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Syrie - Page 19

  • Alep : halte au massacre, halte à la barbarie ! (A&R)

     
     
    Devant le monde entier, sans que cela suscite de réactions de dénonciation à la hauteur de ce qui se joue là-bas, Bachar El Assad et son allié Poutine ont décidé d’en finir avec les quartiers rebelles d’Alep. Bombardements meurtriers, destruction des écoles et des hôpitaux: tout est programmé pour l’anéantissement d’Alep Est. 
     
    En donnant depuis trois mois la priorité à la guerre pour reprendre Mossoul à Daesh, la coalition internationale dirigée par les USA a laissé le champ libre à l’offensive russo-syrienne sur Alep. Résultat : la barbarie du régime syrien se déchaîne et rend la population syrienne otage, soit de Daesh, soit de groupes armés qui veulent avant tout liquider définitivement ce qui reste de la révolution syrienne. 
     
    Il n’y a rien à attendre d’États qui, des USA à la Russie, la Turquie, la France ou les monarchies du Golfe, pensent surtout en fonction d’intérêts stratégiques. Rien à attendre de gesticulations devant un Conseil de sécurité de l’ONU paralysé à l’avance par le veto de Poutine. Ni Bachar, ni Daesh ! Seul un sursaut mondial de la solidarité internationale peut encore arrêter le bras des assassins.
     

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

     

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    1er mai au Liban

    • Syrie
      Le président du conseil local de la partie orientale d’Alep : « On ne demande rien d’impossible, seulement d’arrêter le massacre »

      , par HASSAN Brita Hagi, SALLON Hélène

      Brita Hagi Hassan, président du conseil local de la partie orientale d’Alep, appelle à la mise en place de couloirs humanitaires sécurisés pour permettre à la population de fuir et éviter « un génocide ».
      L’étau se resserre sur les quartiers est d’Alep. Dans la deuxième ville syrienne, 250 000 habitants (...)

    • Syria
      The “Guardian” view on Aleppo: the west’s grim failure

      , by The Guardian

      As Assad’s forces, backed by the Russians, make their final move on Syria’s second city, the world can only count the cost of a humanitarian and military disaster it failed to stop.
      Exhausted parents clutching terrified children in their arms, young people pushing the old in makeshift carts or (...)

    • Syria
      Aleppo family says goodbye on Twitter

      , by MACKINTOSH Eliza

      “When we die, keep talking for 200,000 still inside,” Aleppo mother tweets.
      London (CNN) A seven-year-old Syrian girl, who has captured international attention tweeting about daily life in rebel-held eastern Aleppo, shared a message late Sunday night that her house had been bombed.
      “Tonight we (...)

     

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

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    • Jemna ou l’esquisse d’une alternative

      , par Union syndicale Solidaires

      Vague de grèves annoncées en Tunisie. Le 25 novembre, la Commission administrative nationale de l’UGTT a décidé d’appeler à une grève générale du secteur public pour le 8 décembre. Le but de celle-ci est de mettre un terme à la dégradation considérable du pouvoir d’achat des salarié-es ainsi qu’aux (...)

    • Syrie
      Solidarité avec Alep et le peuple syrien en lutte

      , par solidaritéS

      Un nouveau déluge de feu s’abat sur les quartiers libérés d’Alep-Est qui ne sont plus sous domination du régime Assad, ni des groupes djihadistes comme l’Etat Islamique ou Fateh al-Sham (ex Jabhat al-Nusra). Ces quartiers libérés comptent encore environ 375’000 habitant•e•s, dont 120’000 enfants, depuis (...)

     

  • Bataille d’Alep: chaos dans les rues alors que les civils fuient l’assaut de l’armée (A l'Encontre)

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    Chargés de valises, ils arrivent à Sakhour, un quartier d’Alep, depuis les régions du nord submergées par les combats, juste pour trouver plus de violence.

    D’autres habitants ont déjà décidé que ce quartier est d’Alep est un endroit où il n’est plus possible pour eux de se cacher.

    Dans le chaos qui règne dans les rues, les habitants de longue date s’en vont alors que d’autres arrivent, en essayant d’aller plus vite que les forces gouvernementales qui progressent rapidement, infligeant défaite sur défaite aux rebelles qui tiennent cette région depuis 2012.

    Les civils ont commencé à fuir l’assaut par milliers – 10 000 auraient traversé vers les zones aux mains du gouvernement ou des Kurdes pendant le week-end.

    La marée humaine de ces gens en train de courir ne semble pas vouloir se calmer et personne ne sait où et quand elle se terminera.

    Depuis la fenêtre de son appartement à Sakhour, un habitant décrit une nouvelle vague de destructions pendant le week-end et un afflux de réfugiés depuis le nord-est de la ville où les lignes rebelles ont cédé.

