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Solidarité - Page 11

  • Rencontre-débat "Hébron, les Jeunes et la Colonisation" (Afps)

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    AFPS 69 - Lyon, mercredi 8 mars 2017

    L’Association France Palestine Lyon, en partenariat avec le Collectif 69 Palestine, vous invite à une rencontre-débat présentée par un jeune Palestinien, Mourad AMRO. Il vit à HÉBRON et fait partie d’un mouvement de jeunes « YOUTH AGAINST SETTLEMENTS » (Jeunesse contre les colonies) qui lance une campagne internationale pour l’ouverture de la rue SHUHADA.

    Depuis 1994, suite à l’attentat meurtrier commis par un extrémiste israélien dans la "Sainte Mosquée d’Ibrahim", la rue Shuhada est contrôlée par les forces d’occupation israéliennes. Les Palestiniens ont dû fermer leurs commerces, abandonner leurs maisons… au profit de 500 colons extrémistes sionistes.

    Cette voie de circulation, avec ses check-points, est devenue impossible, voire dangereuse, pour les Palestiniens. Agressivité des colons, humiliation, attente, stress sont quotidiens, empêchant tout mouvement au sein de la ville. C’est un enfer !

    Venez échanger et écouter ce que vivent les jeunes de Hébron, ville occupée et colonisée depuis de trop nombreuses années.

    http://www.france-palestine.org/

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    Reconnaissance de la Palestine : l’heure de vérité pour François Hollande

    Communiqué de l’AFPS, jeudi 2 mars 2017
     
     
    Il ne reste à François Hollande qu’environ 70 jours avant de passer la main à son successeur. C’est plus qu’il n’en faut pour honorer l’un de ses engagements de candidat : reconnaître l’Etat de Palestine et donner suite au vote exprimé en ce sens par les deux assemblées en décembre 2014. Cette reconnaissance, Laurent Fabius avait souligné (...)
     

  • Rassemblement à l’occasion de la Journée de la Terre, rue de Palestine à Paris

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    Rassemblement à l’occasion de la Journée de la Terre, rue de Palestine dans le 19ème arrondissement, en hommage à la communauté palestinienne qui s’y est établie dès la fin du 19e siècle et pour promouvoir les droits du peuple palestinien.

    Avec prises de parole et lancement d’une suscription populaire et d’un concours artistique avec pour objectif d’ériger une stèle à cet endroit.

    Organisé par le Comité Palestine 19ème, avec le soutien de plusieurs associations, dont l’UJFP.

    Rendez-vous

    • À Paris (19ème), rassemblement à l’occasion de la Journée de la Terre, rue de (...) 
      Le jeudi 30 mars 2017 à 19h00
      rue de Palestine, près de la rue Belleville, derrière l’église St-Jean de Belleville

      Paris 19ème
      M° Jourdain.

    http://www.ujfp.org/

  • Syrie: une génération d'enfants sacrifiés sur l'autel de la guerre (RTBF)

    Conflit en Syrie - Une génération d'enfants perdus par les traumatismes de la guerre
    Conflit en Syrie - Une génération d'enfants perdus par les traumatismes de la guerre - © Belga

    La guerre en Syrie pourrait engendrer une génération "perdue" d'enfants en raison des traumatismes endurés sous les bombes, selon l'organisation humanitaire Save the Children.

    Les entretiens menés auprès de plus de 450 enfants et d'adultes montrent un haut niveau de stress psychologique parmi les enfants, dont beaucoup souffrent d'incontinence ou développent des difficultés d'élocution. Au moins 3 millions d'enfants vivent dans des zones de guerre en Syrie et sont confrontés chaque jour aux bombardements aériens et aux tirs d'obus dans un conflit qui entame sa septième année.

    Les adultes ont rapporté que deux tiers des enfants avaient perdu un proche, vu leur maison bombardée, ou souffert eux-mêmes de blessures liées à la guerre. "Après six ans de guerre, nous sommes à un tournant", affirme l'ONG dans un rapport intitulé "Invisible Wounds" (blessures invisibles) consacré à l'impact de la guerre sur la santé mentale des enfants.

