colons, dont le mari est officier de réserve dans l’armée israélienne, a été tué à la kalachnikov près de Ramallah (leurs quatre enfants ont heureusement été épargnés). À leurs obsèques, le président d’Israël, Reuven Rivlin, qui a la réputation d’être un « colon libéral », déclare à la famille : « Je vous ai répondu. Je vous ai dit que cette terre est à nous dans sa totalité, et sous notre souveraineté, il est de notre responsabilité d’assurer sa sécurité et celle de nos citoyens. »

    Dans la nuit de samedi à dimanche, ce sont deux autres Israéliens qui sont tués et deux blessés au couteau dans deux attaques à Jérusalem. Les auteurs supposés sont abattus par la police. Au petit matin, le jeune Fadi Elwan, du quartier Issawaya, est abattu par les soldats auxquels il allait demander protection pour échapper aux colons qui le pourchassaient. Version contestée ? Il suffit à la police de communiquer, comme le demande la famille de la victime, les enregistrements des nombreuses caméras disposées dans le quartier.

    Dans toute la Cisjordanie, les jeunes poussés à bout retrouvent les gestes de l’Intifada des pierres d’il y a vingt-huit ans. Ils estiment n’avoir rien à perdre. Qui oserait leur donner tort ? On attend la suite. Depuis le début des fêtes juives, c’est au nom de la « liberté de culte » évoquée par Mme Hotovely à l’ONU que les provocations s’ajoutent aux provocations pour en finir avec le statu quo qui garantit le culte dans la mosquée Al-Aqsa, sous responsabilité jordanienne. Tout est prêt pour l’explosion. Tout semble prêt pour qu’elle revête une dimension religieuse. Qui peut dire ce que sera alors l’onde de choc dans le monde musulman ?

    Voilà où nous ont menés des années de tergiversations et de complaisance face à une politique israélienne qui n’a d’autre but que de rendre impossible la solution à deux États. Cette fois, la France et les pays européens doivent choisir. Ils ne peuvent plus dire qu’ils sont pour la solution à deux États tout en continuant à n’en reconnaître qu’un, dont les dirigeants répètent qu’ils font et feront tout pour qu’il n’y ait pas d’État palestinien. C’est maintenant et d’urgence qu’il faut oser reconnaître l’État de Palestine et enfin prendre des sanctions contre les saboteurs de la paix. Si vous ne faites rien, Mesdames et Messieurs les dirigeant européens, vous serez coresponsables de la catastrophe vers laquelle nous poussent les apprentis sorciers de Tel-Aviv.

    http://www.politis.fr/

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    Journée nationale "reconnaissance de la Palestine" - Liste des évènements

    Collectif National pour une Paix Juste et Durable en Palestine (CNPJDPI), mercredi 7 octobre 2015
  • Brest Afps

    pal
     
    Vous avez sans doute suivi  le regain de tension en Palestine ces derniers jours, résultat d’une politique de colonisation sans cesse accentuée de la part du gouvernement israélien.
     
    Face à cette situation, nous appelons à un
     
    Rassemblement à Brest
    ce samedi  15 h
    Place de la Liberté
     
    L’AFPS du Nord Finistère-Brest appelle à un rassemblement samedi 10 octobre à 15 h place de la Liberté. Au vu des événements graves qui se déroulent en Palestine occupée depuis plusieurs jours: 5 morts palestiniens, des centaines de blessés, des dizaines d’arrestations et 4 colons israéliens tués, le risque d’un embrasement général est réel.
     
    Pour l’éviter il est indispensable d’arrêter les colons, leurs provocations insensées et leur violence systématique. Protégés par l’armée israélienne, sûrs de l’impunité que leur accorde le gouvernement Netanyahou, ces colons armés jusqu’aux dents sont en train de créer délibérément une situation qui amènera chaos et dévastation en Palestine et dans toute la région.
     
    Nous apportons notre pleine solidarité au peuple palestinien sous occupation, soumis à la violence coloniale, mais nous disons aussi aux autorités françaises qu’elles doivent peser de tout leur poids pour faire entendre raison à Israël et pour faire appliquer le droit, en particulier le droit des palestiniens à leur autodétermination et à un Etat. »
     
    Et aussi:
  • Tarn Palestine

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