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Afps - Page 17

  • Printemps de la Palestine en Centre Bretagne (Afps)

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    Mercredi 18 mai

    20h00 - Landeleau - Salle multifonctions, derrière le collège Dans les collines au Sud d’Hébron Film de François Xavier Gilles. L’expulsion des villageois palestiniens par l’armée israélienne et les colons. Débat avec le réalisateur. (gratuit)

    Jeudi 19 mai

    18h00 - Carhaix - Médiathèque, Château Rouge Cultivons la Paix Film réalisé par Denys Piningre. Le commerce équitable et la production d’huile d’olives. Débat avec Michel Besson, responsable de la coopérative Andine. (gratuit)

    Lundi 21 mai

    20h30 - Callac - Cinéma l’Argoat This is my Land Film de Tamara Erde (cinéaste franco-israélienne) suivi d’un débat avec la réalisatrice. Et si le conflit israélo-palestinien était surtout une question d’éducation ? Comment est enseignée l’histoire dans les écoles palestiniennes et israéliennes. (tarif cinéma)

    Mercredi 25 mai

    20h00 - Carhaix - Foyer des Jeunes Travailleurs, rue Anatole France Omar Film de Hany Abu-Assad. Jeune Palestinien, Omar aime Nadia qu’il rejoint en franchissant clandestinement le mur. Arrêté par les israéliens, il est relâché contre la promesse d’une trahison. Parviendra-t-il à rester fidèle à ses amis, à la femme qu’il aime, à sa cause ? suivi d’un débat. (gratuit)

    Dimanche 29 mai

    17h30 - Motreff - Salle polyvalente Clôture du mois de la Palestine Soirée Musicale avec le groupe SAFARA SAFAR, suivie d’un buffet (concert + buffet : 10 €)

    http://www.le-chiffon-rouge-morlaix.fr/mai-de-la-palestine-on-peut-encore-participer

  • La Nakba : de 1948 à aujourd’hui (AFPS)

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    Bilin, Ramallah

    Qu’est-ce que la Nakba ?

    La Nakba (« catastrophe » en arabe) renvoie au nettoyage ethnique des Palestiniens et à la destruction des communautés palestiniennes qui ont eu lieu lors de la création de l’Etat d’Israël en 1948.

      Environ 85 à 90 % des Palestiniens qui vivaient dans ce qui est devenu Israël furent expulsés (quelque 700 à 800.000). [1] Les quatre cinquièmes des villes et des villages palestiniens furent détruits, ou repeuplés par des Israéliens juifs. [2] Dans des villes comme Haïfa et Acre, les quartiers palestiniens furent vidés, et réoccupés.

    Le déplacement des Palestiniens était en bonne voie au moment de la déclaration unilatérale d’indépendance d’Israël. Entre le 30 mars et le 15 mai, quelque 200 villages palestiniens furent, selon les mots de l’historien israélien Ilan Pappe, “occupés et leurs habitants expulsés.” [3] Ainsi avant même que la guerre" israélo-arabe » n’ait commencé, environ la moitié du total final des réfugiés palestiniens avaient déjà perdu leur foyer. [4]

    Le nettoyage ethnique n’a pas seulement commencé avant mai 1948, il a aussi continué pendant quelque temps après ; l’expulsion des Palestiniens de Al-Majdal vers la Bande de Gaza, par exemple, n’a pas été totale jusqu’à la fin de 1950. [5]. Vidée de ses habitants palestiniens, Al-Majdal devint la ville portuaire israélienne d’ Ashkelon.

    Pourquoi les Palestiniens ont-ils quitté leur foyer ?

    La raison primordiale de l’évacuation de centaines de villages palestiniens en 1947-48 a été un mélange de force et de peur, quelque chose longtemps maintenu par les historiens palestiniens. [6] Le travail d’historiens israéliens comme Benny Morris en a fourni des preuves supplémentaires ; selon Morris, sur à peu près les 400 villages palestiniens détruits qu’il a étudiés, “l’évacuation sur des ordres arabes” n’a été le facteur décisif dans l’évacuation de la population que dans six cas. [7]

    Les massacres par les forces sionistes – dont il y a eu au moins deux douzaines – a joué un rôle majeur pour répandre la terreur parmi les Palestiniens. [8] Deir Yassin, où 100 à 120 villageois furent tués le 9 avril 1948, est l’atrocité la plus célèbre, mais il y en a eu beaucoup d’autres : à al-Dawamiya, en octobre 1948, plus de 100 villageois– hommes, femmes, et enfants – furent tués. ‘The Poem That Exposed Israeli War Crimes in 1948’, Ha’aretz, March 18, 2016, http://www.haaretz.com/israel-news/.premium-1.709439.

