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Solidarité - Page 54

  • Syrie : la reprise de Palmyre a donné lieu en France à une entreprise de propagande en faveur du régime Assad (Essf)

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    À propos de la prise de Palmyre par les troupes de Bachar al Assad : une opération de propagande au service d’un régime criminel

    Durant les derniers jours de mars, les medias ont annoncé, et bien souvent salué, la reprise de la ville de Palmyre par les « armées » de Bachar al-Assad.

    Ce fut présenté souvent comme un succès de la « civilisation » contre la barbarie.

    Ainsi Ban Ki-moon, secrétaire général de l’ONU, a déclaré être « heureux » de la reprise de Palmyre, se félicitant que le gouvernement syrien puisse désormais « préserver et de protéger » le site antique.

    Ainsi le Figaro titre sur la « libération » de Palmyre et l’Humanité sur le fait que Palmyre aurait été « libérée de Daesh », expliquant que la ville avait été « sauvée de la destruction totale ».

    Il nous faut donc rappeler que, en mai 2015, la ville de Palmyre a été livrée sans combat à Daesh, l’armée de Bachar s’étant retirée en laissant les arsenaux pleins d’armes (livrées juste auparavant). Aucune aviation n’intercepta alors les convois de Daesh qui purent traverser sereinement le désert environnant.

    Il nous faut rappeler que si l’occupation de la ville par Daesh fut une souffrance épouvantable pour la population, l’occupation antérieure par l’armée d’al Assad fut pire encore : les medias, à juste titre, ont signalé qu’un charnier rassemblant quarante deux victimes de Daesh a été mis à jour, mais se sont tus sur les massacres perpétrés par le régime (dont un millier de morts dans la sinistre prison de la ville).

    De même, si les destructions d’œuvres d’art par Daesh sont une perte majeure pour le peuple syrien et pour l’humanité, le pillage d’œuvres et les destructions massives sur le site antique quand celui-ci était occupé par l’armée de al Assad ne peuvent être oubliés.

    Enfin, il faut préciser que la reprise de cette ville ne fut possible que grâce aux alliés du régime syrien, la Russie de Poutine, l’Iran et le Hezbollah.

    Si nous sommes obligés de rappeler ces faits élémentaires, c’est parce que nous sommes confrontés, en France, à une entreprise sans vergogne de propagande en faveur du régime syrien, visant à faire croire que ce régime serait un moindre mal que Daesh, et que l’on pourrait s’allier avec al-Assad pour combattre Daesh. Cette entreprise est relayée en France par des élus, des partis et différents medias. Certains s’imaginent peut être que, ce faisant, ils défendraient mieux les « intérêts français ». Mais il faut dire aussi que les services de la propagande syrienne les « incitent » également à agir dans ce sens.

    C’est ainsi que, au moment où les troupes du régime pénétraient dans Palmyre, une délégation française rencontrait Bachar al Assad, leur voyage étant financé par une émanation du régime syrien, l’association ’“Al Karma” ( la “vigne” ) dirigée par Hala Chaoui. Dans cette délégation d’une trentaine de membres figuraient le très réactionnaire député Thierry Mariani, quatre autres députés du PR de Sarkozy, et des « personnalités » diverses dont Julien Rochedy, un dirigeant de l’extrême droite heureux de faire un selfie avec Bachar, le « chercheur » Fabrice Balanche, et Pierre Barbancey, journaliste de L’Humanité.

    L’agissement de ces personnes doit être qualifié de collusion avec l’un des pires dictateurs de la planète.

    À l’inverse, nous affirmons avec le peuple syrien insurgé contre la dictature : on ne peut en finir avec Daesh en préservant le boucher et son régime au pouvoir à Damas.

    Lyon, le 8 avril 2016 , par Cisyld

    Cisyld (Comité d’Information pour une Syrie Libre et Démocratique)

    http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article37718

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  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

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  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

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  • Palestine: Grève d’un mois des enseignantEs (Npa)

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    En Cisjordanie, les enseignantEs se sont massivement mis en grève en février.

