Palestine - Page 80
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Nouveautés sur Agence Médias Palestine
Dans le prolongement de la Flottille de la Liberté 2011 puis de l’Arche de Gaza, une nouvelle flottille est en route pour dénoncer et tenter de briser le blocus illégal de Gaza. Gaza qui est dans une situation particulièrement critique entre blocus israéien et blocus égyptien, toujours en ruines dans le silence général. Ce bateau...Communiqué de presse Jérusalem : la fermeture de l’antenne HWC va à l’encontre du droit international Le « Comité pour le Développement et le Patrimoine – CDP », dénonce vigoureusement l’ordre israélien de fermeture, ce 7 mai 2015, de l’antenne à Jérusalem de son partenaire HWC (Health Work Committee), centre en charge du School Health...Rami Almeghari – The Electronic Intifada – 14 mai 2015 Al-Batani al-Sharqi, l’historien Ghazi Misleh – (Shadi Alqarra) Chaque mois de mai est un retour au passé pour certains des Palestiniens les plus âgés. Musallam Younis Musallam est de ceux qui furent déplacés en mai 1948 et jamais autorisés à rentrer chez eux. Musallam a...Après 13 années de controverses, la Cour suprême d’Israël vient de rendre sa décision sur les procédures concernant le village bédouin d’Umm al-Hiran établi au nord du désert du Néguev. Cette décision autorise Israël de poursuivre un plan qu’on ne peut que qualifier de raciste: démolir Umm al-Hiran et en chasser ses habitants pour établir...Le théâtre al-Midan de Haifa est critiqué depuis qu’il programme des pièces en hébreu. (Oren Ziv / ActiveStills) La seule compagnie théâtrale palestinienne totalement professionnelle dans l’actuel Israël est menacée de fermeture par la campagne d’un homme politique de droite. Le théâtre al-Midan de Haïfa a obtenu un court sursis après le gel de ses... -
Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité Rennes
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Nakba : la résistance
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Au lendemain de la répression israélienne des manifestations de commémoration de la Nakab, en hommage aux victimes des tirs, nous avons choisi de publier ce texte du poète Samih al Qassim, décédé l’été dernier. Discours au marché du chômage Je perdrai peut-être – si tu le désires – ma subsistance Je vendrai peut-être mes habits et mon matelas Je travaillerai peut-être à la carrière comme porte faix, balayeur des rues Je chercherai peut-être dans le crottin des grains Je resterai peut-être nu et affamé (...)
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Cisjordanie : au moins 21 Palestiniens blessés lors de heurts avec l’armée israélienne
16 maiDes affrontements ont éclaté vendredi entre manifestants palestiniens et soldats israéliens en Cisjordanie occupée et dans la bande de Gaza, faisant 21 blessés, selon des sources palestiniennes. Les heurts les plus violents se sont déroulés à Ramallah et à Naplouse, dans le nord du territoire palestinien, au lendemain de l’investiture du nouveau gouvernement israélien et alors que les Palestiniens marquent le 67e anniversaire de la "Nakba", "catastrophe" en arabe, que représente, selon eux, la (...)
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La Nakba n’est-elle qu’une histoire palestinienne ?
16 maiEléonore Merza Bronstein, anthropologue du politique, et Eitan Bronstein Aparicio, fondateurs de De-Colonizer, centre alternatif de recherche sur Palestine/Israël, analysent la fabrication de l’histoire de la fondation d’Israël et invitent à « restituer à la Nakba sa définition réelle », ce moment où 750 000 Palestiniens furent expulsés de leurs terres pour ne jamais y revenir, et non pas « la façon dont les Arabes définissent » la création de l’État juif. Les troupes du Palmach supervisent le (...)
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Une histoire populaire de la Résistance palestinienne par Mazin QUMSIYEH
16 mai20 ans après la signature des Accords d’Oslo, découvrez l’Histoire de la Résistance palestinienne depuis le commencement, avec la lutte contre la domination ottomane, jusqu’à nos jours avec la campagne BDS (Boycotts, Désinvestissements et Sanctions)... L’auteur : Mazin QUMSIYEH Chercheur en génétique et professeur aux Universités de Bethléem et de Birzeit, après avoir enseigné aux États-Unis, le docteur Mazin QUMSIYEH est président du Centre palestinien pour le rapprochement entre les peuples. Figure (...)
