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  • Rennes: Soirée projection documentaire (Afps)

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    Suivie d’une conférence

    Nous sommes heureux de vous informer de la projection d’un film documentaire suivi d’une conférence/débat sur le thème de LA SITUATION DES PRISONNIERS POLITIQUE PALESTINIENS, qui aura lieu jeudi 28 mai à 20h à la Maison des Associations
    (Cours des alliés - Rennes)

    Cette soirée est co-organisée par le Comité Rennais AFPS, Amnesty International, la Ligue des Droits de l’homme (LDH) et l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP), avec le soutien de l’Association des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT) et de la CIMADE.

    La conférence/débat sera précédée de la projection du documentaire ‘PALESTINE, LA CASE PRISON’, réalisé par la Plateforme des ONG pour la Palestine.

    Pour nous aider à décrypter les questions que cette situation soulève face au Droit International et face au Droit Humanitaire, nous pourrons compter sur la présence de trois invités :

    Hafed BURNAT, avocat palestinien, ancien prisonnier et membre du comité de résistance de Bil’in,
    Martine BRIZEMUR, Coordonnatrice Israël, Territoires occupés, Autorité Palestinienne - Amnesty International France,
    Mireille FANON - MENDÈS FRANCE, membre de l’UJFP, Experte au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU et présidente de la Fondation Frantz Fanon

    http://www.rennespalestine.fr/?+SOIREE-projection-documentaire+

  • Nouveautés sur Agence Médias Palestine

     
    Témoignage: Passage éclair en Palestine occupée, par Meïssa et Tofayl

    Témoignage: Passage éclair en Palestine occupée, par Meïssa et Tofayl

    Lundi 27 avril, 14h30. Notre avion atterrit à l’aéroport de Ben Gourion, Tel Aviv, Israël. C’est le début de notre voyage tant attendu en Palestine. Voyage qui durera 24h, durant lesquelles nous ne verrons même pas la lumière du jour. Suite à six mois de préparation, de nombreuses réunions, des rencontres prometteuses, de beaux projets...
     
     
     
    Portrait: Amina Abu El Hayja, 100 ans a manifesté pour le droit au retour en Palestine occupée

    Portrait: Amina Abu El Hayja, 100 ans a manifesté pour le droit au retour en Palestine occupée

    Amina Abu El Hayja, 100 ans, a manifesté en Palestine occupée pour la marche du retour le 23 avril dernier. La Marche du retour, qui coïncide avec le jour israélien de l’indépendance, appelle au droit au retour des Palestiniens qui ont été expulsés ou qui ont du fuir la Palestine en 1948. Amina Abu El...
     
     
     
     
    La société civile palestinienne presse Federica Mogherini, responsable de la diplomatie de l’UE, d’exclure les entreprises militaires israéliennes des programmes de recherche européens

    La société civile palestinienne presse Federica Mogherini, responsable de la diplomatie de l’UE, d’exclure les entreprises militaires israéliennes des programmes de recherche européens

    Dans une lettre à Federica Mogherini, la cheffe de la politique étrangère de l’UE, 30 coalitions palestiniennes, syndicats et organisations de la société civile ont appelé l’UE à exclure les sociétés militaires israéliennes d’Horizon 2020 – un nouveau programme de recherche et d’innovation européen. Palestine occupée, 7 mai 2015 A : Federica Mogherini, Représentante de...
     
     
     
    La mainmise d'Israël sur le tourisme palestinien

    La mainmise d’Israël sur le tourisme palestinien

    Le 6 mai 2015 (mis à jour le 7 mai) Par Amjad Alqasis L’occupation et la colonisation de la Palestine par Israël ne se limitent pas qu’à leurs aspects militaires, mais elles se manifestent aussi dans l’utilisation du tourisme en tant qu’outil politique. Israël utilise cet outil pour renforcer sa position en tant que puissance occupante...
     
     
     
    Le ministre israélien de la Défense promet de tuer plus de civils et menace d'utiliser l'arme nucléaire sur l'Iran

    Le ministre israélien de la Défense promet de tuer plus de civils et menace d’utiliser l’arme nucléaire sur l’Iran

    Asa Winstanley – mercredi 6 mai 2015 Moshe Yaalon en train de parler à la conférence de Shurat HaDin en 2015 Le ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon a dit mardi qu’Israël attaquerait tous les quartiers civils dans n’importe quelle future agression sur Gaza ou sur le Liban. Prenant la parole dans une
    conférence...
     