    48% des adultes ont rapporté que les enfants avaient perdu leur capacité à s'exprimer

    "Le risque d'avoir une génération brisée, perdue par les traumatismes et un stress extrême, n'a jamais été aussi grand", selon Save The Children. Quelque 84% d'entre eux ont évoqué comme première cause de leur stress les bombardements aériens et les tirs d'obus.

    Et 48% des adultes ont rapporté que les enfants avaient perdu leur capacité à s'exprimer ou développé des difficultés d'élocution depuis le début de la guerre.

    81% des enfants sont en outre devenus plus agressifs tandis que 71% souffrent souvent d'incontinence. Les enfants à Madaya sont "psychologiquement démolis et épuisés", selon un enseignant de la ville cité dans le rapport. "Ils dessinent des enfants qui se font massacrer, ou des chars, ou le siège et le manque de nourriture".

    "Les enfants espèrent mourir pour aller au paradis et être ainsi au chaud, manger et jouer", raconte un autre enseignant à Madaya. 

    RTBF avec Belga

     
     
  • On 8 March, stand with women of Palestine (Electronic Intifata)

    The history of women’s resistance in Palestine is a long one.

    Oren Ziv ActiveStills

    The 8 March international women’s strike is an unprecedented opportunity for feminists to stand against Islamophobia and Israeli apartheid, while supporting Palestinian self-determination.

    The strike call for a “feminism for the 99 percent” includes explicit demands for an “anti-racist, anti-colonial feminism,” the decolonization of Palestinian land and the tearing down of apartheid walls, whether they be along the US-Mexico border or in the occupied West Bank.

    Those who have endorsed the call include the political prisoner Rasmea Odeh and Angela Davis, a veteran campaigner for justice and a staunch supporter of the Palestinian call for boycott, divestment and sanctions (BDS) against Israel.

    The march’s platform is, therefore, partly a celebration of the history of Palestinian women and their role in fighting the Israeli occupation. That history is a long one.

    This year marks the centenary of the Balfour Declaration. Through that document, Arthur James Balfour, then Britain’s foreign secretary, promised to support the establishment of a “Jewish national home” – a euphemism for a Jewish state – in Palestine.

    In the 1920s, women protested against the Zionist colonization program that Balfour had backed.

    A women’s conference was held in Jerusalem during 1929.

    Following it, a delegation of 14 women called to see John Chancellor, then the British high commissioner for Palestine. The women called for a revocation of the Balfour Declaration and objected to the beating of demonstrators, the ill-treatment of prisoners and the collective punishment of villages by the British authorities then ruling Palestine.

    Key role in struggle

    During the 1930s Arab rebellion in Palestine, women collected funds and distributed food to detainees. They also delivered food, weapons and water to men involved in the rebellion.

    In 1948, Palestinian women fought in armed battles against Zionist forces.

    Women in Jaffa formed Zahrat al-Uqhuwan (the Daisy) shortly before the Nakba, the 1948 mass expulsion of Palestinians. That organization delivered medical services, food, water and ammunition to Palestinian rebels.

    During the 1948-1968 period, Palestinian women played key roles in al-Ard (The Land), a resistance movement eventually suppressed by Israeli authorities.

    Since 1967, Palestinian women have played numerous roles in Palestinian freedom struggles. Women like Fatima Barnawi participated in armed resistance.

    In January 1969, Palestinian women staged a sit-in strike in front of Israeli prisons and detention centers demanding release of imprisoned family members. In Gaza alone, 65 women died resisting the occupation between 1967 and 1970.

    Fear forbidden

    In more recent times, Palestinian women were central to the mass uprising of the first intifada that began on 9 December 1987, the day fear was forbidden and the stones were taken up, as the Palestinian journalist Makram Makhoul put it.

    The intifada began after four Palestinians were killed at an Israeli checkpoint in Gaza, and 17-year-old Hatem Abu Sisi, was murdered by an Israeli officer shooting into a crowd of grieving Palestinian protesters.

    The women’s committees that had existed before the uprising provided some of the leadership of the emerging popular committees that were of critical importance to the intifada.

    The leadership was involved in organizing relief services and raising funds for prisoners and their families. It also arranged legal assistance and undertook leafleting to organize more people to join the intifada.

    When Israel shut down Palestinian schools – a common tactic of the occupation forces – women organized underground alternative schools that sprung up in homes, mosques and churches. Women were also central in organizing the mass boycott of Israeli goods.

