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Révolutions Arabes - Page 14

  • Béjaia (PST)

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    Bejaia: Le PST, seul contre tous !
     
    L’émergence du PST dans le paysage politique Bougiote est le fruit d’un combat de longue haleine conjugué aux luttes permanentes de ses membres. Si la visibilité a tardé à voir le jour, c’est parce qu’elle a été empêchée par des forces obscurs reliées par des partis politique à la solde d’un ultralibéralisme sauvage. Face à leur déconfiture d’aujourd’hui, la posture du PST apparaît comme l’unique alternative possible. Nous allons expliquer pourquoi le PST s’imposera comme le parti de la majorité auquel aucun autre ne pourra rivaliser.
     
    Premièrement, une éventuelle élection de Bouchoucha, tête de liste du RND, représentant de la mafia locale de la filière de la boisson alcoolisée et des réseaux de prostitution, sera en porte à faux avec les intérêts du député sortant Omar Alilat. Ce dernier prend en otage la structure de ce 2eme parti de l’administration à Bgayet. Il sera une force de blocage de la liste conduite par Kamel Bouchoucha. Néanmoins, ce dernier peut compter sur quelques voix des électeurs de la région de Sahel de par son statut de tête de liste. Quant à Omar Alilat dont la survie politique dépend de l’échec de la liste RND, il ne ménagera aucun effort pour fragiliser voir freiner la mobilisation du collectif militant autour de la liste.
     
    En suite, chez le RCD, la situation est beaucoup plus compliquée. Déjà en difficulté à Amizour, qui, depuis l’affaire « Alexo » a perdu de son aura dans cette localité, réduit à néant à Feraoun depuis l’apparition du livre sur Amirouche, vidé de sa substance après le départ de tous ses cadres, le parti de Said Sadi panique et improvise des stratégies d’échecs : après le gel de ses activités parlementaires dans une assemblée qu’il disait lui même « pas porteuse d’alternative », le voilà aujourd’hui, en course électorale pour la même assemblée. Il s’agit tout simplement d’une hypocrisie politique.
     
    Sauf que les observateurs avertis savent que la mission confiée au natif de Tinebdar, Athmane Mazouz, est de chopper quelques voix au Maire de même commune, Braham Bennadji, car au RCD, on sait pertinemment que la victoire est quasi impossible. Pis-encore, les communes gérées par le RCD sont toutes entachées de scandales : De Barbacha ou le parti avait accepté de présider l’assemblée en appliquant scrupuleusement la feuille de route du Wali, dont le seul objectif est d’empêcher le PST qui était majoritaire, et ce, en violation de l’esprit d’avril 1980, jusqu’à la commune d’Adekkar ou le P/APC avait usé et abusé de ses prérogatives afin d’octroyer dans des conditions douteuses un terrain domanial à son frère pour réaliser un relais routier, en passant par Souk El Tenine ou Matoub vient d’être assassiné une deuxième fois par l’édification d’une stèle qui ressemble à tout sauf au rebelle. Le RCD est donc rejeté par la société dans la wilaya de Bejaia, et cela se confirmera le 4 mai.
     
    On retrouve aussi cette stratégie organique du RCD dans le fonctionnement du FFS. Le parti fondé par Hocine Ait Ahmed qui a survécu à toute les crises politiques et organiques a les capacités, contrairement au parti de Said Sadi, de rebondir dans le milieu des masses populaire. D’ailleurs, le remords de beaucoup d’acteurs politiques exprimé au lendemain du décès du dernier historique, peut servir d’argument pour beaucoup et lui rendre, ainsi, un dernier hommage en votant pour le FFS. Sur ce plan, c’est le seul parti politique engagé pour les prochaines législatives dans la wilaya de Bejaia à pouvoir concurrencer le Parti Socialiste des Travailleurs.
    Quant au FLN, la disparition mystérieuse puis la découverte du corps de Saïd Djouder, coordinateur de la kasma de Béjaïa et candidat aux législatives du 4 mai, ne peut être un incident sans conséquences sur le parti voir sur les prochaines échéances. Déjà en exprimant leur colère, en fermant, la RN 9 reliant Jijel à Sétif, les soupçons n’ont pas exclu toutes les pistes y compris celles d’une concurrence interne qui a donné un assassinat politique. En plus, l’électorat du FLN ne fait pas partie des masses populaires. Il incarne une clientèle permanente entre ceux animés par une nostalgie révolutionnaires (de plus en plus moins nombreux) et les relais d’affaires hostiles aux valeurs du travail et de luttes.
     
