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Solidarité - Page 83

  • Rassemblement :Gaza, un an après, où est la justice ? (Afps)

     

    GAZA, UN AN APRES, OU EST LA JUSTICE ?

    Que fait la communauté internationale ?

    Il y a tout juste un an, une attaque israélienne de grande ampleur frappait la bande de Gaza assiégée. La troisième en 7 ans.

    2 200 morts, 11 000 blessés, des centaines de milliers d’orphelins, de handicapés, de familles sans abris. Un territoire –tout petit, 360 km² pour 1 800 000 habitants- en ruines, les infrastructures indispensables détruites. Une situation sanitaire et humanitaire insoutenable.

    51 jours de guerre israélienne intense contre la population de Gaza et la résistance qui ne cède pas. Le 21 août, le cessez-le-feu laisse espérer un léger allègement du blocus qui étrangle Gaza depuis 8 longues années. Et en octobre, la conférence des donateurs, au Caire, voit fleurir les promesses d’aide à la reconstruction.

    Alors, Gaza reconstruite, les plaies pansées ? NON !

    Les donateurs n’ont pratiquement rien donné, le blocus est hermétique, y compris au sud, où l’Egypte du général Sissi a fermé Rafah. La reconstruction n’est qu’un vague espoir tandis que les pêcheurs sont régulièrement visés par les tirs de la marine israélienne, comme les paysans le sont par les chars israéliens qui patrouillent à l’est. Alors que l’eau potable et les médicaments manquent, les Palestiniens de Gaza restent enfermés et leur économie est ruinée par le blocus et les destructions.

    Aucun préalable à la levée du blocus de Gaza n’est acceptable. Exigeons la levée du blocus de Gaza, le rétablissement de la continuité territoriale palestinienne, et le retrait du Hamas de la liste des organisations terroristes.

    Les déclarations du gouvernement israélien, sous fond de bombardements qui n’ont jamais cessé, laissent craindre une nouvelle offensive militaire. Il est urgent que les cris d’alarme des représentants des Nations unies à Gaza trouvent un écho auprès de nos gouvernements. Si une autre attaque criminelle venait à frapper Gaza, la responsabilité serait aussi celle de la « communauté internationale ».

    Alors nous disons, ça suffit. Fin de l’impunité octroyée à Israël.

    Levée immédiate du blocus illégal et inhumain de Gaza, sans condition, et liberté de circulation avec le reste de la Palestine.

    Sanctions contre Israël jusqu’au respect du droit international !

    Mercredi 8 juillet à 18h

    Place de la République

    Signataires membre de Collectif pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens

    Agir Contre le Colonialisme Aujourd’hui (ACCA) – AFD International - Alternative Libertaire (AL) - Américains contre la guerre (AAW) - Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF) - Association des Tunisiens en France (ATF) - Association France Palestine Solidarité (AFPS) - Association Nationale des Elus Communistes et Républicains (ANECR) - Association pour la Taxation des Transactions financières et pour l’Action Citoyenne (ATTAC) - Association pour les Jumelages entre les camps de réfugiés Palestiniens et les villes Françaises (AJPF) - Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) - Association Universitaire pour le Respect du Droit International en Palestine (AURDIP) - Campagne Civile Internationale pour la Protection du Peuple Palestinien (CCIPPP) - Cedetim / IPAM - Collectif des Musulmans de France (CMF) - Collectif Faty Koumba : Association des Libertés, Droits de l’Homme et non-violence - Collectif interuniversitaire pour la coopération avec les Universités Palestiniennes (CICUP) - Collectif Judéo-Arabe et Citoyen pour la Palestine (CJACP) - Collectif Paix Palestine Israël (CPPI Saint-Denis) - Comité de Vigilance pour une Paix Réelle au Proche-Orient (CVPR PO) - Comité Justice et Paix en Palestine et au Proche-Orient du 5e arrt (CJPP5) - Droit-Solidarité – Ensemble - Europe Ecologie les Verts (EELV) – Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR) - Fédération Syndicale Unitaire (FSU) – Forum Palestine Citoyenneté - Gauche Unitaire (GU) - Génération Palestine - La Courneuve-Palestine - le Mouvement de la Paix - les Femmes en noir - Ligue des Droits de l’Homme (LDH) - Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté, section française de la Women’s International League for Peace and Freedom (WILPF) (LIFPL) - Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP) - Mouvement Jeunes Communistes de France (MJCF) - Mouvement Politique d’Emancipation populaire (M’PEP) - Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) - Organisation de Femmes Egalité - Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF) - Parti Communiste Français (PCF) - Parti de Gauche (PG) - Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM) – Socialistes pour la Paix – Sortir du colonialisme - Une Autre Voix Juive (UAVJ) - Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens (UTIT) - Union Générale des Etudiants de Palestine (GUPS-France) - Union Juive Française pour la Paix (UJFP) - Union Nationale des Étudiants de France (UNEF) - Union syndicale Solidaires.

    Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Israéliens et Palestiniens

    http://www.france-palestine.org/Gaza-un-an-apres-ou-est-la-justice-Que-fait-la-communaute-internationale

  • 3 questions à Georges Gumpel (Ujfp)

    Israël : Campagne Boycott-Désinvestissement-Sanction

    1 - Une campagne est en cours pour demander le retrait d’Israël des compétitions de football. Cette campagne rappelle le précédent de l’Afrique du Sud en 1976. Qu’est-ce qui pourrait assurer le succès d’une telle campagne ?

    Comme toutes les actions initiées par la campagne BDS France, en coordination avec la campagne BDS palestinienne, celle-ci a pour objectif de toucher et mobiliser les plus larges pans de la société civile à qui s’adressent les Palestiniens. Le football – par sa force symbolique – et c’est ce que comprend parfaitement Israël - parce qu’il concerne un public de tout âge, beaucoup de jeunes, est un enjeu majeur, comme il l’a été hier dans la campagne contre l’apartheid Sud -Africain.


    Interpeller la FIFA, qui soutient Israël et boycotte les équipes de football palestiniennes, exiger que les équipes israéliennes, représentant un Etat qui opprime et emprisonne tout un peuple, soient exclues des compétitions internationales, possède un impact pédagogique compréhensible dans le mouvement sportif en général, dans la société civile au sens le plus large du mot.
    Dans le cas des équipes de sport israéliennes comme pour toutes les autres cibles de la campagne BDS, ce sont les actions populaires les plus larges qui permettent ou permettront d’éveiller les consciences du plus grand nombre sur la nature exacte du régime israélien imposé au peuple palestinien tout entier.

    2 - Vous avez lancé une campagne contre Teva, une marque israélienne de médicaments génériques. Comment se passe cette campagne et que doit-on faire pour y participer ?

    Téva est une des plus importantes entreprises israéliennes, elle finance directement les opérations militaires contre Gaza.
    Pour mémoire :
    Au cours de la dernière attaque militaire israélienne sur Gaza de l’été 2014, parmi les 2220 palestiniens tués, 1492 étaient des civils dont 547 enfants. 3374 autres enfants ont été blessés, plus de 1000 seront handicapés à vie.
    Toutes les infrastructures médicales et hospitalières ont été touchées, partiellement ou totalement détruites.
    Celles en mesure de recevoir et de soigner des patients ne sont alimentées en électricité que quelques heures par jour, la seule centrale électrique qui était encore en fonction ayant été détruite. Toutes ces structures médicales manquent de matériel et de médicaments - génériques ou non - interdits d’entrer à Gaza du fait du blocus.
    Les malades qui souhaiteraient se faire soigner ailleurs ne peuvent pas sortir de Gaza toujours en raison du blocus.

    Alors, Téva, première entreprise israélienne de médicaments génériques pour soigner l’humanité ? Sauf s’ils sont Palestiniens naturellement.
    Tel est le sens de l’autocollant sur lequel est inscrit TEVA non merci ! diffusé par la campagne BDS, déjà collé sur leurs cartes Vitale par plus de 30 000 personnes. Un geste de solidarité, de morale très exactement, à la portée de tout le monde. Un refus d’être complice des atteintes faites aux Droits de l’Homme, aux Droits des Enfants, tels qu’ils sont spécifiés dans le Droit International.

