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  • Nouveautés sur A l'Encontre

    Syrie. De Kobané à Alep, un horizon ténébreux; une solidarité plus nécessaire

    4 - octobre - 2014 Publié par: Alencontre 

    Par Charles-André Udry Les médias internationaux centrent leur attention sur l’offensive des forces dudit Etat islamique (EI) contre la ville de Kobané, territoire kurde en Syrie, proche de la frontière turque. Cette ville, qui comptait par le passé 70’000 habitant·e·s, a reçu des milliers et des milliers de réfugié·e·s des villages environnants fuyant les massacreurs […]

    Syrie. Les Casques blancs face à la barbarie

    5 - octobre - 2014 Publié par: Alencontre 

    Rien ne semble pouvoir les arrêter. Les Casques blancs syriens, inconnus des médias, ont un rôle crucial. Bénévoles, non armés, ils sauvent des vies au risque d’y laisser les leurs. Alors que la situation humanitaire en Syrie se détériore dramatiquement, pour la première fois depuis le début des frappes de la coalition, le Conseil de […]

    «Nous enfermer dans une lecture monomaniaque du monde musulman?»

    3 - octobre - 2014 Publié par: Alencontre

    Entretien avec Olivier Roy A travers ses multiples voyages, de l’Afghanistan au Yémen en passant par l’Iran, Olivier Roy, directeur de recherche au CNRS, est devenu l’un des spécialistes reconnus de l’islam. Si son dernier ouvrage, En quête de l’Orient perdu, entretiens avec Jean-Louis Schlegel, se lit comme un roman d’aventures, il n’en retrace pas […]

    Israël. Emeutes contre les migrants africains et politique de détention sans limites

    3 - octobre - 2014 Publié par: Alencontre 

    Par Charles-André Udry et Michael Schaeffer Omer-Man Fin septembre 2014, a explosé le nombre de manifestations violentes contre les migrant·e·s à Tel-Aviv. L’essor de la xénophobie et du racisme ne peut être interprété – comme le prétend l’extrême droite israélienne­, selon un schéma que l’on retrouve dans d’autres forces ayant les mêmes traits en Europe ou […]

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

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    Syrie CDKF - 2 octobre 2014
     
    History, analyses, debates BENNOUNE Karima - 1 October 2014
     
    Women, patriarchy, LGBTI OWFI - 28 August 2014
     
    Non-State Actors Human Rights For All - 7 February 2010
     
    Histoire FENZI Mourad - 28 septembre 2014 A
     
    SABADO François - 24 September 2014
     
    Amitiés kurdes de Bretagne - 29 septembre 2014
  • Action à Oakland (Usa)

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  • Coopération Etats-Unis Assad pour bombarder la Syrie (A l'Encontre.ch)

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    Des contacts discrets entre la CIA et ses homologues syriens ont repris au début de 2014.

    Et, cet été, Ali Mabrouk, patron des services de sécurité intérieure et conseiller de Bachar al-Assad, s’était félicité de ces retrouvailles devant des diplomates étrangers en poste à Damas. Exagérait-il alors la portée de ces échanges balbuzards?

    Peut-être pas, si l’on considère ce qui allait suivre: une coopération américano-syrienne des plus insolites.

    Et l’intensité des bombardements que l’US Air Force vient d’effectuer tranquillement sur les territoires occupés par l’Etat islamique ne peut surprendre que d’incorrigibles naïfs. Lesquels étaient invités à se satisfaire des déclarations rassurantes du chef d’état-major. Le 16 septembre 2014, en annonçant que les Etats-Unis se préparaient à intervenir en Syrie, celui-ci se montrait péremptoire: «Il n’y a pas de partages des cibles»  avec les autorités de Damas. Mais, dès les premiers raids, les analystes militaires français affirmaient le contraire et signalaient l’existence d’«un échange avec les Syriens sur les zones à bombarder.» Une réalité que l’on confirme aujourd’hui au ministère de la Défense [en France].

    A l’instar de Bachar, qui n’a pas hurlé à la vue de ces avions étrangers arrosant d’explo- sifs sa chère Syrie, la presse de Damas, et notamment l’agence Sana, affiche un calme olympien. A preuve, cet aimable constat paru, le 25 septembre, dans Al Watan [La Nation, organe de presse lancé en 2006. Son propriétaire n'est autre que Rami Maklouf, cousin du dictateur et l'une des plus grandes fortunes du pays]: «Ces bombardements semblent respecter les conditions d’une reprise de la coopération avec les Etats-Unis.» 

    Deux jours plus tôt, Al-Thawra [«La révolution», publié depuis 1963], le quotidien du Baas, avait résumé la position adoptée par Bachar. Un éditorial évoquait «une relation complexe avec Washington [et] une coordination négative qui ne précise pas tous ses objectifs.» Suivait un commentaire sur les raids américains, qui «ne peuvent être interprétés comme une atteinte à la souveraineté de la Syrie [...] ni une agression unilatérale, [même s'il s'agit d'] une action militaire illégale.» Avant de conclure: «Seuls l’armée syrienne et ses alliés [à savoir la Russie, l'Iran et le Hezbollah, un peu divisé, semble-t-il] pourront intervenir au sol» contre les djihadistes.

