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Solidarité - Page 114

  • Interludes poétiques de Palestine (Afps)

     

    Institut Culturel Franco-​​Palestinien - 75005

    Evé­nement autour de la poésie pales­ti­nienne contemporaine 

    Dans le cadre de l’Année inter­na­tionale de la soli­darité avec le peuple pales­tinien (2014), et à l’occasion de la 13e édition du Fes­tival des cultures étran­gères du Forum des Ins­tituts culturels étrangers à Paris, l’Institut Culturel Franco-​​Palestinien a le plaisir de vous convier aux Inter­ludes poé­tiques de Palestine #2

    • le mer­credi 24 sep­tembre 2014, 19h, à la MAISON DE LA POESIE - 157 rue Saint-​​Martin - 75003 Paris. Par­ti­ci­pation aux frais : 5 €. Métro : Ram­buteau - RER : Châtelet-​​Les Halles – Bus : 29, 38, 4775

    • le jeudi 25 sep­tembre 2014, 18h30, à l’Auditorium de l’INSTITUT DU MONDE ARABE - 1 rue des Fossés St Bernard - 75005 Paris. Entrée libre dans la limite des places dis­po­nibles. Métro : Jussieu, Car­dinal Lemoine ou Sully-​​Morland.

    Réservation conseillée reservations@institut-icfp.org

    A l’affiche de cette deuxième édition : Mourid Al-​​Barghouti, Nathaly Handal, Bashir Shalash, Abdul-​​Rahim As-​​Shaikh et Donia Ismail.

    Venus spé­cia­lement du Caire, de New York, de Haifa, de Jéru­salem et de Gaza pour cet évé­nement, les cinq poètes seront accom­pagnés au piano par le vir­tuose Farag Sleman (Haifa). A leurs côtés, les comé­diens Phi­lippe Tan­celin et Soleima Arabi pré­sen­teront le récital en français. Les oeuvres gra­phiques ont été réa­lisées et choisies par le grand peintre Vla­dimir Tamari (Japon).

    Pour en savoir plus :

    http://www.institut-icfp.org/coming...

    http://www.imarabe.org/jeudi-ima/in...

    http://www.france-palestine.org/Interludes-poetiques-de-Palestine,24745

  • Convergence Palestine samedi 18 octobre 2014 (Afps)

    https://encrypted-tbn3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRNYDSQpuX4F0t46FCkTYPT80KYX9XVVpZBAhDDX-vzGGdrwwzd

    ENSEMBLE NOUS DIRONS : ÇA SUFFIT ! BASTA !

    Une fois de plus l’Etat d’Israël bafoue les règles du droit inter­na­tional et huma­ni­taire et des droits humains les plus élé­men­taires. Avec l’agression contre la popu­lation pales­ti­nienne de Gaza, il a dépassé les limites.

    L’IMPUNITE GARANTIE… C’EST UN FEU VERT AUX CRIMINELS DE GUERRE

    Ces vio­la­tions sans limites du droit inter­na­tional ne seraient pas pos­sibles sans l’impunité dont béné­ficie Israël depuis des décennies. Les bonnes paroles de nos gou­ver­nants ne suf­fisent pas. Les larges sec­teurs de l’opinion qui se sont mobi­lisés cet été attendent des actes poli­tiques concrets : Il faut obtenir sans délai la levée du blocus de Gaza et, au-​​delà, la fin de la colo­ni­sation et de l’occupation.

    Pour cela, la France doit

    SANCTIONNER L’ETAT D’ISRAEL

    o Mettre l’embargo sur les armes et cesser toute coopé­ration mili­taire avec Israël

    o Interdire l’entrée des pro­duits des colonies et toute relation d’affaires pro­fitant à la colonisation

    o Faire suspendre l’accord d’association UE-​​Israël

    RECONNAITRE L’ETAT DE PALESTINE

    Elle doit aussi engager des pour­suites contre les Français auteurs ou com­plices de crimes de guerre lors des opé­ra­tions contre la popu­lation palestinienne.

    C’est pour porter ces exi­gences que dans la suite de nos mobi­li­sa­tions locales, nous conver­gerons sur Paris le 18 octobre.