    On 8 March 1988, the women’s committees that had organized Palestinian women workers, students and housewives called for a joint program on International Women’s Day.

    The committees arranged child care services to allow for mass participation of women in popular committees and trade unions. The program also encouraged women to join the general strikes taking place all over the West Bank and Gaza, and to organize defenses against raids by Israeli soldiers and settlers.

    During the second intifada that began in 2000, Manal Abu Akhar – who was shot in the chest as a child during the first intifada – used her home in Dheisheh, a Bethlehem-area refugee camp, to shelter fighters.

    She also helped to “de-arrest” Palestinians seized by the Israeli military. Palestinian women would throw their bodies on the ground to try to create chaos so that others could escape.

    Abu Akhar also used her home as a lookout to monitor the movement of the Israeli military.

    Support BDS

    More recently, Palestinian women have been caught in Israel’s deadly crackdowns. In October 2015, 17 year-old Dania Irsheid was shot dead at an Israeli checkpoint in Hebron. Israeli soldiers said she was shot because she threatened them with a knife but that has been denied by witnesses.

    Another teenager, Bayan al-Esseili, was shot dead that same month near the Kiryat Arba settlement in Hebron.

    A grouping called the Jerusalemite Women’s Coalition spoke out against those killings.

    Speaking as women, mothers, sisters, daughters and youth, the coalition called for the “protection of our bodily safety and security when in our homes, walking in our neighborhood, reaching schools, clinics, work places and worship venues.”

    “We, the women of occupied East Jerusalem, are politically orphaned,” the groups stated. “We are victims without protection, as the Palestinian Authority has no right to protect us in our city, and the Israeli state treats us as terrorists who should be humiliated, attacked, violated and controlled.”

    And on 8 March last year, Palestinian women released a statement of solidarity with the thousands of Palestinian women who have been incarcerated by Israel since 1967.

    The statement was written as more than 60 Palestinian women were behind Israeli bars. It protested the ongoing denial to Palestinian women of healthcare and education, and the horrific conditions faced by Palestinian women imprisoned for resistance to the occupation.

    This year’s 8 March platform urges participants to keep on demonstrating their support for Palestinian liberation after the march is over.

    The platform’s demand for open borders, for immigrant rights and for the decolonization of Palestine should lead demonstrators directly to support for the BDS movement.

    The Palestinian BDS call demands an end to Israeli occupation of Arab lands, full and equal rights for Palestinian citizens of Israel, dismantling of the Israeli apartheid wall in the West Bank and implementation of UN resolution 194 supporting the right of Palestinian refugees to return to their homeland.

    Those goals are fully in keeping with the spirit of the 8 March platform.

    Trade unions fighting in the West that have endorsed the platform should support BDS tactics as a means of demonstrating solidarity with Palestinian women workers – both those in and outside trade unions.

    The unemployment rate for Palestinian women in the West Bank stood at 28.5 percent in the last few months of 2016. That was twice as high as the rate of male unemployment.

    In Gaza, the rate of female unemployment was more than 64 percent, according to the Palestinian Central Bureau for Statistics. The corresponding rate for men was 33 per cent.

    These data demonstrate why every Palestinian trade union supports the BDS campaign against Israel.

    Reject “imperialist feminism”

    The 8 March call for an “an end to gender violence,” including police brutality and “state policies” that engender poverty can bring demonstrators into direct solidarity with Palestinian feminists.

    As the scholar and activist Nada Elia has noted, Israel’s infrastructure is “designed to sustain high rates of miscarriages by blocking basic resources such as water and medical supplies, forcing women in labor to wait at military checkpoints on their way to a hospital, and generally creating inhumane and unlivable conditions for Palestinians. This also increased miscarriages, pre-term labor and stillbirths. Ethiopian-Israeli women, most of them Jewish, have also been subject to mandatory contraceptive injections without their consent.”

    Demonstrators on 8 March can link their struggles to ongoing work by groups like the General Union of Palestinian Women which organize around battles for justice for Palestinian women.

    Under Donald Trump’s presidency, the violent expansion of Israeli settlements has continued apace, and we must prepare to resist any impending plans for war against Gaza. But we cannot afford to wait for the next bombs to fall to know that Gaza itself is already unlivable and that the UN has predicted that conditions will worsen by the end of this decade.

