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ASSEMBLEE GENERALE AFPS Pays de Saint-Malo Aux adhérents et sympathisants de l’AFPS L’Assemblée Générale annuelle de notre association se tiendra le Samedi 24 janvier 2015, à 16 heures30 Salle de la Madeleine – Avenue des Comptoirs à St-Malo ( non loin du magasin Carrefour )
Les citoyens palestiniens d’Israël tiennent une grève générale mardi après le meurtre d’une personne par la police, dimanche (22 ont été blessées), lors des funérailles de Sami al-Ajar, un citoyen palestinien d’Israël qui a été tué la semaine dernière par la police dans la ville méridionale de Rahat. Dans les villes et villages palestiniens en Israël, les institutions municipales et gouvernementales, les écoles et les entreprises sont en grève pour la troisième journée cette semaine pour protester contre la (...)
Zahera Dandees, 80 ans et sa sœur Amal, 50 ans, ont été forcées de quitter leur maison sur la rue Shuhada dans le centre de Hébron pour des "raisons de sécurité". Aucun préavis d’expulsion ne leur avait été signifié. Shuhada Street, une des rues principales d ’Hébron, relie le nord et le sud de la ville et passe par les principaux marchés, la vieille ville, la mosquée Ibrahim et les colonies israéliennes du secteur. Israël a commencé à restreindre les déplacements des Palestiniens dans la rue en 1994, (...)
L’UE a fait appel le 19 janvier de la décision de la justice européenne ordonnant le retrait du Hamas de la liste des organisations terroristes. C’est une décision démagogique, incohérente et dangereuse. __7__ Affiche du graphiste israélien Lahav Halévy : "Cours Ahmad, Cours !!!" (2001) Démagogique, parce qu’en se plaçant sous le signe de l’actualité dramatique marquée par les attentats terroristes de Paris, l’UE entretient une confusion scandaleuse entre le djihadisme et le mouvement national (...)
Communiqué du Bureau national de l’AFPS __7__ Affiche du graphiste israélien David Tartakover __7__ Depuis l’acceptation par le secrétaire général des Nations unies de l’adhésion de la Palestine à la Cour pénale internationale (CPI) les réactions israéliennes et américaines traduisent inquiétude et fébrilité. Ces États qui ont toujours refusé d’adhérer à la CPI et de se soumettre à la juridiction internationale voient poindre une menace redoutable : la mise en cause de leur impunité. Cette Cour n’est pas (...)
Jeudi 22 janvier 2015 à 20h30
Au café Théodore à Locquémeau
La Terre Parle Arabe, de Maryse Gargour, 1h, 2007
Film documentaire français sur les origines du conflit, l’exode et l’expulsopn des Palestiniens en 1984 : "la Nakba" ou la "Catastrophe"...
Entrée libre
http://www.france-palestine.org/Quinzaine-de-la-Palestine-Cinema
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé vendredi l'ouverture d'un examen préliminaire, étape préalable à une enquête, sur des crimes de guerre présumés commis depuis l'été 2014 dans les territoires palestiniens.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé vendredi l'ouverture d'un examen préliminaire sur des crimes de guerre en Palestine. Cette étape juridique sert à déterminer s'il existe une "base raisonnable" pour ouvrir une enquête, a précisé le bureau du procureur dans un communiqué : "le procureur analysera en particulier les questions liées à la compétence, à la recevabilité et aux intérêts de la justice". Le gouvernement palestinien avait adhéré au Statut de Rome, le traité fondateur de la Cour, le 2 janvier. Cette adhésion autorisera le procureur à ouvrir, à l'avenir, des enquêtes sur d'éventuels crimes. Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, avait dans le même temps envoyé à la Cour un document autorisant le procureur à enquêter sur des crimes présumés commis dans "les territoires palestiniens occupés depuis le 13 juin 2014".
C'est à cette date qu'Israël a déclenché une vaste campagne d'arrestations en Cisjordanie occupée suivie de la guerre à Gaza. Cette campagne d'arrestations avait débuté au lendemain de l'enlèvement en Cisjordanie de trois jeunes Israéliens, ensuite assassinés. Pendant les trois mois qui ont suivi, plus de 2.000 Palestiniens ont été arrêtés dans ce territoire et à Jérusalem. Le cycle des violences s'est ensuite emballé, notamment dans la Ville sainte, secouée par des affrontements et plusieurs attentats. Moins d'un mois plus tard, Israël entamait sa troisième offensive contre la bande de Gaza en six ans, provoquant la mort de près de 2.200 Palestiniens, en grande majorité des civils. Plus de 70 personnes sont mortes côté israélien, quasiment toutes des soldats.