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Il faut sauver Umm al-Hiran
16 maiAprès 13 années de controverses, la Cour suprême d’Israël vient de rendre sa décision sur les procédures concernant le village bédouin d’Umm al-Hiran établi au nord du désert du Néguev. Cette décision autorise Israël de poursuivre un plan qu’on ne peut que qualifier de raciste : démolir Umm al-Hiran et en chasser ses habitants pour établir sur ses ruines « Hiran », une ville réservée aux seuls Juifs. La Cour a reconnu que ses résidents ne sont pas des intrus arrivés illégalement –comme le soutenait l’Etat– (...)
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Israël : un politicien de droite tente de fermer le théâtre palestinien de Haifa
16 maiLa seule compagnie théâtrale palestinienne totalement professionnelle dans l’actuel Israël est menacée de fermeture par la campagne d’un homme politique de droite. Le théâtre al-Midan de Haïfa a obtenu un court sursis après le gel de ses subventions principales par la municipalité. Une première mesure prise par la commune pour bloquer son compte bancaire, qui avait empêché de payer le personnel, a été apparemment annulée, selon un porte-parole du théâtre. Cependant, le gel d’autres subventions par la (...)
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Un village bédouin rasé 83 fois doit payer 500 000 dollars pour les démolitions selon Israël
14 maiLe village non-reconnu d’al-Araquib est passé au tribunal mercredi, où l’état d’Israël a affirmé que le village du sud du désert doit payer 500 000 dollars [2 millions de shekels israéliens] pour couvrir les frais des démolitions et du millier de policiers déployés pour la destruction. Depuis 2010, al-Araquib a été entièrement rasé 83 fois, plus que n’importe quelle autre localité d’Israël. En Israël, près de la moitié de la population bédouine, 90000 éleveurs arabes palestiniens, vivent dans des localités (...)
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Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité
Des réfugiés palestiniens cultivent sur les toits pour ne pas oublier leurs terres
AFP, Sarah Benhaida, vendredi 15 mai 2015-
Un autre regard sur la nakba...
L’Orient le Jour, Lina Kennouche avec Elias Sanbar et Thomas Vescovi, vendredi 15 mai 2015 -
Ashrawi : Nous ne permettrons jamais que la Nakba se poursuive
MA’AN news, jeudi 14 mai 2015 -
Tribune : Combattre l’antisémitisme et condamner la politique israélienne
Libération, mercredi 13 mai 2015
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Les 67 ans de la Nakba (UJFP)
C’est ici notre Palestine !
15 mai 1948 - 15 mai 2015, soixante-sept ans déjà, soixante-sept ans depuis le début du drame des Palestiniens, soixante-sept ans de souffrance, de malheurs et de massacres pour un peuple digne, soixante-sept ans depuis le début de cette injustice imposée à un peuple sur sa terre, soixante-sept ans de déportation d’un peuple pour le remplacer par un autre peuple.
Mais, soixante-sept ans de résistance, de patience, de détermination, de courage, et de persévérance pour un peuple toujours debout, un peuple toujours attaché à sa terre et à sa Palestine en dépit de toutes les mesures de cette occupation illégale, une occupation qui dure, qui dure !Les Palestiniens commémorent les soixante-sept ans de la catastrophe dans un contexte particulier marqué notamment par la poursuite de l’occupation et de la colonisation, l’échec du processus de paix, la domination de l’extrême droite dans la société israélienne, la division interne et l’absence de perspectives pour l’avenir.
Soixante-sept ans, et les forces de l’occupation violent les droits les plus fondamentaux d’un peuple, soixante-sept ans de politique d’apartheid, de discrimination, et du terrorisme d’Etat d’Israël.
En 67 ans, Israël a appliqué toutes les mesures inhumaines illégales à l’encontre des Palestiniens, il en a emprisonné plus d’un million, il en a massacré et assassiné des milliers, il a occupé tous leurs territoires.
L’Etat d’Israël a créé le problème des réfugiés palestiniens qui vivent dans des conditions humanitaires épouvantables dans les pays voisins, et qui souffrent en permanence.
L’Etat d’Israël est le seul Etat qui, encouragé par les grandes puissances internationales, n’a jamais appliqué aucune résolution des Nations-Unies, pas plus que les accords de paix signés.
En 67 ans, Israël a toujours été un état illégal, un état hors la loi, un état d’apartheid, un état colonial, un état qui considère les citoyens arabes des territoires de 1948 comme des citoyens de seconde zone, un état qui a construit le mur de la honte en Cisjordanie, un état qui impose un blocus inhumain à la population civile de Gaza, un état qui érige tous les jours de nouvelles colonies dans les Territoires, un état qui vole tous les jours les ressources naturelles appartenant aux Palestiniens.
Un état qui n’a toujours pas de frontières, un état qui refuse toutes les initiatives de paix régionales et internationales.