    Dans beaucoup de villes et de villages, les Palestiniens furent expulsés sous la menace des armes, comme à Lydda and Ramla. Après que des centaines de personnes aient été tués dans la conquête des villes, on estime que 50.000 habitants furent forcés de partir à pied vers la Cisjordanie. [9]. Dans beaucoup d’autres villages, des colonnes de réfugiés furent la cible de tirs de mortiers pour “leur faire accélérer le train.” [10]

    Pourquoi les Palestiniens ne sont-ils pas retournés chez eux après la fin des combats ?

    Les réfugiés palestiniens furent empêchés de retourner chez eux par la violence, et par les lois. Dès juin 1948, David Ben-Gourion – premier Premier ministre d’Israël – déclara à son cabinet que “aucun réfugié arabe ne doit être autorisé à revenir". [11] Il est resté fidèle à sa parole.

    Les Palestiniens essayant de revenir furent qualifiés d’ "agents infiltrés » par les autorités israéliennes, et considérés comme une menace à la sécurité. En 1956, jusqu’à 5.000 réfugiés palestiniens essayant de revenir chez eux avaient été tués par les forces israéliennes ; la plupart moururent alors qu’ils essayaient de retourner chez eux, d’avoir accès à leurs récoltes ou à leurs propriétés perdues, ou recherchaient ceux qui leur étaient chers. [12]

    Pendant ce temps, le gouvernement israélien a fait rapidement adopter des lois qui à la fois s’appropriaient les biens et les terres des Palestiniens expulsés, et aussi les dépouillaient de la citoyenneté qui leur avait été attribuée en tant qu’habitants du nouvel état. [13]

    Pourquoi des gens considèrent-ils ceci comme un « nettoyage ethnique" ?

    Il n’y a pas de définition formelle du nettoyage ethnique dans le droit humanitaire international, et ce terme tire son origine de la violence du début des années 1990 dans l’ancienne Yougoslavie. [14] En 1994, un article du Journal Européen de Droit International a défini le but à long terme d’une « politique de nettoyage ethnique” comme “la création de conditions de vie qui rendent impossible le retour de la communauté déplacée.” [15]

    La Nakba correspond à notre compréhension du nettoyage ethnique : la peur et la violence ont été utilisées pour vider des centaines de villes et villages et leur habitants furent empêchés de revenir. En outre , les intentions de la direction sioniste antérieure à l’état, qui devint Ie premier gouvernement d’Israël, étaient claires.

    Comme les recherches historiques l’ont montré, l’idée de « "transférer" tous les Arabes de Palestine ou une partie d’entre eux en dehors du futur état juif était largement répandue parmi les cercles dirigeants sionistes", longtemps avant la Nakba. [16] En 1930, par exemple, le président d’alors du Fonds National Juif déclarait : “S’il y a là d’autres habitants, ils doivent être transférés ailleurs. Nous devons prendre le contrôle des terres.” [17]

    Pendant la Nakba, encore, un ordre opérationnel commun donnait comme instruction aux forces israéliennes “de s’emparer des villages, de les nettoyer de leurs habitants (les femmes et les enfants devaient (aussi) être expulsés)” et “de brûler le plus grand nombre possible de maisons .” [18] Quand on a demandé à Ben-Gourion ce qu’ils fallait faire des habitants de Lydda et Ramla, sa réponse fut brève : “Expulsez-les.” [19]

    En 1900, la population de la Palestine était environ à 4 % Juive et à 96 % arabe, et en1947, les arabes palestiniens constituaient encore plus des deux tiers de la population. [20] Ainsi, comme le journaliste et historien israélien Tom Segev l’a dit, “’faire disparaître les Arabes se situait au coeur du rêve sioniste, et était aussi une condition nécessaire de sa réalisation.” [21]

    Les gens commémorent-ils la Nakba en Palestine/Israël ?

