
Pétition: Libérez le clown palestinien Mohammed Faisal AbuSakha!

Dans les caravanes de Khuza’a, à Gaza, les familles craignent un autre hiver

La Knesset vote – sans problème – une loi dangereuse pour financer le peuplement colonial

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22 Décembre 2015 Aujourd’hui, 22 décembre, Mohammed AbouSakha a été mis en détention administrative par le tribunal militaire de Salem, mais sans qu’un chef d’accusation n’ait été formulé à son encontre. La détention administrative peut aller de trois mois à l’infini, sans qu’aucune inculpation ne soit nécessaire. L’ordre de détention sera signé dans les 72 heures. Nous devrions pouvoir y changer quelque chose si beaucoup d’attention et de pression viennent de l’extérieur. Depuis le 1er octobre, des (...)
Les cours, qui se déroulent à Jénine, à Hébron et au camp de réfugiés d’Al-Fara’a, accueillent près de 200 enfants chaque année. __0__ Hamada Toqan a commencé à jongler en 2007, avec l’École de Cirque de Palestine. Sur cette photo, il entraîne de jeunes étudiants (MEE/ Silvia Boarini) __0__ RAMALLAH, Cisjordanie - Par une soirée légèrement venteuse à Bir Zeit, village palestinien au nord de Ramallah, une foule d’enfants surexcités et incapables de contenir leur enthousiasme se dirige vers l’intérieur du (...)
Il y a sept ans, le samedi 27 décembre 2008, Israël lançait son attaque contre la bande de Gaza, baptisée “Plomb durci” pour les besoins de sa « com ». Sous le prétexte de répondre à des tirs de roquettes intervenant en réponse à des assassinats « ciblés », l’armée israélienne déclenchait, à l’heure de sortie des écoles, une campagne de bombardements de grande ampleur qui faisaient dans la seule première journée 230 morts palestiniens. Cette attaque, doublée à partir du 3 janvier 2009 d’une opération terrestre, (...)
En Cisjordanie, une coopérative agricole a été lancée par des producteurs de raisins. Al Sanabel est une coopérative qui résiste aussi aux colons israéliens. "Cultiver, c’est résister" : ce sont les mots du président de la coopérative, Raed Abuyussef. Il est l’invité d’Entrée libre.
Depuis le 2 octobre 2015, le Croissant-Rouge Palestinien à déclaré l’état d’urgence en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Par Elsa Grigaut Chaque jour, l’équipe du Croissant-Rouge comptabilise le nombre de morts et de blessés Palestiniens. « J’appelle chacun d’entre vous à faire pression afin que l’occupant israélien cesse les violations du Droit international et permette l’accès aux soins sans prendre le Croissant Rouge pour cible ! » dit Erab Fouqaha (à gauche sur la photo), porte-parole du (...)
JÉRUSALEM (Ma’an) – L’Assemblée Générale des Nations Unies a adopté mardi une résolution exigeant la souveraineté palestinienne sur les ressources naturelles qui sont sous occupation israélienne. Le projet « Souveraineté permanente du peuple palestinien dans les territoires palestiniens occupés, dont Jérusalem Est et la population arabe du Golan syrien occupé sur ses ressources naturelles » a été adopté par 164 voix pour et cinq contre. Les États membres qui ont voté contre cette mesure sont le Canada, les (...)
Par Haggai Matar. Publié le 14 décembre 2015 sur le site +972, un magazine israélien en ligne. L’organisation d’anciens soldats israéliens est attaquée ces jours de toutes parts – du président israélien au ministère de la défense et à la police. Pourquoi donc ? Breaking the Silence (briser le silence) est une organisation juive composée d’anciens soldats israéliens dont la plupart ont servi dans des fonctions de combat. Tout ce qu’ils veulent faire, c’est dire à la société israélienne, qui les a envoyés (...)
Laxisme envers ces ultras Nissim Behar- Libération, samedi 26 décembre 2015 En Israël, une vidéo d’extrémistes juifs fait scandale. Le conflit israélo-palestinien est un vivier d’images choquantes. Les dernières en date ont été diffusées mercredi soir par la chaîne de télévision israélienne Canal 10, dont l’indépendance de ton détonne dans le paysage audiovisuel local. On y voit des extrémistes juifs participant à un mariage et brandissant des couteaux, des feuilles de boucher, un fusil mitrailleur, des (...)
Photo de la banderolle des camarades allemands de "Die Linke"
« Nous avons pleuré de joie, déclare Jamal* en évoquant le moment où lui et Said*, son compagnon, ont appris que l'Allemagne leur ouvrait ses portes.
« Ça a été un moment de bonheur. Nous avons été surpris d'être rapidement acceptés pour une réinstallation, [après seulement] six mois. »
Said et Jamal ont eu de la chance. Beaucoup d'autres réfugiés qui peuvent prétendre à la réinstallation attendent bien plus longtemps l'appel téléphonique décisif annonçant qu'ils peuvent s'installer pour de bon dans un lieu sûr et en paix.
Nous trouvons Said et Jamal au milieu des cartons et des meubles, en train de déballer leurs affaires et de s'organiser dans leur nouvel appartement. Leur soulagement est perceptible, ils rayonnent de bonheur : cela fait bien longtemps qu'ils n'avaient pas eu un lieu où s'installer.
Tous deux étaient journalistes en Syrie. Engagés en politique, ils ont été arrêtés par les forces de sécurité, puis torturés. Il était trop dangereux de rester, et ils ont fui au Liban en 2014.