     
     
    « Sept Palestiniens tués en avril, 375 kidnappés » (centre Arhar)

    « Sept Palestiniens tués en avril, 375 kidnappés » (centre Arhar)

    Vendredi 1er mai 2015 par IMEMC News Le Centre Ahrar pour l’étude des détenus et des droits de l’Homme a publié son rapport mensuel sur les violations israéliennes contre les Palestiniens durant le mois d’avril 2015 et a révélé que sept Palestiniens avaient été tués et 375 avaient été blessés. Le rapport documente les violations...
     

    Israël refuse de délivrer des visas d’entrée au Ministre de l’éducation d’Afrique du sud, dirigeant de gauche, et ses officiels

    Vendredi 24 avril 2015 – IMEMC News Le parti communiste d’Afrique du sud (South African Communist Party – SACP) a publié un communiqué condamnant fermement la décision israélienne de refuser un visa d’entrée au Ministre de l’enseignement supérieur et de la formation d’Afrique du Sud, Secrétaire général du parti communiste Sud-africain, le camarade Blade Nzambe...

  • Meurtre du militant anticolonialiste Henri Curiel à Paris en 1978 (El Watan)

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    L’assassinat politique revendiqué 37 ans après

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    Le mystère est enfin levé sur la mort d’Henri Curiel. L’assassinat du militant anticolonialiste et défenseur de l’indépendance de l’Algérie vient d’être revendiqué, 37 ans après.

    L’homme a été tué le 4 mai 1978 par des membres d’une organisation d’extrême droite proche des «Services» français. C’est ce que révèle un membre de l’organisation Action française, en l’occurrence René Resciniti de Says, dans un livre posthume intitulé Le Roman vrai d’un fasciste français.

    Décédé en 2012, René Resciniti de Says avoue avoir pris part aux assassinats du militant d’extrême gauche Pierre Goldman, et d’Henri Curiel, alors que du côté officiel français, le dossier est officiellement classé. Henri Curiel avait été abattu par deux inconnus, de plusieurs balles à bout portant, dans l’ascenseur de l’immeuble où il habitait, à Paris. Né le 13 septembre 1914 au Caire (Egypte) dans une famille aisée, originaire d’Italie, dont le père était banquier.

    Henri Curiel, un fervent anticolonialiste, a passé sa vie à militer en faveur des mouvements de libération nationale, notamment en Afrique. Dès 1956, il s’est consacré à l’indépendance de l’Algérie en créant le Mouvement anticolonialiste français, mais surtout en développant l’action clandestine au sein du Réseau Jeanson des «porteurs de valises» pour un soutien logistique aux militants de la cause nationale. Il s’était investi à fond dans son action et avait mis à la disposition des moudjahidine du Front de libération nationale (FLN) en France toute l’étendue de son savoir-faire en matière de militantisme.

    Et quand le Réseau Jeanson avait été ébranlé par plusieurs arrestations, en 1960, Henri Curiel avait pris la relève des réseaux de «porteurs de valises» et a mis en place un réseau similaire qui portait son nom. Dans Le Roman vrai d’un fasciste français, Resciniti de Says a confié à un journaliste, Christian Rol, à qui il avait raconté pourquoi et comment il a assassiné Curiel, que le feu vert pour le meurtre lui aurait été donné par Pierre Debizet, le patron du Service d’action civique (SAC), la milice du parti gaulliste.

    R. N le 10.05.15 | 10h00

    Commentaire: Wabnitz Oscar   le 10.05.15 | 20h36

    il manque une info !

    Henri Curiel est un fils de banquier et issu d'une famille juive francophone de nationalité italienne établie en Égypte. Il fait ses études dans des établissements français du Caire, comme de « nombreux jeunes gens d'Europe, il lit André Malraux, Paul Nizan, le Gide des allers-retours, et rôde autour du marxisme2. » Il fait en général un voyage tous les ans en France, mais c'est son frère Raoul qui est désigné pour aller y faire des études supérieures. Son père le retient pour travailler avec lui à la banque et ainsi lui succéder un jour. Cela n'est pas du tout à son goût, mais comment se révolter contre un père totalement aveugle depuis de nombreuses années2 ? Il prit la nationalité égyptienne lors de l'abolition des capitulations (en), malgré le fait qu'il ne parlait pas la langue arabe, et qu'il ne l'a d'ailleurs jamais parlée couramment.
    Il faut dire la vérité, ce qui permettra aux incultes de ce pays d'éviter les amalgames et être justes quand aux hommes et femmes qui ont aidé ce pays pour la recherche de son indépendance!
    Y-A_t'il une rue, une place, une école; un coin qui porte le nom de ce monsieur porteur des valises du FLN avant 1962 ?

    http://www.elwatan.com/actualite/l-assassinat-politique-revendique-37-ans-apres-10-05-2015-294386_109.php

    Lire aussi le Quotidien d'oran:

    http://www.algeria-watch.org/fr/article/pol/france/assassinat_curiel_revendique.htm

  • Yarmouk : ce que les médias ne vous disent pas ! (Info-Palestine)

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    La couverture de la crise dans le camp de Yarmouk en Syrie ignore le contexte historique plus large des réfugiés palestiniens, explique Tom Charles.

