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Palestine - Page 38

  • Plainte pour complicité de crimes de guerre à Gaza contre l’entreprise française Exxelia (Ujfp)

     

    Une famille palestinienne porte plainte en France pour complicité de crime de guerre et homicide involontaire contre l’entreprise française Exxelia Technologies. Les plaignants, représentés par le cabinet Ancile-avocats et assistés par l’ACAT (Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture), sont des membres de la famille Shuheibar résidant à Gaza City, dont trois enfants ont perdu la vie lors d’une frappe israélienne en 2014.

    Le 17 juillet 2014, au cours de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza appelée l’opération « Bordure protectrice », un missile – vraisemblablement tiré par un drone - s’est abattu sur le toit de leur maison où cinq enfants nourrissaient les pigeons. Une fille, Afnan (8 ans) et deux garçons, Wassim (9 ans) et Jihad (10 ans) sont morts. Deux autres garçons, Udai (15 ans) et son cousin Bassil (9 ans), ont été grièvement blessés.

    Un composant de fabrication française a été trouvé parmi les débris du missile tiré sur la maison. L’ACAT et son partenaire palestinien ont documenté l’attaque, recueilli des témoignages et soumis les débris à l’analyse d’experts militaires internationaux.
    Les rapports d’expertise permettent d’établir que le composant français retrouvé sur les lieux de l’attaque est un capteur sensoriel à effet Hall fabriqué par l’entreprise française Eurofarad , aujourd’hui nommé Exxelia Technologies depuis son rachat par Exxelia Group en 2015. Ce composant fait partie d’un missile de petite taille tiré depuis les airs, vraisemblablement par un drone.

    Les survivants et les témoins affirment qu’aucune cible militaire n’était présente dans la maison au moment de l’attaque ni à aucun autre moment. Ce faisant, le domicile est considéré comme un objet civil qui ne peut pas visé par une attaque selon le droit international. L’attaque de la maison avec les morts civils et les dégâts matériels qui en ont résulté était donc illégale et pourrait constituer un crime de guerre. Les plaignants accusent l’entreprise française de s’être rendue coupable de complicité de crime de guerre ou, a minima, d’homicide involontaire, s’il est établi qu’elle a vendu le capteur à une entreprise de défense israélienne. Ils ont porté plainte auprès du parquet du pôle judiciaire spécialisé dans les crimes de guerre.

    « Il est malheureux que l’impunité criante des crimes de guerre commis à Gaza impose aux victimes de devoir saisir la justice française », regrette Joseph Breham, avocat au cabinet Ancile-avocats, Selon son associée, Me Ingrid Metton, « L’industrie de l’armement française ne peut plus échapper à sa responsabilité morale et juridique. Vendre du matériel qui sert à commettre des crimes de guerre doit être sévèrement sanctionné ».

    Au-delà d’Exxelia, nous appelons la France à faire preuve de responsabilité, elle qui a joué un rôle moteur dans l’élaboration et l’adoption du Traité sur le commerce des armes » rappelle Hélène Legeay, responsable des programmes Maghreb/Moyen-Orient à l’ACAT. Ce traité interdit aux États d’exporter des armes mais aussi des composants qui pourraient être utilisés pour commettre des crimes de guerre. « Au lieu de se féliciter de vendre des armes à des pays qui commettent de graves violations des droits de l’homme et du droit humanitaire, la France devrait faire en sorte qu’à l’avenir, on ne puisse plus trouver une seule pièce de fabrication française sur un site de crimes de guerre »

    Deux ans après l’opération “Bordure protectrice”, les autorités israéliennes n’ont toujours pas effectué d’enquête crédibles sur les attaques Illégales menées directement contre des civils. Ce dernier exemple d’impunité est emblématique de l’échec patent d’Israël à se conformer à son obligation internationale d’enquêter sur les sérieuses allégations de violations et de garantir la justice et la réparation des victimes d’attaques militaires illégales. Israël a refusé ou omis de mener des enquêtes crédibles sur des centaines de cas.

