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Morocco's cargo women (The Guardian.uk)
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Quand la France colonisait le Maroc par la dette (Orient 21)
Le rôle de la dette dans l’établissement du protectorat français au Maroc n’est plus à démontrer.
Guy de Maupassant y fait même allusion vingt ans plus tôt dans son roman Bel-Ami (1885) ! Du milieu du XIXe siècle à 1912, le Maroc affronte en effet des difficultés financières croissantes. L’engrenage infernal de la dette qui lui fut fatal ne commence toutefois qu’au début du XXe siècle, avec l’emprunt de 1904.
Les racines de l’endettement marocain vis-à-vis de la France menant à l’emprunt 1904 sont multiples. À long terme, la faiblesse des ressources de l’État sultanien réside dans la dichotomie entre l’espace où l’État exerce son autorité, le bled el-makhzen, et l’espace non soumis à l’autorité centrale, dissident, contestataire, le bled Siba. Ce véritable mode de régulation de l’empire chérifien1 entraîne un niveau élevé de dépenses militaires sans que la soumission des tribus ne soit définitivement acquise.
À moyen terme, le Maroc souffre d’un déficit commercial devenu structurel depuis la fin des années 1870. L’exportation massive de capitaux qui en découle nourrit une crise monétaire sans fin appelant sans cesse des flux de capitaux entrants. Ce déficit commercial est la conséquence directe de l’ouverture commerciale du Maroc, entamée dès 1856 par le traité commercial signé avec le Royaume-Uni. L’expansion du droit de protection — l’exemption de toute taxe — dont bénéficient les Européens vampirise par ailleurs les ressources fiscales du Maroc tout en minant l’autorité du sultan.
Enfin, un certain nombre d’événements politiques déclenchent la crise dans ce contexte d’affaiblissement structurel. En 1900, le régent Ahmed Ben Moussa dit Ba Ahmed décède et son neveu, le jeune Abdelaziz Ben Hassan (22 ans) accède au trône. Il devient alors le jouet d’influences étrangères. Ses dépenses somptuaires et extravagantes (chemin de fer dans son palais à Meknès, voitures, appareils photos en or massif…) encouragées par des missions européennes à sa cour creusent le déficit commercial, en plus d’accréditer les accusations d’impiété qui le visent. Plus grave encore, la réforme de l’impôt, le tertib, décidée en 1901 sous l’impulsion de l’envoyé britannique Arthur Nicholson désorganise le système fiscal : la suppression des anciens impôts islamiques et l’instauration d’un nouvel impôt basé sur la surface cultivée provoquent une levée de boucliers généralisée. Le sultan est dès lors brusquement dans l’impossibilité de percevoir tout impôt direct auprès de ses sujets.
Le contexte européen est également crucial pour comprendre la gestation de cet emprunt. En France, le ministère des affaires étrangères cherche à assurer progressivement la prépondérance française au Maroc, en évitant de froisser ses concurrents à une époque d’intenses rivalités impériales. La doctrine de « pénétration pacifique » du ministre Théophile Delcassé le mène à placer ses espoirs dans l’arme financière. Méfiant à l’égard de la Banque de Paris et des Pays-Bas (Paribas), qui incarne la haute finance internationalisée, il soutient d’abord la petite société Gautsch du groupe industriel Schneider. C’est elle qui émet l’emprunt marocain de 1902 de 7,5 millions de francs. Elle ne détient toutefois pas suffisamment de capitaux pour se montrer à la hauteur des ambitions du Quai d’Orsay. Il doit alors traiter avec la banque Paribas, avec laquelle il ne parvient pas à s’accorder. Ces divergences menacent l’avance prise par les Français : en 1903, des emprunts anglais et espagnols subviennent aux besoins immédiats du sultan. Ce n’est qu’après l’Entente cordiale d’avril 19042 entre la France et le Royaume-Uni que l’emprunt peut être conclu, en juin 1904.
