Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    gaza.jpg

    Week-end paisible à Gaza

  • Morlaix 6 heures pour la Palestine (Afps)

    morlaix.jpg

    De retour de leur voyage en Cisjordanie, pour repérer les lieux et défendre la cause palestinienne, les membres de l'Association France Palestine Solidarité (AFPS), organisent, après ce périple de onze jours, un grand moment de témoignage au cours d'une soirée à Plourin-lès-Morlaix.
     
    Ces « 6 h pour la Palestine » débuteront vendredi, à partir de 17 h, à la salle du Cheval-Blanc, avec la visite des stands de solidarité et des expositions photos.
     
    Le groupe Hyjy et Celestino Lopez Blanco
     
    À 18 h, s'ouvrira un débat sur la situation en Palestine, « On a vu l'inimaginable », à partir d'un récit de voyage fait par des membres de l'AFPS de Brest et de Morlaix. Le bar et la restauration seront ouverts dès 19 h 30.
     
    Puis à 20 h 30, un concert sera proposé avec le groupe Hyjy et les percussions cubaines de Celestino Lopez Blanco.
     
    Ces « 6 h pour la Palestine » sont organisées en collaboration avec les groupes locaux de la Ligue des Droits de l'Homme, de l'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture, du Mouvement de la paix, l'association de jumelage Morlaix-Wavel et le collectif migrants-réfugiés du pays de Morlaix.
     
    Pratique « 6 h pour la Palestine ». Vendredi, à partir de 17 h, salle du Cheval-Blanc, à Plourin-lès-Morlaix. Entrée gratuite.

     
  • Nouveautés sur "Lutte Ouvrière" et "CCR"

    leon arab.jpg

    LO:

    Maroc : cinq mois de grève à Maghreb Steel

    Avril-mai 1956 : la révolte des rappelés

    CCR:

    Maroc. Grèves et mobilisation contre la réforme des retraites du gouvernement

  • Bahreïn. Un dirigeant de l'opposition condamné à neuf ans de prison pour des discours pacifiques (Amnesty)

    barh.jpg

    Dans une attaque contre le droit à la liberté d'expression, les autorités de Bahreïn ont confirmé lundi 30 mai la condamnation du leader de l'opposition Ali Salman et prolongé sa peine de prison de quatre à neuf ans, en raison de ses discours critiques envers le gouvernement, a déclaré Amnesty International.

    « La condamnation de Sheikh Ali Salman est clairement motivée par des considérations politiques et vise à faire savoir à tous que même des demandes légitimes et pacifiques de réforme ne resteront pas impunies. Cet homme est un prisonnier d’opinion qui n’aurait jamais dû être incarcéré. Il doit être relâché sans délai et sans condition », a déclaré James Lynch, directeur adjoint du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.

    Le 16 juin 2015, Ali Salman, le secrétaire général de la principale formation d'opposition à Bahreïn, la Société islamique nationale Al Wefaq, a été condamné à l'issue d'un procès inique à une peine de quatre ans d'emprisonnement pour diverses charges, notamment pour avoir « insulté publiquement le ministère de l'Intérieur » et « incité d'autres personnes à désobéir à la loi ». Ces accusations sont en lien avec des discours qu'il a prononcés en 2012 et 2014.

    Son appel, en instance depuis huit mois, vient finalement d'être rejeté le 30 mai par la Cour d'appel de la capitale Manama.

    En septembre 2015, le Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire a demandé aux autorités bahreïnites de le libérer immédiatement et de lui accorder des réparations satisfaisantes.

    Ces dernières années, Bahreïn a resserré son étau sur la liberté d'expression, procédant à de multiples arrestations et harcelant opposants et militants. 

    Ebrahim Sharif, ancien secrétaire général de la Société nationale pour l’action démocratique (Waad), a été incarcéré pendant un an le 24 février pour avoir appelé à des réformes dans un discours. Fadhel Abbas Mahdi Mohamed, ancien secrétaire général du Rassemblement démocratique national unitaire (parti al Wahdawi), a fait appel d'une peine de cinq ans de prison prononcée à son encontre au terme d'un procès inique en juin 2015, pour une déclaration faite par son parti qui condamnait les frappes aériennes de la coalition dirigée par l'Arabie saoudite au Yémen.

    « En plaçant trois opposants de premier plan derrière les barreaux, les autorités font clairement savoir que la critique ne sera pas tolérée à Bahreïn et que quiconque ose les contester se met en danger », a déclaré James Lynch.

    Amnesty International considère Ali Salman, Ebrahim Sharif et Fadhel Abbas Mahdi Mohamed comme des prisonniers d'opinion, incarcérés uniquement pour avoir exprimé sans violence leurs opinions. 30 mai 2016

    https://www.amnesty.org/fr/bahrain-opposition-leader-jailed-for-nine-years-over-peaceful-speeches/