Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Palestine - Page 29

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    8514310-13393572.jpg

  • Critiquer Israël, est-ce antisémite ? (UJFP)

    critiquer_israel_est-ce_antisemite.png

    Conférence-débat avec Pierre Stambul, coprésident de l’Union juive française pour la paix (UJFP), qui présentera également son dernier ouvrage "Chroniques de Gaza".

    Organisée par l’Association Agir pour la Palestine.

    C’est désormais un refrain connu, dont les ardents défenseurs de la politique du gouvernement Netanyahu usent et abusent : émettre la moindre critique sur Israël, c’est forcément être antisémite.

    Une antienne vieille de plusieurs décennies, qui s’accentue à mesure que le gouvernement israélien glisse vers l’extrême-droite et annihile toute amorce de débat sur la situation en Palestine.

    Les militants pacifistes qui n’ont de cesse, en France ou à travers le monde, de dénoncer le sort réservé au peuple palestinien, ceux qui appellent au boycott des produits israéliens à travers le mouvement BDS, seraient donc avant tout guidés par la « haine des juifs » ?

    Mais que se passe-t-il lorsque les juifs eux-mêmes montent au créneau pour dénoncer les dérives de la société israélienne, les exactions commises dans les territoires occupés, soumis à un régime d’Apartheid ? C’est l’essence même du combat mené par Pierre Stambul au sein de l’UJFP (Union juive française pour la paix).

    A l’image des engagements de l’humanitaire Rony Brauman (ex-président de Médecins sans frontières), du journaliste Michel Warchawski ou encore de l’historien Shlomo Sand, cette prise de position permet de nuancer le tableau et de garder la tête froide au moment de définir des termes trop souvent employés à tort et à travers : qu’est-ce que le sionisme ? L’antisionisme ? A quoi renvoie le terme « sémite » ? Quelle différences entre antisionisme et antisémitisme ? Peut-on être critique de la politique israélienne sans être antisioniste ?

    Autant d’interrogations, parmi une foule d’autres, qu’une rencontre avec Pierre Stambul, invité par l’association Agir pour la Palestine, le 5 octobre à Montargis, permettront d’éclaircir.

    Le militant ne manquera pas non plus d’évoquer la situation à Gaza, où il s’est rendu récemment. Ce territoire surpeuplé, enclavé, pris à la gorge par Tsahal, l’armée israélienne, vit dans la crainte de la prochaine attaque. La dernière, hâtivement qualifiée de « guerre », a fait plus de 2.000 victimes palestiniennes (1.500 civils, dont plusieurs centaines d’enfants). Ce dramatique épisode, durant l’été 2014, ne doit pas faire oublier, en période d’accalmie, la tragédie humanitaire quotidienne de près de deux millions de Gazaouis : la majorité d’entre eux n’a ni accès à l’eau potable, ni à des soins décents. Le taux de chômage à Gaza était le plus élevé au monde en 2015, selon la Banque mondiale.

    http://www.ujfp.org/

  • Des femmes mettent le cap sur Gaza pour briser le blocus (UJFP)

    JPEG - 84.9 ko

    La flottille de femmes arrivera-t-elle à briser le blocus de Gaza ?

    Deux navires ont quitté Barcelone le 14 septembre, direction la Palestine. A leur bord, des femmes de divers horizons déterminées à briser le blocus de Gaza et à alerter sur le sort des Palestiniennes. Une initiative qui se situe dans la continuité du projet Flottilles de la liberté, débuté en 2008.

    Elles viennent du monde du spectacle, de la politique, de toutes les classes sociales et sont originaires de quinze pays différents, des Etats-Unis à la Norvège en passant par l’Afrique du Sud ou la Malaisie. Ensemble, cette petite vingtaine de femmes a pris le large à bord des navires Amal (« espoir » en arabe) et Zaitouna (« olive ») pour la bande de Gaza. L’équipage doit faire escale dans plusieurs ports, notamment en Corse le 17 septembre, pour embarquer d’autres militantes.

    Parmi elles, Mairead Maguire, prix Nobel de la Paix, Naomi Wallace, auteure américaine de pièces de théâtre, la parlementaire néozélandaise Marama Davidson, la Norvégienne Gerd von der Lippe, écrivaine et ancienne star sportive, Eva Manly, réalisatrice de documentaires et photographe, l’universitaire Marilyn Porter, la députée suppléante suédoise Jeannette Escanilla, Ann Wright, colonel de l’armée américaine à la retraite et ancienne diplomate qui a démissionné en 2003 en opposition à l’invasion de l’Irak.

    L’objectif est de parvenir à Gaza début octobre, une unique détermination en tête : rappeler aux dirigeants du monde la situation des femmes de Palestine et réclamer l’arrêt du blocus. Selon la Banque mondiale et l’ONU, le blocus, instauré en 2007, a virtuellement tué toute exportation depuis Gaza et mené l’économie de la petite enclave coincée entre l’Egypte, Israël et la Méditerranée au bord du gouffre. Quelque 1,9 million de Palestiniens de Gaza vivent ainsi dans cette prison à ciel ouvert qui sera inhabitable d’ici 2020 si rien ne change, alertent les Nations unies.

