Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Solidarité - Page 66

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité Rennes

     

    • Harlem Désir et l’étiquette

      Communiqué de l’AFPS, vendredi 15 janvier 2016 Benyamin Netanyahou n’avait pas fait dans la dentelle à l’annonce de la décision européenne d’étiquetage des produits des colonies, la comparant aux mesures antisémites des nazis. Harlem Désir, alerté par le CRIF sur cette mesure, vient de lui répondre dans un courrier d’une rare flagornerie. Pour lui « La France est consciente de l’émotion et des inquiétudes que suscite l’étiquetage en Israël ». Oser rappeler par une étiquette que la Vallée du Jourdain n’est (...)

       

       
    • Rencontre avec Malaak al-Khatib, jeune palestinienne emprisonnée à l’âge de 14 ans, par Elsa Grigaud

      15 janvier

      « Je suis née le 3 novembre 2000. Le 31 décembre 2014, il devait être 8h30, je me rendais à l’école pour mon dernier examen d’anglais. J’étais seule. Une jeep de l’armée israélienne est arrivée près de moi. Quatre soldats m’ont ordonné de m’arrêter. Ils sont sortie et m’ont frappée à la tête avec une matraque et m’ont battue à coup de poing et de pieds. Je suis tombée. Ils m’ont jetée dans leur jeep, ma tête a heurté violemment l’intérieur. L’un des soldats avait son pied sur mon cou. J’ai perdu conscience. Je (...)

       
    • Nouvel article

    •  

      Benzi Gopstein, leader du groupe extrémiste anti-assimilationniste Lehava, a appelé à interdire les célébrations de Noël en Israël et à expulser les chrétiens qu’il compare à des "vampires". Haaretz, Sharon Pulwer, 22 décembre 2015 "Noël n’a pas sa place en Terre Sainte," a écrit Gopstein dans un article publié il ya quelques jours sur le site web Haredi Kooker. Le Mouvement Israël pour la réforme et le judaïsme progressiste a appelé le procureur et la police à ouvrir une enquête. Dans l’article, (...)

       
    • Artcurial censure une œuvre sous la pression d’Israël dans une vente au profit de RSF

      15 janvier

      La vente aux enchères d’« Artistes à la une », prévue le 27 janvier chez Artcurial au profit de l’association Reporters sans frontières (RSF), avait pour but de défendre la liberté d’expression dans le monde. C’est ironiquement un acte de censure qui l’aura fait annuler. Cet ensemble de près de quarante « unes » du quotidien Libération revisitées par des artistes français (Jacques Villeglé, Laurent Grasso, Tania Mouraud, Robert Combas, Jean-Michel Alberola, Jean-Michel Othoniel, Invader, Zevs…) ou étrangers, (...)

       
    • En Israël et dans les territoires occupés, le plus grand danger est la routine

      14 janvier

      Par Gideon Levy - Le 13 janvier 2016 Il n’y a pas d’autre façon de décrire la politique d’Israël vis-à-vis des agresseurs présumés que comme des exécutions sommaires extrajudiciaires. Le plus grand ennemi de la lutte contre l’occupation israélienne est la routine. Ce danger de la routine n’apparaît que rétrospectivement, en regardant l’occupation dans le rétroviseur au fil du temps. Ce qui était inacceptable hier, et même inimaginable, devient la routine d’aujourd’hui et la norme de demain. Ainsi, (...)

       
    • Les militants saluent une « enthousiasmante » victoire de BDS alors qu’Orange quitte Israël

      14 janvier

      Les militants qui font campagne pour les droits des Palestiniens saluent une victoire majeure après qu’Orange en France ait souscrit à leur principale revendication : mettre fin à sa relation avec sa filiale israélienne. __0__ Orange en train de fournir un service gratuit aux soldats israéliens près de Gaza pendant l’assaut de l’été 2014 qui a provoqué la mort de plus de 2.200 Palestiniens. La filiale israélienne de la compagnie française de télécommunications a « adopté » une unité militaire qui (...)

