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Syrie - Page 22

  • Nouveautés sur Alternative Libertaire

     

    Syrie : Au cœur de la mêlée impérialiste

     

    La guerre civile syrienne est devenue, pour bonne part, le thé­âtre d’un affrontement indirect entre puissances étrangères. Russie, États-Unis, Iran, Turquie, France, pétromonarchies... Qui veut quoi  ? Et le Rojava dans tout ça  ? Essai de décryptage et hypothèses.

    Pour la troisième fois cette année, la Syrie a vu l’échec, en septembre, d’une tentative de trêve parrainée par la Russie et les États-Unis. ­Échec principalement dû à la multiplication, au sein de la guerre civile, de forces armées aux objectifs contradictoires, aux alliances mouvantes, aux parrainages incertains. Difficile de faire respecter un cessez-le-feu dans ces conditions. Plus que jamais cependant, Moscou et Washington apparaissent comme le duo (...)

     

     

     

    Algérie : Un hommage à l’anarchiste Saïl Mohamed

     

    Personnage relativement connu du mouvement anarchiste des années 1930-1950, il se faisait appeler Saïl Mohamed. Sous son vrai nom de Saïl Mohand Ameziane, on vient de lui rendre un hommage public en Kabylie.

    Quelques dizaines d’habitantes et d’habitants de Tibane (Algérie), militants politiques, syndicalistes et associatifs, ont participé, vendredi 14 octobre 2016, à une journée commémorative initiée par les jeunes de l’association Taddartiw du village Taourirt, pour rendre hommage à Mohand Ameziane Sail (Saïl Mohamed) 63 ans après sa disparition. Après avoir écouté les conférences des historiens, une visite a été rendue à la maison natale de Saïl Mohamed, où (...)

  • Nouveautés sur A l'Encontre.ch

    Syrie: «C’est une guerre qui s’est inscrite, dès le début, en dehors du droit de la guerre»

    16 - octobre - 2016 Publié par: Alencontre
     
     

    Entretien avec Françoise Bouchet-Saulnier conduit par René Backman Le jeudi 15 octobre 2015, au palace Beau-Rivage, à Lausanne, se réunissaient, «pour rien», Kerry, Lavrov ainsi que des représentants de la Turquie, de l’Arabie saoudite et du Qatar, ces derniers «soutiennent» la rébellion. L’Iran, engagé militairement auprès de Damas, était aussi représenté. S’y ajoutent, pour les bienfaits […]

     

    Syrie-Yémen. Contre les bombardements en Syrie et au Yémen!

    16 - octobre - 2016 Publié par: Alencontre
     
     

    Par Gilbert Achcar L’opinion politique arabe se divise en deux catégories principales. Il y a, d’un côté, ceux qui condamnent les bombardements destructeurs et meurtriers des villes et des campagnes de Syrie par le régime et son maître russe tout en restant silencieux au sujet des bombardements destructeurs et meurtriers des villes et des campagnes […]

    Israël: Shimon Peres a «défini la poussée coloniale comme étant un processus de paix»

    13 - octobre - 2016 Publié par: Alencontre
     
     

    Par Amira Hass Les Juifs israéliens doivent une dette considérable à Shimon Peres, récemment décédé [dans la nuit du 28 au 29 septembre 2016 ; voir de même sur le rôle de Peres l’article publié sur ce site en date du 30 septembre 2016]. Et, malheureusement pour lui, seulement une partie d’entre eux l’a compris, assez tard d’ailleurs. […]

     

    Yémen.«Nous étions dans une catastrophe humanitaire l’année dernière, aujourd’hui c’est hors échelle»

    10 - octobre - 2016 Publié par: Alencontre
     
     

    Entretien avec Hassan Boucenine de MSF conduit par Florian Reynaud Fin août 2016, l’Organisation des Nations unies a revu à la hausse son bilan humain de la guerre qui oppose, au Yémen, le président en exil, Abd Rabbo Mansour Hadi, soutenu par une coalition arabe dirigée par l’Arabie saoudite, aux rebelles houthistes, p

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

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  • Paris : Rassemblement « Ni Poutine ! Ni Bachar ! » (Souria Houria)

    ni-poutine-ni-bachar

    Les initiateurs de l’appel commun avaient décidé début octobre de maintenir le rassemblement du 19 octobre même si Poutine annulait sa visite.