    Cette ini­tiative est portée et sou­tenue aux côtés de l’AFPS par diverses orga­ni­sa­tions de défense des droits de l’homme, des syn­dicats et des partis politiques.

     

    CONVER­GENCE PALESTINE

    Les 91011 octobre dans nos régions…

    Le 18 octobre à Paris

    http://www.france-palestine.org/Convergence-Palestine

     
  • Syrie, région de Kobané: Solidarité avec la résistance des populations face à l’Etat islamique (Npa)

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    La région de Kobané au nord de la Syrie est soumise à de violentes attaques de l’Etat islamique (E.I, Daesh) depuis plusieurs jours, au point que les forces kurdes du YPG et les autres forces de la résistance ont dû se retirer de nombreux villages.

    Ces combats ont jeté à nouveau sur les routes des milliers de Yezidis, Assyriens et Chaldéens qui s’étaient réfugiés à Rojava. La Turquie qui joue un jeu ambigu en laissant passer les Jihadistes, a même pendant un temps refusé d’ouvrir la frontière à ces réfugiés.

    La France ne peut pas continuer à accueillir en grande pompe les pays qui ont armé ou aident les barbares de l’E.I, Turquie, Qatar, Arabie Saoudite et prétendre participer à la lutte contre les Jihadistes tout en laissant la résistance et la population kurde mener seules un combat à armes inégales face aux blindés et armes lourdes de l’E.I.

    Nous exigeons que les autorités françaises viennent en aide à la population de Rojava et en particulier dans la région de Kobané.

    Nous exigeons qu’elles fassent pression sur la Turquie, membre de l’OTAN pour qu’elle cesse de protéger les Jihadistes.

    Nous exigeons le retrait du PKK de la liste des organisations terroristes en France.

    NPA, Montreuil, le 22 septembre 2014

    http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article33082

  • Paris, fac de Tolbiac

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  • Palestine: refusons la criminalisation de la solidarité (Npa)

     

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    Dés le 9 juillet, François Hollande donnait le ton.

    Dans un entretien avec Netanyahou, il lui apportait sa solidarité, condamnant la résistance palestinienne et lui donnant carte blanche pour ce qui allait être un massacre : « il appartient au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population... ». « Toutes les mesures » furent bien prises par l’armée sioniste, et on connaît aujourd’hui le bilan catastrophique sur le plan humain et matériel. Mais la complicité du président français ne s’est pas arrêtée pas à cette odieuse déclaration...

    Dans un même mouvement, l’exécutif tenta de diviser le mouvement de solidarité envers le peuple palestinien, essayant de réduire cette solidarité à une seule « communauté », tentant ainsi de transformer un problème politique en un affrontement communautaire... et d’utiliser l’accusation odieuse d’antisémitisme. Les provocations de la Ligue de défense juive (LDJ), organisées avec la passivité de la préfecture de police, rentraient dans cette logique de division du mouvement, fournissant un prétexte pour interdire toute manifestation de solidarité et d’expression de colère face aux crimes commis à Gaza.
    Ainsi, les arrestations se sont multipliés : dans le quartier de Belleville, trois militantEs sont arrêtés le matin pour distribution d’un tract appelant à une manifestation interdite l’après-midi. Inculpés, ils seront jugés le 29 octobre. Deux heures avant cette manifestation, deux militants en voiture, transportant pancartes et drapeaux, sont arrêtés, placés en garde à vue, leur voiture saisie. Puis arrestations arbitraires de manifestantEs, le plus souvent en fonction de leur apparence, jugés en comparution immédiate.
    Mais provocations et intimidations n’ont pas réussi à diviser le mouvement de solidarité et à empêcher que s’exprime dans la rue la colère populaire. Avec d’autres organisations, le NPA a œuvré pour conserver l’unité du mouvement et ne pas céder aux injonctions du gouvernement, maintenant à Paris les rassemblements et manifestations prévues. Nos interventions ont permis de déjouer les pièges gouvernementaux dont on peut regretter que certaines organisations se soient laissées entraîner à écouter le pouvoir.