       
    • Manuel Valls ou l’art dangereux de l’amalgame

      14 janvier

      Une fois de plus, Manuel Valls se livre à la pratique détestable et éminemment dangereuse de l’amalgame. Confusion générale entre dénonciation légitime de l’antisémitisme et soutien, à peine voilé, à la politique coloniale israélienne qu’il ménage de toutes ses forces. Samedi, lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de l’Hyper Cacher organisée par le CRIF, il a délibérément assimilé la critique de l’Etat d’Israël à l’antisémitisme. Il l’a fait en jouant sur les mots pour associer l’antisémitisme, qui est une (...)

       
    • Incendie dans les bureaux de l’ONG israélienne B’Tselem à Jérusalem

      12 janvier

      Un incendie d’origine inconnue a infligé d’important dégâts dimanche soir aux bureaux de l’ONG israélienne des droits de l’Homme B’Tselem, situés à à Jérusalem. Selon l’ONG, la police soupçonnerait un incendie criminel. France 24, lundi 11 janvier 2016 Un incendie d’origine inconnue a ravagé dimanche 10 janvier au soir le siège à Jérusalem de B’Tselem, la célèbre ONG israélienne qui défend les droits de l’Homme dans les territoires palestiniens occupés, sans faire de victime. "Selon les premiers éléments, (...)

     

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    ernest_pignon_ernest-f7a63.jpg

     
     

    Communiqué conjoint sur la condamnation choquante de la défenseure des droits de l’Homme palestinienne Khalida Jarrar

    Addameer, National Lawyers Guild, Lawyers for Palestinian Human Rights, jeudi 14 janvier 2016
  • Gentilly Palestine

    affiche_.jpg

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    See original image

  • L’effacement de la Palestine (Ujfp)

    See original image

    Depuis le 1er octobre, plus de 170 Palestinien-ne-s ont été tué-e-s par l’armée israélienne ou par les colons qui sont tous "légalement" armés. Déjà le 19 décembre, Imemc News (traduit par l’Agence Média Palestine) donnait la liste des 127 Palestinien-ne-s tué-e-s auxquels il faut ajouter le chiffre hallucinant de 14.470 blessé-e-s.

    Qui a entendu ces chiffres dans les principaux médias français ?

    Quand ils évoquent la Palestine, c’est bien souvent pour reprendre le vocabulaire de l’occupant : "Israël est soumis à une vague terroriste et les Israéliens ont peur".

    Quand il y a une victime israélienne, on ne dit pas que l’auteur de l’attaque a été  exécuté sans jugement. On n’en parle même pas, comme si les Palestiniens n’étaient pas des êtres humains.

    "Silence, on tue et on colonise"

    Des hauts dirigeants israéliens (ministres, militaires, dignitaires religieux) appellent ouvertement à tuer les Palestiniens, y compris les femmes et les enfants (voire les déclarations d’Ayelet Shaked, ministre de la justice). Ces appels au meurtre ne suscitent aucune réaction de la part des dirigeants occidentaux.

    Gaza toujours assiégée n’est toujours pas reconstruite depuis l’attaque de l’été 2014, les fonds promis ne sont pas arrivés. La misère et le désespoir y grandissent comme dans toute la Cisjordanie.

    Le gouvernement israélien multiplie les extensions de colonies et annonce la construction de 55.000 nouveaux logements.

    L’emprisonnement de masse frappe tous les Palestinien-ne-s y compris les enfants. 6.000 enfants ont été emprisonné-e-s depuis 2010. La "détention administrative" (sans jugement) est devenue la règle. Dans les tribunaux israéliens (souvent militaires), on est obligé de plaider coupable, sinon c’est la peine maximale. Dans les prisons israéliennes, on torture, on isole, on interdit les visites.

    L’Occident continue d’accompagner ce rouleau compresseur en maintenant le mythe d’un "processus de paix pour deux États".

    Personne ne pourra dire "nous ne savions pas".