Vers l’instauration du protectorat
L’emprunt n’améliore pas la situation financière du Maroc, bien au contraire. Sur les 62,5 millions de francs prêtés au Maroc, le sultan n’en perçoit que 10,5 millions, le reste servant à rembourser des dettes précédentes et à couvrir les frais d’émission. Le Makhzen se retrouve à nouveau à court de liquidités avant même la fin de l’année. L’emprunt 1904 inaugure ainsi une décennie de détresse financière durant laquelle l’empire chérifien ne peut que contracter de nouvelles dettes pour rembourser les précédentes. En 1910, un nouvel emprunt de consolidation s’élevant à 101 millions de francs parachève l’asphyxie financière du Maroc.
Malgré cet engrenage, l’étendue de l’endettement marocain calculé au regard des critères standards apparait étonnamment faible. La dette, mesurée selon l’indicateur le plus courant (dette publique/PIB, voir encadré) n’est que de 10 % en 1904, et s’élève à 35 % en 1912. La faiblesse de cet endettement révèle sa nature. Si le Maroc dans sa totalité produit suffisamment de richesses pour que le poids de la dette n’apparaisse pas écrasant, le pouvoir central n’y a en réalité pas accès. L’expansion européenne a de fait brisé le lien fiscal qui unit le Makhzen à sa population. À la suite de la désastreuse réforme fiscale de 1901, le sultan Abdelaziz accusé d’être à la solde des Européens affronte de surcroît une révolte généralisée. Il est finalement destitué en 1907 au profit de son frère Moulay Abdelhafid Al Hassan, qui ne pourra plus infléchir la situation. Entre 1903 et 1912, la dette représente en effet entre 10 et 16 années de recettes fiscales, tandis qu’en moyenne 40 % de ces recettes sont absorbées par le service de la dette chaque année.
Un acteur majeur, la banque Paribas
Mais la force de la dette en tant qu’instrument de conquête coloniale ne réside pas seulement dans sa nature financière. Car la dette est politique : elle implique la création d’institutions nécessaires à sa gestion qui empiètent nécessairement sur les fonctions étatiques. Dès la signature du contrat de l’emprunt 1904, une administration du contrôle de la dette est créée pour prélever les revenus douaniers nécessaires à son service. À la suite de celui de 1910, cette administration collecte la totalité des douanes et des taxes urbaines de Casablanca, en plus d’organiser la police et la sécurité à l’intérieur même du pays.
Le contrat de l’emprunt 1904 prévoyait également une Banque d’État du Maroc (BEM) qui ne sera créée qu’en 1907, après la conférence d’Algésiras3 (1906). Si la BEM est gérée par les puissances occidentales signataires d’Algésiras, elle détient néanmoins les clés du système monétaire marocain : elle obtient le monopole d’émission de la monnaie, le statut de trésorier-payeur et un droit préférentiel pour l’émission des emprunts futurs.
En 1912, un acteur économique est en position de force dans le Maroc nouvellement conquis : Paribas. La banque a de fait pris la tête du consortium bancaire émetteur des emprunts 1904 et 1910. À ce titre, Paribas dirige la BEM : son président à sa création, Léopold Renouard, n’est autre que le vice-président de Paribas. Dès 1912, Paribas est soucieuse de développer son activité au Maroc : à travers le consortium bancaire qu’elle pilote, elle fonde la Compagnie générale du Maroc (Génaroc), vaste conglomérat présent dans tous les domaines de l’économie marocaine. Un président de la BEM, Edmond Spitzer, résumait : « La Banque de Paris et des Pays-Bas est le chef de file indiscuté de tous les groupes intervenant au Maroc : en fait, elle contrôle la plupart des secteurs importants de l’économie en liaison avec notre Banque d’État, la Compagnie générale du Maroc et l’Omnium nord-africain »4.
La dette, en tant qu’elle implique des transferts financiers réguliers, à long terme et formalisés par de nouvelles institutions, modifie durablement l’équilibre des pouvoirs au sein d’une économie. Le fait qu’elle ait joué un rôle majeur dans la colonisation du Maroc -– comme en Égypte ou en Tunisie -– a façonné l’économie du pays pendant sa période coloniale. Ainsi, si l’importance de Paribas dans l’économie coloniale marocaine est considérable, il est important de noter que le marché marocain est négligeable pour Paribas, qui opère dans le monde entier. L’intensité de cette asymétrie synthétise le déséquilibre de la relation coloniale.
