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Bretagne - Page 3

  • Rennes Syrie

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  • Un rassemblement jeudi à Fougères en soutien au peuple d’Alep ( Ouest France)

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    Différentes associations et citoyens fougerais relaient l’appel à manifester d’Amnesty International en soutien aux populations civiles d’Alep en Syrie.

    Le massacre de la population et la situation d’urgence humanitaire que connaît actuellement la ville d’Alep provoquent l’indignation légitime d’une grande part de la population.

    Venez avec une bougie

    Ainsi diverses associations, organisations et, citoyens du pays de Fougères et habitants fougerais se joignent à l’appel d’Amnesty International et invitent à un rassemblement de soutien aux populations civiles bombardées.jeudi 22 décembre Place Aristide-Briand à 18h.

    Lors de ce rassemblement une prise de parole rappellera les positions d’Amnesty International sur la situation à Alep et les personnes présentes auront la possibilité de signer une pétition de soutien. Celles et ceux qui le souhaitent pourront se munir d’une bougie.

    En effet comme le rappelle Amnesty International il s’agit d’une « tragédie humanitaire et d’un scandale diplomatique. Soumise à des bombardements intensifs de l’armée de Bachar al-Assad et de ses alliés russes, la ville d’Alep est, à la mi-décembre 2016, une ville fantôme où règnent la peur et la mort. En quelques semaines, le conflit a fait au moins 415 victimes civiles, selon un bilan publié par les Nations unies. »

    Alep aux mains du régime

    Assiégée pendant plus de quatre mois, soumise un mois durant à un déluge de feu par le régime, Alep, la deuxième ville de Syrie, est en passe d’être reprise totalement par les forces du président Bachar al-Assad avec le soutien crucial de l’allié russe.

    Une opération d’évacuation a débuté jeudi aux termes d’un accord entre la Russie et la Turquie, soutien de l’opposition armée, mais elle a été suspendue pendant le week-end après des accusations de violation de cet accord par les rebelles.

    Au total, plus de 14 000 personnes, dont quelque 4 000 insurgés, ont déjà quitté le réduit rebelle en direction d’autres zones insurgées du Nord, d’après l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).Il reste au moins 7 000 personnes dans l’enclave rebelle totalement ravagée après la dernière offensive aérienne et terrestre lancée le 15 novembre par le régime Assad et ses alliés.

    Le secteur oriental de l’ex-capitale économique de Syrie était aux mains des rebelles depuis 2012 et sa conquête représente la plus importante victoire du régime de Bachar al-Assad dans la guerre en Syrie.

    Comment agir ?

    Amnesty propose plusieurs façons d’agir afin de soutenir la population d’Alep :

    Adresser un message au ministre des Affaires étrangères russe sur Twitter

    Envoyer un message par mail ou par fax à l’ambassadeur de Russie

    Adresser un message sur Twitter à la présidence syrienne

    Adresser un message sur Twitter au guide suprême Iranien

    Envoyer un message par mail à l’ambassadeur d’Iran.

    Soutien de rassemblement aux populations civiles d’Alep jeudi 22 décembre place Aristide-Briand à Fougères, à 18h.

    http://www.ouest-france.fr/

  • Palestine : Retour de mission (NPA)

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    Le Comité rennais de l’Association France Palestine solidarité organise chaque année une campagne de « cueillettes solidaires » en Palestine. Plusieurs militantEs bretons du NPA en reviennent...

    Chaque équipe intervient auprès d’un paysanE ou d’un groupe de paysanEs qui, sans son intervention, seraient en difficulté pour mener à bien la récolte de l’année. Triple enjeu. Une terre non cultivée trois années de suite peut être confisquée par Israël (en vertu d’une loi… ottomane !). De plus, pour nombre de paysanEs, la récolte est vitale, économiquement. Enfin, garder la terre, la cultiver, c’est résister, combattre le système colonial.

    Il peut s’agir d’oliveraies situées près du « mur » – le plus souvent, à la campagne, matérialisé par des rangées de barbelés encadrant une route dite de sécurité – ou près d’une colonie, là encore au ras des barbelés, comme à Susiya, dans le sud, ou encore dans une zone menacée d’annexion, comme à Battir, près de Bethléem. Mais quel que soit le degré de tension autour de l’oliveraie, tous les paysanEs nous répètent que la première manifestation de solidarité qui compte pour eux, c’est notre présence, car elle montre que le monde ne les oublie pas, qu’il y a des gens pour agir à leur côté...

    Témoigner !

    C’est la première demande des PalestinienEs rencontrés : « De retour en France dites ce que vous avez vu ici » ! Et ce que nous avons vu, ce sont autant d’images d’un pays occupé, d’une population victime de l’apartheid.

    Ainsi les oliveraies de Hébron, coincées entre des colonies qui lacèrent la ville et l’étouffent peu à peu, où nous avons cueilli des olives, surveillés de près par des militaires désœuvrés, dans des parcelles accessibles seulement un jour pour la cueillette !

