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Bretagne - Page 12

  • Débat sur la situation des Kurdes au Proche-Orient (AFKB)

    Les Jeunes Écologistes et Amitiés Kurdes de Bretagne organisent un débat sur la situation des Kurdes au Proche-Orient lundi 17 novembre

    La lutte contre les islamistes à Kobané a mis les Kurdes syriens au cœur de l’actualité. A cheval sur quatre pays, le peuple Kurde lutte depuis longtemps pour sa reconnaissance.

    Parce que la question Kurde dépasse de loin le conflit actuel, les Jeunes Écologistes organisent avec Amitiés Kurdes de Bretagne un débat ouvert à tous sur la situation des Kurdes au Proche-Orient lundi 17 novembre à 20h30, au bar le 1675, 44 rue Legraverend, à Rennes.

    Contact : Alexis Billiet - 06 62 95 17 68 - rennes@jeunes-ecologistes.org

    http://www.amitieskurdesdebretagne.eu/

     

  • Nouveautés sur Afps Rennes

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  • 19 Novembre Quimper Nabi Saleh

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    Rennes: Semaine de la solidarité : Femmes de Nabi Saleh

    vendredi 21 novembre 2014

    Deux femmes issus du village de Nabi Saleh seront présentes le vendredi 21 novembre à la MIR pour témoigner de l’infernale situation des habitants de ce village.
    Ce village a mise en place un mouvement de résistance non-violente particulièrement développé et, en "représailles, les habitants de Nabi Saleh font l’objet d’agressions répétées de la part de l’armée d’occupation.

    La situation est si préoccupante qu’Amnesty International a intégré l’ensemble des villageois de Nabi Saleh dans son opération "10 jours à signer" http://www.amnesty.fr/Informez-vous...

    http://www.amnesty.fr/AI-en-action/...

    Un petit aperçu de la situation

    Pratique Vendredi 21 novembre - 20h . Maison Internationale Rennes (MIR)

  • La Coordination nationale Solidarité Kurdistan sur tous les fronts (AKB)

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    lundi 20 octobre 2014
    par  Amitiés kurdes de Bretagne
     

    Déclaration de la CNSK

    Les associations réunies au sein de la Coordination nationale Solidarité Kurdistan (CNSK) ont témoigné de leur solidarité avec les combattantes, les combattants et la population du Kurdistan de Syrie (Rojava?) et notamment celles et ceux du canton de Kobanê dont la résistance héroïque force l’admiration de tous. Elles ont dénoncé les préparatifs du gouvernement turc islamo-conservateur prêt à envahir le Rojava. Elles notent que les forces contestataires se mobilisent en Turquie et que l’union dans un nouveau parti - le HDP? (Parti de la Démocratie des Peuples) - des forces kurdes et d’une gauche contestataire turque est de bon augure pour des avancées démocratiques futures dans ce pays. Elles remercient le Conseil de Paris pour l’intérêt qu’il porte à la mémoire des trois militantes kurdes assassinées en plein Paris le 9 janvier 2013 et réaffirme sa volonté d’exiger que toute la vérité soit faite et que justice soit rendue. Une journée mondiale "Urgence Kobanê" sera organisée le 1er novembre prochain. Une pétition circule à l’adresse du Président de la République en soutien à Kobanê. Une conférence sera organisée le 9 janvier 2015 à Paris, au Sénat, ainsi qu’une cérémonie commémorative à la mémoire de Sakine, Fidan (Rojbîn) et Leyla devant le 147 rue Lafayette.

    Mobilisation pour le Rojava

    La CNSK demande à la France et à la communauté internationale d’envoyer de toute urgence à Kobanê l’aide militaire nécessaire pour résister et faire reculer les forces barbares du prétendu Etat islamique (Daesh). Les dernières frappes aériennes de l’US Air Force, guidées du sol par les résistants de Kobanê, ont été utiles mais pas suffisantes pour ceux qui luttent pied à pied, depuis plusieurs semaines, à armes inégales contre un ennemi puissamment armé : il est urgentissime de fournir armes anti chars et médicaments qui font cruellement défaut aux combattants kurdes. L’exemple de la Région autonome du Kurdistan irakien est à suivre : elle vient de reconnaître officiellement les trois cantons autonomes de Rojava et adopté un protocole de coopération bilatérale qui comprend l’envoi immédiat d’armes à la ville assiégée de Kobanê. La décision de la ville de Rennes d’envoyer une aide à la ville de Diyarbakir qui doit faire face à un afflux de réfugiés syriens est aussi significative : elle est assortie d’un appel à la communauté internationale pour qu’elle soutienne les Kurdes de Kobanê dans leur combat contre Daesh. La ville de Paris vient aussi de voter une aide humanitaire. Une journée mondiale "Urgence Kobanê" sera organisée le 1° novembre prochain. Toutes les organisations démocratiques sont invitées à participer à l’organisation et à la réussite de cette manifestation devant se dérouler dans chaque métropole, dans chaque région, dans chaque ville, partout où c’est possible.