    S’agissant du MPA dont la candidature de Smail Mira a été imposée à Amara Benyounes, il n’aura aucune crainte pour s’assurer un poste de député. Ce n’est pas parce qu’il est porté par des masses populaires, mais il cadre avec la stratégie du pouvoir. Il va mobiliser les extra-citoyens de Tazmalt et l’affectation d’une part des voix des corps constitués.
     
    Le PST émerge ainsi parmi ce lot par la franchise de son discours qui, au quotidien, sur les terrains des luttes, il rappelle les difficultés de la conjoncture que subissent les travailleurs aux profits des oligarques et autres fossoyeurs de la noblesse du combat démocratique. Il se distingue par la crédibilité et l’intégrité de ses militants dans un monde pollué par la corruption et l’argent sale et facile. Pour toutes ces raisons, à l’exception du FFS, aucun parti ne peut se mesurer au PST à Bejaia.
     
    Hamou Bakir ·jeudi 27 avril 2017
     
     
    Lire aussi:
     

  • Kef (Mosaïque fm)

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    Kef : Le problème de l'Usine des câbles est de retour

    Une nouvelle séance de négociation entre les syndicalistes et la direction de l'usine de câbles de voitures au Kef est prévue pour la journée du jeudi 27 avril 2017.
    La direction de l'usine avait accepté le retour des activités à partir du mercredi 26 mais n'a pas tenu sa promesse ce qui a causé la colère des employés.

    26 Avril 2017

    http://www.mosaiquefm.net/

  • Israël-Palestine : vers l’État unique ? (Orient 21)

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    © Hélène Aldeguer, 2017.

    Le 10 juin 1967, au terme de la guerre israélo-arabe dite « des Six-Jours », Israël quadruple son territoire 

    Il s’est emparé du Sinaï égyptien et du Golan syrien, mais surtout du reste de la Palestine : la bande de Gaza, la Cisjordanie et Jérusalem-Est. Quelques mois plus tard, l’ONU exige le retrait des territoires occupés, en échange d’une paix négociée.

    Non seulement Israël refuse, mais il annexe la partie arabe de Jérusalem et y implante des colonies juives en même temps que dans les autres territoires occupés. En cinquante ans, le nombre de colons atteint 220 000 à Jérusalem-Est et 430 000 en Cisjordanie – il n’y en a plus à Gaza depuis 2005. Cette colonisation viole le droit international, car les Conventions de Genève comme l’ONU l’interdisent formellement.

    L’État palestinien s’efface sur le terrain

    Que faire de ces territoires ? Du côté palestinien, à partir de 1974, l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) se prononce pour la construction d’une « Autorité nationale et combattante sur toute partie du territoire palestinien qui sera libérée ». Cette évolution la conduira, le 15 novembre 1988, à proclamer l’État de Palestine tout en reconnaissant Israël et en renonçant au terrorisme. Ce qu’elle confirmera lors de la signature des accords d’Oslo, en septembre 1993.

    Du côté israélien, pas question de reconnaître un État palestinien.

    Même lors de l’échange de lettres avec Yasser Arafat, Itzhak Rabin reconnaît, non pas cet État, mais l’OLP comme « le représentant du peuple palestinien ». Et les négociations consécutives aux accords d’Oslo ne s’inscriront jamais explicitement dans la perspective de la création d’un État palestinien.

    Au fil des décennies, en revanche, la communauté internationale fait sienne de plus en plus largement la solution dite « des deux États ». Le 29 novembre 2012, 136 États – contre 9 et 41 abstentions – admettent l’État de Palestine comme membre observateur de l’ONU. Auparavant, il a été accueilli de plein droit : au sein de l’Unesco en 2011, et en 2015 à la Cour pénale internationale (CPI).