    Ainsi le village de Susiya, détruit par l’armée israélienne au profit d’une colonie qui a pris son emplacement et son nom. Reconstruit par des paysanEs déterminés, détruit à nouveau... Le bras de fer continue. Les paysanEs restent sur leurs terres, dans des tentes de bédouins : cultiver, c’est résister !

    Ainsi le village de Asfar, où l’on nous montre les traces de chenillettes… laissées par les engins venus, il y a moins de dix jours, détruire le village d’été qui permettait aux paysanEs d’être à pied d’œuvre pour la culture des olives. Ne subsiste qu’une maison – trop récente pour avoir fait l’objet d’un ordre de destruction, mais son tour viendra – au milieu d’un champ de gravats !

    Résister !

    Hébron incarne toute la problématique palestinienne. D’un côté, les colonEs, soutenus sans faille par l’armée, font tout pour prendre le contrôle de la ville : leurs établissements au cœur du vieux Hébron visent à couper la ville en deux, que les colonies des hauteurs dominent comme une menace permanente. De l’autre côté, les PalestinienEs, qui ont dû fuir un centre devenu invivable, font actuellement de gros efforts de réhabilitation qui portent leurs fruits : la population palestinienne revient ! La solidarité internationale, sans doute ici la plus concentrée, s’active sans compter pour les aider.

    Dans nos discussions, les Palestiniens nous disent le complet décalage qui existe entre l’Autorité palestinienne, corrompue, pieds et poings liés avec le gouvernement israélien, et les expériences de résistance populaire qui s’organisent sur le terrain, en lien direct avec les aspirations du peuple palestinien. 

    La présence agressive des colons, le mur qui continue de démanteler le territoire de Cisjordanie, les milliers de prisonniers politiques, Gaza, qui reste une prison à ciel ouvert, la violence de la domination coloniale infligée à la Palestine, semblent rendre toute solution impossible. Alors, la tâche est immense pour la solidarité internationale, qui devra être avant tout politique : il nous appartient d’obtenir de nos États qu’ils renoncent à soutenir ce régime colonial d’apartheid.

    CorrespondantEs

  • Quimper Palestine (Afps)

    afps

    Piquet de solidarité avec le peuple palestinien

    jeudi 10 novembre

    17h30 rue Kéréon 

    Quimper

    Novembre: deux dates de triste mémoire pour les Palestiniens

    Le groupe du Pays de Cornouaille de l’Association France-Palestine Solidarité rappelle que le mois de novembre est marqué par deux dates de triste mémoire pour les Palestiniens.

    Le 2 novembre est celui de la Déclaration Balfour en 1917, par laquelle le ministre britannique des Affaires étrangères s’engageait à soutenir la création en d’un « foyer national juif» en Palestine, bientôt administrée par la Grande-Bretagne et doublement colonisée. Les résistances palestiniennes ont été brisées par la force par les Britanniques et les colons juifs.

    Avec le développement de l’immigration juive au moment de la seconde Guerre Mondiale, les tensions se sont accrues entre Juifs et Arabes palestiniens, puis aussi entre Britanniques et Juifs.

    Devant une situation qu’il ne contrôle plus, le gouvernement britannique transmet le dossier à l’ONU qui, le 29 novembre 1947, décide le partage de la Palestine malgré l’opposition de la population arabe largement majoritaire, ouvrant ainsi la voie à la création de l’Etat d’Israël.

    Celui-ci contrôle aujourd’hui l’ensemble de la Palestine. L’Etat Palestinien n’a toujours pas été créé. C’est à ces deux événements que le groupe de l’AFPS consacrera son

    Piquet de la solidarité avec le peuple palestinien,  jeudi 10 novembre, 17 h 30, Rue Kéréon, à Quimper.

    ASSOCIATION FRANCE PALESTINE SOLIDARITE

    GROUPE DU PAYS DE CORNOUAILLE

  • Pont l’Abbé Palestine (AFPS)

    Dimanche 13 novembre  17h 

    Patronage laïque  Pont l’Abbé

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    Projection du film « Palestine, la case prison » à l’initiative du Groupe du Pays de Cornouaille de l’Association France-Palestine Solidarité.

    Comment l’usage de l’emprisonnement par Israël permet de contrôler la population pales- tinienne de Cisjordanie occupée. Avec les témoignages d’anciens prisonniers palestiniens (hommes, femmes et enfants), d’avocats palestiniens et israéliens, et d’anciens soldats israéliens. Projection suivie d’un débat.

  • Carhaix Palestine (AFPS)


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    .

    Hier Dimanche 6 Novembre, conférence de Michel Warschawski et de l’ambassadeur de Palestine à Kergloff. Michel a particulièrement insisté dans la situation actuelle, sur la Campagne « BDS » qui commence a engranger ses effets: Retrait d’Orange et d’autres entreprises de la collaboration avec une colonisation illégale au regard du droit international.

    BDS France

    Association France Palestine