    Les Palestiniens célèbrent le Jour de la Nakba le 15 mai, parmi lesquels les Palestiniens de Cisjordanie et de la Bande de Gaza Occupées. Beaucoup de citoyens palestiniens d’ Israël, dans le même temps, célèbrent la Nakba le "Jour de l’Indépendance » officiel de l’état, qui change chaque année car fondé sur le calendrier juif.

    Ce jour-ci, les citoyens Palestiniens, rejoints par un certain nombre d’Israéliens juifs, marchent vers le site d’un village détruit. Ceci n’est pas seulement une action de commémoration ; ainsi au moins un quart des Palestiniens qui vivent à l’intérieur des frontières d’Israël d’avant 1967 sont qualifiés de "présents absents", ils sont des déplacés internes de la Nakba et jusqu’à ce jour, sont empêchés légalement de revenir sur leur terre et sur leurs propriétés. [22]

    Ces dernières années, le gouvernement israélien a cherché à saper la commémoration de la Nakba par la communauté palestinienne, en faisant passer une loi qui “punit d’amende les entités qui ouvertement rejettent Israël en tant qu’état juif ou qui célèbrent la Jour de l‘Indépendance d’Israël comme un jour de deuil.” ‘ [23] En janvier 2012, la Haute Cour de Justice a rejeté une pétition contre la loi, bien qu’elle porte atteinte à la “liberté d’expression.” [24]

    Est-ce que la Nakba n’est que de l’"histoire ancienne" ?

    Les réfugiés palestiniens continuent à exiger que leur droit, internationalement reconnu, à la fois au retour et à la restitution de leurs biens soit respecté. Aujourd’hui il y a environ 5,2 millions de réfugiés enregistrés par l’ONU (le nombre total de Palestiniens dans la diaspora est de 7,5 millions), dont 2 millions vivant en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza sous gouvernement militaire israélien– et à quelques milles de distance de leurs terres. [25]

    Les Palestiniens font référence aussi à une « Nakba continue", dans le sens où Ies politiques israéliennes de déplacement forcé et de colonisation ont continué, et même pris de l’ampleur , au cours des décennies. Pendant la conquête israélienne en 1967 de la Bande de Gaza et de la Cisjordanie, par exemple, quelque 300.000 Palestiniens ont fui ou ont été expulsés. Parmi ceux qui ont quitté la Cisjordanie, moins de 8 % furent autorisés par Israël à revenir. [26]

    Actuellement, les exemples en cours comprennent l’expulsion de familles palestiniennes par des colons israéliens à Jérusalem-Est occupée, ainsi que la démolition de maisons et le déplacement des Palestiniens dans diverses zones de Cisjordanie, parmi lesquelles la Vallée du Jourdain et le Sud des collines d’Hébron.

    Avril 2016 (traduit de l’anglais par Yves Jardin, membre du GT de l’AFPS sur les prisonniers)

    Article commandé spécialement par la "Palestine Solidarity Campaign" (PSC) équivalent britannique de l’AFPS, écrit par l’auteur Ben White.

    Ben White - PSC, dimanche 15 mai 2016

    [1Charles D. Smith, ‘Palestine and the Arab-Israeli Conflict’, Bedford/St Martin’s, 2004 ; Rosemary Sayigh, ‘The Palestinians : From Peasants to Revolutionaries’, Zed Books, 2007.

    [2Hussein Abu Hussein & Fiona McKay, ‘Access Denied’, Zed Books, 2003.

    [3Ilan Pappe, ‘The Ethnic Cleansing of Palestine’, Oneworld Publications, 2007.

    [4Rashid Khalidi, ‘The Palestinians and 1948 : the underlying causes of failure’, in ‘The War for Palestine’, Cambridge University Press, 2007.

    [5Benny Morris, ‘The Birth of the Palestinian Refugee Problem Revisited’, Cambridge University Press, 2004

    [6Walid Khalidi, ‘Plan Dalet : Master Plan for the Conquest of Palestine’, Journal of Palestine Studies, Vol. 18, No. 1, Autumn, 1988, pp. 4-33.

    [7Morris, ‘The Birth of the Palestinian Refugee Problem Revisited’, 2004.

    [8‘Survival of the fittest’, Ha’aretz, January 8, 2004, http://www.haaretz.com/survival-of-the-fittest-1.61345.