    Turquie : attention danger

    La France a demandé à la Turquie de prendre toutes ses responsabilités et toutes les mesures qui s’imposent face à l’offensive de Daesh à Kobanê. Cette intervention est bienvenue s’il s’agit, comme l’a précisé le Président de la République, de l’ouverture de la frontière avec la Syrie pour permettre l’acheminement de renforts. Elle serait particulièrement inopportune s’il s’agissait d’encourager une intervention de l’armée turque. L’attitude de ce pays membre de l’OTAN a malheureusement montré que sa priorité n’était pas de combattre les djihadistes de Daesh, auxquels il continue d’apporter une aide militaire et logistique, mais d’occuper militairement cette région kurde et d’éradiquer un mode d’organisation social et politique adopté par l’Assemblée législative du Rojava, qui permet à chaque canton d’élire des assemblées citoyennes décentralisées et de se doter de structures de gouvernance incluant toutes les nationalités et toutes les religions.

    Véritable casus belli, cette occupation serait vécue douloureusement non seulement par les Kurdes de Syrie, qui sous le joug du régime Baas de Hafez Al-Assad et de Bachar Al Assad d’une République arabe syrienne, n’avaient même pas droit, durant des décennies, à une identité. Mais aussi par les Kurdes de Turquie (soit 20 % de la population) qui ont déjà prévenu : le processus de paix entre le gouvernement turc et le leader emprisonné Abdullah Öcalan pour trouver une solution politique à la question kurde sera rompu. Et la guerre reprendra. Les manifestations nombreuses et réprimées violemment qui se sont déroulées en Turquie du Sud-est (Kurdistan nord), mais aussi dans les grandes villes de la Turquie occidentale, et notamment à Istanbul et Ankara, ont déjà fait en quelques jours 37 morts et de nombreux blessés. Ce ne sont que les prémices d’une guerre civile annoncée qui déstabilisera toute la région.
    L’attitude toujours ambiguë de la Turquie suscite la méfiance quand sont annoncés des entretiens bilatéraux avec la France pouvant aborder les accords de coopération policière dont la ratification avait été stoppée in extremis. Plus que jamais il est nécessaire d’obtenir l’abandon définitif de ces accords sécuritaires "Guéant - Fabius".

    Le poids politique des Kurdes de Turquie

    Il est à noter également que le poids politique des Kurdes de Turquie croît autour du BDP, (Parti pour la Paix et la Démocratie qui s’appelle aujourd’hui DBP : Parti démocratique des régions), du HDP (Parti démocratique des peuples) et du K.C.K (Union des communautés du Kurdistan - (coma Civakên Kurdistan) qui ne proposent rien moins qu’une alternative à l’Etat-nation : "une organisation de la société puisée aux sources d’une lutte quotidienne pour la défense des libertés". Le DBP, malgré la pression de l’Etat sournois qui retient toujours dans ses geôles des milliers de détenus politiques, développe une stratégie de renforcement des structures politiques associatives et culturelles, dans les provinces kurdes : les résultats des élections municipales et régionales de mars 2014 le montrent avec des gains importants (Agri, Bitlis, Mardin) qui auraient pu être plus importants sans les fraudes (Urfa par exemple). Les Kurdes ont aussi affiché leurs ambitions nationales avec le nouveau parti, le HDP, créé par un BDP nouant des alliances nouvelles avec des forces de gauche qui se sont réunies dans un vaste mouvement de contestation gouvernementale dont l’épicentre fut les manifestations du parc Gezi d’Istanbul. Transformer le parti essentiellement pro-kurde BDP en HDP n’était pas gagné d’avance : Selahattin Demirtaş, candidat HDP à l’élection présidentielle d’août 2014, a su convaincre les populations kurdes, dont la revendication première est identitaire, de faire cause commune avec tous ceux qui, Kurdes, Turcs, Arméniens et autres minorités, contestent la politique autoritaire du gouvernement AKP et aspirent à une autre gouvernance, qu’ils soient sunnites, alévis, chrétiens, yezidis ou athées, syndicalistes, écologistes ou militants associatifs. Les principaux thèmes du programme HDP, qui se confondent avec ceux du BDP, témoignent de cette volonté : gouvernance territoriale, autonomie démocratique, éducation dans la langue maternelle, liberté de croyance, droits pour les alévis, liberté pour les prisonniers politiques, non à l’exploitation capitaliste, oui à l’écologie, non aux mesures discriminatoires contre les homosexuels, non aux interventions impérialistes en Syrie, encouragement aux Kurdes de Syrie. On peut estimer que Selahattin Demirtaş a, en frôlant les 10%, réussi ce pari. Il a su conserver - et même accroître - l’électorat traditionnel du BDP et séduire de nouveaux électeurs en prenant pied dans d’autres régions de la Turquie. Son score ouvre de véritables perspectives pour les élections législatives de 2015. En passant le seuil fatidique des 10%, Le HDP pourrait tripler, voire plus, le nombre actuel de ses députés.