    3 - Des magasins Lidl ont retiré discrètement des produits alimentaires de marque Mehadrin en provenance d’Israël dans des villes où la campagne BDS est très active (Montpellier, Nîmes). Que conseillez-vous de faire aux groupes qui veulent agir en direction de la grande distribution ?

    La grande distribution – toutes marques confondues – cible la clientèle populaire la plus large, souvent la plus démunie, très souvent – également – la plus sensible à la question du sort fait aux Palestiniens.
    Nombreuses sont les personnes rencontrées qui, bien qu’ignorant l’existence de la campagne BDS, pratiquent depuis longtemps un boycott solidaire des produits emblématiques israéliens vendus dans la grande distribution.

    A cet égard, la campagne BDS, par les informations qu’elle apporte, ne fait que conforter dans cette large partie de notre société civile, les sentiments de solidarité qui étaient déjà les siens.
    Aujourd’hui Méhadrin, entreprise israélienne coloniale de production et d’exportation de fruits, légumes et fleurs, cultivés sur des terres palestiniennes confisquées, sinon volées – en Israël et dans les Territoires Occupés — arrosés à partir du détournement des ressources aquifères palestiniennes, représente — par son rôle central dans la dépossession et les humiliations subies par les Palestiniens — le symbole par excellence que nos concitoyens abhorrent.

    De nombreuses marques de la grande distribution se sont engagées dans des politiques de ventes respectant des normes éthiques, nous leurs demandons que celles-ci soient également appliquées pour tous les produits importés en France en provenance d’Israël et des Territoires Palestiniens Occupés, dans le respect des normes du droit international.  La campagne BDS est une campagne citoyenne, pédagogique, non violente, aux mains de toutes et tous.

    Par sa nature, elle touche toutes les couches de notre société, dans des grandes villes mais aussi dans de nombreuses petites villes de France. Partout, nous demandons aux personnes qui s’en réclament d’observer les caractères pédagogiques et non violents décrits dans le matériel national que nous leurs procurons.

    dimanche 5 juillet 2015 par Georges Gumpel
    Article publié dans la revue "Silence"

    Georges GUMPEL est
    - membre de l’Union Juive Française pour la Paix
    - fils de déporté
    - partie civile au procès Barbie

    http://www.ujfp.org/spip.php?article4283

  • Nouveautés sur Agence Médias Palestine

     

     

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    Maison détruite à Khan Younis, Sud de la bande de Gaza, le 2 juillet 2015 – Ashraf Amra APA images La dernière fois que ma petite nièce Ranim a vu son père, c’était quand des bombes israéliennes tombaient sur les têtes et sur les maisons de plus de 10 000 Palestiniens à Shoujaiya, à l’Est...
     
     
     
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    Rania Khalek – The Electronic Intifada – 30 juin 2015 Les dégâts causés par les explosifs israéliens sont toujours visibles dans cette mosquée et dans beaucoup d’autres immeubles de Gaza. Mohammed Asad/APA Images Israël a tué et blessé plus de civils avec des armes explosives que n’importe quel autre État dans le monde en 2014,...
     
     
     
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  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

  • Palestine:L’impasse de la « réconciliation » (Npa)

     

    Une fois de plus, les divisions entre les deux principaux courant du mouvement national palestinien (Fatah et Hamas) ont éclaté au grand jour, avec la récente décision du clan Abbas de dissoudre le gouvernement de l’Autorité palestinienne (AP) et d’en former un nouveau.

    Or le gouvernement actuel est supposé être un « gouvernement d’union nationale » suite à un accord signé en avril 2014. Depuis l’annonce de la dissolution, des rencontres ont eu lieu entre représentants du Hamas et du clan Abbas, mais aucun compromis n’a été, jusqu’à présent, obtenu.

    La fin de l’illusion de la « réconciliation nationale » ?

    Ces événements confirment ce que nous signalions il y a un an : l’accord dit « d’union nationale » était un accord précaire qui ne reposait sur aucun programme politique, essentiellement motivé par les ­intérêts respectifs d’un Hamas isolé et asphyxié à Gaza et d’un Abbas largement décrié par la population palestinienne. En signant le texte de la « réconciliation », les deux principaux courants du mouvement national ne s’engageaient pas dans un processus viable : « Simple subterfuge, [l’accord] a été adopté par ses signataires sur la base d’une convergence conjoncturelle d’intérêts organisationnels, mais en l’absence d’un rapprochement ­politique de fond »1.