    [9Pappe, 2007 ; Morris, ‘The Birth of the Palestinian Refugee Problem Revisited’, 2004

    [10Morris, ‘The Birth of the Palestinian Refugee Problem Revisited’, 2004.

    [11Mark A. Tessler, ‘A History of the Israeli-Palestinian Conflict’, Indiana University Press, 1994.

    [12Benny Morris, ‘Israel’s Border Wars, 1949-1956’, Oxford University Press, 1993 ; Avi Shlaim, ‘The Iron Wall’, W.W.Norton, 2000.

    [13Victor Kattan, ‘The Nationality of Denationalised Palestinians’, Nordic Journal of International Law, Vol. 74, 2005.

    [14International Committee of the Red Cross, https://www.icrc.org/customary-ihl/eng/docs/v2_rul_rule129_sectionc.

    [15Ethnic Cleansing – an Attempt at Methodology, Drazan Petrovic, European Journal of International Law, Issue Vol. 5 (1994) No. 1.

    [16Benny Morris, ‘Revisiting the Palestinian exodus of 1948’, in ‘The War for Palestine : Rewriting the History of 1948’, Cambridge University Press, 2008.

    [17Nur Masalha, ‘Expulsion of the Palestinians : The Concept of “Transfer” in Zionist Political Thought, 1882-1948’, Institute of Palestine Studies, 1992.

    [18Morris, ‘The Birth of the Palestinian Refugee Problem Revisited’, 2004.

    [19Alexander B. Downes, ‘Targeting Civilians in War’, Cornell University Press, 2008.

    [20Ben White, ‘Israeli Apartheid : A Beginner’s Guide’ (Second Edition), Pluto Press, 2014.

    [21Tom Segev, ‘One Palestine, Complete : Jews and Arabs Under the British Mandate’, Abacus, 2001.

    [22‘High Court Rejects the Right of Ikrit Refugees to Return Home’, Ha’aretz, June 27, 2003, http://www.haaretz.com/high-court-rejects-the-right-of-ikrit-refugees-to-return-home-1.92437.

    [23High Court Rejects Petition Against Israel’s Controversial ‘Nakba Law’, Ha’aretz, January 5, 2012, http://www.haaretz.com/israel-news/high-court-rejects-petition-against-israel-s-controversial-nakba-law-1.405636.

    [24Adalah press release, January 5, 2012, http://www.adalah.org/en/content/view/7188.

    [25‘Where we work’, UNRWA, www.unrwa.org ; ‘Bureau : Majority of Palestinians live in diaspora’, Ma’an News Agency, May 13, 2015, https://www.maannews.com/Content.aspx?id=765378.

    [26White, 2013.

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    Enfances brisées : les mineurs palestiniens dans le viseur de la répression israélienne

    vendredi 13 mai 2016
     
    La Plateforme Palestine, l’ACAT, l’AFPS, la Ligue des droits de l’Homme et le Yes Theatre publient un rapport sur les enfants palestiniens détenus dans les prisons israéliennes.
     
     

    Festival Ciné-Palestine 2016 : Le compte à rebours a commencé

    Festival Ciné-Palestine, vendredi 13 mai 2016

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

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    USA : Dites au Congrès de Soutenir les Droits des Enfants Palestiniens !

    US Campaign to End the Israeli Occupation (Campagne aux USA pour mettre fin à l’occupation israélienne), jeudi 12 mai 2016
  • Saint Brieuc avec Julien Salingue (Ujfp)

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    Conférence-débat sur les mutations du mouvement national palestinien : entre rêves et réalité

    Organisée par l’Association France-Palestine Solidarité de Saint-Brieuc. Avec Julien Salingue, Docteur en science politique spécialiste du mouvement national palestinien et des dynamiques politiques, sociales et économiques en Palestine.

    Dans son dernier livre consacré aux ONG palestiniennes, il poursuit son étude du « processus de paix », conçu non comme une « étape vers la fin de l’occupation » mais comme une « reconfiguration de l’occupation ». A travers la question des ONG, c’est l’évolution du mouvement national palestinien qu’il rend visible.

    Après plus d’un demi-siècle d’occupation militaire et d’oppression permanente par l’État d’Israël, les Palestiniens, conscients de leurs Droits Nationaux, revendiquent toujours leur indépendance et la reconnaissance internationale de l’État Palestinien.