    Il faut dire qu’ils subissent l’occupation israélienne comme tous les autres travailleurEs palestiniens : les difficultés pour se déplacer, les bas salaires, les arrestations arbitraires… Mais à cela s’ajoute également le poids de la collaboration de l’Autorité palestinienne avec l’occupant. Depuis les accords d’Oslo, le gouvernement a accepté tous les compromis avec Israël en vue d’un illusoire « processus de paix ». Et pour donner des gages à Israël, le président Mahmoud Abbas préfère augmenter le budget des forces de sécurité plutôt que celui de l’éducation. A tel point que le salaire d’un enseignantE ne permet pas de vivre décemment et que bon nombre d’entre eux doivent cumuler plusieurs emplois. Les enseignantEs demandaient donc une augmentation des salaires à hauteur de ce que l’Autorité palestinienne leur avait promis en 2013.

    Pendant près d’un mois, plus de 30 000 enseignantEs se sont mobilisés, bloquant la plupart des écoles de Cisjordanie. De ce fait, le gouvernement était confronté aux plus grandes manifestations de protestation depuis des années. Et la direction du syndicat de l’éducation, s’étant positionnée contre le mouvement, s’est retrouvée discréditée, n’ayant plus d’autre choix que de démissionner. Des comités de mobilisation se sont alors construits à la base, organisant la grève au quotidien. Bien entendu, ils ont dû faire face à la répression de l’Autorité palestinienne : arrestations de militants… Au final, Abbas a dû annoncer le 13 mars qu’une augmentation de 10 % serait échelonnée dans les prochains mois. Les grévistes ont alors décidé la reprise du travail, même s’ils restent vigilants et prêts à se mobiliser à nouveau. Et au sein du syndicat, l’élection d’une nouvelle direction a été programmée.

    Dans un climat toujours plus tendu, le mouvement aura su montrer que des PalestinienEs ne baissent pas la tête et refusent de subir l’occupation israélienne et la collaboration de l’Autorité. Ils ont tout notre soutien.

  • Saint Brieuc: Projection-débat de "This is my land" ( Ujfp)

    Un film de Tamara Erde.

    Soirée organisée par l’Association France-Palestine-Solidarité Saint-Brieuc.

    Et si le conflit israélo-palestinien était surtout une question d’éducation ?

    This is my land observe la manière dont on enseigne l’histoire dans les écoles (publiques ou religieuses) d’Israël et de Palestine, suivi d’un débat avec la réalisatrice et Daniel Lévyne (Union Juive Française pour la Paix).

    Tamara Erde est une réalisatrice franco-israélienne de 34 ans, qui vit actuellement à Paris. C’est lors de son service militaire dans l’armée israélienne qu’elle découvre la Palestine.

    Confrontée à la réalité du terrain, elle s’est interrogée sur ces deux peuples qui coexistent et particulièrement sur l’histoire palestinienne totalement absente de son apprentissage scolaire. Alors elle a voulu savoir comment l’histoire est aujourd’hui enseignée dans les écoles israéliennes et palestiniennes, quel regard les enfants israéliens et palestiniens portent sur le conflit.

    Portraits d’enseignants, enthousiastes ou révoltés, rencontres avec des enfants désenchantés : le film révèle les murs que l’on dresse dans la tête des jeunes générations au moyen de l’éducation.

    Contact : afps22.stbrieuc@gmail.com

    Rendez-vous

    • À Saint-Brieuc (22) , projection-débat du film de Tamara Erde "This is my (...) 
      Le mercredi 27 avril 2016 à 20h00
      Cinéma Club 6

      40 Boulevard Clemenceau
      22000 Saint-Brieuc

    http://www.ujfp.org/spip.php?article4833

  • Paris huile d'olive

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    Vendredi 8 avril  Cinéma l’Entrepôt Paris 14ème 20HOO.

    Dossier de Presse