Mais Jamal, qui est séropositif, ne pouvait pas obtenir dans ce pays le traitement dont il a besoin. En janvier 2015, le HCR, l'Agence des Nations unies pour les réfugiés, leur a tendu une planche de salut. On leur a proposé un accueil à Berlin dans le cadre du programme d'admission à titre humanitaire des réfugiés syriens mis en place par l'Allemagne.
« Nous avons quitté le Liban le 8 janvier 2015, explique Said. Il faisait si froid quand nous avons débarqué de l'avion ! » « Nous étions à la fois très impatients et inquiets, se souvient Jamal. Nous ne savions pas ce qui nous attendait. Nous nous étions préparés pour tout. »
Après avoir passé 12 jours dans un centre de transit pour réfugiés, les deux hommes ont été placés dans un Wohnheim, un foyer d'hébergement pour les familles et les jeunes. « Nous avions notre propre appartement, explique Jamal, ils nous ont pris en compte comme une famille, pas comme deux adultes isolés. Nous avons eu vraiment de la chance ! »
Ils ont décidé de partir au bout de neuf mois parce qu'ils ne sentaient pas à l'aise. « Une personne qui suivait les cours d'allemand avec moi savait que j'étais gay et l'a dit à nos voisins », explique Jamal.
Ils ont fait une demande d'appartement et ont dû avoir de nombreux entretiens avec leur assistante sociale. Ils ont fini par obtenir l'aide d'une organisation de soutien aux personnes vivant avec le VIH.
Lorsqu'ils sont arrivés en Allemagne, Jamal craignait de se trouver à court du traitement antirétroviral dont il a besoin pour rester en bonne santé. Maintenant qu'il est pris en charge par un médecin, il peut se consacrer à d'autres choses, par exemple à apprendre la langue. Said dit en plaisantant qu'il est jaloux de Jamal, qui apprend l'allemand à toute vitesse.
Tous deux suivent des cours cinq jours par semaine et doivent valider le premier niveau avant de pouvoir postuler à un emploi. En attendant, ils font un peu de journalisme en ligne – sans être payés pour le moment.
Ils ont de nouveau une vie sociale, et c'est une vraie délivrance après le stress de plusieurs années à fuir. « Ça a été l'une des choses les plus difficiles, nous dit Jamal. Il faut beaucoup de temps pour établir la confiance. Mais nous nous sommes déjà fait de bons amis – des Allemands, des Israéliens et des Norvégiens. »
Et tous deux apprécient beaucoup Berlin, une ville accueillante où l'on peut vivre ouvertement son homosexualité. « C'est si différent du Liban ou de la Syrie, dit Jamal. Au Liban il y a deux clubs [gays], mais c'est illégal [d'être homo]. »
Pour le moment, Said et Jamal ne pensent qu'à construire leur avenir, et pour commencer, à terminer leurs études universitaires. « J'aimerais bien aussi m'engager dans un parti politique ici, nous dit Said. En Syrie, nous étions militants et nous avons participé aux manifestations [du début 2011, à l'époque où le conflit a éclaté.] »
« Je veux travailler avec d'autres réfugiés installés à Berlin, déclare Jamal. Je suis réfugié, alors je sais ce dont ils ont besoin. Ce serait vraiment bien de pouvoir aider les autres de la même façon que moi j'ai été aidé. »
« La plupart des Syriens qui arrivent ici ont des problèmes psychologiques en raison de ce qu'ils ont vécu, ajoute Said. Ils ont le sentiment d'avoir tout perdu : leurs amis, leur famille, leur travail – leur vie. »
Jamal explique que certains réfugiés ont peur et préfèrent ne pas révéler leur orientation sexuelle ou leur éventuelle séropositivité. « Et s'ils ne disent rien, ils ne peuvent pas être aidés. Nous pourrions intervenir par exemple en assurant la traduction pour des gens qui ont à parler de choses délicates. Vous imaginez la situation si je ne pouvais pas parler de mes problèmes de santé ? Ce serait catastrophique. »
La réinstallation a donné à Said et Jamal la possibilité de commencer à reconstruire la vie qu'ils ont été contraints de laisser derrière eux en Syrie. « Nous voulons travailler, être indépendants, avoir un bon travail et un salaire, expliquent-ils. Comme avant. »
*Les noms des deux hommes ont été modifiés pour protéger leur anonymat.
Actuellement, plus de 4 millions de réfugiés de Syrie ont trouvé abri dans seulement cinq pays de la région voisine. Amnesty demande que 400 000 d'entre eux, ceux que le HCR considère comme les plus vulnérables, soient réinstallés dans des pays riches d'ici à la fin de l'année 2016. La réinstallation est une planche de salut pour les réfugiés les plus vulnérables dans le monde, notamment les personnes avec de graves problèmes de santé. Nous estimons que 1,45 million de personnes auront besoin de cette protection vitale d'ici à la fin de 2017.
Lorna Hayes and Khairunissa Dhala, Amnesty International's Refugee and Migrants' Rights Team,
https://www.amnesty.org/fr/latest/campaigns/gay-syrian-refugees-build-future-germany
Le secrétaire général de la fédération du tourisme, des industries agroalimentaires, du commerce et de l’artisanat (UGTT), Habib Rejeb a déclaré, ce jeudi 24 décembre 2015, à Jawhara fm, qu’une grève générale sera observée dans toutes les grandes surfaces de la république, les 29 et 30 décembre courant.
Cette grève a été décidée suite au ralentissement des négociations concernant les situations sociales et professionnelles des employés de ces grandes surfaces, a ajouté la même source.
Source : African Manager 27 décembre 2015
http://www.afriquesenlutte.org/afrique-du-nord/tunisie/article/tunis-greve-dans-toutes-les