    Face à la disproportion dans le rapport de forces entre Palestiniens et Israéliens, comment réagit la société palestinienne ? Comment vivre entre l’espoir politique et les nécessités de la vie quotidienne ? Peut-on survivre à l’oppression de tous les instants sans se soumettre ?

    Les « Accords d’Oslo », sensés apporter la paix, ont en fait permis une occupation dura- ble des territoires du futur État Palestinien. Il n’y a jamais eu de « processus de paix », mais une succession de discussions qui servent de paravent à la poursuite de l’occupation, de l’accaparement des terres et à la colonisation intensive.

    Nous ne devons pas laisser les Palestiniens seuls face à Israël et ses soutiens interna- tionaux, le développement des mouvements de solidarité partout dans le monde est une urgen- ce. Le soutien des opinions publiques peut faire évoluer favorablement les revendications palestiniennes au niveau international.

    A l’exemple du succès du boycott contre l’apartheid en Afrique du Sud, la campagne BDS (Boycott – Désinvestissement – Sanctions) active dans de nombreux pays, accroît l’isolement de l’État d’Israël pour le contraindre à se conformer au Droit International.

    À Saint-Brieuc (22), conférence-débat de Julien Salingue
    Le vendredi 20 mai 2016 à 20h30
    Salle Fraboulet 13 rue de Penthièvre
    Saint-Brieuc

    http://www.ujfp.org/spip.php?article4904

     

  • Aix Marseille Naqba

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    "À l'occasion du 68e anniversaire de la Nakba L'Union Générale des Étudiants de Palestine (GUPS Aix-Marseille) et Génération Palestine Marseille vous convient à participer à une soirée de commémoration, en mémoire de l'expulsion de 750 000 palestiniens, et la destruction de 479 villages en Palestine

    Rencontre-débat:

    « 68 ans après la Nakba: Quels chemins pour la Palestine? »

    avec Khaled Barakat, auteur et militant de la gauche palestinienne

    Samedi 14 Mai 2016 à partir de 18h30 À Manifesten (59 rue Thiers, 13001 #Marseille)

    Rencontre-débat / Projection de court métrage / Musique et buffet palestinien à prix libre

    https://www.facebook.com/events/1735832763364560/

    "Le chemin pour la Palestine, de près ou de loin, est le chemin de la révolution." - Naji Al Ali (caricaturiste et militant palestinien)"

     GUPS Aix-Marseille

     gups.aix.marseille@gmail.com

    https://www.facebook.com/events/1735832763364560/

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    http://www.france-palestine.org/Commemoration-de-la-Naqba-28613

    Voir le site de Palestine 13

     

  • Plourin les Morlaix

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  • Morlaix. Ils ont vu "l'inimaginable" en Palestine (Afps)

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    Du 2 au 13 avril, sept membres de France Palestine Solidarité (AFPS) de Morlaix et Brest ont séjourné parmi les Palestiniens pour découvrir leur quotidien.

    Témoignage

    « Nous voulions rencontrer des personnes dont nous défendons le combat au quotidien », déclare Josette Brenterch, de l'AFPS de Brest. « J'ai vu l'inimaginable », poursuit Andrée Pichon, également du groupe brestois. « Nous avions souvent entendu parler de la Palestine. Nous avons même rencontré des Palestiniens venus en France et lu de nombreux ouvrages sur leur situation. Nous voulions découvrir une réalité, et j'ai vu l'inimaginable. »

    Andrée tend une photo sur laquelle on voit de nombreuses personnes, faisant la queue à un check-point der- rière des barreaux. Enfermées derrière ces grilles, elles attendent de pouvoir entrer dans un territoire sous autorité israélienne. « Parfois le mur, érigé tout au long de la Cisjordanie, sépare un agriculteur de son champ », raconte François Rippe. « Il doit faire un détour pour rejoindre un check-point et revenir vers son champ si- tué juste de l'autre côté de sa maison. Si un militaire décide de ne pas faire entrer un Palestinien, même s'il a une autorisation, aucun recours n'est possible. L'arbitraire crée la désespérance et la résistance. »

    « Chaque famille a ses martyrs »Le groupe a visité Jérusalem Est, Hébron, Bethléem, plusieurs camps de réfugiés dont celui de Jalazone, à 10 km au nord de Ramallah, où le groupe brestois est partenaire d'une association qui vient en aide aux personnes âgées.