    Durant un an, l’accord n’a été que très partiellement appliqué et ses points aveugles, notamment le contrôle et les activités des services de sécurité palestiniens, n’ont pas été clarifiés. Aujourd’hui le Hamas accuse le gouvernement de technocrates (basé à Ramallah) de n’avoir eu aucune politique vis-à-vis de la bande de Gaza, qu’il s’agisse du versement régulier des salaires des fonctionnaires ou de la participation financière à la reconstruction des bâtiments détruits lors des bombardements israéliens de l’été dernier. Ramallah accuse de son côté le Hamas d’empêcher le gouvernement d’agir à Gaza et de refuser de renoncer à son contrôle exclusif sur l’enclave côtière. Les récents développements ne sont que l’expression d’une vérité simple : malgré l’accord signé en avril 2014, il n’y a jamais eu de réelle « réconciliation ».

    Co-gérer l’occupation ou la combattre ?

    L’échec de la réconciliation (et ce quand bien même un nouvel accord ponctuel serait trouvé à court terme) illustre les impasses dans lesquelles le mouvement national « historique » est engagé. L’accord d’avril 2014 portait en effet sur la « gouvernance » de l’AP, et non sur un programme de lutte pour la libération. Il s’agissait de s’entendre sur la place des uns et des autres au sein d’une structure politico-­administrative (l’AP) financée par les pays occidentaux, structure dont la fonction est de gérer la vie des Palestiniens sous occupation, et non de s’accorder sur une stratégie commune dans la lutte contre l’occupation dans le cadre du combat national.

    Ces affrontements entre appareils, qui concernent essentiellement la répartition des ressources financières, la gestion des services de sécurité et la légitimité internationale, n’intéressent plus la population des territoires occupés, ni les militants anti-­occupation. 20 ans après la signature des accords d’Oslo, ceux-ci ont en effet bien compris que la seule « réconciliation » possible et utile pour le peuple palestinien serait une réconciliation autour d’un programme et d’une stratégie pour la libération nationale, ce qui passe nécessairement par une rupture avec le carcan d’Oslo, une confrontation avec les appareils obsédés par leurs intérêts matériels et symboliques et, probablement, par une dissolution de la structure Autorité palestinienne. 

    Julien Salingue

    1. Jean-François Legrain, « Le leurre de la “réconciliation” entre le Fatah et le Hamas », Orient XXI, 2 juillet 2014

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    Par Ali Abunimah, 25 juin 2015 Les investissements étrangers en Israël ont chuté de près de 50 % en 2014, un fait attribué à l’offensive de l’été dernier sur Gaza et à l’impact grandissant des boycotts. Cette semaine, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) a publié son Rapport annuel...

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    Un policier palestinien devant l'affiche demandant la libération de Khader Adnan, le 7 juin à Gaza. Mohammed Salem / Reuters

  • Quimper Rassemblement flotille Gaza (Afps Quimper)

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    La 3ème Flottille de la Liberté, formée de 4 bateaux, qui essayait de forcer pacifiquement le blocus illégal de la Bande de Gaza et d’apporter à sa population une aide humanitaire, a été attaquée aujourd’hui à 2 h du matin par l’armée israélienne.

    Le navire “Marianne”, principale unité de la Flottille, a été capturé par les Israéliens; le navire, l’équipage et les passagers ont été emmenés de force vers le port israélien d’Ashdod. La “Marianne” a été encerclée par trois navires israéliens alors qu’elle se trouvait dans les eaux internationales, à environ 100 milles nautiques des côtes.

    Nous appelons donc à un

    Rassemblement pour protester contre ce nouvel acte de piraterie de l’armée israélienne, pour demander au gouvernement français d’intervenir pour que soient libérées les personnes arrêtées, pour que le navire et sa cargaison soient restitués, pour que l’accès par voie maritime à la Bande de Gaza soit garanti et pour que le blocus israélien de ce territoire palestinien soit immédiatement et entièrement levé.

    Ce rassemblement aura lieu jeudi prochain 2 juillet, à 18 h,

    Place de la Résistance à Quimper.