    Tous les jours, des diplomates présents en Palestine, des organisations humanitaires, des associations palestiniennes et même israéliennes ou des Internationaux présents envoient des rapports extrêmement documentés. Ils racontent par le menu les exécutions extrajudiciaires, les maisons démolies, les terres confisquées, les villages expulsés, les enfants arrêtés ou tués. Que deviennent ces rapports ? Comment est-il possible que l’Occident maintienne ce degré de complicité politique, économique, diplomatique et militaire avec ce régime d’apartheid qui ne se dissimule même plus ? Comment est-il possible que nos grands médias maintiennent la fiction d’un Israël "seule démocratie du Proche-Orient qui résiste au terrorisme" face à l’évidence d’une telle situation coloniale ?

    Les autorités françaises et leurs collaborateurs médiatiques enterrent volontairement la question palestinienne. Ils cherchent à identifier Daesh et le "terrorisme" palestinien et les Français aux israéliens victimes du terrorisme, reprenant de fait les élucubrations meurtrières de l’ancien président Bush sur la "guerre du bien contre le mal". C’est d’autant plus indécent qu’il y a eu de nombreuses manifestations de soutien à la France le 13 novembre en Palestine.

    La solidarité internationale ne peut accepter et n’acceptera pas l’effacement de la Palestine et la volonté de transformer les Palestiniens en un peuple enfermé dans des réserves et privé de tout droit.

    Enterrer la Palestine ne fait pas disparaître le scandale de la dépossession d’un peuple, expulsé et violenté depuis des décennies.

    Il est indispensable d’imposer la parole politique, l’information, et la lutte citoyenne pour les droits des Palestiniens avec LA CAMPAGNE BOYCOTT, DESINVESTISSEMENT, SANCTIONS, SEULE CAPABLE aujourd’hui d’arrêter Israël.

    Mercredi 13 janvier 2016 par le Bureau national de l’UJFP

    http://www.ujfp.org/spip.php?article4639

  • Manuel Valls ou l’art dangereux de l’amalgame (AFPS + BDS)

    manuel.jpg

    Une fois de plus, Manuel Valls se livre à la pratique détestable et éminemment dangereuse de l’amalgame.

    Confusion générale entre dénonciation légitime de l’antisémitisme et soutien, à peine voilé, à la politique coloniale israélienne qu’il ménage de toutes ses forces.

    Samedi, lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de l’Hyper Cacher organisée par le CRIF, il a délibérément assimilé la critique de l’Etat d’Israël à l’antisémitisme. Il l’a fait en jouant sur les mots pour associer l’antisémitisme, qui est une réalité, avec ce qu’il a qualifié de « détestation compulsive de l’Etat d’Israël », ajoutant, au cas où le mouvement de solidarité avec la Palestine ne se serait pas senti visé, « comment accepter qu’il y ait des campagnes de boycott ? ». Et dans un effet de manche propre à flatter son public rappelé qu’il combattait l’antisémitisme « qu’il vienne de l’extrême droite ou de l’extrême gauche… »

    Saisissant effet de mimétisme avec l’organisateur de la cérémonie, le CRIF, qui depuis des années semble avoir troqué sa vocation à représenter les institutions juives de France contre le rôle de défenseur inconditionnel de la politique israélienne, fût-elle celle du gouvernement le plus extrémiste et raciste qui ait été au pouvoir à Tel-Aviv.

    A l’heure où la société française apparaît plus dangereusement fracturée que jamais, de tels propos sont davantage ceux d’un pompier pyromane que d’un responsable politique qui chercherait à répondre aux défis du terrorisme de Daech.

    Nous ne cessons de le répéter : si l’on veut s’opposer de façon crédible par tous à toutes les formes de racisme, dont l’antisémitisme, il faut marquer que la critique de la politique d’un Etat ne saurait être confondue avec la mise en cause d’une communauté.

    C’est ce que nous faisons en toute clarté en menant campagne pour le boycott, le désinvestissement, les sanctions à l’égard d’Israël tant que cet Etat ne se conformera pas au droit international.