On peut citer maints exemples de l’histoire noire de cette occupation contre les Palestiniens : agressions quotidiennes, massacres, déportations, crimes contre l’humanité, crimes de guerre, la liste est longue, très longue, trop longue.
Le dernier crime israélien massif contre les Palestiniens, est la dernière offensive militaire contre la population civile de la bande de Gaza en été 2014.
67 ans de résistance remarquable de toute une population qui poursuit son combat pour retrouver la liberté et vivre digne sur sa terre.Soixante-sept ans après, les Palestiniens s’interrogent : 67 ans de violation de nos droits ne suffisent-ils pas ? Le temps n’est-il pas venu de réagir et d’imposer à Israël l’application du droit international ? Le temps n’est-il pas venu d’instaurer la justice en Palestine ? Les Palestiniens n’ont-ils pas le droit de vivre, après tant d’années de souffrance, dans un état libre et indépendant ?
67 ans après cette catastrophe, nous, Palestiniens, et quelles que soient les mesures d’apartheid et de terrorisme d’état pratiquées, poursuivons le combat et les sacrifices pour notre liberté. Nous sommes plus que jamais déterminés et avons un message à délivrer au monde entier, un message clair et précis. Nous sommes toujours attachés aux principes suivants :Non, nous n’oublierons jamais l’histoire noire de cette occupation illégale et ses différents crimes contre notre population civile.
Non, nous ne partirons pas d’ici, nous resterons attachés à notre terre. Nous ne partirons pas. Ici, notre terre, ici notre vie, et ici, notre Palestine !
Oui, le droit au retour est sacré, et tous les réfugiés palestiniens doivent pouvoir retrouver leurs villes et leurs villages d’origine.
Oui, nous poursuivrons notre résistance sous toutes ses formes afin de vivre en liberté sur notre terre, cette terre appelée Palestine, et qui s’appellera toujours Palestine.
Oui, nous avons le droit de créer notre Etat libre et indépendant, avec Jérusalem comme capitale.
Oui, nous sommes prêts à vivre en paix, une paix durable, mais une paix qui passera avant tout par la justice, par l’application du droit international, par la fin de l’occupation illégale, et par la réalisation de toutes les revendications légitimes du peuple palestinien.La lutte continue ! Et le combat se poursuit ! Pour une Palestine libre et pour une Palestine indépendante ! Nous sommes tous convaincus que notre liberté s’approche, s’approche, s’approche…
vendredi 15 mai 2015 par -
Nouveautés sur Info-Palestine
La dictature égyptienne pousse les migrants à la mer
David Hearst - 15 mai 2015
Echec de l’OLP dans la crise de Yarmouk
Ahmad Melhem 13 mai 2015
Israël : mourir dans les « garages pour enfants »
Julie Couzinet 12 mai 2015
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Israël : La fuite en avant dans l’apartheid (Alternative Libertaire)
La victoire de la droite israélienne masque l’unanimisme des sionistes de tous bords pour enterrer tout espoir de paix juste et durable. La seule solution pour qu’advienne une véritable égalité des droits reste l’abandon de la perspective d’un « État juif ».
Les derniers sondages avaient laissé espérer une Knesset ingouvernable, ce qui aurait été la moins mauvaise issue pour les Palestiniens. Il n’en a rien été. Avec 67 sièges sur 120, la coalition d’extrême droite dirigée par Benyamin Nétanyahou a les mains libres pour gouverner.
L’échec d’Obama
Les grands battus, ce sont les travaillistes alliés à Tzipi Livni (vingt-quatre sièges et quarante avec les alliés potentiels). Faut-il avoir des regrets ? Non. Il n’y a pas un seul crime contre le peuple palestinien dans lequel la pseudo « gauche sioniste » ne soit pas impliquée : la Nakba en 1948, la colonisation après 1967, le massacre de Plomb durci à Gaza ou la construction du mur de l’apartheid. Le dirigeant travailliste Herzog a d’ailleurs fait campagne en affichant sur les murs : « Avec Nétanyahou et Bennet, vous allez vivre avec les Arabes, nous on vous garantit la séparation. »
L’alliée des travaillistes, Tzipi Livni est une ancienne du Mossad, spécialiste des assassinats ciblés et elle dirigeait le pays au moment du massacre de Plomb durci (en 2008-2009, 1 400 morts). Le militant palestinien Ali Abunimah rappelle que si le tandem Herzog-Livni l’avait emporté, les Palestiniens auraient été entraînés dans des pseudo-négociations qui, comme toujours, auraient été des exigences de capitulation. Avec Nétanyahou qui a affirmé qu’« il n’y aura pas d’État palestinien et aucun retrait de Cisjordanie » et qui multiplie les nouvelles constructions dans les colonies, il n’y aura pas de négociations.