    To be a Palestinian woman in Gaza is to have no control over one’s body and the ability to live any semblance of a full life. The US has funded and supported the racist violence inflicted on the women, men and children of Gaza.

    Finally, those who advocate for global feminism on 8 March must not let their political support for Palestine become entangled with support for Zionism or the Israeli occupation. Now more than ever, a sharp line must be drawn between those on the left who avow what Deepa Kumar, a writer and academic, calls “imperialist feminism” and those who fight for the emancipation of women everywhere.

    Only a feminism “from the river to the sea” and beyond can turn the tide against the brutally gendered violence of the US and Israel. Only an anti-racist, anti-imperialist feminism can end the war on Palestinian women that is a building block of Zionism, the Israeli occupation and the US empire.

     6 March 2017

    Sofia Arias lives in New York City and Bill V. Mullen lives in Indiana. Both are long-time Palestine solidarity activists.

    https://electronicintifada.net/

  • Rojava : Les Peshmergas attaquent le Rojava et le PKK avec l’aide de la Turquie et de l’ASL (Tendance Claire)

    Le Mont Shengal en mai 2016 (cliquez pour agrandir)

    Le Mont Shengal en mai 2016 (cliquez pour agrandir)

    Les brèves publiées dans cette rubrique « Informations et analyses » le sont à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

    Le PDK (Parti Démocrate du Kurdistan, le parti féodal libéral qui gouverne la région autonome du Kurdistan en Irak) veut depuis longtemps conquérir le Rojava.

    Il demande régulièrement à faire entrer des peshmergas dans ce territoire du nord de la Syrie afin de "combattre Daesh" selon ses propres dires. Les YPG et les YPJ le répètent : si les peshmergas du PDK veulent combattre Daesh en Syrie, ils devront le faire sous l’écusson des YPG et des YPJ. A l’inverse, le PKK contrôle plusieurs zones dans le Kurdistan irakien : les montagnes du nord de la région (à la frontière turque) et le Mont Shengal, la montagne des Yézidis, que Daesh a tenté de génocider alors qu’ils étaient abandonnés par les peshmergas et qui avaient été secourus par le PKK, les YPG et les YPJ. Cette situation est une épine dans le pied du PDK, empêtré dans des scandales de détournement de pétrole et traînant à organiser un référendum sur l’indépendance du Kurdistan Sud tant qu’il n’a pas la garantie de s’y mettre au pouvoir. Le Mont Shengal est aujourd’hui défendu contre Daesh par des milices du PKK et des milices yézidies, le PDK a plusieurs fois poser des ultimatums afin de les en chasser, sans succès.

    La situation a évolué en ce début de mois de mars : le PDK demande toujours à faire entrer 5000 "peshmergas rojava" (surnommés "roj-pesh") en Syrie, il négocie ferme avec les régimes turc et syrien à cette fin et a récemment rejoint l’opération "Bouclier de l’Euphrate". Pour rappel, cette opération est une mise en place d’une zone tampon empêchant l’unification des cantons du Rojava, elle est pilotée par la Turquie et appliquée par des factions salafistes issues de l’armée syrienne libre. Cette opération a empêché les YPG/YPJ de libérer la ville d’Al-Bab et menace à présent la ville de Manbij qui a été libérée aux YPG après une bataille extrêmement coûteuse en vies humaines.

    En plus de la menace sur Manbij, 500 roj-pesh ont été massés aux portes du Mont Shengal ce matin du 3 mars. Ils voulaient passer à Hawl (au-delà de la frontière syrienne, au Rojava) et sont donc passés dans la ville yézidie de Khanasor, contrôlée par des milices yézidies pro-PKK, les YBS. Des affrontements ont éclatés, 400 familles ont été évacuées en quelques heures, fuyant par des routes qu’elles avaient déjà du prendre en fuyant Daesh en août 2014. Cette agression du PDK contre le PKK survient à quelques kilomètres à peine de la ligne de front contre Daesh, dans un village où vivent des centaines de Yézidis qui ont déjà été martyrisés par l’Etat Islamique (des centaines de femmes sont toujours détenues comme esclaves sexuelles). Selon des sources non-officielles, il y aurait eu au moins 10 morts coté PDK, 6 coté YBS, 5 côté PKK, et un civil yézidi, ainsi que des dizaines de blessés. Les milices YBS et PKK n’ont pas d’artillerie lourde au Mont Shengal, mais des témoins rapportent que du matériel est importé depuis le Rojava en urgence. En réaction à cette attaque, des locaux de mouvements proches du PDK au Rojava ont été incendiés par des foules en colère. Notamment le local du KNC à Qamislo.