    Ban Ki-Moon a récemment décrit les conditions de vie à l’intérieur du camp de Yarmouk en Syrie comme étant celles « du cercle le plus profond de l’enfer ».

    Les commentaires du secrétaire général des Nations Unies ont été illustrées par une masse de rapports, publiés sur al-Araby Al-Jadeed, des horreurs subies par les habitants palestiniens du camp.

    Leur souffrance a commencé en 2012 avec le siège des forces de Bachar al-Assad, et le mois dernier le camp a été envahi par le groupe de l’État islamique (EI).

    Les scènes à l’intérieur du camp ont été choquantes.

    Toutefois, cela ne devrait pas être une surprise étant donné l’histoire des réfugiés palestiniens. Leur sort a été dangereusement absent des pourparlers de paix au Moyen-Orient, des médias occidentaux et du débat politique occidental.

    Les réfugiés palestiniens ne sont pas représentés par un organisme politique ayant un poids quelconque. En conséquence, ils restent des victimes et les gouvernements occidentaux subissent peu de pression pour régler leurs problèmes. Les gouvernements successifs du Royaume-Uni - lequel a une dette historique envers les réfugiés palestiniens - ont tous failli.

    Avant cette dernière tragédie, peu de gens au Royaume-Uni avaient entendu parler de Yarmouk, ou de la situation à laquelle ses habitants sont confrontés.

    Peut-être que certains pourraient avoir pensé : « Pourquoi ces gens ne rentrent-ils pas en Palestine ? »

    La vérité est la suivante : les gens de Yarmouk ont ​​été expulsés par Israël, qui a depuis nié leur droit au retour dans leur foyer ancestral.

    Les nouvelles des médias au Royaume-Uni ont omis de donner à Yarmouk tout contexte historique.

    Il y avait peu de mentions de la Résolution 194 des Nations Unies, qui garantit le droit au retour en Israël/Palestine à tous les Palestiniens réfugiés, et pas seulement à ceux de Yarmouk.

    J’ai trouvé un appel important pour qu’Israël intervienne : dans un article de Oudeh Besharat, dans Haaretz, le journal israélien, Besharat déplorait le fait qu ’« aucune question morale ne soit soulevée concernant le rôle d’Israël dans la création des camps de la mort ».

    Il a raison ; au Royaume-Uni, la condamnation des crimes commis contre les réfugiés palestiniens est une chose, fournir aux gens une idée de la solution en est un autre.

    Deux choses sont évidentes mais rarement exposées dans les médias traditionnels : une solution juste et légale au Moyen-Orient est uniquement possible via une solution à la crise des réfugiés palestiniens, qui ne peut intervenir que par la mise en œuvre du droit au retour. Et plus tardera sa mise en œuvre, plus s’approfondira la tragédie pour les Palestiniens.

    La politique consistant à faire la charité aux Palestiniens est, au mieux, un pansement sur une plaie béante, tout en maintenant la position des Palestiniens comme victimes. Mais c’est cela la politique du Royaume-Uni : la destruction de la vie palestinienne est traitée par les agences de réfugiés sous-financées et les dons de bienfaisance. Depuis Yarmouk occupée par l’EI, et dans toute la région, la situation des Palestiniens reste atrocement précaire.

    Dans toutes les situations dans tous les pays du Moyen-Orient, il est impossible de montrer un seul endroit où les réfugiés palestiniens apparaissent comme les gagnants. En Irak, en Égypte, en Libye, au Koweït, en Jordanie, au Liban, en Syrie, en Israël, à Gaza et en Cisjordanie, il existe largement et suffisamment d’exemples historiques montrant qu’ils seront à nouveau les victimes de tout bouleversement, conflit ou changement de régime.