    Au Pentagone, une intervention sur le terrain en Irak, voire en Syrie, est déjà envisagée, même si Barack Obama s’y montre encore hostile. Le général Paul Funk, accompagné d’un petit état-major, a été détaché à Bagdad, avec pour mission d’aider les forces irakiennes et kurdes, en attendant mieux. Quant aux frappes aériennes, elles sont coordonnées par le général Lloyd Austin, qui va et vient entre son PC de Tampa, en Floride, et celui d’Al-Udeid, au Qatar.

    Obama sous pression

    A Washington, le général Dempsey, lui, continue à faire pression sur l’équipe Obama, et il ne s’en cache pas, pour obtenir la présence de combattants au sol, américains et membres de cette coalition de «40» alliés des Etats-Unis. Lesquels ne cessent de répéter, pourtant, qu’ils n’enverront aucun soldat mourir face aux djihadistes.

    Mais Dempsey persévère, et le patron du Pentagone, Chuck Hagel, n’est pas loin d’approuver. Le 26 septembre, en présence de journalistes, il a admis que les frappes aériennes ne suffiront pas, et que «l’engagement des Etats-Unis et de leurs alliés» prendra du temps. Au-delà même des «trois ans» prévus par l’état-major de l’Otan, bien trop optimiste.

    En attendant une éventuelle décision de Barack Obama en faveur d’une bonne guerre [sur le terrain] en Irak ou en Syrie, Dempsey envisage d’entraîner et d’équiper, pendant au moins une année, entre 12’000 et 15’000 combattants syriens – dits «modérés» – pour libérer leur pays. L’Arabie saoudite, qui a longtemps financé les djihadistes et salutistes de tout poil, en espérant qu’ils régleraient son compte à Bachar, s’est portée volontaire pour héberger ce centre américain de formation. C’est un détour ironique de l’Histoire. (Article dans l’édition du 1er octobre 2014 du Canard enchaîné, page 3)

    Publié par Alencontre le 2 - octobre - 2014

    Par Claude Angeli

  • Algérie: le militant syndicaliste Hadj Moussa Aïssa n’est plus (Essf)

    Assemblée des mineurs au cours de leur magnifique lutte de novembre 1948

    Le militant syndicaliste Hadj Moussa Aïssa est mort hier, à l’hôpital Mustapha-Pacha, des suites d’une longue maladie. “Militant infatigable des luttes ouvrières et du combat syndical à Sider El-Hadjar puis à la SNVI de Rouiba (…), défenseur d’un syndicalisme combatif et démocratique au service de la classe des travailleurs et partisan du combat de la gauche anticapitaliste algérienne”, ont fait part, hier, ses amis et camarades.

    “Je l’avais rencontré, en 1978 à Annaba, pour son recrutement au GCR, et je l’ai revu dans les réunions clandestines avec ses camarades du complexe sidérurgique d’El-Hadjar où il était psychotechnicien. Plus tard, il rejoindra le complexe Sonacome de Rouiba où il fut l’acteur et le témoin des divers évènements de la lutte des classes. Il était au GCR, puis à l’ORT, il fait partie de ceux qui tentent un parti ouvrier large en 1989”, a tenu à témoigner, hier, Salhi Chawki, porte-parole de l’UTS.

    Pour Mahmoud Rechidi, porte-parole du PST, “Hadj est une figure incontournable de la classe ouvrière algérienne et de son avant-garde. C’est un être agréable, digne, humain et d’une grande sensibilité. Il connaissait mon frère Mhamed et ils avaient mené ensemble des campagnes d’alphabétisation dans les bidons-ville de Annaba dans les années 1970. Il a tout le temps été disponible, malgré son drame personnel, et était a tous les rendez-vous du combat ouvrier et démocratique”.

    Pour Adel Abderezak, membre fondateur du Cnes, “Hadj Moussa Aïssa a été pour nous, dans la période difficile du militantisme politique clandestin des années 1980 à Annaba puis à Alger, celui qui symbolisait le combat d’une classe ouvrière éveillée, politisée et syndiquée qui a construit le chemin d’une conscience de classe à El-Hadjar (…) et à Rouiba. (…)


    Nos RDV discrets un vendredi matin chaque semaine participaient à semer l’utopie révolutionnaire au moment où tout le monde était dans l’illusion du boumédiennisme socialiste. Nos chemins se sont éloignés, la vie quotidienne nous a enveloppés dans les soucis de l’existentiel, mais les convictions et cet humanisme profond sont toujours là.” “Nous irons une nuit au-delà des interdits et des connivences tacites tracer un chemin pour que nos petites douleurs à répétition trouvent un arbre distributeur d’ombre et de sérénité…”
    , écrivait-il le 11 août dernier sur sa page facebook. C’était l’un de ces derniers messages.

    Repose en paix l’ami, le frère, le camarade.

    28 septembre 2014

    Mourad Fenzi

    http://www.liberte-algerie.com/actu...

    http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article33149

  • Nouveautés sur "Lutte Ouvrière"