    Le PKK est présent dans la vie politique et sociale en Turquie

    Le PKK, Parti des travailleurs du Kurdistan (Partiya Karkerên Kurdistanê), joue un rôle dans les quatre parties du Kurdistan et son influence va même bien au de-là, dans toute la région moyen orientale. Le PKK est très présent dans la vie politique et sociale en Turquie et le gouvernement AKP ne s’y trompe pas quand il accuse le KCK d’être la branche urbaine de "l’organisation" et quand il ouvre des négociations avec le leader incontesté et charismatique du PKK, Abdullah Öcalan, pour trouver une solution politique à la question kurde. Faire croire au monde entier que le PKK est une organisation terroriste relève d’une escroquerie intellectuelle qui ne peut que se retourner, in fine, contre ses auteurs. Ceux qui reprochent au PKK sa branche armée, les HPG? - Forces de Défense du Peuple (Hêzên Parastina Gel), oublient de préciser que sans elle le peuple kurde, en tant que peuple, aurait été, dans le contexte de terreur imposé par les forces militaires, paramilitaires et "l’Etat profond", rayé de la carte. Les dernières interventions des HPG pour venir en aide aux peshmergas du Kurdistan irakien ou pour sauver les Yezidis du piège de Sinjâr ou pour épauler les YPG? à Kobanê ont montré que le PKK n’était pas une organisation terroriste mais qu’il possédait des combattants aguerris dont la coalition avait besoin pour faire reculer le Front islamique. Il est donc urgent de retirer le PKK de la liste des organisations terroristes.

    Vérité et Justice pour Sakine, Fidan (Rojbîn) et Leyla

    Le Conseil de Paris a émis le vœu que soit apposée une plaque au 147 rue La Fayette, dans le 10e arrondissement, pour rendre hommage à Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Saylemez, rappelant que ces trois jeunes femmes kurdes, qui militaient pacifiquement pour la reconnaissance du peuple kurde, ont été lâchement assassinées le 9 janvier 2013. Il n’y a pas de mots pour exprimer le chagrin et la colère qu’éprouvent tout le peuple kurde et les amis et proches des victimes. La volonté de la CNSK est intacte pour exiger que justice soit rendue. La vérité doit éclater et un appel est lancé au gouvernement français pour qu’aucun obstacle ne vienne entraver l’action de la justice dans son travail d’identification des commanditaires. Tous les regards sont tournés vers la Turquie dont la responsabilité est manifestement engagée. C’est pourquoi la CNSK reste mobilisée pour que l’affaire ne soit enterrée au nom de la raison d’Etat. Un courrier sera officiellement envoyé à M. le Président de la République française pour lui demander de bien vouloir recevoir les familles des victimes assassinées sur le sol français. Ce geste de compassion que les familles attendent serait aussi un signal fort envoyé aux assassins et à leurs commanditaires : cet assassinat politique ne restera pas impuni. En 2015, du 14 février au 2 mars, seront rappelés, lors d’un "colonial tour" initié par le réseau "sortir du colonialisme", tous les crimes politiques commis sur le sol français depuis cinquante ans et restés impunis. Ceux de Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Saylemez ne seront pas oubliés.

    Paris le 18 octobre 2014

    Signataires  : Amis du Peuple Kurde en Alsace, - Amitiés Kurdes de Bretagne (AKB), - Amitiés Kurdes de Lyon Rhône-Alpes, -Association Iséroise des Amis des Kurdes (AIAK), - Association de Solidarité France-Kurdistan (FK), - Centre d’Information du Kurdistan (CIK), - Conseil Démocratique Kurde de France (CDKF), - Mouvement de la Jeunesse Communiste de France, -Mouvement de la Paix, - MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples), - Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), - Parti Communiste Français (PCF), - Réseau « Sortir du Colonialisme », - Solidarité et Liberté (Marseille), - Union Démocratique Bretonne (UDB).
    Soutien : Union Syndicale Solidaires.

    http://www.amitieskurdesdebretagne.eu/spip.php?article868

  • À Rennes, rassemblement pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah (Ufjp)

     

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    Le 24 octobre 2014, cela fera exactement 30 ans que Georges Ibrahim Abdallah est emprisonné en France...