Pour Obama, qui avait été plusieurs fois humilié par Nétanyahou, cette issue est une mauvaise nouvelle. Sa volonté de faire pression sur la direction sioniste sans jamais recourir aux sanctions est un échec. Obama a donné plus de 3 milliards de dollars d’aide militaire à Israël en 2014, permettant ainsi à l’agresseur de renouveler son stock de munitions. Finalement, cela a conforté les électeurs israéliens dans l’idée que tout leur était permis.
Pourquoi Nétanyahou a-t-il réussi à rallier les hésitants ?
Parce que les Israéliens ont peur de ne plus avoir peur. Pourtant, il a peu été question de la Palestine pendant la campagne électorale. À quoi bon ? La colonisation, l’extension des colonies et les nouvelles constructions semblent faire consensus. Pourquoi changer de politique puisque le pays, non sanctionné, n’en subit pas les conséquences ?
L’occupation a tué toutes les solutions politiques : deux États, c’est impossible. La ligne verte (la frontière internationalement reconnue) n’existe plus. Un État où les droits seraient égaux, c’est impossible avec le sionisme.
Alors les Israéliens qui sont entrés de plus en plus consciemment dans l’apartheid institutionnel ne voient plus comment changer de politique.
Ils espèrent toujours qu’à terme, les Palestiniens deviendront les « Indiens » du Proche-Orient, parqués dans leurs réserves ou « transférés » au-delà du Jourdain. Ils imaginent que le fait accompli colonial sera légalisé. Nétanyahou a réussi à faire peur à un électorat raciste en expliquant que ses opposants ne pourraient pas gouverner sans l’appui des « Arabes ».
Nétanyahou n’a pas seulement eu les voix des colons et de l’extrême droite.
Il a rallié une bonne partie des voix des Juifs orientaux qui sont pourtant les premières victimes de sa politique ultralibérale. La proportion des Juifs israéliens vivant sous le seuil de pauvreté est montée à 21 %.
À rebours de l’évolution géopolitique
Nétanyahou a vécu aux États-Unis. Il est lié à la droite républicaine. Il considère Obama comme une anomalie et il agit comme si, éternellement, Israël allait bénéficier du parapluie américain et être un porte-avions occidental au Proche-Orient. Mais le monde bouge. Nétanyahou a toujours fait campagne en diabolisant l’Iran et en prônant une « guerre préventive » qui mettrait à feu la région et ferait oublier la question palestinienne.
Les gesticulations de Nétanyahou sont d’autant plus indécentes quand il accuse l’Iran de vouloir fabriquer la bombe atomique que le pays de la région qui possède notoirement de nombreuses têtes nucléaires, tout en ayant énergiquement refusé de signer le moindre traité international sur cette question, c’est Israël.
Le rapprochement entre l’Iran et les États-Unis qui s’esquisse semble irréversible parce qu’il y a un ennemi commun (Daech). Du coup le pari de Nétanyahou, qui consiste à continuer de faire plier la direction américaine, devient risqué.
Dans les mois qui ont précédé le vote, Nétanyahou s’est alarmé du BDS (campagne internationale de boycott, désinvestissement et sanctions). Ce mouvement continue de remporter des succès. Ainsi, la société française Poma qui avait été pressentie pour la construction d’un téléphérique à Jérusalem, s’est très vite désistée.
L’adhésion de la Palestine à la Cour pénale internationale annonce peut-être des poursuites contre les dirigeants israéliens. Il est bien téméraire dans ces conditions de s’opposer au protecteur américain.
Dans la fragmentation de la Palestine réalisée par des décennies d’occupation, de violences et d’apartheid, on oublie souvent les Palestiniens d’Israël qui représentent plus de 20% de la population et subissent, « légalement », de très nombreuses discriminations dans un État qui se définit comme « juif ». Jusque-là, ils s’abstenaient massivement ou se présentaient en ordre dispersé. Le fasciste Lieberman, pour les éliminer de la Knesset, avait eu l’idée de porter à 3,25% le seuil pour avoir des députés.
Un espoir : la liste commune
Du coup, les partis palestiniens se sont unis (avec également Hadash, parti d’extrême gauche rassemblant Juifs et Palestiniens). La liste commune qu’ils ont présentée, comportait aussi trois candidats juifs. Avec quatorze sièges, elle devient la troisième force du pays. Elle a fait reculer l’abstention et a permis une unité palestinienne jamais réalisée jusque-là.