    Le Royaume-Uni et la politique occidentale continuent de soutenir le refus israélien du droit de retour. Des rapports sérieux et contextualisés des événements par nos médias sont une condition préalable pour que le public soit informé sur ce qui se passe dans cette région. Et une fois suffisamment informé, il devrait être en mesure d’exiger de son gouvernement qu’il agisse.

    dimanche 10 mai 2015 - 18h:24 Tom Charles

    http://www.info-palestine.net/spip.php?article15361

  • Mauritanie: la préoccupante situation de l'accaparement des terres (Afriques en lutte)

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    Dans un pays où la souveraineté, voire la sécurité alimentaire, reste encore une chimère, on peut parler d’un gâchis par rapport à la situation des terres agricoles.

    Sur un potentiel estimé à 450 000 hectares, près de 200 000 hectare ne sont pas mises en valeur. En dépit de la règlementation des attributions foncières que gère l’Etat, elles ne font l’objet, en général, que de spéculations.

    Dans les faits, le foncier, en Mauritanie, demeure au centre d’enjeux multiples depuis les années 1980. « Y convergent tous les impératifs nationaux de respect et de consécration des droits humains, de consolidation de l’unité nationale, de renforcement de la cohésion sociale, de promotion de la femme, de gouvernance et de libération des énergies, dans un secteur agricole qui fait vivre plus des deux tiers de la population », constate Sarr Mamadou Moctar, secrétaire exécutif du Forum des Organisations des droits humains (Fonadh), principal initiateur des concertations entre le monde rural et les autorités.

    Cette situation se traduit par un désarroi pour « des centaines de milliers d’hommes, de femmes et de jeunes, issus de groupes agro-pastoraux, (qui) voient leur subsistance de plus en plus menacée », se désole M. Sarr, selon qui « la gouvernance foncière n’est pas plus soucieuse de sécuriser les terres indispensables aux petits cultivateurs que les espaces pastoraux pour leurs homologues pastoraux ». Secrétaire général de l’Ong Kawtaal n’gam Yellitaaré, en pointe dans le combat contre la spoliation des terres, Ba Amadou Alpha, y voit même une flagrante injustice sociale qui risque de mener à une situation explosive. Pour lui, la gestion foncière actuelle « ne respecte ni les lois existantes ni l’intérêt national, encore moins l’expérience des tenures traditionnelles, voire surtout, les intérêts des paysans, principaux acteurs économiques en ce domaine. Notre potentiel agricole ne profite qu’à l’agro-business étranger, via de faux acteurs économiques qui ne travaillent pas la terre, juste objet de spéculations financières pour eux. La facilitation récente de la régularisation des titres fonciers n’est qu’un leurre. Elle ne vise qu’à accentuer la légitimation des propriétés usurpées aux profits de délinquants en col blanc », déplore M. Ba.

    La problématique de l’accaparement n’est pas uniquement économique. Elle est sociétale. Les expropriations foncières ne visent que les terres contrôlées, depuis des siècles voire des millénaires, par les Noirs du pays, négro-africains et haratines, toujours au profit de la couche arabe beydane (maures blancs) du pays. « Une question fondamentale qui risque devenir le principal motif de remise en cause de la construction, toujours en difficulté de gestation, d’un Etat unitaire », prévient M. Ba.

    EXTENSION DU MONOPOLE

    Les terres constituent donc un enjeu majeur. Sarr Mamadou ne pense pas qu’à court terme cette situation de monopole puisse connaître une rupture. Selon lui, elle devrait, au contraire, s’amplifier, compte tenu du contexte actuel. « Depuis 2010, l’attribution des terres agricoles (terres de cultures sous pluie et de décrue) s’est accélérée. Cette année-là, le gouvernement mauritanien avait envisagé d’attribuer 50 500 hectares à une société saoudienne, Tabouk Eziraiya Errajihii, couvrant diverses parties des communes de Boghé, Dar el Avia, Ould Birome et Dar el Barka. Cette décision fut suspendue, grâce à la mobilisation des populations des communes concernées, soutenues par des organisations de la société civile mauritanienne. Mais, en 2013, 50 000 hectares, au Trarza, et 31 000, au Brakna, dans les communes de Dar el Avia, Ould Birome et Dar el Barka, furent alloués au profit d’une autre société saoudienne, Al-Rajihi, sous forme de bail emphytéotique. Des études topographiques réalisées par les autorités laissent entrevoir de possibles attributions de terres dans d’autres départements ».