    Le Rassemblement est maintenu : le mercredi 19 octobre, à 18h, à côté de l’Assemblée nationale

    Le 19 octobre 2016 le Président russe Vladimir Poutine sera à Paris, sur invitation du gouvernement français et à l’occasion de l’inauguration du Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe. Il est prévu qu’il discute avec François Hollande des guerres en Syrie et en Ukraine.

    Cependant, le Kremlin emprisonne ses opposants politiques, fournit massivement des armes qui tuent des civils ukrainiens et syriens et envoie des militaires russes faire la guerre en Ukraine et en Syrie : en ce moment même, Alep est bombardée quotidiennement par des bombes au phosphore, des bombes à sous-munitions… larguées depuis les avions russes (et syriens). De plus, la politique et les interventions du Kremlin contraignent, en Syrie et en Ukraine, des millions de personnes à fuir de leur domicile. Dans ces deux pays, Poutine mène la même politique : empêcher un peuple de décider librement de son avenir.

    Après 5 ans de soutien militaire de Poutine à Bachar al-Assad, la situation en Syrie n’a fait qu’empirer (plus de 500 000 morts, et l’armée de Bachar, soutenue notamment par Poutine, est responsable de la mort de plus de 95 % des civils tués). En un an d’intervention en Syrie, l’armée de Poutine a tué à elle seule plus de 3 200 civils et bombardé au moins 59 centres médicaux. Et toute intervention étrangère, qu’elle soit ou non avec l’appui de la France, ne permet pas d’en finir avec Daech.

    En Crimée annexée, les Tatars de Crimée, la population autochtone de la péninsule, se voient privés de toutes libertés, de même que ceux qui osent défier la ligne officielle du Kremlin. Et si le gouvernement français n’a pas reconnu les « élections législatives » russes organisées en Crimée ce 18 septembre, il reste muet depuis plusieurs mois sur l’annexion de la Crimée. Dans le Donbass, l’intervention russe a déjà fait presque 10 000 morts, parmi lesquels les passagers du vol MH17 et un énième cessez-le-feu ne pourra pas être définitif tant que la frontière russo-ukrainienne reste sous contrôle russe exclusif.

    Aujourd’hui on entend parler de tractations entre le gouvernement français et le gouvernement russe qui feraient intervenir des arrangements économiques (accords ou levées de sanctions) avec des arrangements politico-militaires en Syrie et en Ukraine. Ceci est inacceptable. Si le gouvernement français défendait vraiment les libertés démocratiques il faudrait qu’il commence par exiger la fin inconditionnelle de tous les massacres et des meurtres, la libération des prisonniers politiques (en Syrie -plus de 215 000, mais aussi en Russie -plus de 200), et la fin des agressions militaires.

    L’armée russe en Syrie et en Ukraine joue le rôle d’armée d’occupation.

    Elle doit s’en retirer.

    Nous n’acceptons aucune collaboration avec les dictateurs !
    Ni Poutine ! Ni Bachar !
    Ils sont la cause et non pas la solution des problèmes.

    Rassemblement le 19 Octobre 2016 à 18h
    à côté de l’Assemblée Nationale
    à l’angle de la rue de l’Université et de la rue Constantine
    stations Invalides (M 13, M 8 et RER C) et Assemblée Nationale (M 12)

    à l’initiative de militants syriens, ukrainiens, russes et français initiative soutenue par

    Alternative Libertaire, Assemblée européenne des citoyens (AEC), CEDETIM, Collectif des Amis d’Alep, La Déclaration de Damas pour un changement démocratique, Ensemble ! , L’insurgé, Nasskoune, Souria Houria (Syrie Liberté), Ukraine Action, Union syndicale Solidaires… (NPA oublié sera bien là)

    Principales sources des chiffres : ONU et SNHR

     Souria Houria le 13 octobre 2016

    http://souriahouria.com/

  • Nouveautés sur le site du NPA

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    Israël : l’héritage de Shimon Peres

    Un mouvement national palestinien éclaté

    Territoires palestiniens : une occupation normalisée ?