Parmi les élu.e.s, la militante Haneen Zoabi, présente sur le Mavi Marmara lors de la flotille pour Gaza en 2010 et victime de menaces et de violences en plein parlement. Seul point noir : la faiblesse du vote juif pour cette liste. La rupture avec le sionisme reste la question clé pour une paix fondée sur l’égalité des droits.
Pierre Stambul (Union juive française pour la paix et ami d’AL)
http://alternativelibertaire.org/?Israel-La-fuite-en-avant-dans-l
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Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité
Jordanie 1971
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Un tiers des Palestiniens seulement vivent dans les territoires occupés
Challenges avec AFP, mercredi 13 mai 2015 -
Israël ordonne la fermeture pour un an du bureau de Jérusalem de l’Union Palestinienne de la Santé
Communiqué de la CCDPRJ, mardi 12 mai 2015
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Tribune : Combattre l’antisémitisme et condamner la politique israélienne
Libération, mercredi 13 mai 2015 -
Un cauchemar de jour comme de nuit
Uri Avnery, mercredi 13 mai 2015 -
Salah Hamouri toujours empêché de se rendre en Cisjordanie
Pierre Barbancey, L’Humanité, mardi 12 mai 2015 -
Quand un village palestinien défie les démolitions de maisons par Israël
Le Nouvel Obs, lundi 11 mai 2015
Avi Mograbi, la violence d’Israël dans l’objectif
Regards, mercredi 13 mai 2015 -
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Gens de Gaza
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Bientôt à Brest!
Comme vous le savez sans doute une nouvelle flottille est en préparation, dans le prolongement de la Flottille de la Liberté 2011 puis de l'Arche de Gaza, pour dénoncer et tenter de briser le blocus illégal de Gaza.
Gaza qui est dans une situation particulièrement critique entre blocus israéien et blocus égyptien, toujours en ruines dans le silence général.
Nous sommes restés en contact régulier avec eux. C'est comme ça que nous avons aussi soutenu le passage de l'Estelle en France en 2012 (escales en Bretagne, à Dournenez, et en Corse) et que nous avons soutenu l'Arche, détruite par un missile l'été dernier.
Nous nous sommes aussi engagés à faire connaître leur campagne politiquement et médiatiquement. Le moment est venu:
L'un des 3 bateaux, le navire suédois-norvégien, le Marianne, vient de quitter Gothenberg, direction par étapes le Danemark puis le sud, mer du Nord, Manche puis Atlantique avant de passer Gibraltar vers la Méditerranée. C'est un ancien batau de pêche transformé pour la campagne, avec 5 membres d'équipage et environ 8 passagers.
Elle transporte du matériel médical et des panneaux solaires pour Gaza. Jusqu'à l'approche de Gaza ce sont des militants qui font le voyage. Ensuite des personnalités.
Le Marianne va faire escale à Brest d'ici une dizaine de jours. Il faut faire connaître leur démarche de solidarité et accompagner leur escale.Nous espérons que vous participerez à cette action avec nous. Dès à présent réservez vous pour les 21 et 22 mai! -
Rennes: Soirée projection documentaire (Afps)
Suivie d’une conférence
Nous sommes heureux de vous informer de la projection d’un film documentaire suivi d’une conférence/débat sur le thème de LA SITUATION DES PRISONNIERS POLITIQUE PALESTINIENS, qui aura lieu jeudi 28 mai à 20h à la Maison des Associations
(Cours des alliés - Rennes)Cette soirée est co-organisée par le Comité Rennais AFPS, Amnesty International, la Ligue des Droits de l’homme (LDH) et l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP), avec le soutien de l’Association des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT) et de la CIMADE.
La conférence/débat sera précédée de la projection du documentaire ‘PALESTINE, LA CASE PRISON’, réalisé par la Plateforme des ONG pour la Palestine.
Pour nous aider à décrypter les questions que cette situation soulève face au Droit International et face au Droit Humanitaire, nous pourrons compter sur la présence de trois invités :
• Hafed BURNAT, avocat palestinien, ancien prisonnier et membre du comité de résistance de Bil’in,
• Martine BRIZEMUR, Coordonnatrice Israël, Territoires occupés, Autorité Palestinienne - Amnesty International France,
• Mireille FANON - MENDÈS FRANCE, membre de l’UJFP, Experte au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU et présidente de la Fondation Frantz Fanonhttp://www.rennespalestine.fr/?+SOIREE-projection-documentaire+