    M. Ba juge que « la logique domaniale actuelle et le monopole étatique sont le fait exclusivement d’un pouvoir despotique. Il faut que les Mauritaniens, dans toute leur diversité ethnique et sociale, comprennent que seule la lutte en commun contre les discriminations, pour la transparence, la justice et la démocratie peuvent sauver ce pays du chaos vers lequel il se dirige inéluctablement, si rien de contraire ne s’y oppose ». Il pense que les mentalités évoluent, lentement mais sûrement, vers la nécessité du renversement de l’ordre établi.

    Il reste à évaluer les conséquences désastreuses de l’accaparement des terres.

    Tant sur les relations entre l’Etat et les populations rurales que sur l’environnement. En Mauritanie, signale Ba, « les terres cultivables ne couvrent pas 0,5% du territoire ». L’essentiel des activités agricoles se situe dans la Vallée du fleuve Sénégal où sont concentrées les populations noires. Des communautés villageoises étouffent dans leur espace, au point de ne plus trouver où enterrer leurs morts. D’autres sont privées, par des exploitations de type latifundiaire, des couloirs de transhumance et des pâturages sur les terres qu’elles réservaient à cette fin, selon une répartition experte et fonctionnelle des zones rurales.

    D’après Ba, l’Etat n’a même pas la bonne âme de respecter un espace vital, si petit soit-il. Dans plusieurs localités, il exproprie jusqu’aux pâturages des animaux, au mépris du droit le plus élémentaire. C’est par exemple le cas dans les environs de Dar El Barka où le bétail, privé de pâture, pénètrera, forcément, dans les zones protégées. Encore faudrait-il que ces dernières existent encore. Tout comme les cimetières, elles sont le plus souvent également attribuées aux spéculateurs. Une mise sous coupe réglée qui empêche tout développement de l’agriculture et l’élevage vivriers, sources exclusives de revenus dans ces zones.

    A Diatar, les populations ne disposent plus, autour de leur village, que d’une bande de quarante mètres d’espace vital.

    A Donnaye, on part enterrer les morts au Sénégal. Dans la plaine de Boghé, on a bloqué, à dessein, l’irrigation naturelle des terres cultivables qu’on a vendu à des Marocains. En réalité, on se moque de la nature et même de la nature humaine. « C’est une politique, non seulement, de spoliation inacceptable, mais aussi sauvage de gestion insensée de l’espace qui ne tient aucun compte des besoins élémentaires de la nature et de l’homme », fulmine encore M. Ba.

    Pour avoir dénoncé cette situation, en novembre 2014, lors d’une caravane menée dans le sud mauritanien, destinée à sensibiliser les populations sur les questions foncières et la législation rurale en rapport avec l’esclavage, Biram Dah Abeïd, président d’Ira-Mauritanie, son vice-président Brahim Bilal Ramdhane et Djiby Sow, président de Kawtal N’gam Yellitaaré, ont été condamnés, le 15 janvier, à deux ans de prison ferme, au seul motif de « désobéissance à l’autorité ». Celle-ci ne pouvait pas mieux avouer son implication dans l’exploitation éhontée du terroir et des populations en Mauritanie...

    Thiam Mamadou 10 mai 2015

    Source : http://flammedafrique.org

    http://www.afriquesenlutte.org/afrique-du-nord/mauritanie-55/article/mauritanie-la-preoccupante

  • Israël : après le succès électoral de la « Liste [arabe] commune » (Essf)

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    La mobilisation des Palestiniens d’Israël se poursuit

    Plusieurs milliers de citoyens palestiniens d’Israël, auxquels s’étaient joints quelques centaines de juifs solidaires, manifestaient ce 28 avril sur la place Rabin à Tel Aviv.

    Ce qu’en ont retenu les médias, c’était le nombre important de « drapeaux de l’OLP », en fait le drapeau palestinien, ce qui est une constante dans les rassemblements de la minorité palestinienne d’Israël.

    Cette manifestation faisait suite à la mobilisation électorale sans précédent derrière la « Liste [arabe] commune » qui a eu 13 élus lors des dernières élections législatives.

    Le fait que les quatre partis arabes aient dû s’unir pour maintenir une représentation parlementaire de la minorité palestinienne a non seulement permis d’augmenter le nombre de leurs élus, mais surtout a créé une dynamique de mobilisation au sein d’une population qui semblait s’être repliée sur elle-même au cours des quinze dernières années.

    Car il est important de le rappeler : il y a 15 ans, en octobre 2000, Ehud Barak réprimait dans le sang les manifestations de solidarité avec les Palestiniens de Cisjordanie que les provocations de Barak-Sharon avaient poussés à bout.