    Contre la vengeance d’État
    Le rôle important du NPA pendant toute la séquence criminelle à Gaza a conduit l’exécutif gouvernemental à traduire en justice notre camarade Alain Pojolat. Mesquine vengeance d’État. Alain, qui a déposé la déclaration de la manifestation – finalement interdite – pour plus de 40 organisations syndicales, politiques et associatives, est le seul à être inculpé pour appel à une manifestation... qui sera par la suite interdite.
    Le 22 octobre, nous devons donc être plusieurs centaines pour accompagner Alain au tribunal et dire notre refus de la criminalisation du mouvement de soutien à la Palestine. D’ici là aura lieu un meeting de solidarité ce vendredi 19 septembre (1) et il faut amplifier le mouvement pétitionnaire en faisant signer largement la pétition « Non à la criminalisation de la solidarité avec la population de Gaza !Nous exigeons la relaxe d’Alain Pojolat ! » (2).
    Les basses manœuvres gouvernementales ne nous feront pas plier. Notre solidarité avec le peuple palestinien continue et va s’amplifier. Encore et encore, dans l’unité la plus large, nous continuerons à appeler aux rassemblements et manifestations, et aux action BDS.

    Marc Prunier
    1  – À l’appel du Collectif pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens, à 19 h à la Bourse du travail de Saint-Denis, 9-11 rue Génin à Saint-Denis.
    2 – http://www.petitions24.net/nous

  • Genève

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  • Le comité NPA du 18ème arrondissement vous invite à une projection-débat :

    "Palestine, histoire d'une terre"
    autour du documentaire de Simone Bitton (première partie: 1880-1950),

    le jeudi 25 septembre 2014 à 20h aux Chiffons, 90 rue Marcadet.

    Pourquoi Israël est-il un État colonial ? Quelles solutions pour le peuple palestinien ? Quelle solidarité internationale avec la résistance palestinienne ? Après l'offensive sur Gaza de cet été, la question palestinienne est revenue au cœur des préoccupations militantes. Pour pouvoir comprendre la situation actuelle, il est important de connaître l'histoire du projet sioniste depuis ses origines, le rôle des différentes puissances dans la région, ainsi que l'histoire des résistances du peuple palestinien.

  • Gaza : le silence tue, la désinformation rend complice (Acrimed)

    Nous publions, sous forme de tribune [1], un texte collectif, signé par plusieurs chercheurs, intellectuels, et par le Secrétaire général de la Fédération Européenne des Journalistes. Ce texte a été rédigé en Belgique et adressé en priorité aux médias belges, mais aucun des titres de presse sollicités n’a souhaité le publier. Il dénonce des mécanismes également identifiables dans les médias français (Acrimed).

    Quel bilan tirer de l’opération israélienne « Bordure Protectrice », 3 semaines après l’accord d’un cessez-le feu ? C’est avec amertume, indignation, mais aussi avec inquiétude que nous nous interrogeons sur le traitement médiatique de la tragédie qui a frappé la Bande de Gaza. En faisant - consciemment ou non - usage d’expressions communément acquises, la presse s’est rendue coupable de désinformation.

    Nous, citoyens belges et européens, accusons la majorité des médias d’appliquer – délibérément ou non – la politique des « deux poids, deux mesures » lorsqu’il s’agit d’aborder ces événements atroces. Ainsi, parler de « guerre » est-il correct alors que le conflit oppose David à Goliath ? L’histoire atteste que nous sommes face à une répression de type colonial contre une population en résistance face aux occupants. Nous sommes consternés par la représentation d’un « conflit » où oppresseurs et opprimés se valent. Le principe d’« équidistance » a-t-il quelque sens dans un affrontement qui oppose l’armée israélienne - considérée comme la cinquième armée la plus puissante au monde - à des roquettes palestiniennes, pour la plupart artisanales ?