Adam Barbe1L’opposition entre le bled el-makhzen et le bled Siba ne doit pas être exagérée ni comprise comme dysfonctionnelle. La reconnaissance par le Makhzen d’un espace de dissidence en son sein est au contraire un fait structurant de la sociologie politique du Maroc au XIXe siècle. Voir Ben Mlih, Structures politiques du Maroc colonial (1990).
2NDLR. Le Royaume-Uni et la France signent le 8 avril 1904 une série d’accords bilatéraux couramment désignée sous le nom d’« Entente cordiale » pour résoudre plusieurs différends coloniaux, notamment la reconnaissance de la domination britannique sur l’Égypte et du protectorat français sur le Maroc.
3NDLR. La conférence d’Algésiras est une conférence internationale sur le Maroc qui se tient du 16 janvier au 7 avril 1906 sous l’égide des États-Unis, réunissant l’empire allemand et ses alliés, l’Autriche-Hongrie et le royaume d’Italie ; la France, son allié l’empire russe, et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande ; le royaume d’Espagne, celui du Portugal, ainsi que la Belgique, les Pays-Bas et la Suède. Ses conclusions placent le Maroc sous observation de ces grandes puissances, sous couvert de réforme, de modernité et d’internationalisation de l’économie marocaine.
4Michel Poniatowski, Mémoires, éditions Plon/Le Rocher (Paris), 1997, p. 243.
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Agadir (Al Mounadila)
تنظم جريدة المناضل-ة ندوة حول قضايا التعليم بعنوان: “التعلـــيم فـي المغــرب، الواقع والأفاق..” بمركب محمد جمال الدرة بمدينة أكادير يوم السبت 25 فبراير 2017، ابتداء من الساعة السابعة مساء.سيشارك في الندوة: الأستاذ محمد العثماني عضو النقابة الوطنية للتعليم/كدش و الأستاذة فاطمة بلا /نقابية في قطاع التعليم.
الدعوة عامة لعموم المناضلين والمناضلات.Organisé par le journal Al Mounidala-Le Militant - réunion sur les questions d'éducation:" L'enseignement au Maroc, la réalité et perspectives.."Rue Mohamed Jamal Al-Durra (enfant martyr) Agadirsamedi 25 février 2017, 19hParticipera le Professeur Mohamed Ottoman membre du syndicat national de l'éducation / Jewfo et Mme Fatima -
Moyen-Orient : « Rien de ce qui a entraîné l’explosion de 2011 n’a été réglé » (NPA)
Entretien. Quatre ans après « Le Peuple veut : une exploration radicale du soulèvement arabe », Gilbert Achcar vient de publier « Symptômes morbides : la rechute du soulèvement arabe »1. L’occasion pour nous de revenir sur les derniers développements du soulèvement déclenché à l’hiver 2010-2011 et sur les perspectives liées à l’élection de Donald Trump.
Pourquoi, six ans après le début du soulèvement, la région est-elle toujours en pleine déstabilisation ?
La région est toujours en pleine déstabilisation pour la simple et bonne raison que rien de ce qui a entraîné l’explosion de 2011 n’a été réglé. Le blocage socio-économique que connaît la région depuis des décennies s’est aggravé depuis 2011 en raison de l’onde de choc des soulèvements, qui s’est ajoutée aux facteurs structurels qui existaient. Les politiques économiques ont empiré : loin de corriger le tir en s’écartant des politiques néolibérales qui ont largement contribué à créer la situation explosive, on a vu les institutions financières internationales pousser pour un surcroît de mesures dans la même direction, et même en allant plus loin comme on peut le voir dans un pays comme l’Égypte.
Enfin, le facteur clé est que le soulèvement de 2011 n’a pas réussi à produire des directions à la hauteur de ce défi historique, et cela reste la difficulté majeure sur laquelle bute ce processus révolutionnaire, qui a commencé en 2011 et qui est destiné à durer de longues années, probablement des décennies, jusqu’à ce qu’émergent des directions capables de mener les transformations sociales, économiques et politiques radicales nécessaires. Faute de quoi, la région risque le pire. On a déjà un fort avant-goût de ce pire, mais cela peut malheureusement aller encore plus loin, à l’échelle de l’ensemble de la région.