    Un combat commun pour l’égalité et la démocratie

    La campagne électorale de la Liste commune a montré que cette sombre période est bien derrière nous. Elle a également mis en scène une nouvelle génération de cadres politiques dans tous les partis composant cette liste, des cadres revendicatifs, éloquents et à l’écoute de leur public.

    La campagne s’est déroulée dans une ambiance très combative, ceci face à une droite qui n’a pas caché ses plans concernant la minorité arabe : poursuivre l’offensive législative contre et rajouter encore de nouvelles lois à l’arsenal des lois discriminatoires votées au cours de la législature précédente. « Attention, les Arabes se mobilisent en masse pour aller voter », avait déclaré Benyamin Netanyahou le jour des élections, ne cachant pas que pour lui, il s’agissait bien de l’ennemi de l’intérieur, une véritable cinquième colonne...

    Il semble que ni l’atmosphère raciste ambiante, ni le discours de haine des dirigeants politiques, ni la nouvelle législation ouvertement discriminatoire, n’arrivent aujourd’hui à stopper la volonté de faire front. Et c’est ce que l’on a clairement ressenti ce 28 avril à Tel Aviv. Et si cette manifestation est peut-être une hirondelle qui annonce un petit printemps arabe en Israël, cela peut aussi être une bonne nouvelle pour le mouvement pacifiste israélien, qui lui aussi a cessé d’exister depuis 15 ans, l’un expliquant l’autre : le massacre d’octobre 2000 avait été rendu possible par l’auto-liquidation du mouvement progressiste israélien de masse, deux mois auparavant.

    Un réveil palestinien pourrait donc servir de locomotive à un réveil du mouvement israélien contre l’occupation. C’est en tout cas ce à quoi s’attellent les nouveaux dirigeants de la minorité nationale arabe, qui ont lancé un appel clair et sans ambiguïté aux progressistes israéliens pour les rejoindre dans le combat pour l’égalité et la démocratie.

    De Jérusalem, Michel Warschawski

    * « Israël : après le succès électoral, la mobilisation des Palestiniens d’Israël se poursuit ». Paru dans Hebdo L’Anticapitaliste - 288 (07/05/2015). http://www.npa2009.org/

    http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article34910

  • Rennes, le 8 mai, c’est aussi… (fr3)

     8 mai

    ...la commémoration du massacre de Sétif!

    Une répression sanglante a suivi des manifestations nationalistes en Algérie, le jour de la signature de l’Armistice, le 8 mai 45. A Rennes, ville jumelée à Sétif, cette commémoration prend une importance particulière.

    Après les manifestations liées aux commémorations de la capitulation Allemande, la ville de rennes n’oublie jamais celle du massacre de Sétif, qui a eu lieu le même jour. Après la signature, une manifestation autorisée a réunit 10 000 personnes. Mais après qu’un jeune ait été abattu par la police pour avoir brandi un drapeau algérien, cette manifestation nationaliste dégénère.
    Le mouvement s’est étendu ensuite à Guelma et Kherrata, ainsi que dans la petite Kabylie, et la répression qui s’ensuit fait entre 5000 et 10 000 victimes entre le 8 et le 22 mai.Selon l’historien Charles-Robert Ageron, cet événement « a servi de référence et de répétition générale à l’insurrection victorieuse de 1954″. La France a tardi- vement reconnu sa responsabilité « officielle ». C’était en 2005 lors d’un discours de l’ambassadeur, qui a qualifié la répression de l’époque de « tragédie inexcusable ».

    Par Stéphane Grammont Publié le 08/05/16:38, mis à jour le 08/05/ 16:48

    http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2015/05/08/le-8-mai-c-est-aussi-la-commemoration-du-massacre-de-setif-721021.html

    Lire aussi:

    http://rebellyon.info/?8-Mai-1945-Massacre-de-Setif

    http://www.algeria-watch.org/fr/article/hist/8mai45/mettre_fin_deni.htm

  • 70 ans de déni (El Watan)

     

    Le monde célèbre ce 8 mai le 70e anniversaire de la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Une date symbole de la victoire sur le fascisme.

    Un symbole qui, pourtant, prend une autre signification de ce côté-ci de la Méditerranée, théâtre d’une barbarie sans égale commise par un colonialisme abject contre des populations civiles désarmées.

    Le même 8 mai 1945, alors que les populations d’Europe manifestaient et défilaient dans les rues, respirant l’air de la liberté dans la liesse et la joie, les Algériens ont eu droit à l’expression la plus brutale de la répression coloniale. Ils sont sortis par milliers, par millions, dans les rues eux aussi armés de drapeaux et de slogans pour réclamer une liberté légitime et méritée.