    «Des centaines de gens sont dehors dans les rues, sans savoir où aller pour trouver de la nourriture et un abri», raconte un habitant souhaitant rester anonyme. «Les gens quittent leur maison avec leurs valises et tout ce qu’ils peuvent emporter parce qu’ils sont désespérés et craignent pour leur vie.»

    Pendant tout ce temps, les bombes continuent de tomber. Abu Modar, qui vit dans le même pâté de maisons, rapporte que l’immeuble a été ciblé hier à deux reprises par les tirs d’artillerie. «Nous ne savons pas où aller et nous voulons juste que les bombardements cessent pour que nous puissions trouver où aller et vivre nos vies normalement», confie-t-il.

    A Ansari, une autre région à l’est d’Alep, la situation est la même: «désastreuse», selon les termes d’Ibrahim Abou al-Leith, un porte-parole du groupe de secours les Casques blancs.

    Ce que de nombreux habitants de l’est d’Alep craignent depuis longtemps est en train d’arriver: selon les alliés russes du gouvernement, presque la moitié des zones tenues par les rebelles sont tombées ces derniers jours, cédant sous la pression de cette guerre de siège, des attaques aériennes, de la faim, et, selon les dires de certains, parce qu’ils ont été abandonnés par la communauté internationale.

    Selon Yasser Youssef, un représentant du groupe rebelle Noureddine al-Zinki, l’avance du gouvernement est le résultat du soutien de la Russie et de l’Iran, tous les deux fidèles alliés de Damas.

    «Ces dernières années, nous avons résisté avec les moyens primitifs dont nous disposions, mais aujourd’hui, nous tenons tête à l’Iran et à la Russie», résume-t-il.

    «Le régime était hors-jeu il y a cinq ans, mais aujourd’hui, nous nous battons contre des armées et des milices de chaque coin du globe.»

    La question de savoir s’il faut fuir préoccupe de nombreux civils que Middle East Eye a rencontrés à Sakhour. A ce propos, Modar craint que sa famille ne se retrouve sans toit, à l’instar de nombreux Syriens qui ont choisi de rester à Alep-Est.

    Fatima Zehra, la voisine de Modar, se tient sur le pas de sa porte pendant que ses cinq enfants pleurent derrière elle. Encore une fois, la famille n’a pas fermé l’œil de la nuit à cause des bombardements incessants. Alors que peut-elle faire?

    «Les enfants ne font que pleurer parce qu’ils ont trop faim et trop peur des bombes», témoigne Fatima. «Je n’ai rien à leur donner à manger et les écoles sont fermées. Les enfants ne font rien d’autre que rester dans ces couloirs à attendre que cet enfer se termine.»

    Peut-être que la fin est proche. Mais ce n’est pas la fin que beaucoup espéraient, et pour laquelle ils ont tant supporté pendant ces longs mois de siège. Les forces rebelles se sont retirées pour sécuriser leur ligne de front. En quatre ans de combats, c’est la pire défaite que les forces du gouvernement ont infligée à l’opposition. Mais leurs ennemis ne donnent pas de signe de répit.

    Les rations alimentaires données par le Programme mondial alimentaire (PAM) avant que l’accès des Nations unies soit fermé en juillet dernier sont arrivées à épuisement en novembre.

    Selon le personnel humanitaire, les gens à l’est de la ville sont à «quelques jours» de la famine.

    L’hiver a aussi forcé plusieurs personnes à allumer des feux de fortune dans leurs maisons en brûlant ce qui leur tombe sous la main pour cuire la nourriture ou garder un peu la chaleur.

    Lundi, l’Observatoire syrien pour les droits de l’homme (OSDH) a rapporté qu’avec Sakhour, les rebelles avaient aussi perdu Haydariya et Cheikh Khodr.

    Selon le journal syrien Al Watan, proche du gouvernement, l’armée avance à grands pas. La prochaine étape de l’opération consistera à «diviser la région restante en quartiers de sécurité facile à contrôler pour les capturer un à un».

    La progression obligerait ensuite les tireurs à se replier ou… à accepter la réconciliation nationale selon les termes de l’État syrien.

    Pour les habitants d’Alep-Est comme pour les tireurs, l’offre de «réconciliation nationale» a souvent été soumise et toujours refusée.

    Mais pour la marée humaine dans les rues de Sakhour, Ansari et d’autres quartiers de l’est, le point de rupture semble être tout près.

    (Article publié sur le site MEE, le 28 novembre 2016, mis à jour le 29 novembre)

     Zouhir Al-Shimale

    Publié par Alencontre le 29 - novembre - 2016
     
  • Syrie. Dans l'est d'Alep, les civils craignent les actes de représailles (Amnesty)

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    Les forces gouvernementales syriennes qui ont pris le contrôle de quartiers de l'est de la ville d'Alep ces derniers jours doivent veiller à ce que les civils vivant dans ces secteurs puissent circuler librement et soient protégés contre les actes de représailles, notamment la détention arbitraire, la torture, la disparition forcée et le harcèlement, a déclaré Amnesty International lundi 28 novembre 2016.