    Syrie : Poutine, de Grozny à Alep...

     

    Lire aussi:

    Londres fait son autocritique sur la Libye, Paris persiste et signe (Anti-k)

     

    Sur Europe Solidaire sans frontières:

    Tunisie : Jemna, ou la résistance d’une communauté dépossédée de ses terres agricoles

    Challenging the Nation State in Syria – Lessons from “those who are creating new ways of organizing in the most difficult of circumstances and those who are currently facing annihilation”

    Sur "Révolution Permanente"

    La carte de la guerre en Syrie

     

    Sur "Lutte Ouvrière"

    Syrie : massacres et hypocrisie

    Yémen : les terroristes alliés de la France

     

  • Nouveautés sur le site du NPA

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    Territoires palestiniens : une occupation normalisée ?

    Syrie : Assad et Poutine s’acharnent contre Alep

    Maroc : Répression sur fond de mascarade électorale

    Fathi Chamkhi (Tunisie) : « annuler toute dette illégitime prouvée par l’audit »

  • Nouveautés sur Cetri.be

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    La guerre d’extermination en Syrie et la fin du sens commun

     

    Syrie : devoir d’indignation

     

    Un conflit sans horizon en Syrie

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

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    • Gauche radicale
      Préparation des législatives au Maroc : Répression sur fond de mascarade électorale

      , par NPA

      Le samedi 1er Octobre, la manifestation nationale contre la réforme des retraites au Maroc a été interdite et violemment dispersée occasionnant des dizaines de blessés. Cet évènement s’est déroulé dans le contexte de la campagne ouverte pour les élections législatives qui auront lieu le 7 Octobre.
      La (...)

    • Gauche radicale
      Elections parlementaires au Maroc : voter ou devenir ingouvernables ?

      , par CHAWQUI Lotfi

      MAROC : VOTER OU DEVENIR INGOUVERNABLES ?
      Il est nécessaire de discuter l’argumentation de la participation qui sous-tend le choix de la Fédération de la Gauche Démocratique (FGD). Le premier élément avancé est que le refus de participer revient à laisser la place aux corrompus et aux forces (...)

     

     

     

  • Devoir d’indignation (Politis)

    super poutine

    Devrait-elle, cette gauche, se taire quand l’assassin n’est plus George W. Bush mais Vladimir Poutine ?

    À l’heure où les bombes s’abattent sur Alep, notre indignation peut-elle encore servir à quelque chose ? Nos concitoyens sont à ce point saturés d’images dramatiques qu’il est devenu impossible de mobiliser les consciences.

    Leur réaction n’est certainement pas d’indifférence, mais d’incompréhension et de désarroi. Pourtant, oui, nous avons le devoir de parler, d’écrire et peut-être de hurler devant le massacre commis par l’infernal tandem Assad-Poutine. Nos protestations n’arrêteront évidemment pas le bras du crime, mais elles peuvent au moins nous permettre de régler un vieux compte avec une vision du monde qui devrait définitivement appartenir au passé.

    Un compte avec ces restes de pensée binaire et ces résurgences d’esprit de système qui, parfois encore, nous aveuglent. Il faudrait être avec Poutine pour être parfaitement anti-amé- ricain. Il faudrait condamner les déclarations de François Hollande à l’ONU parce que c’est François Hollande. Il faudrait excuser ce qui se passe en ce moment à Alep au nom de l’histoire longue du colonialisme et de la longue histoire des crimes occidentaux. Il faudrait trouver mille raisons pour justifier l’intervention russe, au mépris de l’évidence.

    Mais qui est ce «nous», muet ou embarrassé, dont je parle ? C’est la gauche critique. Celle de Mélenchon et du PCF, notamment [1]. La gauche anti-guerre, celle qui a condamné l’invasion américaine en Irak, en 2003, cette monstruosité qui a inauguré un cycle de violences sans fin. Cette gauche qui dénonce si justement le commerce des armes, et stigmatise les liens coupables de la France avec l’Arabie saoudite. Cette gauche qui n’oublie jamais le conflit israélo-palestinien, énorme et originel contentieux entre les puissances occidentales et le monde arabo-musulman.