    En 1982, l’armée israélienne envahit le Liban... Après une longue série d’assassinats commis partout dans le monde et notamment en France par les services secrets israéliens à l’encontre de dirigeants palestiniens, c’est l’heure du massacre de la résistance palestinienne et de la gauche libanaise... Le siège de Beyrouth, Sabra et Chatila, les camps d’Ansar et de Khiam, terribles centres de torture et de détention...

    Georges Ibrahim Abdallah, militant communiste, proche du FPLP participe à la fondation des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), qui décident de mener la lutte contre l’agresseur et ses soutiens "partout où ils se trouvent" l’attaché militaire à l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique à Paris et le responsable du Mossad en France sont exécutés.

    Georges Ibrahim Abdallah est arrêté et accusé pour ces faits. Le gouvernement de l’époque (Chirac- Pasqua-Pandraud) tente également de lui coller sur le dos tout une série d’attentats aveugles commis à la même époque à Paris, accusations finalement démenties par l’enquête. Il est pourtant condamné à la réclusion à perpétuité en 1987. Israël et les USA, qui ont multiplié les pressions, sont satisfaits...

    Georges Ibrahim Abdallah est désormais l’un des plus anciens prisonniers politiques au monde !

    DES MESURES D’EXCEPTION INTOLÉRABLES...

    Georges Ibrahim Abdallah est libérable depuis 2003. Une première décision de justice est prise en ce sens, cette année-là. Perben, ministre de la justice de Chirac, fait casser cette décision. Le 20 décembre 2007, une nouvelle demande de libération conditionnelle est examinée en appel. L’audience est fixée le 31 janvier 2008, puis reportée au 17 avril, puis au 4 septembre, puis au 8 janvier 2009, et pour finir, au 26 mars 2009 !

    La cour va se baser sur un avis de la commission pluridisciplinaire des mesures de sûreté de Paris rendu le 22 janvier 2009 concernant Georges Ibrahim Abdallah : "Il revendique ses actes et les justifie par son engagement politique ; il se présente comme un « résistant » qui, à l’époque, luttait par la violence contre l’occupation du Liban par Israël, avec la complicité des États-Unis. (...) La commission constate que Georges Ibrahim ABDALLAH n’a aucunement renoncé à la lutte armée et à l’action terroriste, y compris en France. Sa dangerosité est démontré par son indifférence pour le sort des victimes et la force intacte de ses convictions qui peuvent à nouveau, si le contexte politique s’y prêtait, le pousser à se comporter en activiste résolu et implacable. La commission émet un avis défavorable à la demande de libération conditionnelle de Georges Ibrahim Abdallah.

    En février 2012, l’État Libanais, demande officiellement la libération de celui qu’il considère à juste titre comme un prisonnier politique : sans succès...

    Puis en 2013, après une nouvelle décision de justice, Manuel Valls, ministre de l’intérieur, obéissant aux injonctions israéliennes et états-uniennes, refuse à nouveau de signer son ordre d’expulsion au seul motif de sa “non-repentance”, notion totalement étrangère au droit français... Au total, ce ne sont pas moins de huit demandes de libération qui sont ainsi repoussées !

    L’AVEU DES GRANDS VALETS

    "Nous n’avons aucune preuve contre Georges Ibrahim Abdallah. La seule chose dont nous pouvons l’accuser, c’est d’être en possession d’un faux- passeport." (J.Attali)
    Ce qui s’est passé était "une conspiration illégale du Renseignement’ .../... "Nous nous sommes vraiment comportés comme des criminels dans cette affaire..." (Y. Bonnet)

    L’ACHARNEMENT DE L’ÉTAT...

    ... Qui ne doivent rien au hasard : elles sont à l’image de la politique de la France, systématiquement complice de l’État colonial israélien, en raison d’intérêts géopolitiques, économiques et militaires communs.

    La France est ainsi le seul pays au monde où l’ordre a été donné aux procureurs de poursuivre les militants qui appellent au boycott de l’État sioniste (circulaire Alliot- Marie). Messieurs Hollande et Valls, en maintenant cette circulaire, ont affirmé la continuité de leur politique avec celle de leurs prédécesseurs.

    La France a été le seul pays à interdire des manifestations de solidarité avec les victimes de l’agression de Gaza en juillet et août 2014. Plusieurs personnes interpellées à Paris dans ces manifestations sont encore emprisonnées, et des organisateurs sont poursuivis.