    Le colonialisme français leur a répondu par les balles, les bombes et la matraque.

    Le général Raymond Duval orchestra un massacre à grande échelle. Trois grandes villes furent particulièrement marquées par la sauvage répression : Sétif, Guelma et Kherrata. Les corps de milliers de victimes algériennes gisaient dans un fleuve de sang. Les colons se joignent à la barbarie policière et militaire et font de l’Algérien une cible à abattre. Les corps de milliers de victimes sont soit brûlés ou enterrés dans des charniers et fosses communes. Les estimations du nombre de victimes ne sont pas précises tant la répression s’abattait sur tous les Algériens.

    On parle de milliers de morts.

    Du côté algérien, le nombre de morts est estimé à 45 000, le colonisateur parle de centaines. Les historiens placent le nombre entre 10 000 et 40 000 victimes. Une sauvagerie semblable à la barbarie nazie est appliquée sur les Algériens un jour de victoire sur les nazis. Un crime contre l’humanité est exécuté avec sang-froid et à huis clos, loin des festivités européennes.

    Le général Duval, qui a pris plaisir à supplicier des Algériens pendant des semaines, se réjouissait d’annoncer au gouvernement français de l’époque lui avoir «assuré la paix pour dix ans». Dans un rapport transmis au gouvernement britannique par son Consul Général à Alger, John Eric Maclean Carvel, est décrite l’ampleur de la force utilisée par l’armée française : «Les autorités françaises ont pris de fortes contre-mesures. Un bataillon sénégalais et des blindées ont été acheminés à partir d’Alger, de Sidi Bel Abbès, Biskra, Bougie et Constantine.

    Un détachement de 75 hommes de la légion étrangère fut transporté par avion vers Constantine.

    Des navires de guerre furent envoyés à Bougie pour y débarquer des soldats à Souk El Tnine. 1200 hommes du 13e régiment d’infanterie entièrement composé d’anciens membres de la ‘‘Force Française de l’Intérieur’’ arrivent par les airs en provenance de la Dordogne et de la Creuse. Pas moins de 300 sorties d’avions ont été recensées entre le 8 et le 14 mai, ce qui dénote de la dense activité militaire aérienne.

    On pense que l’action s’est déclinée la plupart du temps par des mitraillages et les bombardements. Les rapports des observateurs aériens indiquent que des villages entiers ont été détruits…». Un déploiement de guerre contre des populations civiles désarmées. L’image est effroyable, et même 70 ans après l’émoi est intact. Le colonialisme est une négation de la dignité humaine et un crime contre l’humanité tout comme le nazisme et doit être dénoncé en tant que tel.

    Aujourd’hui, et même si du temps s’est écoulé, et pour que toutes les blessures se referment, il est important de dire ce qui fut et de reconnaître le caractère fasciste et inhumain de la colonisation. Depuis 1830 jusqu’à 1962 en passant par mai 1945, le colonialisme a tout fait pour nier l’humanité et la dignité des Algériens. 70 ans après les faits horribles de mai 1945, la France n’ose pas faire le pas de la reconnaissance, ni des excuses. De petits pas sont entrepris depuis 2005 par des représentants de l’Etat français, mais des pas qui peinent à toucher de ce côté-ci de la Méditerranée.

    L’ambassadeur Hubert Colin de Verdière avait, en 2005 qualifié à Sétif les massacres de «tragédie inexcusable», son successeur, Bernard Bajolet, en 2008 à Guelma, a parlé pour sa part de «déchaînement meurtrier qui a fait des milliers de victimes». Sept ans plus tard, le Secrétaire d’Etat français aux anciens combattants, Jean Marc Todeschini, reprend les mêmes gestes des ambassadeurs en se rendant à Sétif pour déposer une gerbe de fleurs devant la stèle de la première victime algérienne, Saal Bouzid, et qualifie aussi les massacres de 1945 de «déchaînement meurtrier».

    Est-il donc si difficile de parler de «crime d’Etat» et de «massacres» qu’il est du devoir d’un Etat de reconnaître et de dénoncer ?

    Au lieu d’évoquer «des aspects positifs de la colonisation», la France est en devoir de regarder le vrai visage de ce que fut son empire colonial, et en balayant toute démagogie agir, tout comme l’a fait l’Allemagne en s’excusant de ses actes. Ces actes n’ont pas été que le fait d’individus, mais une politique d’Etat qu’il faut officiellement dénoncer. Comment la France peut-elle jouir totalement de ce jour de victoire sur le nazisme si elle réfute son propre passé de colonisateur ayant commis des crimes contre l’humanité ?