    Il ne s’agit pas ici de reprocher aux médias de parler « des deux camps », mais bien leur représentation systématique, toujours au nom de l’« équidistance », des opérations des uns et des autres. Cette approche crée chez le lecteur, l’auditeur ou le téléspectateur le sentiment d’une égalité entre protagonistes. Ainsi, les roquettes palestiniennes, qui pour près de 87% sont interceptées, en arrivent à être présentées comme l’équivalent des chars, drones, F16, hélicoptères et missiles dernier-cri israéliens. Les 1,7 million de Gazaouis, eux, n’ont pas de Dôme de fer… Ils connaissent par contre une densité démographique supérieure à celle du Bangladesh sur 365 km2 (la moitié de la superficie du littoral belge). Une telle densité permet d’apprécier à sa juste valeur le leitmotiv propagandiste des « boucliers humains » du Hamas et la prétention d’Israël à s’en tenir à des « frappes chirurgicales ».

    Nous dénonçons cette prétendue égalité entre protagonistes, renforcée par un traitement le plus souvent purement événementiel de l’actualité. Il faut rappeler que la Bande de Gaza est occupée depuis 1967 et assiégée depuis l’arrivée au pouvoir du Hamas, il y a 7 ans. Depuis, la population entière en fait les frais : encerclée par mer, terre et air pour avoir « mal choisi », dit-on, ses dirigeants. On l’a souvent dit : « Gaza est une prison à ciel ouvert ». Ce qui explique que l’ONU considère toujours le territoire comme étant sous occupation. Ni sortie de secours, ni lieu sûr. Pas même au sein des hôpitaux ou des écoles. Dans cette atmosphère oppressante, toute tentative de révolte des Palestiniens est présentée comme « activité terroriste » par des journalistes qui se font ainsi les porte-voix de la propagande israélienne. Faut-il rappeler que les résolutions de l’ONU et principalement la résolution 37/43 légitiment la lutte armée contre la domination coloniale ? Trop souvent, nos médias présentent exclusivement le Hamas comme un mouvement « islamiste radical », jamais comme un mouvement de libération nationale, déclenchant ainsi de façon pavlovienne des réflexes de peur et de rejet.

    C’est l’enlèvement de trois jeunes Israéliens retrouvés morts en Cisjordanie occupée qui est systématiquement présenté comme l’élément déclencheur des hostilités entre Israël et Gaza. Le Hamas, accusé sans preuves de ce rapt a vu des centaines de ses militants et cadres locaux arrêtés. Malgré l’humiliation et les privations quotidiennes que subissent les Gazaouis, ce n’est que suite à ces arrestations d’envergure que les premières roquettes ont été tirées depuis la Bande de Gaza. Les premières du Hamas depuis… 2012. C’est aussi l’élimination, le 7 juillet, de sept combattants du Hamas qui a mené celui-ci à considérer que le cessez-le-feu avec Israël, négocié en novembre 2012 et qui engageait chaque partie à ne pas mener d’opérations militaires contre l’autre, était rompu.

    Les finalités de l’opération israélienne « Bordure Protectrice » se voient tout à fait discréditées : mener des attaques de « représailles légitimes » afin d’éradiquer les tirs de roquettes. Or l’on sait que ce sont les opérations militaires israéliennes qui engendrent davantage de tirs de roquettes et font donc des victimes israéliennes. La boucle est bouclée, le cercle vicieux installé. Israël dit vouloir arrêter la violence contre ses citoyens, mais, contribue paradoxalement à la provoquer.

    Nous accusons la plupart des médias de manipuler l’opinion en présentant le Hamas comme « l’organisation qui n’a pas accepté la trêve » ou « qui la viole constamment ». Et qui par conséquent, ne protège pas ses civils. Rappelons que la première proposition de cessez-le-feu a été discutée entre le gouvernement israélien et le gouvernement égyptien dirigé par le maréchal Al-Sissi, fervent opposant au Hamas. Peut-on imaginer la négociation d’une trêve si toutes les parties concernées ne sont pas présentes aux discussions ou si aucune des conditions demandées, par les représentants du peuple palestinien, n’a été évoquée ?

    Des médias comparent les statistiques des morts civils palestiniens à celles des soldats israéliens tombés. Comparaison honteuse. D’autres médias cultivent la peur des « djihadistes » belges ou français partis combattre en Syrie, mais épargnent l’image de ces autres Belges ou français enrôlés dans l’armée d’occupation israélienne.