    Politiquement, le Mont Shengal ne fait officiellement pas partie de la région autonome du Kurdistan irakien selon les frontières de 2003. Il est donc disputé entre les gouvernements de Baghdad et d’Erbil mais est défendu par des milices pro-PKK qui encouragent l’administration de la montagne par les Yézidis (en tant que "Yézidistan"). Une réunion d’urgence aurait eu lieu entre PKK, YBS et PDK avec le PUK (un autre parti plus progressiste au Kurdistan irakien) comme médiateur. La réunion aurait échouée et la situation resterait extrêmement tendue sur place.

    Pour plus d’information, un statut à dérouler.

    Pour mieux comprendre la situation au Kurdistan, voir notre dossier "Notes sur le Kurdistan".

    http://www.secoursrouge.org/Rojava-Les-Peshmergas-attaquent-le-Rojava-et-le-PKK-avec-l-aide-de-la-Turquie

    http://tendanceclaire.org/

    Commentaire: La "Tendance Claire" est un courant du NPA.

  • Paris 18 Mars (Souria Houria)

    Le 18 mars 2017

    Les Syriens et leurs amis à Paris vous invitent à participer à la manifestation du sixième anniversaire de la révolution syrienne (Une révolution pour les droits de l’Homme).

    Au mois de mars 2011, la révolution du peuple syrien est née pour la démocratie, la liberté et la justice, contre l’oppression et la tyrannie. Après 6 ans, elle se poursuit jusqu’à la victoire.

    La manifestation débutera à la Place du Panthéon et se dirigera en direction de l’Institut du Monde Arabe.Rendez-vous le samedi 18 Mars, 2017, à 15h.

    #La_Révolution_Triomphera#Révolution_Pour_Les_Droits_De_LHomme

    السوريون وأصدقاؤهم في باريس، يدعونكم للمشاركة بمظاهرة الذكرى السنوية السادسة للثورة السورية.
    في شهر أذار 2011 بدأت ثورة الشعب السوري من أجل الديمقراطية والحريات والعدالة، ضد الظلم والاستبداد. وما زالت الثورة مستمرة بعد ستة أعوام حتى نحقيق النصر.
    المظاهرة ستبدأ في ساحة Place du Panthéon وتتوجه باتجاه معهد العالم العربي.
    تبدأ المظاهرة في الساعة الثالثة بعد الظهر من يوم السبت 18 أذار 2017.#الثورة_ستنتصر#ثورة_من_أجل_حقوق_الإنسان

    Source : Evénement Facebook - Date de parution le : 01/03/2017

  • Dépossédés, expulsés - La dépalestinisation de Jérusalem-Est

     

     

    2 mars 2017

    La dernière brochure de la Plateforme Palestine sur Jérusalem est disponible à la commande.

    Cette brochure montre, à travers des cartes, textes et infographies, les différentes manières dont Israël s’approprie Jérusalem-Est, territoire palestinien occupé, et comment il pousse les Palestiniens à partir.

    Au sommaire :


    - L’appropriation par la colonisation
    - L’isolement physique de Jérusalem-Est
    - Les Palestiniens expulsés et déplacés de force
    - Les droits sociaux, économiques, culturels et religieux des Palestiniens bafoués
    - L’illégalité de la politique israélienne à Jérusalem


    • format A5
    • 40 pages
    • édition février 2017
    • 2€ l’exemplaire / 1€ à partir de 10 exemplaires commandés / 0.80€ à partir de 50 exemplaires

    http://www.plateforme-palestine.org/

  • Mohammed Al-Qiq en grève de la faim et à l’isolement (Plateforme Palestine)

    2 mars 2017 - Action Urgente - Amnesty International

    Le Palestinien Muhammed al Qiq observe une grève de la faim depuis le 6 février pour protester contre son maintien en détention administrative.

    Son avocat a demandé son transfert dans un hôpital afin qu’il y reçoive des soins, mais les autorités israéliennes n’ont pas encore répondu à sa requête. Il est actuellement détenu à l’isolement et est de plus en plus faible.