    Il est de bon ton de dénoncer le génocide arménien au nom des valeurs universelles de respect des droits humains, il serait aussi de bon ton d’en finir avec les petits gestes symboliques et dénoncer avec fermeté les massacres de mai 1945 qui s’apparentent aussi à un véritable génocide puisqu’il y a eu des exécutions systématiques et par milliers d’Algériens. La reconnaissance sera plus bénéfique aux Français qu’aux algériens qui ont eu la grande satisfaction d’arracher leur indépendance. Il reste toutefois à gratifier les milliers de victimes du 8 mai 1945 du statut mérité de martyrs.


    Nadjia Bouaricha El Watan, 7 mai 2015

    http://www.algeria-watch.org/fr/article/hist/8mai45/70_ans_deni.htm

    Lire aussi:

    http://rebellyon.info/?8-Mai-1945-Massacre-de-Setif

    http://www.algeria-watch.org/fr/article/hist/8mai45/mettre_fin_deni.htm

  • Pourquoi le traité commercial TTIP (Tafta) nuira à la cause palestinienne (Info-Palestine)

    Les dirigeants israéliens voient dans le TTIP une occasion de choix pour faire obstacle au succès inespéré du boycott international BDS.

     

    L’union dont rêve le régime d’apartheid israélien.

    Le traité entre l’UE et les USA donnera aux entreprises plus de pouvoir juridique pour attaquer les pouvoirs publics lorsque ceux-ci prennent des décisions qui risquent de leur occasionner un manque à gagner. Comme les intérêts de ces entreprises auront priorité sur les décisions démocratiques, la démocratie en général peut se faire du souci, et plus spécialement sous l’angle de la cause palestinienne.

    Ce qui a précédé

    En 2005 une coalition d’organisations palestiniennes (associations de femmes, d’écrivains, de syndicats, collectifs paysans, organisations de réfugiés, universitaires …) lançait pour la première fois dans l’histoire un appel qui était porté par l’ensemble de la société palestinienne. Cet appel consistait, sur le modèle de la lutte anti-apartheid en Afrique du Sud, à organiser un boycott contre le régime d’apartheid israélien.

    ... là où ça fait mal

    En quelques années l’initiative du boycott est devenue un succès international, notamment parce que partout dans le monde des collectifs citoyens ont exigé que leurs autorités locales rompent les contrats avec des entreprises qui tiraient profit de la colonisation et de l’occupation illégale de la Palestine. Les citoyens se servaient donc de leurs droits démocratiques, via leurs représentants politiques, pour limiter la cupidité immorale de certaines entreprises. Si le traité TTIP est approuvé, tout cela deviendra beaucoup plus difficile : un gouvernement qui refuse par exemple de conclure des contrats avec la firme de sécurité G4S parce qu’elle viole les droits de l’homme au service d’Israël, plainte pourra être déposée et une amende imposée.

    Le travail du lobby israélien

    On ne s’étonnera pas que les dirigeants israéliens voient dans le TTIP une occasion de choix pour faire obstacle au succès inespéré du boycott international. Ils vont même jusqu’à vouloir intégrer dans la réglementation du traité une interdiction du boycott d’Israël. Aux Etats-Unis, un membre du Congrès démocrate et un républicain, sous influence, il va sans dire, du lobby israélien, ont présenté en commun un projet de loi qui sera soumis au Congrès dans le courant du mois de mai et qui est on ne peut plus clair. Leur déclaration commune expose sans ambages comment un nombre inquiétant de pays de l’UE ont prêté l’oreille à l’appel au boycott (*). Le projet de loi lui-même dit que lors des négociations de traités commerciaux, les Etats-Unis doivent prendre pour objectif principal de dissuader les initiatives de boycott à l’encontre d’Israël.
    (*) Selon le congressiste républicain Peter J. Roskam, c’est : « ... une guerre qui vise à paralyser l’économie d’Israël et à stigmatiser son existence même ».


    Mario Franssen collabore depuis 2005 au mouvement de solidarité international intal.

    3 mai 2015 - dewereldmorgen.be - Vous pouvez consulter cet article à :
    http://www.dewereldmorgen.be/artike...
    Traduction : Info-Palestine.eu - AMM

    samedi 9 mai 2015 - 06h:34 Mario Franssen

    http://www.info-palestine.net/spip.php?article15367

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