    Le Bureau national

    AFPS, dimanche 10 janvier 2016

    http://www.france-palestine.org/Manuel-Valls-ou-l-art-dangereux-de-l-amalgame

    Et BDS France:

    http://www.ujfp.org/spip.php?article4638

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    Afficher l'image d'origine

     B'Tselem sur la caméra

     
    Témoignages / Opinions

    Pourquoi je refuse - Déclaration de Tair Kaminer

    Gush Shalom, lundi 11 janvier 2016
  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

    tair1.jpeg

     

    • Palestine & Israel
      Israel: Tair Kaminer – Girl, 19-year old, refusenik

      , by KAMINER Tair

      Tair Kaminer, a 19-year Israeli, got a call up order - requesting her to show up at the Israeli Army Induction Center (“Bakum”) in Tel Hashomer, east of Tel Aviv, on 12pm, Sunday, January 10, 2016 . She does intend to show up at the stipulated time and place - but not in order to embark on the (...)

    • Kurdistan de Turquie
      La situation des Kurdes en Turquie, en Syrie et l’inaction du gouvernement français

      , par RENKLICAY Camille

      Entretien. Nous avons rencontré Cemile Renklicay, co-présidente de la Conférence démocratique kurde en France (CDKF) à propos de la situation du peuple kurde en Turquie et en Syrie.
      Peux-tu nous présenter le Conseil démocratique kurde de France ?
      Camille Renklicay – Le CDKF est une sorte de (...)

     

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    © Eric Piermont, AFP

    L’entreprise israélienne Partner confirme la résiliation de son contrat avec Orange

    Communiqué AFPS, Al Haq, CCFD-Terre solidaire, CGT, FIDH, LDH, Union syndicale Solidaires, mercredi 6 janvier 2016
    Nos organisations prennent note de l’annonce récente faite par Partner, une société israélienne de télécommunications active dans les colonies israéliennes, confirmant la résiliation de son contrat de licence de marque avec Orange, dans le prolongement de l’accord de rupture signé entre Partner et Orange en juin 2015. Selon les dépêches de (...)
     

  • Les États-Unis poursuivis en justice pour des dons exonérés d’impôts soutenant les colonies israéliennes illégales (Agence Médias Palestine)

    03ee3c5071d84341837915846f3d4483_6

    La plainte assigne le Département du Trésor U.S. qui permet à des milliards de dons exonérés d’impôts de soutenir les confiscations de terres par Israël.

    Une plainte a été déposée devant un tribunal U.S. pour empêcher les organisations à but non lucratif d’envoyer des milliards de dollars de dons, exonérés d’impôts, pour soutenir les colonies israéliennes de peuplement illégales et l’armée israélienne.

    Un groupe de citoyens états-uniens a déposé plainte le 21 décembre contre le Département du Trésor U.S., affirmant que 150 organisations à but non lucratif avaient envoyé un total estimé à 280 milliards de dollars en Israël au cours deux dernières décennies.

    Les demandeurs au procès affirment que les dons ont été des « passe-plats » et des « entonnoirs » utilisés pour soutenir l’armée israélienne et les colonies illégales dans les territoires palestiniens occupés.

    Dans le code des Impôts U.S., ces organisations sont listées à l’article 501-c-3 (1), où les donateurs se voient accordé le statut d’exemptés d’impôts et autorisés à réclamer une déduction d’impôt sur leur cadeau.

    Sheldon Adelson, le magnat états-unien des casinos, et plusieurs autres riches hommes d’affaires pro-israéliens sont cités dans le procès en tant que donateurs, mais pas en tant que défendeurs.

    Le Département du Trésor a refusé de commenter le procès, déclarant dans un courriel à Al Jazeera : « Nous ne commentons pas les litiges en cours ». (Voir à la source les 73 pages rédigées pour le dépôt de la plainte, en anglais) Susan Abulhawa, auteure palestinienne-étatsunienne et militante des droits humains, qui a mis son nom au bas des 73 pages de la plainte, a déclaré que le but recherché est de d’obtenir justice pour le peuple palestinien.

    « Je veux que ces organisations qui ont aidé Israël soient obligées de payer des restitutions pour les victimes touchées par leurs actes » dit Abulhawa.