    Le 27 novembre, les forces gouvernementales syriennes ont pris le contrôle de deux quartiers dans l'est de la ville d'Alep, Jabal Badro et Maskaen Hanano, où vivent actuellement une centaine de familles. Parmi les civils qui sont restés dans ces quartiers, beaucoup ont déclaré à Amnesty International craindre des actes de représailles de la part des forces gouvernementales.

    « Les forces gouvernementales syriennes ont à plusieurs reprises lancé des attaques illégales contre la ville d'Alep, en faisant preuve d'un mépris flagrant pour la sécurité des civils qui vivent dans les secteurs de la ville contrôlés par les groupes armés d'opposition, a déclaré Samah Hadid, directrice adjointe des campagnes au bureau régional d'Amnesty International à Beyrouth.

    « Étant donné le lourd passif du régime syrien en matière de détentions arbitraires et de disparitions forcées à grande échelle, il est crucial que les civils soient protégés dans les quartiers reconquis de la ville d'Alep. Le gouvernement syrien ne doit pas restreindre arbitrairement la liberté de mouvement des civils et doit permettre à ceux qui souhaitent quitter la zone de le faire librement, sans menace ni entrave. »

    Fadi, militant local, a déclaré à Amnesty International que les habitants de Masaken Hanano et Jabal Badro n'ont pas pu fuir face à l'avancée des forces gouvernementales et sont aujourd'hui trop effrayés pour quitter leur domicile.

    « Je connais certaines familles et elles m'ont dit qu'elles se trouvent chez elles et ont peur de circuler dans le quartier, parce que les soldats du gouvernement sont partout », a-t-il déclaré.

    Un autre militant a déclaré que les forces gouvernementales ont emmené des habitants (des hommes) de Masaken Hanano à l'aéroport d'al Nairab pour les interroger et les filtrer. Amnesty International n’a pas pu vérifier ces informations.

    Des habitants de Sheikh Maqsoud – quartier d'Alep sous contrôle des Unités de protection du peuple kurde (YPG) – ont déclaré que près de 8 000 habitants de l'est d'Alep avaient également fui la semaine dernière, alors que les combats et les frappes aériennes s'intensifiaient. Les civils n'ont d’autre issue pour quitter Sheikh Maqsoud que de passer par l'ouest d'Alep, que contrôle le régime syrien. Beaucoup ont trop peur de quitter la zone, craignant les actes de représailles des forces gouvernementales s'ils partent.

    Alors que les forces du régime syrien resserrent l'étau autour de l'est d'Alep, le siège dans cette partie de la ville devrait se renforcer, avec son cortège de conséquences désastreuses pour les civils.

    Un homme ayant fui avec sa famille vers Sheikh Maqsoud a décrit cette situation désespérée : « Je suis arrivé avec mon frère et nos familles il y a quelques jours. Nous avons pris le risque, sans savoir si les Unités de protection du peuple kurde nous laisseraient passer, mais nous ne supportions plus la faim ni le bruit des avions de guerre toute la journée, alors nous avons décidé de partir... La pénurie des denrées alimentaires est générale, et elles sont donc très chères. Chaque jour qui passait, j'étais reconnaissant d'être encore en vie, face aux frappes aériennes et aux tirs d'obus. Nous ne pouvons plus vivre comme ça. »

    28 novembre 2016

    https://www.amnesty.org/

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

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    • Gauche radicale
      Maroc : La Voie démocratique dans une nouvelle phase de lutte

      , par BABEL Jacques, EL HARIF Abdallah

      Entretien. Dirigeant de la Voie démocratique, principale organisation marxiste du Maroc, Abdallah El Harif est actuellement responsable des relations internationales. Avec lui, nous revenons sur la situation sociale et politique du pays après l’indignation soulevée par la mort de Mohcine Fikri. (...)

      A gauche

      Ammar Amroussia (Parti des travailleurs) : « Beji Caid Essebssi est à l’origine de la crise en Tunisie »

      , par AMROUSSIA Ammar, THEBTI Wiem

      Interview
      Wiem Thebti : Le député du Front Populaire Ammar Amroussia a déclaré que les symptômes d’une explosion sociale sont très visibles, notamment avec la montée de la grogne sociale et la mobilisation de plusieurs secteurs pour protester contre le projet de la loi des finances pour l’exercice (...)