    De la colonisation à l’annexion

    Hélas, au fur et à mesure que l’État de Palestine s’impose dans l’arène internationale, il s’efface sur le terrain. En ce début 2017, l’extrême droite israélienne engage en effet un tournant dans l’histoire du conflit israélo-palestinien : le passage de la colonisation à l’annexion. À l’initiative de Naftali Bennet, le leader du parti ultranationaliste Foyer juif, le Parlement vote, le 6 février 2017, celle de 4 000 logements dans des « avant-postes », ces colonies que même le droit israélien jugeait jusqu’ici illégal.

    Enivré par l’élection de Donald Trump et enhardi par les scandales qui « plombent » le premier ministre Benyamin Nétanyahou, Naftali Bennet ne dissimule plus ses ambitions. Après le démantèlement de l’« avant-poste » d’Amona, il avait déclaré :

    Nous mettrons en place un nouveau régime juridique en Judée et en Samarie (appellation israélienne de la Cisjordanie) qui régulera la totalité des implantations, et de la perte douloureuse de ce bastion dans la montagne émergera l’application de la souveraineté d’Israël sur toute la Cisjordanie (Times of Israel, 1er février 2017).

    L’apartheid version israélienne

    Mais quel sera le statut des Palestiniens ainsi annexés avec leur terre ? Pour le président de l’État d’Israël, Reuven Rivlin, la réponse est claire :

    Appliquer la souveraineté à une zone donne la citoyenneté à ceux qui y vivent. Il n’y a pas de loi [différente] pour les Israéliens et pour les non Israéliens. (Times of Israel, 14 février 2017)

    Mais le président est isolé : la plupart des dirigeants israéliens excluent d’accorder aux Arabes de Cisjordanie le droit de vote dont jouissent les juifs (et, en Israël même, les Palestiniens). Autrement dit, ils envisagent une version israélienne de l’apartheid sud-africain.

    C’est dire que l’État unique qui se profile n’a rien de commun avec la Palestine laïque et démocratique que prônait l’OLP à ses débuts ni avec la Fédération judéo-arabe rêvé par les binationalistes juifs en Palestine dans les années 1930. La communauté internationale ne saurait l’accepter.

     
  • Israël : 300 prisonniers palestiniens ont moins de 18 ans (France Info)

    Un palestinien 13 ans au tribunal Jérusalem
    Un Palestinien de 13 ans accusé d'avoir poignardé de deux Israéliens, est escorté par la sécurité israélienne lors d'une audience devant un tribunal de Jérusalem le 30 octobre 2015.  © Ahmad Gharabli / AFP
     

    Plusieurs centaines de prisonniers palestiniens ont entamé, lundi 17 avril 2017, une grève de la faim pour protester contre leurs conditions de détention. 6.500 palestiniens sont actuellement dans les geôles israéliennes. Parmi eux, 300 mineurs.


    «Quand les soldats sont venus la première fois, il avait 13 ans. Je l’ai bien habillé car il faisait froid. J’avais peur parce qu’il était encore trop jeune. Ayed s’est accroché à nous, nous a suppliés de ne pas laisser les soldats le prendre et de leur dire qu’il n’était qu’un enfant» témoigne la mère d’un adolescent palestinien dans un rapport publié en avril 2016 par une plateforme d’ONG françaises pour la Palestine sur la répression qui touche les mineurs.
    Depuis la deuxième intifada en 2000, plus de 8500 enfants ont été interpellés par les forces de sécurité.
     
    Des mineurs, lanceurs de pierres
    Chaque nouveau cycle de tension entre Israéliens et Palestiniens entraîne une recrudescence d’arrestations. Les mineurs palestiniens ne sont pas épargnés puisqu’ils participent à la confrontation. La plupart des jeunes sont accusés d’avoir jeté des pierres et sont condamnés à des peines d’emprisonnement allant de quelques jours à plusieurs années. Les autorités israéliennes ont durci récemment leur loi concernant les lanceurs de pierres.
     
    Et des attaques aux couteaux
    Outre les jets de pierres ou de cocktails Molotov, certains jeunes Palestiniens sont poursuivis pour des attaques aux couteaux. Un adolescent de 14 ans a été condamné à 12 ans de prison ferme pour avoir blessé deux jeunes juifs d’une colonie à Jérusalem-Est en octobre 2015. Un verdict jugé lourd par les organisations de défense des droits de l’Homme. Les députés israéliens avaient approuvé l’emprisonnement des enfants dès l’âge de 12 ans s’ils sont condamnés pour des «crimes terroristes», comme le souligne Times of Israel.   
     