    Mais la France laisse les mains libres aux colons et aux volontaires de nationalité française qui s’engagent dans les rangs de l’armée israélienne ! Elle encourage la coopération d’entreprises et d’universités françaises avec Israël, elle contribue même financièrement à travers les investissements de la Caisse des Dépôts et Consignations à développer la colonisation !

    LIBERTÉ POUR GEORGES IBRAHIM ABDALLAH ET POUR TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES PALESTINIENS !

    Avec Georges Ibrahim Abadallah, nous sommes solidaires du peuple palestinien et des quelques 7000 prisonniers politiques détenus dans les geôles sionistes. Parmi eux plus de 200 enfants !
    Notre rassemblement s’inscrit dans le cadre plus global de la solidarité avec le peuple palestinien et sa résistance. Une solidarité que nous continuerons à développer à Rennes, dans la dynamique des manifestations de cet été, quand Gaza était détruite par les bombes, que plus de 2100 personnes étaient massacrées, et que messieurs Hollande et Valls assuraient l’État d’Israël de leur amitié indéfectible...

    Tract d’appel au rassemblement du 24 octobre

     

    MANIFESTATION le 24 octobre à 18H place du Parlement à Rennes

    Appel au rassemblement : Association France Palestine Solidarité, Breizhistance, Collectif BDS-Rennes, NPA, PCF-Rennes Métropole, SLB, Union Juive Française pour la Paix

    PALESTINE VIVRA !! PALESTINE VAINCRA !

    http://www.ujfp.org/spip.php?article3583

     

     

     

  • Nouveautés sur Afps Rennes

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    AVOIR 20 ANS EN PALESTINE

    Vendredi 7 novembre 2014 Réservez la date !
    Salle Carambole 20h00 Centre Social Ty Blosne, 7 Bd de Yougoslavie
    (métro Le Triangle ou Le Blosne).

    Une délégation composée de jeunes Palestiniens et d’un jeune Israélien viendront "raconter" leur quotidien. Une rencontre et un échange certainement très intéressant qui permettra de mieux se rendre compte de la réalité sur le terrain et mesurer les conséquences de l’occupation israélienne. Réservez la (...)

     
    • Israël-Palestine : le conflit dans les manuels scolaires

      En septembre 2013, des propositions de changements dans les programmes d’histoire ont été présentées au Conseil supérieur de l’éducation. Il s’agit de donner plus de place au Moyen- Orient. À la demande de l’Association France Palestine Solidarité, du Collectif interuniversitaire pour la coopération avec les universités palestiniennes et de l’Institut de recherches de la FSU (principal syndicat enseignant), les auteurs de ce livre examinent la représentation du conflit israélo-palestinien dans les manuels (...)

    • Le sionisme en questions par Pierre Stambul

       

      Le sionisme en questions Tel est le titre d’un petit livre que Pierre Stambul vient de publier aux éditions Acratie (6 euros) Ça pourrait s’appeler "tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sionisme sans jamais oser le demander". Le livre est sorti. Vous pouvez le demander à votre libraire. Si vous voulez faire des commandes en masse, vous pouvez le commander à l’éditeur : editions.acratie@orange.fr / jean-pierre.duteuil@orange.fr Il sera également bientôt disponible à la vente au (...)

    • Un reportage sur Arte "Gaza : Looking for Mouna"

       

      Dans Gaza dévastée, notre reporter Barbara Lohr, est partie à la recherche de Mouna, une jeune fille qu’elle avait rencontrée après l’opération « Plomb durci », en 2009. Mouna, amputée d’une jambe, avait besoin de soins. Barbara a organisé son hospitalisation en France. Mouna est retournée chez elle. Après les bombardements de cet été, Barbara a voulu la retrouver. « Trois guerres en six ans. Mouna fait partie de cette génération de Gazaouis pour qui la vie n’est qu’une courte trêve entre deux conflits. (...)

    • Palestine : la solidarité est un droit, pas un délit

       

      Médiapart, , mercredi 8 octobre 2014 Cinéastes, écrivain-​​e-​​s, phi­lo­sophes, socio­logues, uni­ver­si­taires, artistes, musicien-​​ne-​​s, femmes et hommes poli­tiques lancent un appel en faveur de l’abandon des pour­suites contre Alain Pojolat et l’ensemble des mili­tants incri­minés pour les mani­fes­ta­tions de soutien à Gaza, cet été à Paris, et pour l’abrogation de la cir­cu­laire Alliot-​​Marie qui cri­mi­nalise le boycott d’Israël. Cet été, l’État d’Israël a conduit une nou­velle offensive meur­trière (...)