    • Syrie
      A Alep, en Syrie, les habitants abandonnés sous les bombes

      , par SEMO Marc, ZERROUKY Madjid

      Alors que la diplomatie occidentale reste impuissante, les forces du régime syrien et de ses alliés progressent.
      A Alep-Est, le « pire » est atteint quotidiennement depuis des semaines. Les derniers tracts largués par les hélicoptères du régime promettent des jours encore plus sombres aux habitants. (...)

  • Toul Syrie

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  • Nouveautés sur A l'Encontre.ch

    Syrie. «C’est l’enfer sur terre»

    20 - novembre - 2016 Publié par: Alencontre
     

    Par Benjamin Barthe Des centaines de projectiles s’abattent tous les jours sur Alep-Est depuis mardi 15 novembre – des obus d’artillerie et des missiles sol-sol principalement, mais aussi des roquettes, des bombes à sous-munitions, des barils largués par hélicoptères, remplis d’explosifs ou de chlorine, un gaz toxique. Après un premier assaut infructueux au mois de septembre, […]

    Syrie. A Alep, les écoles sous les bombes

    18 - novembre - 2016 Publié par: Alencontre
     

    Par Benjamin Barthe A quel moment le bombardement d’une ville devient-il suffisamment «normal» pour que les écoles ouvrent leurs portes? Cette question taraude Marcell Shehwaro chaque matin. Directrice de l’ONG syrienne Kesh Malek, elle gère depuis Gaziantep, dans le sud de la Turquie, un réseau de sept établissements implantés à Alep-Est, la partie de la […]

    Alep: la nouvelle offensive

    17 - novembre - 2016 Publié par: Alencontre
     

    Les frappes aériennes et d’artillerie du gouvernement syrien ont tué des dizaines de personnes, endommagé des installations médicales et détruit des bâtiments résidentiels au deuxième jour d’une nouvelle offensive gouvernementale contre les districts tenus par les rebelles à l’est d’Alep. Au moins 84 personnes ont été tuées et des dizaines d’autres blessées dans et autour […]

     
  • Collectif pour une Syrie libre et démocratique (PSLD)

     

     

    Alep Le scénario tant redouté est maintenant en train de se jouer

    Vladimir Poutine, avec le plus grand des cynismes, a décidé de retirer la signature de la Russie du Statut de Rome et ainsi de se protéger de la Cour Pénale Internationale pour les crimes de guerre et crimes contre l’Humanité qu’il a déjà commis qu’il commet et prévoit de commettre tout particulièrement à Alep.

    Vladimir Poutine et Bachar Al Assad, forts de la complaisance de Donald Trump Président élu des Etats Unis, protégés par la passivité pathétique et honteuse des grandes puissances européennes, ont lancé leur offensive sur Idlib et Alep-Est qu’ils veulent éradiquer.

    « Pour la première fois de l’histoire de la flotte russe, le porte-avions Amiral Kouznetsov a pris part à des opérations armées », faisant décoller depuis son bord des avions Su-33, a déclaré le ministre Sergueï Choïgou. L’armée russe a, selon lui, débuté une opération d’ampleur en Syrie. Cette opération a également impliqué la frégate russe Amiral Grigorovitch, qui a tiré des missiles de croisière Kalibr, selon M. Choïgou. De leur côté, les forces du régime ont mené des raids et largué des barils d’explosifs sur plusieurs quartiers résidentiels d’Alep Est.

    Du fait du siège imposé à Alep-Est par la dictature Assad, des bombardements sur les quartiers résidentiels, écoles et hôpitaux compris, les habitants connaissent l’enfer de la famine, l’absence d’accès aux soins, la tragédie des morts et des blessés par centaines.

    Quelle justification a-t-on pour refuser de donner aux groupes rebelles modérés parfaitement identifiés des armes de défense anti-aériennes afin de protéger les populations ?

    Est-il vraiment impossible d’imposer à Vladimir Poutine, par la menace d’une amplification des sanctions économiques, une zone d’exclusion aérienne aux avions militaires afin de permettre des parachutages humanitaires ?

    En abandonnant les Syriens à Alep, puis Idlib et qui sait à Raqqa où la nature des forces se préparant à intervenir contre l’EI est loin d’être claire, la France et l’Europe feraient fausse route et hypothéqueraient l’avenir pour de nombreuses années. Un tel abandon reviendrait à nourrir la radicalisation, à faire le lit des intégristes et à pérenniser les dictatures.

    Le Collectif pour une Syrie libre et démocratique appelle à des démarches actives en direction des institutions afin de les interpeler sur l’extrême gravité de cette situation et sur l’urgence de prendre des dispositions pour qu’Alep-Est et ses habitants ne soient pas rayés de la carte.

    Il faut sauver la population d’Alep

    Paris le 18 novembre 2016

    Contact presse :

    Collectif.psld@gmail.com

    http://www.anti-k.org/