    Capture écran site Addameer
    Site Addameer (la conscience), l'association palestinienne de soutien aux prisonniers et aux droits de l'homme  © Capture d'écran

    Des centaines d’arrestations par an
    Chaque année, Israël arrête, emprisonne et poursuit devant les tribunaux militaires quelque 500 à 700 enfants palestiniens soupçonnés d’infractions pénales dans les territoires occupés, selon un rapport de Human Rights Watch. L’organisation de défense des droits de l’Homme dénonce le recours excessif à la détention de mineurs palestiniens.
    Israël est le seul pays au monde à poursuive automatiquement des enfants devant la justice militaire. 

    Violation des droits de l’enfant.
    Plusieurs organisations internationales dénoncent depuis plusieurs années les conditions d’arrestation et de détention des enfants palestiniens. Dans un rapport publié en 2013 l’Unicef accuse Israël de mauvais traitements «systématiques» lors des arrestations et dans les prisons. «L’interrogatoire est un mélange d’intimidation de menaces et de violences, avec le but évident de forcer l’enfant à se confesser» explique le rapport de l’ONU.

    Dans la foulée du rapport de l'Unicef, Israël a promis d'améliorer le traitement des mineurs palestiniens. Les perquisitions nocturnes, l'intimidation, la détention administrative sont toujours en vigueur. La plupart des mineurs victimes d'abus lors de leur arrestation n'osent pas porter plainte de peur de représailles. 
     
    Eléonore Abou Ez|  21/04/2017
     
  • Syrie : Entre escalade militaire et rivalité inter-impérialiste (NPA)

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    Le paysage en Syrie s’est obscurci encore plus après la frappe étatsunienne contre la base aérienne de Shayrat dans la nuit du 7 avril, en riposte à l’attaque chimique de Khan Cheikhoun.

    Dans le mouvement anti-guerre international, le risque d’une guerre américaine imminente a été évoqué. Cependant, il est probable que l’objectif de cette frappe n’est pas un début d’invasion massive, mais plutôt la « communication » particulière de Trump. Le président populiste a déclaré sur Fox News le 12 avril que c’est pendant qu’il était en train de déguster « la plus belle part de gâteau au chocolat que vous ayez jamais vue » avec son homologue chinois Xi Jinping, qu’il a eu le message de l’armée américaine annonçant que tout était prêt, et qu’il a donné donc son accord pour lancer « 59 missiles en direction de l’Irak » (corrigé par la journaliste en « Syrie »).

    Une ambiance de retour à l’époque de « la guerre froide » s’est installée dans les médias, avec des déclarations hostiles entre les Américains et les Russes, comme si une nouvelle stratégie américaine en Syrie était mise en place, en rupture avec celle de l’administration Obama. Mais le porte-parole du ministère de la Défense russe, Igor Konachenkov, a déclaré que « seuls 23 des 59 missiles Tomahawk ont atteint l’aérodrome, le point de chute des 36 autres étant pour l’instant inconnu ». Et les dégâts dans la base Shayrat n’ont pas empêché la reprise de l’activité de cet aéroport dès le lendemain.

    Le 12 avril, la Russie a opposé son huitième veto à une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU qui condamnait l’utilisation de l’arme chimique le 4 avril à Khan Cheikhoun et appelait à la constitution d’une commission d’enquête internationale. Une fois de plus, la Russie de Poutine a protégé son allié, le régime sanguinaire d’Assad. Tout redémarre comme avant...

    Jeux dangereux

    La réunion du G7 du 10-11 avril, n’a qu’à peine changé la thématique « il n’y a pas d’avenir de la Syrie possible avec Bachar el-Assad », selon le compromis de cette réunion exprimé par Jean-Marc Ayrault. Aucune sanction supplémentaire n’a pourtant été décidée. En fait, les déclarations des pays occidentaux sont plus agressives vis-à-vis d’Assad... mais ces pays tiennent à préserver son régime.

    C’est toujours la politique de la « transition ordonnée » qui est prônée, c’est-à-dire conserver le régime, en changeant si possible sa tête. Les pays occidentaux souhaitent contenir le drame humanitaire le plus catastrophique depuis la Seconde Guerre mondiale qui est aussi à l’origine des vagues migratoires vers l’Europe, et pour cela, fait tout pour les stopper.