    Les femmes, victimes peu médiatisées du blocus

    « En terme d’images, nous pensons que c’est important parce que le blocus de Gaza affecte terriblement, bien sûr toute la population, mais tout particulièrement les femmes », témoigne Claude Léostic, porte-parole en France de la Flottille de la liberté et présidente de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine. A Gaza, l’eau, la nourriture, l’électricité, tout manque, « et ce sont les femmes qui, d’une certaine manière, doivent faire face à tout, y compris aux traumatismes des enfants après les attaques israéliennes, ce qui nous donne une responsabilité, une tache extrêmement lourde. La solidarité des femmes du monde, des internationalistes, pour les femmes de Gaza, nous paraît un message très fort. »

    « Nous pensons qu’à travers cette action organisée par des femmes, nous pouvons donner davantage de visibilité au rôle si important de la femme en Palestine dans la lutte pour la liberté. (…) Les femmes de Palestine ont toujours été très actives (...) comme les hommes étaient "opprimés" elles ont pris en charge les familles. (…) Ce sont elles qui ont maintenu l’espoir en vie », raconte l’une des organisatrices à l’AFP, Zohar Chamberlain, Israélienne résidant en Espagne.

    Si cette nouvelle flottille est exclusivement féminine, c’est aussi pour diminuer le risque de violences de la part des autorités israéliennes. L’histoire ayant prouvé que le pire est déjà arrivé. Certaines flottilles ont déjà été arraisonnées dans les eaux internationales et les arrestations ont été pour le moins violentes. « Nous nous disons qu’il est possible, même si nous n’avons pas beaucoup d’espoir en la matière, qu’avec des femmes à bord, les autorités israéliennes ne pratiquent pas la violence absolue », poursuit Claude Léostic, en route pour Ajaccio en compagnie de Christiane Hessel.

    Des précédents parfois dramatiques

    Le projet Amal et Zaitouna s’inscrit dans le projet Flottilles de la liberté. Depuis 2008, des bateaux du monde entier tentent de briser le blocus terrestre, aérien et maritime. Une demi-douzaine de bateaux ont ainsi pris le large, deux flottilles ont réussi à atteindre à Gaza.

    En 2010 le bateau Mavi Marmara est arraisonné dans les eaux internationales par des commandos israéliens. Neuf militants turcs qui se trouvaient à bord sont tués. Il y a également eu plusieurs autres petites tentatives, y compris par des militants israéliens où il n’y avait à délibérément à bord du bateau que des juifs (Israéliens, Français, etc). « Ils ont subi une violence extrême quand ils ont été attaqués », raconte Claude Léostic.

    La flottille de femmes arrivera-t-elle à briser le blocus ? Le doute plane. Et c’est pour cela qu’Amal et Zaitouna n’ont pas les cales remplies de biens humanitaires pour la population gazaouie. « Ce qu’on apporte, explique la porte-parole nationale du projet, quelques médicaments, est très symbolique… Il nous faudrait plusieurs cargos pour être efficaces ! Et puis on craint que l’attaque israélienne n’arrive à la confiscation en vol du bateau. »

    Si les précédentes campagnes pour briser le blocus de Gaza ont été médiatisées en France, le silence est de mise pour cette nouvelle édition. « Le projet a été très peu médiatisé en France, confie Claude Léostic, c’est l’air du temps. Les autorités sont des soutiens affirmés à la politique israélienne, donc elles ne veulent pas en entendre parler (…) C’est très préoccupant. On est dans un tropisme israélien affirmé au niveau de nos autorités. Ça pose problème à la fois dans l’exigence de justice pour les Palestiniens mais aussi en tant que citoyens français. Cela nous interpelle. »

    Quant aux réactions du côté israélien, c’est là encore le silence qui prévaut. « Pour l’instant, nous ne réagissons pas à ce sujet. Nous ne faisons aucun commentaire aux médias. Ça nous paraît un peu prématuré », déclare Emmanuel Nahshon, porte-parole du ministère des Affaires étrangères israélien. Selon le Jerusalem Post repris par i24News, les autorités israéliennes se préparent en tout cas à empêcher la flottille de violer le blocus.

     
    mardi 20 septembre 2016

    Par Anne Bernas Publié le 16-09-2016

    http://www.ujfp.org/

  • Rennes le 21 septembre : projection du film « THIS IS MY LAND » suivie d’un débat (UJFP)

    A l’occasion de la journée internationale de la Paix
    Au Cinéma l’Arvor
    Mercredi 21 septembre à 18h

    Projection de « This Is My Land » suivie d’un débat
    Apprendre et enseigner au cœur du Proche-Orient

    Suivie d’un débat avec deux des co-auteurs du livre "ISRAËL-PALESTINE :

    LE CONFLIT DANS LES MANUELS SCOLAIRES" et de Daniel Lévyne (UJFP-Bretagne)

     

     

    Réalisatrice israélienne, Tamara Erde signe son premier long-métrage sous la forme d’un documentaire. Avec This is my Land, elle s’intéresse aux systèmes éducatifs israéliens et palestiniens, et nous plonge au cœur de six écoles, deux juives israéliennes, dont celle de la colonie d’Itamar, deux palestiniennes, et une école mixte située dans le village de Neve Shalom.