    Devrait-elle, cette gauche, se taire quand l’assassin n’est plus George W. Bush mais Vladimir Poutine ? J’entends bien que la Russie a été humiliée, et comme sortie de l’histoire après l’effondrement de l’URSS. J’entends bien qu’elle se sent menacée à ses frontières par les installations de l’Otan. Je conçois qu’elle veuille sauver ses bases syriennes sur la Méditer- ranée.

    Mais rien ne justifie le massacre d’Alep, et notre silence complice. La pluie de bombes larguées au cours du week-end dernier sur la grande ville du nord a fait au moins deux cents morts. Selon l’ONG Save the children, beaucoup sont des enfants, comme près de la moitié des blessés hospitalisés. Suprême raffinement, l’aviation russe utilise des bombes à sous- munitions et un nouveau type de projectiles qui permettent de détruire un immeuble entier en un seul impact, et de pénétrer jusqu’au fond des abris souterrains où les familles trouvent refuge.

    Les convois sanitaires sont systématiquement ciblés, comme les hôpitaux. On retrou- ve à Alep la tactique du carpet bombing, dont Vladimir Poutine avait usé en Tchétchénie. Au cours de l’hiver 1999-2000, les bombardements russes avaient ainsi causé la mort de près de 200 000 Tchétchènes. Et Grozny était devenue la ville au monde la plus détruite depuis la Seconde Guerre mondiale. Va-t-on devoir inscrire Alep dans cette funeste lignée ? La violence extrême de la Russie rejoint celle de la famille Assad. Tuer «un million de martyrs» s’il le faut pour garder le pouvoir, avait prévenu un jour Rifa’at, l’oncle de Bachar. Au nom de l’asabiyya, la préservation du clan…

    La guerre contre le terrorisme n’est évidemment dans tout cela qu’un très médiocre alibi. Rappelons qu’il y a, en quelque sorte, deux conflits distincts en Syrie. L’un à l’est du pays, mené par la coalition contre Daech. L’autre, à trois cents kilomètres de là, dans ce qu’on appelle la « Syrie utile », celle des grandes villes de l’ouest : Alep, Idlib, Homs, Hama, Damas, Deraa. C’est là que l’insurrection est née et s’est développée à partir de mars 2011. C’est cette Syrie, et cette insurrection, qui est frappée par la Russie et le régime. Ce sont majoritairement les habitants de ces régions qui fuient le pays. L’amalgame entre les deux guerres est au cœur du mensonge poutinien. Ce n’est pas Daech qui est visé à Alep, pour la bonne raison que cette organisation n’y est pas, repoussée qu’elle a été par les rebelles.

    Si beaucoup est mensonge dans le discours russe et celui de Bachar Al-Assad, tout ne l’est pas. Au sein de l’insurrection, il est vrai que les jihadistes du Front Al-Nosra, rebaptisé récemment Fateh Al-Cham (Front de la conquête du Cham), ont pris au fil des années de plus en plus d’importance. Ce mouvement, dont les dirigeants ont été complaisamment sortis de prison par Bachar Al-Assad en septembre 2011, s’est renforcé à mesure que le régime durcissait la répression. Il a participé de la militarisation de la guerre civile, servi d’alibi à Damas pour attaquer l’insurrection et massacrer des centaines de milliers de civils.

    Mais il n’est pas vrai que la rébellion a disparu. Il n’est pas vrai qu’il n’y a pas d’interlo- cuteurs non jihadistes qui puissent s’inscrire dans une perspective de règlement politique. Il est surtout erroné de croire encore que Bachar Al-Assad est celui qui fait barrage aux jihadistes. Il est, depuis 2011, celui qui les renforce.

    (1) Le PCF a cependant publié lundi un communiqué demandant «un cessez-le-feu immédiat».

    Denis Sieffert 28 septembre 2016

    http://www.politis.fr/

    Commentaire: Grâce à ses médias, RT, Sputnick etc, largement repris « à gauche », Poutine intoxique aussi les « réseaux sociaux » et justifie ses massacres…