Et le pire, aujourd’hui, c’est sans aucun doute la Syrie... En novembre-décembre dernier, au moment du siège d’Alep, on a entendu certains affirmer que la Syrie était le théâtre d’une guerre par procuration entre les États-Unis et la Russie. Qu’en penses-tu ?
Ça c’est une lecture complètement erronée de la bataille d’Alep ! Dans cette bataille, les opposants au régime qui étaient encerclés dans ce réduit de la partie orientale de la ville n’ont été soutenus par personne, même pas d’ailleurs par la Turquie, dont le président Erdogan s'était entre-temps platement excusé auprès de Poutine, et avait conclu un marché avec lui, en vertu duquel Poutine lui a donné un feu vert pour une intervention dans le nord du pays afin de barrer la route au mouvement kurde. La seule intervention réelle des États-Unis dans le nord du pays, ce n’est pas du tout à Alep, c’est aux côtés du mouvement kurde ! Dès le départ, les États-Unis ont expliqué que leur souci principal, c’est Daesh, et que le reste est secondaire : c’est pourquoi ils soutiennent les combattants kurdes, et c’est d’ailleurs le seul cas de déploiement de soldats étatsuniens au sol en Syrie.
Par parenthèse, on peut remarquer que ceux qui ont poussé des cris lorsqu’était évoquée la question de la livraison d’armes aux insurgés, en Libye ou en Syrie, pour faire face au régime, n’ont pas poussé les mêmes cris à propos de l’intervention des États-Unis aux côtés des Kurdes… Des staliniens aux anarchistes, tout le monde préfère se taire et ignorer cette intervention des États-Unis. Cela ne veut pas dire qu’il faudrait la condamner, mais cela montre bien que le réel est beaucoup plus complexe que certains schémas en noir et blanc, et qu’« il faut apprendre à penser », comme disait Trotski en 1938. À part dans la zone kurde, la principale intervention des États-Unis dans le conflit syrien, sans comparaison possible avec les ridicules gesticulations qu’ils ont faites en direction de l’opposition syrienne, c’est le veto strict qu’ils ont mis à toute livraison d’armes anti-aériennes aux groupes armés sur le terrain, qui a été un facteur clé dans le maintien du régime syrien, dans l’intervention aérienne de la Russie à partir de septembre 2015, et dans la destruction de la Syrie et de son peuple.
Contrairement à ce que beaucoup prétendent, l’objectif des États-Unis n’a jamais été de faire tomber le régime Assad, ceci afin d’assurer ce qu’ils appellent une « transition dans l’ordre ». Penses-tu que l’administration Trump va poursuivre la même politique ?
Au-delà des caricatures de ceux qui ne comprennent pas grand chose à ce qui se passe sur le terrain et qui présentent, comme tu l’as dit, le conflit syrien comme un conflit entre la Russie et les États-Unis, la réalité est que la position des États-Unis depuis le départ avait comme paramètre central, au vu de la désastreuse expérience irakienne, le maintien de l’appareil d’État baathiste, l’appareil de la dictature Assad, avec toutefois une conclusion tirée après quelques mois de soulèvement : Assad lui-même devrait partir pour préserver l’appareil. Un raisonnement tout à fait logique de leur point de vue. Et quand la Russie a commencé à intervenir en septembre 2015, au moment où le régime perdait du terrain, on a vu les États-Unis détourner le regard et essayer de (se) convaincre qu’il s’agissait d’une intervention pour combattre Daesh. Il y a de fait eu un feu vert des États-Unis pour l’intervention russe en Syrie…
La différence aujourd’hui c’est que Donald Trump, on va attendre de voir car il ne s’est pas encore prononcé concrètement sur la Syrie au-delà de ce qu’il a pu dire dans sa campagne, semble avoir une différence avec l’administration Obama, qui est la question de Assad lui-même. Et encore, la différence est devenue ténue, puisqu’au cours des derniers mois Obama avait reculé et accepté le principe d’une transition avec Assad. Mais là on a un Trump qui, si l’on en croit ce qu’il a dit durant sa campagne, acceptera Assad, et ne le considère même plus comme un problème. C’est le signe d’une convergence encore plus forte avec la Russie. Ce n’est pas que les États-Unis étaient en clash avec la Russie, rappelons qu’ils coordonnent leurs opérations aériennes depuis que les Russes sont intervenus en septembre 2015, illustration de la collusion de fait entre les deux pays. Mais tout porte à croire que la coopération va être plus directe avec Trump.