    Cette frappe US a aussi une importance géopolitique dans la cadre d’une rivalité entre les grandes puissances, car elle a été suivie par la largage de la plus grande bombe non nucléaire sur l’Afghanistan le 13 avril, puis par l’annonce de l’envoi du porte-avions USS Carl Vinson et de son escorte vers la péninsule coréenne. Il y a là un jeu géopolitique dangereux de cette administration Trump pour imposer une hégémonie globale pourtant fragilisée.

    La population dans l’étau

    Pendant ce temps, l’offensive du régime Assad et ses alliés s’intensifie sur tous les fronts, comme le montre le 16 avril la reprise de la ville importante de Sourane, dans la campagne de Hama, au centre du pays. L’échange forcé de populations entre, d’une part, le régime et ses alliés et, d’autre part, les groupes djihadistes continue, comme le troc des populations de Zabbadani et Madaya, près de Damas, contre celles de Fouaa et Kefrya (bourgs chiites près d’Idlib, considérés comme loyalistes). La population civile de ces quatre villes a manifesté contre cet échange, mais a été forcée à l’accepter par les factions armées confessionnelles (régime et Hezbollah d’un côté, et Jahbat al-Nosra de l’autre).

    En plus de la souffrance de quitter leurs maisons, un attentat-suicide non revendiqué contre les bus transportant les civils de Fouaa et Kefrya a causé la mort de 129 personnes dont plus de 60 enfants. La solidarité et le sauvetage des combattants de l’Armée syrienne libre présents sur place avec ces civils victimes ont été exemplaires, contrairement à la propagande et au comportement du régime. Un élan de solidarité avec les victimes a eu lieu partout, avec des manifestations dans plusieurs villes, et une condamnation large par l’opposition de cet acte barbare. Mais les multiples forces contre-révolutionnaires qui s’entretuent se moquent toujours des vies des civils qui paient le prix le plus fort.

    En dépit de la situation difficile du peuple syrien, de ses forces démocratiques et progressistes dans sa lutte pour son émancipation, les masses syriennes se lèvent et manifestent : contre le régime et toutes les forces contre-révolutionnaires, contre les ingérences étrangères pour la liberté, pour l’égalité et la justice sociale. La dernière manifestation du lundi 17 avril, dans la région Aswayda, sous contrôle du régime en est le dernier exemple, et cette lutte nécessite la solidarité internationaliste.

    Ghayath Naisse

     
  • Printemps de la Palestine (Afps)

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    À Carhaix, le 13 mai : « L’apartheid israélien, et dans Gaza en cage, la résistance de la population » avec Pierre Stambul et Sarah Katz

     

    Dans le cadre du 3ème Printemps pour la Palestine de Centre-Bretagne

    Samedi 13 mai - 18 h 30
    Salle de la CCI, rue Jean Monnet - Carhaix
    Pierre Stambul et Sarah Katz,
    membres de l’UJFP (Union Juive Française pour la Paix),
    de retour de Gaza.
    « L’apartheid israélien, et dans Gaza
    en cage, la résistance de la population »

    Rendez-vous

    • À Carhaix (29), « L’apartheid israélien, et dans Gaza en cage, la résistance de (...) 
      Le samedi 13 mai 2017 à 18h30
      Salle de la CCI,

      rue Jean Monnet - Carhaix

    http://www.ujfp.org/

     

  • Erquery Palestine (UJFP)

    Erquery (60) 28 avril 2017, réunion-débat Palestine

    Organisée par la Communauté Emmaüs du Clermontois, l’Association France Palestine Solidarité (AFPS) et l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP).

    Thèmes abordés :
    - Les enjeux d’une guerre de 100 ans,
    - France/Palestine : lutter pour la justice, l’égalité, la dignité.

    Avec :
    . Michel le Drogo (AFPS)
    . Dominique Natanson (coprésident UJFP).

    Rendez-vous:

    • À Erquery (60), réunion-débat sur le thème de la Palestine. 
      Le vendredi 28 avril 2017 à 19h30

      Rue Pasteur
      60600 Erquery

    http://www.ujfp.org/