    Muhammed al Qiq, journaliste palestinien habitant à Dura (gouvernorat de Hébron), a été arrêté par les forces de sécurité israéliennes le 15 janvier, au poste de contrôle de Beit El, à proximité de Ramallah. Il rentrait chez lui après avoir participé à une manifestation organisée à Bethléem contre la politique d’Israël, qui refuse de remettre à leur famille les dépouilles des Palestiniens accusés d’avoir mené des attaques. Après avoir été arrêté, il a été interrogé pendant 22 jours environ car on le soupçonnait de provocation. Le 6 février, un ordre de détention administrative pour une durée de six mois a été émis à son encontre par un juge militaire. Il a alors annoncé devant le tribunal qu’il entamerait une grève de la faim pour protester contre la décision des autorités israéliennes de le maintenir à nouveau en détention sans inculpation ni jugement. Le lendemain, le juge militaire a ramené à trois mois la durée de sa détention administrative. Il se trouve toujours à la prison de Kishon, dans le nord d’Israël.

    L’avocat de Muhammed al Qiq devait lui rendre visite le 15 février, mais des agents des Services pénitentiaires israéliens l’ont informé que son client ne pouvait pas le rencontrer, car il ne pouvait pas marcher ni se lever de son lit. En réponse à un recours présenté devant la Haute Cour de justice d’Israël, les Services pénitentiaires israéliens ont autorisé Muhammed al Qiq à voir son avocat le 19 février, alors qu’il ne l’avait pas vu depuis 10 jours. Son avocat a indiqué à Amnesty International que Muhammed al Qiq lui avait paru faible et qu’il se sentait très fatigué au point d’éprouver des difficultés àparler. On voyait déjà qu’il avait perdu du poids. Muhammed al Qiq a confié à son avocat qu’il était détenu à l’isolement, dans une pièce de 2 m2 au plafond bas, qui le faisait penser à une « tombe glaciale ». Il s’est également plaint de maux de dos et de difficultés à supporter le froid, notamment parce qu’on ne lui avait donné qu’une seule couverture fine. Son avocat a fait part aux Services pénitentiaires israéliens de son inquiétude quant à l’état de santé de Muhammedal Qiq, demandant son hospitalisation pour qu’il reçoive des soins, mais ils ont refusé.

    Les ordres de détention administrative permettent de placer des personnes en détention sans inculpation ni jugement, pendant des périodes pouvant aller jusqu’à six mois. Ils sont émis par l’armée israélienne, principalement contre des Palestiniens, et peuvent être renouvelés indéfiniment. Un ordre de détention administrative avait déjà été émis contre Muhammed al Qiq en novembre 2015 ; il avait alors été détenu pendant sept mois, dont 94 jours en grève de la faim à titre de protestation.

    ACTION RECOMMANDEE : lettre international / email / fax :

    appelez les autorités israéliennes à libérer sans délai Muhammed al Qiq et toutes les autres personnes en détention administrative, à moins qu’ils ne soient rapidement inculpés d’une infraction reconnue par le droit international et jugés dans le respect des normes internationales d’équité des procès ;

    demandez-leur de veiller à ce que, en attendant sa libération, il soit transféré

    immédiatement dans un hôpital civil pour y recevoir les soins spécialisés dont il a besoin et qu’il ne fasse pas l’objet de mesures punitives en raison de sa grève de la faim ;

    engagez-les à prendre immédiatement des mesures pour mettre fin à la pratique de la détention administrative.

    MERCI D’ENVOYER VOS APPELS AVANT LE 5 AVRIL 2017 À  :

    Ministre de la Défense,
    Avigdor Liberman
    Ministry of Defence
    37 Kaplan Street, Hakirya
    Tel Aviv 61909, Israël
    Courriel : minister@mod.gov.il / pniot@mod.gov.il
    Fax : +972 3 691 6940
    Formule d’appel : Monsieur le Ministre,

    Commissaire des Services pénitentiaires israéliens,
    Lieutenant-General Ofra Klinger
    Israel Prison Service, PO Box 81
    Ramleh 72100, Israël
    Fax : +972 8 919 3800
    Formule d’appel : Monsieur,