Reste la question de l’Iran…
Oui. Autant Trump manifeste de la sympathie, on pourrait même dire une affinité, pour des raisons évidentes de profil caractériel, vis-à-vis de Poutine, autant il semble prêt à s’accommoder d’un Assad, de même qu’il s’accommodera parfaitement de tous les machos dictateurs de la planète qui tous ont accueilli avec grand soulagement son élection, des Philippines à la Turquie en passant par l’Égypte et la Syrie, autant un autre paramètre de son attitude est son hostilité à l’Iran. Cela fait partie de son profil réactionnaire général et de sa convergence avec l’extrême droite sioniste au pouvoir en Israël.
On peut s’attendre à un marchandage global avec Poutine, dans lequel il lui offrirait une levée des sanctions, une perspective de coopération entre Russie et États-Unis, avec peut-être des promesses économiques alléchantes, en échange d’une collaboration de la Russie sur la question de l’Iran. Je crois que Trump est quelqu’un qui sera prêt à avaliser l’annexion de la Crimée, à négocier une sorte de compromis sur l’Ukraine, mais qu’il voudra notamment en échange un engagement russe contre l’Iran, ce qui pourrait sur le terrain syrien passer par la demande que la Russie évince l’Iran de la Syrie. Ce sont évidemment des spéculations, puisque l’une des caractéristiques de Trump est qu’il est largement imprévisible et que pour l’instant, avant qu’il s’engage dans une politique concrète sur un terrain quelconque, il est difficile de faire trop de pronostics, à part que la logique qui le guide, et qui le guidera, est une logique profondément réactionnaire.
Propos recueillis par Julien Salingue
- 1. Symptômes morbides. La rechute du soulèvement arabe, Paris, Sindbad-Actes Sud, 2017, 22 euros.
Jeudi 9 février 2017
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Paris Syrie
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Strasbourg : Rassemblement « Prison de Saidnaya : l’abattoir humain du sanguinaire Bachar al-Assad » (Souria Houria)
Prison de Saidnaya : l’abattoir humain du sanguinaire Bachar al-Assad
13 000 opposants ont été torturés puis pendus dans le pénitencier syrien, dénonce Amnesty International entre septembre 2011 et décembre 2015 en plus de 17 000 personnes mortes dans les geôles syriennes en raison des conditions inhumaines et de la torture,
500 personnes sont exécutées par mois dans cette prison
Mais ça continue au vu et au su de tout le monde !
Nous vous invitons à nous rejoindre au rassemblement silencieux
samedi 11 février
16h, Place Kleber
Stop à l’horreur dans les prisons syriennes
Alsace.syrie@gmail.com/0612111122
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Halte à la torture des détenus en Syrie
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Royaume-Uni. La Haute Cour va examiner les transferts d’armes britanniques vers l’Arabie saoudite durant la guerre du Yémen
Syrie. Une enquête dévoile les pratiques secrètes du gouvernement à la prison de Saidnaya : pendaisons de masse et extermination
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Ci dessous, une présentation du nouveau recueil « Ton nom de Palestine » de la poète de la diaspora palestinienne Olivia Elias. Une rencontre à l’occasion de ce recueil aura lieu à Paris le 17 février prochain, à l’adresse suivante: 17 février , 19 heures Espace de l’autre livre 13 rue de L’école polytechnique, 75005 Paris ...Pétition: Dites au président de la fifa de montrer le carton rouge à Israël!
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