    • Quand un sous-préfet dérape... à Marseille

       

      Dans un enregistrement que s’est procuré « la Marseillaise », le directeur de cabinet du préfet de police invective une délégation kurde en des termes qui n’honorent pas la République. Préfecture de police, jeudi à 15 heures. D’un côté de la table, le sous-préfet Gilles Gray, directeur de cabinet du préfet de police, entouré de représentants des forces de l’ordre et des ex-renseignements généraux. De l’autre, une délégation Kurde. L’échange dont témoigne un enregistrement que s’est procuré La Marseillaise (...)

    • Véolia 3-2-1 : tout Rennes court... pour Véolia !

       

      Selon Nathalie Appéré, Maire de Rennes "Tout Rennes Court s’inscrit dans les grandes rencontres de pratique sportive populaires qui scandent la vie rennaise. Cette manifestation mobilise sur deux jours les personnes qui aiment courir. Les plus petits, les plus grands, les enfants des écoles... (.../...) Les partenaires de cette course font également preuve d’une constance dans l’engagement qui ne se dément pas. Il n’est pas nécessaire de rappeler toute leur importance pour la pérennisation de cette (...)

    • Veolia perd des marchés au Koweït : la com­plicité des entre­prises avec la colo­ni­sation sanctionnée

       

      Déclaration du Bureau National de l’AFPS La muni­ci­palité de Koweït City vient d’exclure la com­pagnie fran­çaise Veolia d’un gros contrat de gestion de déchets solides, à hauteur de 750 mil­lions de dollars. Basant sa décision sur la com­plicité de Veolia avec les projets israé­liens qui violent le droit inter­na­tional, et se référant à la cam­pagne inter­na­tionale BDS, la muni­ci­palité a décidé aussi d’exclure Veolia de « tous les contrats futurs ». Veolia a éga­lement été contrainte de retirer son offre pour (...)

    • La Suède va reconnaître l’État de Palestine

       

      La Suède va reconnaître l’« État de Palestine ». C’est ce qu’a annoncé, vendredi 3 octobre, le premier ministre, Stefan Löfven, soulignant que la solution au conflit israélo-palestinien passait par la création de deux Etats. « Une solution à deux Etats suppose une reconnaissance mutuelle et la volonté d’une coexistence pacifique. C’est pourquoi la Suède va reconnaître l’Etat de Palestine. » Cela doit se faire dans le respect « des exigences légitimes à la fois des Palestiniens et des Israéliens quant à leur (...)

  • Pour ne pas laisser tomber un silence de mort (Afps 44 )

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    Pour ne pas laisser tomber un silence de mort : 11 et 18 octobre

    Le Samedi 11 octobre 2014 à NANTES le Col­lectif 44 pour une paix juste et durable entre Israé­liens et Pales­ti­niens organise une journée en pré­sence de Mr L’Ambassadeur de Palestine en France et avec la Pré­si­dente de la Pla­te­forme nationale pour la Palestine.

    début du rassemblement à 15 h Place Daviais ( derrière la FNAC)

    Meeting-​​manifestation National à PARIS. "CONVER­GENCE NATIONALE" départ en car le matin et retour le soir. Prix du car le plus bas possible.

    PALESTINE

    POUR NE PAS LAISSER SE RÉINSTALLER UN SILENCE DE MORT !

    QUE POUVONS-​​NOUS FAIRE ?

    À Nantes, Samedi 11 octobre 2014

    Journée d’information et de sensibilisation sur la situation en Palestine.

    Avec Mon­sieur Hael AL FAHOUM, Ambas­sadeur et Chef de la Mission de Palestine en France

    et Claude LEOSTIC, Pré­si­dente de la Pla­te­forme nationale des ONG pour la Palestine.

    Les évè­ne­ments tra­giques de cet été confirment la nécessité d’une inter­vention inter­na­tionale pour contraindre Israël à res­pecter le Droit : levée du blocus de Gaza, l’arrêt de la colo­ni­sation, le respect des frontières.

    A 15 h Rassemblement Square Daviais ( proche du tram « Médiathèque » )

    A 16h, Inter­vention publique des 2 invités sur le parvis du Palais de justice de Nantes.

    A 18h, à la Maison des Syn­dicats, ques­tions et débat avec la salle, notamment sur les dif­fé­rents moyens d’agir, déjà engagés ou en pré­pa­ration, loca­lement et nationalement.

    A suivre : à Paris, journée nationale le 18 Octobre 2014 (départ en car de Nantes).