Installée à La Haye, la CPI est compétente pour poursuivre des auteurs présumés de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre commis depuis le 1er juillet 2002. Au total, 123 Etats, parmi lesquels ne figure pas Israël, ont à ce jour adhéré au statut de Rome. "Le Statut de Rome n'impose aucun délai pour rendre une décision relative à un examen préliminaire", a précisé le bureau de Fatou Bensouda, le procureur. Des examens préliminaires ont pour l'instant été ouverts en Afghanistan, en Colombie, en Géorgie, en Guinée, au Honduras, en Irak, au Nigeria et en Ukraine. La demande d'adhésion palestinienne s'inscrit dans le cadre d'une offensive diplomatique déclenchée à l'ONU par les Palestiniens. Furieux, le gouvernement israélien avait gelé le versement de 106 millions d'euros de taxes collectées pour le compte de l'Autorité palestinienne.
Israël a jugé vendredi "scandaleuse" l'ouverture par la Cour pénale internationale (CPI) d'un examen préliminaire, par l'intermédiaire du ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman. Ce dernier a préconisé qu'Israël ne coopère pas à ces investigations. Cet examen préliminaire est une "décision scandaleuse dont le seul but est de saper le droit d'Israël à se défendre contre le terrorisme", a dit Avigdor Lieberman selon ses services.
http://www.pourunesyrielibre.com/index.php?language=fr&page=5&spage=111
Benjamin Nétanyahou, Avigdor Lieberman et Naftali Bennett représenteront le 11 janvier l’Etat d’Israël à la grande manifestation européenne de riposte aux fusillades contre Charlie Hebdo et contre le magasin casher à Paris. Ces trois personnages sont des criminels de guerre qui relèvent de la Cour Pénale Internationale pour les meurtres de masse commis à Gaza et ailleurs.
Ce sont trois sinistres artisans de la volonté d’Israël d’écraser le peuple palestinien : Nétanyahou, le dirigeant des massacres à Gaza, Lieberman et Bennett, deux ministres colons, l’un prévoit l’expulsion de tous les Palestiniens, y compris ceux qui vivent en Israël et l’autre se vante d’avoir tué des Palestiniens.
Ce qui est tout aussi grave, c’est la signification que leur présence confirme, concernant la nature de cette manifestation.
C’est pourquoi nous exhortons les diverses associations amies du peuple palestinien qui comptent se rendre à cette manifestation à reconsidérer leur décision.
La manifestation devait être soi-disant « d’unité nationale » contre le terrorisme et pour la liberté d’expression.
Elle sera en réalité une représentation des « valeurs du monde civilisé occidental » contre les « menaces terroristes du monde arabo-musulman », une manifestation bien dans la tonalité du « choc des civilisations » qui d’après nos gouvernants, même quand ils se défendent de diffuser ce point de vue, régit le monde actuel.
En fin de compte tous ceux qui souhaitaient manifester demain leur solidarité avec les victimes de ces terribles attentats et pensaient sincèrement montrer une société française unie contre le crime, se sont fait confisquer leur manifestation par les organisateurs autoproclamés d’une grande messe de « l’Axe du Bien » : le gouvernement, ses amis et tous ses concurrents de droite – hormis le Front National, dont l’idéologie n'a nul besoin d'invitation pour prospérer. Les grands alliés internationaux seront présents : ces mêmes représentants d’État dont les politiques contre les peuples ont permis l’apparition du terrorisme djihadiste, les courants islamophobes, les amis de l’État d’Israël et bien sûr les représentants de cet État.
Quant aux populations dangereuses, postcoloniales, jeunes, éventuellement porteuses de signes ostentatoires musulmans, elles subiront le dispositif de contrôle renforcé dans la période qui s’ouvre. Nous ne pouvons oublier qu’à tous ceux-là les manifestations de solidarité et la liberté d’expression ont été interdites, l’été dernier, pendant l'opération « Bordure de protection » menée contre Gaza par les trois invités israéliens de demain.
Les représentants d’Israël ont commencé à faire de grands appels à la population juive française, soi-disant victime d’un déferlement antisémite sans précédent, pour qu’elle émigre en Israël, pays « de grande liberté ». Une fois de plus, les dirigeants israéliens mettent sciemment en danger les Juifs français par la peur et l’incitation au départ.
Le Bureau National de l’UJFP le 11 janvier 2015