    Cette approche médiatique, ce constat flagrant de sympathie première envers Israël se révèlent consternants et nous poussent à nous interroger sur les fondements d’une « osmose culturelle » avec cet État, alors que ce dernier piétine de manière constante les principes démocratiques et le droit international.

    « Bordure protectrice » a fait plus de 2.100 victimes palestiniennes dont 500 enfants.

    Nous, lecteurs, auditeurs, et téléspectateurs belges et européens, accusons une partie de la presse, de désinformation lorsqu’il s’agit de traiter des crimes de guerre commis par Israël à Gaza et en Palestine occupée.

    Des gouvernements en passant par la population, toute la société dépend du Quatrième pouvoir, celui des médias, pour se forger son opinion. Jusqu’à présent, le travail indispensable d’investigation journalistique a souvent fait défaut. Sous couvert de neutralité, beaucoup de médias désinforment. Ils se rendent et nous rendent complices de la tragédie de Gaza.

    Comme l’affirmait Desmond Tutu, « rester neutre face à l’injustice, c’est choisir le camp de l’oppresseur ».

    le 16 septembre 2014

    - Anissa Amjahad - Docteure en sciences politiques et sociales (ULB)
    - Frank Barat - Militant et auteur
    - Sébastien Boussois - Docteur en sciences politiques
    - François Burgat - Politologue, Aix-en-Provence
    - Paul Delmotte - Professeur retraité de politique internationale à l’Institut des Hautes Études des Communications Sociales
    - Ricardo Gutiérrez - Secrétaire général de la Fédération européenne des Journalistes
    - Imane Nachat - Étudiante en dernière année de Master en Sciences de la communication - VUB
    - Julien Salingue - Chercheur en science politique

    - Pour l’analyse d’Acrimed sur le traitement médiatique de la dernière offensive israélienne contre Gaza, voir notre article : « Offensive israélienne contre Gaza : les partis pris du traitement médiatique ».

    Notes

    [1] Les articles publiés sous forme de « tribune » n’engagent pas collectivement l’Association Acrimed, mais seulement leurs auteurs.

    http://www.acrimed.org/article4443.html

  • Nouveautés sur "Agence Médias Palestine"

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  • Sahara Occidental à la fête de l’Huma (Afriques en lutte)

    Le Sahara Occidental sera représenté par deux stands ce week end au Village du Monde à la Fête de l’Humanité :

    - Stand de l’Association de la Communauté Sahraouie en France : avenue MUMIA ABU JAMAL,
    - Stand de l’Association des Sahraouis en France : situé au au croisement des avenues CHOKRI BELAID et MEHDI BEN BARKA.

    Dimanche 14 septembre 2014 à 15H00 Dans le stand de l’Association des Sahraouis en France dans le village du Monde, au croisement des avenues CHOKRI BELAID et MEHDI BEN BARKA.

    Débat sur l’actualité au Sahara Occidental sur les thèmes suivants :

    40 ans d’impuissance de la communauté internationale pour mettre fin à l’occupation du Sahara Occidental par le Maroc Situation politique actuelle au Sahara occidental

    Quel rôle joué par la France et l’Union europenne dans le maintien de cette occupation ?

    La répression et les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental ?

    Intervenants :

    - Brahim BALLAGH, ex-disparu sahraoui
    - Michèle DECASTER, secrétaire générale de l’AFASPA,
    - Nicole GASNIER, membre du bureau de l’AARASD
    - Jean-Paul LE MAREC, secrétaire général du CORELSO
    - Fabienne REBERIOUX, membre du bureau de l’AARASD
    - Modérateur : Bachir MOUTIK, représentant en France de l’AFAPREDESA

    Ce débat est organisé conjointement par l’Association des Sahraouis en France(ASF) et l’Association de la Communauté Sahraouie en France (ACSF), avec le soutien de la Plateforme de Solidarité avec le Peuple du Sahara Occidental.

    13 septembre 2014

    http://www.afriquesenlutte.org/afrique-du-nord/republique-sahraouie/article/sahara-occidental-a-la-fete-de-l