    Col­lectif 44 pour une paix juste et durable entre Pales­ti­niens et Israé­liens. (Asso­ciation France Palestine Soli­darité, Pays de Loire Gaza Jéru­salem, MRAP, Comité Palestine de Châ­teau­briant, Génération-​​Palestine, CIMADE, LDH, CCFD-​​Terre soli­daire 44, Artisans du monde Nantes , Comité Soli­darité Palestine Région nazai­rienne, Femmes soli­daires St-​​Nazaire, Mou­vement pour la paix St-​​Nazaire, UJFP, Enfants réfugiés du Monde, Asso­ciation Bou­guenais Jumelage Coopé­ration. UDCGT, UD Soli­daires - Ensemble-​​ Jeunes communistes44 –-NPA – PCF –- Démo­cratie et socialisme-​​ EELV-​​PG-​​ ARAC (Assoc répu­bli­caine des Anciens com­bat­tants) Obser­va­teurs : ACAT et CEMEA).

    Col­lectif 44 pour une paix juste et durable enttre Israé­liens et Pales­ti­niens

    21, allée Baco.44100 NANTES.

    Site : http://afps44.france-palestine.org

  • Rennes, soutien aux kurdes de syrie (akb)

    kuyt En Allemagne aussi

    A Rennes, plusieurs centaines de Kurdes, auxquels s’étaient jointes les Amitiés kurdes de Bretagne, avaient manifesté le 27 septembre leur soutien aux Kurdes de Syrie et rendu hommage aux Kurdes victimes de la barbarie, auxquels ils avaient associé Hervé Gourdel, lâchement assassiné par les mêmes barbares.

    Ils se sont relayés toute la semaine place de la mairie pour aller à la rencontre des Rennaises et Rennais et les inviter à signer des pétitions.

    Vendredi soir a été un temps fort avec prises de paroles des présidents d’Amara – Maison du Peuple kurde et des AKB. La présence nombreuse de femmes a été remarquée. Des femmes kurdes, mais aussi des représentantes de l’UDB et des AKB. On pouvait lire, sur une pancarte dénonçant le trafic d’esclavage sexuel mis en place par le prétendu «Etat islamique»: « Les femmes du monde entier s’unissent contre l’EI ».

    Des manifestations de soutien sont organisées dans les différentes parties du Kurdistan mais aussi en Europe, où les Kurdes de la diaspora sont particulière- ment actifs. Les organisations réunies dans la Coordination nationale Solidarité Kurdistan (parmi lesquelles l’UDB et les AKB) ont lancé une pétition.

    samedi 4 octobre 2014   Amitiés kurdes de Bretagne

    http://www.amitieskurdesdebretagne.eu/spip.php?article855

  • La priorité pour la Turquie n’est pas de combattre l’EI mais d’éradiquer le PKK (AKB)

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    "Nous n’attendons rien des soldats turcs",

    "l’armée turque n’envisage pas la moindre opération contre les combattants de l’EI?", "cette résolution va rester lettre morte", "ce vote du Parlement n’est que poudre aux yeux", telles sont les réactions des Kurdes qui défendent Kobanê, pied à pied depuis 3 semaines, à l’annonce du vote du parlement turc autorisant une intervention militaire turque en Irak et en Syrie.

    Et ce ne sont pas les promesses du nouveau premier Ministre Ahmet Davutoglu de faire "tout son possible" qui rassurent les combattants, déclaration d’ailleurs immédiatement tempérée par le Président Recep Tayyip Erdogan qui a rappelé que la priorité reste la chute de Bachar al-Assad auquel il voue personnellement une haine mortelle. C’est pour cette raison que les députés CHP (Parti républicain du peuple) se sont opposés à cette motion, le parti social-démocrate, héritier du parti fondé par Atatürk, accusant le gouvernement de vouloir profiter de la situation pour s’engager dans une confrontation armée avec le régime syrien en utilisant le prétendu « Etat islamique » (EI) comme prétexte.

    Les députés HDP(Parti démocratique du Peuple) se sont également opposés à cette motion, le parti pro kurde reprochant au gouvernement turc de ne pas se sentir prioritairement concerné par la lutte contre l’EI. Il en veut pour preuve son refus de condamner les massacres commis par les djihadistes, dont il tolère le recrutement sur son sol.