    29 juin 2016 - Communiqué de presse de l’ACAT

    Contacts presse :
    • Pierre Motin, ACAT, 01 40 40 40 24 / 06 12 12 63 94 pierre.motin@acatfrance.fr
    • Me Joseph Breham et Me Ingrid Metton, cabinet Ancile-avocats, 01 44 54 46 33


    Notes aux rédactions :
    • Un document de questions/réponses concernant la plainte est disponible en suivant ce lien.
    • Des photographies sont disponibles en suivant ce lien. Pour un achat de ces photographies pour une utilisation média, envoyer un mail à annepaq@gmail.com. Cette photographie est quant à elle libre de droit pour une utilisation à 1/4 de page sauf couverture, avec le crédit : Anne Paq/Activestills.org.


    Un webdocumentaire intitulé « Obliterated Families » réalisé par la photojournaliste Anne Paq et la reporter Ala Qandil avec le soutien de l’ACAT sera rendu public le jeudi 7 juillet, à l’occasion des deux ans de l’opération « Bordure protectrice ». Anne Paq a pris les photos des fragments du missile chez la famille Shuheibar. Il raconte l’histoire de 10 familles ayant subi les attaques israéliennes de l’été 2014, dont la famille Shuheibar.

     
  • Paris Palestine

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  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

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  • Les enfants palestiniens soumis à mauvais traitements (Le Peuple breton)

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    L’opinion internationale reconnaît en général que le traitement infligé par Israël aux enfants palestiniens est tout simplement scandaleux, même si les États eux-mêmes ne se mouillent pas trop sur le sujet. Quand à ceux qui soutiennent la colonisation israëlienne, ils crient souvent à la désinformation quand la communication provient de l’AFPS (Association France-Palestine Solidarité). Mais les mêmes ont plus de mal à contester les mêmes informations quand elles proviennent aussi d’organisations ou d’associations apolitiques qu’elles soient d’ailleurs confessionnelles ou non confessionnelles.

    L’ACAT (Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture), organisation chrétienne œcuménique, vient de publier avec d’autres ONG dont la Ligue des Droits de l’Homme un rapport sur les multiples violations des droits de l’homme dont sont victimes les mineurs palestiniens aux mains des forces armées et de la police israéliennes. Tortures, mauvais traitements, simulacres de justice, impunité des forces de l’ordre, les associations dressent un bilan désastreux de la détention des enfants palestiniens.

    L’ACAT nous livre par exemple le témoignage de Tayeb :

    « J’ai ouvert la porte. J’ai vu le soldat en face de moi. Il m’a demandé : « tu es Tayeb ? » Je lui ai dit oui, il m’a attrapé, tordu les mains et tabassé contre la porte. Nous nous sommes dirigés vers la porte qui donne sur la rue, mon voisin a jeté un objet sur le soldat, ce qui l’a mis de mauvaise humeur, et il a commencé à me frapper, il m’a frappé au visage, très fort. »

    (Tayeb, arrêté à 14 ans, camp de réfugiés d’Al-Fawar)

    Depuis 2000, nous dit le rapport, « 500 à 700 mineurs palestiniens passent dans les prisons militaires israéliennes et fin février 2016, plus de 440 mineurs – dont 104 âgés de 12 à 15 ans – étaient ainsi emprisonnés. »

    Il faut rappeler aussi qu’en novembre 2015, la Knesset (Assemblée israélienne) a adopté une loi qui autorise des peines plus longues d’emprisonnement pour des enfants jugés coupables d’avoir jeté des pierres et qui autorise le gouvernement à suspendre le paiement des aides sociales à leur famille pendant que les enfants purgent leur peine.

    Le plus grave est que 75 % des mineurs détenus subissent des violences physiques durant leur arrestation, transfert ou interrogatoire, et que ces violences perdurent pendant toute la période d’incarcération, jusqu’à la sortir de prison. Ce ne sont pas forcément des violences physiques, ce sont souvent des mauvais traitements qui vont de la menace à l’humiliation.

    Mais dans d’autres cas, nous apprend le rapport des ONG, « gifles, coups de pieds, insultes, menaces de torture, d’agression sexuelle, de condamnations sont monnaie courante. Plus d’un dixième des mineurs arrêtés sont maintenus à l’isolement pendant une durée moyenne de treize jours. Le plus souvent, ils ne peuvent rencontrer ni leurs parents ni un avocat. »

    Le récent rapport de l’ACAT sur les « violences policières en France » dont Le Peuple breton avait rendu compte insistait sur un certain nombre de cas d’impunité après des cas de violences dans l’hexagone.