    Michèle Abramovicz ajoute: « À Hébron, les maisons palestiniennes sont entourées par les colonies israéliennes. De jeunes Palestiniens sont régulièrement tués par des militaires. »

    « Chaque famille a ses martyrs, tués ou emprisonnés par l'armée israélienne », explique Ismaël Dupont. « Même dans les taxis, il y a des photos de proches disparus », complète François Rippe. « Malgré ce qu'ils subissent au quotidien, ils ne baissent pas les bras. Ils veulent être heureux, rire, être amoureux, fonder une famille. »

    Vendredi 3 juin, l'AFPS organise une soirée à la salle du Cheval-Blanc à Plourin-lès-Morlaix, à partir de 17h. Une exposition de photos sera affichée. Un groupe de jazz local jouera à partir de 20h30. Les membres de l'AFPS raconteront leur voyage. Un stand d'information et une librairie seront à mis à la disposition du public. Ils présenteront également le projet retenu pour venir en aide aux Palestiniens.

    Morlaix - Bérangère Collin

    http://www.ouest-france.fr/morlaix-ils-ont-vu-linimaginable-en-palestine

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

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    • Gaza. Frappes aériennes israéliennes contre des positions du Hamas

      Actualités / Ouest-France
      L’armée israélienne a indiqué avoir mené dans la nuit de mercredi à jeudi de nouvelles frappes aériennes contre des positions du Hamas, qui dirige la bande de Gaza. L’armée israélienne avait déjà indiqué avoir conduit des frappes aériennes (...)
    • La bande de Gaza ciblée par des raids israéliens

      Actualités / Le Monde.fr avec AFP
      L’armée israélienne a annoncé, jeudi 5 mai, avoir effectué dans la nuit de nouvelles frappes aériennes contre quatre positions du Hamas dans le nord de la bande de Gaza, en proie à un accès de tensions depuis mercredi. L’Etat hébreu a affirmé (...)
    • Israël réduit l’opposition au silence : qui réagira ?

      Analyses / Shawan Jabarin, Centre pour les Droits Constitutionnels
      Qui tiendra Israël pour responsable ? La réponse, jusqu’ici, est personne. Mais en ce rare voyage aux USA, je vois des signes qui suggèrent que le barrage est en train de se rompre. Les craquements dans le barrage viennent de la société (...)
    • Israël-Palestine : Netanyahou dit non à l’initiative française

      Analyses / René Backmann, Mediapart
      Avant même la première des deux conférences prévues par Paris pour tenter de ressusciter le dialogue entre Israéliens et Palestiniens, Benjamin Netanyahou a prévenu qu’il rejetait l’initiative française. Il veut s’en tenir à des négociations (...)
    • Federica Mogherini, vice présidente de la Commission européenne : Liberté de circulation pour Ziad Medoukh, professeur de français à Gaza

      Pétitions et appels / Avaaz
      Signez la pétition Pourquoi c’est important Parce que chaque être humain où qu’il soit, est protégé par chaque article de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen... Depuis plus de trois ans, Monsieur Ziad MEDOUKH (...)
    • Palestinien brûlé vif en 2014 : le principal accusé israélien condamné à la prison à vie

      Actualités / Le Monde avec AFP
      Un tribunal de Jérusalem a condamné mardi 3 mai à la prison à vie le principal accusé israélien dans le meurtre d’un Palestinien brûlé vif en 2014, un crime qui avait profondément marqué l’opinion palestinienne et contribué à l’escalade des (...)
    • Gaza : les matériaux de construction arrivent au compte-gouttes

      Actualités / Murielle Paradon, RFI
      Des dizaines de camions sont entrés à Gaza ce mardi 3 mai, en provenance du point de passage de Kerem Shalom contrôlé par les Israéliens. Ils transportaient du ciment pour les projets de construction internationaux, mais pas pour les (...)
    • Nous et eux

      Analyses / Uri Avnery
      Non, ce n’est pas “nous” et “eux”. Pas “nous” – les bons, les moraux, les vertueux. Ou, pour le dire brutalement, les magnifiques, les Juifs. Et pas “eux” – les mauvais, les malfaisants, ou pour le dire encore brutalement : les méprisables. (...)