    Le double jeu habituel d’Erdogan

    Le texte voté par les députés de la majorité aux ordres permet bien à Ankara de déployer des soldats en Syrie et en Irak, mais prend soin de préciser que cette intervention ne se fera que si elle est jugée nécessaire. Par qui ? Par le président, bien évidemment. Les pays de la coalition restent pour leur part sur leur faim car ce texte ne répond pas à leurs attentes, il ne signifie pas que la Turquie fera partie des forces de frappe des opérations aériennes et terrestres contre l’EI. La volonté d’Erdogan est claire : il veut une zone tampon, avec une exclusion aérienne, qui lui permettra d’occuper le Kurdistan syrien, après que les forces kurdes se soient fait massacrer. Cette position est intolérable et Abdullah Öcalan a, depuis sa prison d’Imrali, menacé de rompre les négociations de paix entre le Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK) et Ankara si les djihadistes commettent un massacre à Kobanê à la faveur de l’inaction turque.

    L’obsession turque

    La menace kurde est devenue obsessionnelle pour l’AKP, le parti islamo conservateur du président Erdogan, alors qu’il voit dans les mouvements extrémistes comme l’EI un problème conjecturel créé par les dynamiques régionales plutôt qu’une menace sur le long terme.

    Cengiz Candar écrit dans le quotidien Radikal :

    malgré le processus de paix qui est en cours, Ankara souffre toujours d’une obsession kurde. La motion, préparée sous la pression des États-Unis, ne concerne que secondairement l’État islamique. Elle vise principalement le PKK et le YPG?, qui sont pourtant en train de combattre contre les djihadistes.

    C’est un vrai casse tête pour la Turquie, pour qui il est de plus en plus difficile de faire croire au monde entier que le PKK est une organisation terroriste. En envoyant ses combattants épauler leurs frères du PYD contre l’EI, le PKK gagne de plus en plus en légitimité internationale. Ankara voit avec inquiétude ces Kurdes s’organiser en un quasi-Etat au Rojava? aujourd’hui, mais pourquoi pas en Turquie demain ? "La situation avec Daesh est en train de transformer les groupes kurdes de simples groupes en acteurs politiques" peut-on lire dans la presse turque.

    Le combat qui se déroule à Kobanê n’est pas anecdotique

    Cette position ambiguë de la Turquie sera-t-elle tolérée par la coalition ? On peut le craindre car la Turquie possède la 2e force armée de l’OTAN et est capable d’amener des troupes au sol, sans lesquelles aucune guerre n’est gagnée. Dans le même temps seraient liquidées des forces kurdes qui contestent le modèle d’une économie libérale basée sur les lois du marché, du clientélisme et de la corruption. Il en serait fini du modèle social mis en place au Rojava, démocratique et décentralisé. Ce qui n’est pas pour déplaire à tout le monde.

    Il serait toutefois imprudent pour la coalition de miser sur une éradication des forces populaires kurdes : elles ont en leur sein des combattants et des combattantes non seulement courageux mais aussi expérimentés, sur lesquels il faut compter.

    Si tant il est vrai que l’intervention de la Turquie peut être décisive à court terme, il n’en reste pas moins vrai que le danger que représente l’EI pour tout le Moyen Orient et même au-delà requiert l’union de toutes les forces, incluant notamment l’Iran, les pays du Golfe, les sunnites irakiens, les Kurdes des quatre parties du Kurdistan, la Russie et même son protégé, le gouvernement syrien. Les Etats africains sont aussi concernés et la Chine devra se soucier des prétentions asiatiques de l’EI. Au regard de ces considérations, le combat qui se déroule à Kobanê est-il anecdotique ? Il n’en est rien. L’issue peut être décisive quant à la suite de l’implantation d’un « califat islamique ».

    Kobanê sera-t-il sauvé ? A l’heure où sont écrites ces lignes, le pire est à craindre mais le salut peut venir d’un sursaut international, d’une vision planétaire pour faire reculer la barbarie, d’une décision onusienne visant à permettre à chaque peuple de vivre libre.

    André Métayer

    samedi 4 octobre 2014
    par  Amitiés kurdes de Bretagne
     
  • Témoignage à Saint Malo (Afps 35)

    Anne de Bretagne

    MARYAL, une Palestinienne chrétienne, témoignera de son histoire et de la situation de son pays sous occupation. Nous sommes heureux de la recevoir à Saint-Malo, nous vous invitons à venir écouter son témoignage et à échanger avec elle.

    LUNDI 6 OCTOBRE 2014
    à partir de 18 heures
    MAIRIE DE PARAME SAINT-MALO

    La soirée se terminera par un « buffet partagé » pour lequel nous vous invitons à amener un petit « quelque chose » salé ou sucré.

    Association France Palestine Solidarité Pays de Saint-Malo
    CCFD Terre Solidaire (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement)
    Contacts :  02-99-40-30-59 et  02-96-89-12-49

    http://www.rennespalestine.fr/?+Temoignage,150+