    En Israël, l’impunité est la règle générale. En effet, 98,5 % des plaintes ne donnent cas à aucune poursuite !

    Ici, il y eut une époque où les prisonniers bretons (FLB), basques (ETA) ou corses (FLNC) étaient systématiquement incarcérés en région parisienne pour les deux premiers cas, du côté de Toulouse pour le troisième cas. L’UDB, tout en condamnant la violence, a toujours protesté contre cet état de fait qui pénalisait lourdement les familles pour leurs visites.

    En Israël, on retrouve la même chose, amplifiée par le fait que les prisonniers sont des mineurs ! Car une grande partie des enfants arrêtés sur le territoire palestinien sont condamnés puis transférés dans des prisons situées en Israël, en violation de la quatrième convention de Genève. Cela entrave les visites familiales, et bien sûr cela en accentue le traumatisme psychologique engendré par la détention.

    En outre, en octobre 2015, les autorités israéliennes ont renoué avec la détention administrative de mineurs palestiniens, après avoir suspendu cette pratique pendant quatre ans. Cette détention consiste à incarcérer des prisonniers pendant un temps indéterminé sans aucun contact avec la famille ou avec un avocat, au bon vouloir de l’administration. Depuis 2015, au moins dix mineurs ont été placés en détention administrative.

    Pour rappel, cette méthode était en vogue dans l’Afrique du Sud du temps de l’Apartheid, et elle encore en vogue au Mexique. Là-bas, cela s’appelle l’« Arraigo » et l’ACAT a mené plusieurs campagnes contre cette politique.

    Ce même rapport est repris par Partage, association française de solidarité internationale non confessionnelle et apolitique.

    « Créée en 1973, pour venir en aide aux enfants victimes de la guerre du Vietnam, Partage rassemble alors des fonds pour aider ces enfants, et cherche à assurer des ressources régulières sur le long terme pour aider les plus défavorisés. »

    Partage a choisi de travailler uniquement avec des associations locales expérimentées d’aide à l’enfance partout dans le monde et aide en particulier à la scolarisation d’enfants au Liban, qu’ils soient Libanais ou non, et parmi eux des enfants palestiniens.

    Dans son bulletin de juin, Partage reprend à son compte tous les griefs du rapport des ONG citées plus haut en condamnant à son tour la politique d’Israël envers les enfants palestiniens.

    Et Partage nous explique que « l’économie des territoires palestiniens ne cesse de s’effondrer ces dernières années. Le morcellement du territoire, les restrictions de mouvements imposés par Israël, le blocus sur Gaza ainsi que la faiblesse des investissements publics et privés en sont les principales causes. Sans l’aide internationale, le taux de pauvreté qui est de 51,8 % dans la bande de Gaza et 19,1 % en Cisjordanie, serait respectivement de 79,4 % et 45,7 %. Le chômage atteint quant à lui 70 %. […] 50 000 enfants sont victimes de malnutrition chronique à Gaza. »

    Ces chiffres parlent d’eux-mêmes !

    Beaucoup diront qu’on ne peut rien faire . C’est faux, même si on ne peut parfois agir que ponctuellement et localement. Pour preuve, et pour avoir une conclusion un peu positive, Partage nous explique comment l’association agit pour aider les enfants, mais pas que les enfants, à travers un partenaire en Palestine, IBDAA :

    « IBDAA est un centre culturel créé en 1994 par et pour les habitants du camp de réfugiés de Dheisheh, près de Bethléem. Son objectif est de permettre aux enfants d’accéder à la culture pour développer leurs compétences, leur créativité et leur confiance en eux. IBDAA possède une crèche et une école maternelle. Une bibliothèque et un centre informatique sont à la disposition des jeunes du camp qui peuvent aussi participer à des activités sportives ou culturelles (troupe de théâtre, de danse…). IBDAA travaille également avec les femmes du camp à travers le Comité des femmes qui leur propose plusieurs services et a mis en place un atelier de broderie traditionnelle qui leur permet également d’avoir une source de revenus. »

     

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