    Ministre de la Sécurité publique,
    Gilad Erdan
    Kiryat Hamemshala
    PO Box 18182
    Jerusalem 91181, Israël
    Fax : +972 2 584 7872
    Courriel : gerdan@knesset.gov.il
    Formule d’appel : Monsieur le Ministre,

    Copie à :
    Ambassade d’Israël
    3 rue Rabelais - 75008 Paris
    Tél : 01 40 76 55 00 - Fax : 01 40 76 55 55
    Courriel : information@paris.mfa.gov.il
    info@amb-israel.fr

    Tarifs postaux pour l’Israël :
    Lettre internationale (20 g) : 1,30 €

    COMPLÉMENT D’INFORMATION

    Incarcéré à la prison de Nafha, dans le désert du Néguev/Naqab, Muhammed al Qiq a été relâché en mars 2016 après avoir observé une grève de la faim pendant plus de 90 jours pour protester contre sa détention administrative depuis novembre 2015. Il avait perdu 53 kg, était faible, et souffrait de maux de dos, de vertiges et de problèmes digestifs du fait de sa grève de la faim. Il a mis un terme à celle-ci le 25 février 2016, après que les autorités israéliennes eurent accepté de ne pas renouveler son ordre de détention administrative. Il avait besoin de soins médicaux de toute urgence à sa libération, et a été hospitalisé pendant quelques emaines avant de pouvoir revenir auprès de sa famille. Son épouse, Fayha Shalash, s’est dite préoccupée par la santé de Muhammed, affirmant qu’il était toujours « faible et fragile » et qu’il ne s’était pas encore complètement remis des effets graves sur son organisme de sa dernière grève de la faim. « J’ai peur qu’il ne soit pas en mesure de surmonter une autre grève de la faim », a-t-elle déclaré. Elle pense que les autorités israéliennes cherchent à réduire au silence son époux en raison de ses activités militantes et à le punir de sa précédente grève de la faim. « Depuis sa libération, a-t-elle dit, Muhammed parle de sa détention à des organisations locales et internationales de défense des droits humains et il défend les droits des Palestiniens en exhortant Israël à remettre à leur famille les corps des Palestiniens qui ont été tués. »

    Comme la plupart des autres Palestiniens des territoires palestiniens occupés détenus par Israël, Muhammed al Qiq est détenu sur le territoire israélien, en violation de la Quatrième Convention de Genève. Sa famille à Hébron doit être en possession d’une autorisation délivrée par l’arméeisraélienne pour pouvoir lui rendre visite.

    Muhammed al Qiq a été arrêté et détenu à plusieurs reprises dans le passé. Depuis le mois d’octobre 2015, les violences en Israël et dans les territoires palestiniens occu pés se sont considérablement intensifiées. Tout comme durant d’autres périodes de regain de tension dans les territoires palestiniens occupés, les autorités israéliennes ont riposté en se livrant à des arrestations massives et en prononçant de plus en plus d’ordres de détention administrative, y compris à l’encontre de mineurs alors qu’elles ne l’avaient plus fait depuis plusieurs années. Selon l’organisation israélienne de défense des droits humains B’Tselem, 644 personnes étaient en détention administrative à la fin du mois d’août 2016, contre 341 un an auparavant.

    La détention administrative – introduite soi-disant à titre exceptionnel pour les personnes qui représentent un danger extrême et imminent du point de vue de la sécurité – est utilisée par les autorités israéliennes en parallèle du système judiciaire pour arrêter, inculper et poursuivre des personnes soupçonnées d’infractions pénales, voiredes personnes qui n’auraient jamais dû être arrêtées. Les ordres de d étention administrative peuvent être renouvelés indéfiniment et Amnesty International considère les Palestiniens détenus dans ce cadre comme des prisonniers d’opinion, incarcérés uniquement pour avoir exercé pacifiquement leurs droits aux libertés d’expression et d’association. Le recours à des éléments de preuve classés secrets bafoue le droit des accusés à un procès équitable. Comme ils ne peuvent pas préparer une défense adéquate et ne savent pas quand ils seront remis en liberté, Amnesty International estime que le recours par Israël à la détention administrative pe ut être assimilé à un traitement cruel, inhumain et dégradant.

    http://www.plateforme-palestine.org

  • Nîmes (AFPS)

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