    Dans la plainte, il est dit que ces organisations sans but lucratif ont contribué directement aux violations de la législation des États-Unis et au droit international, elles ont déstabilisé la politique étrangères U.S., et contribué à d’innombrables crimes et violations des droits de l’homme visant les Palestiniens.

    « Depuis trente ans au moins, le contribuable étatsunien a financé et/ou subventionné des activités criminelles à l’étranger, c’est-à-dire, des assassinats, des incendies criminels, des destructions malveillantes de biens, des agressions, des coups et blessures et un nettoyage ethnique, et aussi des actes terroristes internationaux », dit-elle.

    L’avocat des demandeurs, Martin F. McMahon, a déclaré que le Département du Trésor U.S. ne devait pas seulement mettre fin à ces exonérations d’impôts, mais qu’il devait aussi récupérer les centaines de millions de dollars en arriérés d’impôts.

    « La plainte vise à tenir pour responsables les entités exonérées d’impôts par leur révocation de leur statut d’organisation à but non lucratif », a dit McMahon à Al Jazeera.

    La plainte affirme : « L’objectif de ces organisations caritatives est de débarrasser la Cisjordanie et Jérusalem-Est de tous les non-juifs, en accord avec les impératifs bibliques tels qu’ils sont perçus. Elles ont connu beaucoup de succès dans leur démarche, comme il est précisé dans ce document, principalement en raison de l’incapacité lamentable et de longue date du Trésor à surveiller et empêcher leurs activités criminelles au cours, au moins, des 30 dernières années ».

    McMahon indique que son cabinet travaillait dans le seul intérêt public, et qu’il recherchait d’autres plaignants pour les joindre à la plainte.

    La plainte vise notamment les groupes : Falic Family Foundation, FIDF (les Amis des forces de défense israéliennes), American Friends of Ariel, Gush Etzion Foundation, Americain Friends of Har Homa, et Hebron Fund.

    Le Département du Trésor a 60 jours pour déposer sa réponse à la plainte des demandeurs.

    « L’Administration (Obama), comme chaque Administration avant elle depuis 1967, considère l’activité de colonisation de peuplement comme illégitime et contre-productive pour la cause de la paix », a déclaré le Département d’État U.S. à Al Jazeera dans un courriel.

    « Les États-Unis n’ont jamais défendu ni soutenu les colonies et les activités qui leur sont associées et, par extension, ne suit poursuit pas de politique qui les légaliserait. »

    Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine

    Ali Younes – 30 décembre 2015

    Source: Al Jazeera

    (1)

    501c est le paragraphe c de l’article 501 du code fédéral des impôts américain IRC (Internal Revenue Code, en français « Code de Revenu Intérieur »), instauré en 19171. Il fait la liste des vingt-huit types d’associations ou d’organismes à but non lucratif qui sont exemptés de certains impôts fédéraux sur le revenu aux États-Unis. Les articles 503 à 505 fixent les conditions requises pour accéder à de telles exemptions. Beaucoup d’États américains se référent au paragraphe 501c pour le classement des associations exemptées aussi de taxation locale.

    Article 501-c-3 : 501c3 : fondations ou organisations de charité, de bienfaisance, religieuses, scientifiques, littéraires ou éducatives ainsi que certaines associations de sport amateur. Les universités américaines sont régies par cet alinéa, ainsi que certaines fondations privées (en) (définies pour la première fois par le Tax Reform Act of 1969 (en)). Le droit américain distingue les organisations non-lucratives des organisations caritatives (charitable organizations). Si les deux types d’associations sont exempts d’imposition fiscale, seules les organisations caritatives peuvent recevoir des dons défiscalisés. Parmi ces dernières, la loi distingue les public charities (par ex. les fondations communales (en)), telles que la Cleveland Foundation (en), des fondations privées (telles la Fondation Rockefeller ou la Wikimedia Foundation).

    https://fr.wikipedia.org/wiki/501c

    http://www.agencemediapalestine.fr/les-etats-unis-poursuivis-en-justice-pour-des-dons-exoneres-dimpots