    « L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde » – Nelson Mandela

    Soirée organisée à l’initiative de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS), le Mouvement de la Paix et le collectif rennais pour une Paix juste et durable au moyen orient.

    http://www.ujfp.org/

  • Poussée djihadiste dans les camps palestiniens du Liban (Orient 21)

    «  Depuis le milieu des années 2000, il y a un développement exponentiel de groupes djihadistes dans certains camps palestiniens au Liban, comme Ain El-Hilweh  », explique Nicolas Dot-Pouillard, chercheur du programme européen When Authoritarianism Fails In The Arab World (Wafaw). «  Cette tendance s’est renforcée avec la guerre civile en Syrie.  »

    Les images sont extraites du reportage «  Réfugiés palestiniens : ça suffit, on rentre  », réalisé en 2012.

    Nicolas Dot-Pouillard
     

     

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    1088.jpg

     

  • Nouveautés sur Agence Médias Palestine

     
    Des membres du Parlement européen manifestent leur soutien au bateau des femmes pour Gaza

    Des membres du Parlement européen manifestent leur soutien au bateau des femmes pour Gaza

    15 septembre 2016 Le 14 Septembre, lors de la session plénière de Strasbourg, des membres du Parlement Européen appartenant aux formations GUE/NGL ont organisé une action de solidarité avec le bateau de femmes pour Gaza qui a quitté Barcelone hier soir, en route pour arriver à Gaza le 1er octobre. La députée européenne suédoise Malin...
     
     
    Le médaillé paralympique Hossam Azzum prêt à repartir, de Gaza à Rio

    Le médaillé paralympique Hossam Azzum prêt à repartir, de Gaza à Rio

    Mohammed Asad – Middle East – 12 septembre 2016 Deux fois par jour, Hossam Azzum, 41 ans, fait un déplacement compliqué en taxi, traversant carrément la bande de Gaza jusqu’à sa destination finale, un terrain vague appelé l’Al Jazeera Club. Azzum est un paralympien accompli en athlétisme pour le lancer du poids, un lancement à...
     
     
    Barcelone accueille le Bateau de Femmes pour Gaza pour leur voyage inaugural

    Barcelone accueille le Bateau de Femmes pour Gaza pour leur voyage inaugural

    12 septembre 2016, par David Heap Barcelone, Espagne – A partir des 12-14 septembre, les voiliers Amal-Hope et Zaytouna-Oliva mouilleront au quai Bosch Alsina dans le port de Barcelone où divers événements (concerts, débats, ateliers de non-violence, parade de rue et visite des bateaux) prendront place pour souhaiter bon voyage aux femmes qui partent briser le...
     
     
    Le bateau des femmes pour Gaza fera escale à Ajaccio en Corse le 17 septembre 2016

    Le bateau des femmes pour Gaza fera escale à Ajaccio en Corse le 17 septembre 2016

    Le jeudi 8 septembre 2016 La Coalition de la Flottille de la Liberté a le plaisir d’annoncer la prochaine escale de nos  bateaux, l’Amal-Hope et le Zaytouna-Olive. Ils quitteront Barcelone le 14 septembre et arriveront à Ajaccio (Corse, France) le 17. Le deux bateaux seront amarrés dans le port d’Ajaccio d’où ils repartiront le 19...
     
     
    ONU: L’économie palestinienne pourrait doubler sans occupation 

    ONU: L’économie palestinienne pourrait doubler sans occupation 

    6 septembre 2016  GENEVE (AP) – L’Agence de développement de l’ONU estime que l’économie palestinienne pourrait être deux fois plus importante qu’elle ne l’est maintenant si elle était libre de contrôle israélien. La Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement signale depuis des années les conditions dans les zones palestiniennes. Mais son...
     
     
    Rapport: 750 Palestiniens détenus sans chef d’accusation ni procès dans les prisons israéliennes

    Rapport: 750 Palestiniens détenus sans chef d’accusation ni procès dans les prisons israéliennes

    27 août 2016 (Crédit Photo: Addameer)   La Commission des affaires concernant les détenus et les anciens détenus a fait savoir qu’au moins 750 Palestiniens sont actuellement détenus sans chef d’accusation ni procès dans les services pénitentiaires d’Israël. La Commission a déclaré, par un communiqué de presse, que le gouvernement israélien continue à violer la...

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    raid3-f61b1.jpg

     
  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité