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  • Rassemblement pour la reconnaissance de l’Etat de Palestine (Afps)

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    Journée nationale d’action 10 octobre 2015 à 15h00

    Place de la République

    Appel du Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens, lundi 5 octobre 2015

    « Le moment venu », c’est maintenant !

    Le préambule de la déclaration universelle des droits de l’Homme considère "que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables, constituent les fondements de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde."

    Les Palestiniens privés de leurs droits nationaux fondamentaux, aspirent à redevenir libres et à vivre dans un Etat souverain et viable. Mais c’est un fait, en occupant et en colonisant la terre palestinienne, en entravant la liberté de circulation par un blocus strict à Gaza et un mur d’annexion en Cisjordanie, en s’appropriant les terres, les maisons et l’eau, l’Etat d’Israël se place dans le déni du droit international, en rupture avec la déclaration de droits de l’Homme et de la convention internationale des droits de l’enfant.

    On a longtemps espéré que la solution pour une paix juste et durable viendrait de la négociation entre Israéliens et Palestiniens.

    Mais depuis longtemps déjà, cette solution a montré son inefficacité. Sans l’intervention politique et diplomatique des Etats du monde, de l’ONU, de l’UE, pour faire appliquer les résolutions des Nations Unies, sans l’intervention citoyenne pour exiger d’Israël qu’il cesse de nier et d’entraver les droits nationaux du peuple palestinien et sa légitimité à disposer de lui-même, rien n’est à attendre de nouvelles et hypothétiques négociations.

    Et si des avancées substantielles ont vu le jour avec la reconnaissance de l’Etat de Palestine comme membre à part entière de l’UNESCO et l’admission de la Palestine comme Etat observateur à l’ONU, cela reste insuffisant. 135 pays comme dernièrement la Suède, ont choisi de reconnaitre officiellement l’Etat de Palestine, la France a demandé au Président de la République, par la voix de son parlement, de faire le même choix.

    Malgré cette demande de la représentation nationale, la décision n’est toujours pas prise, même si le ministre des affaires étrangères en reconnait la légitimité, et déclare que cette reconnaissance se fera "le moment venu".

    Pendant ce temps, la colonisation se poursuit et Israël refuse de prêter ne serait-ce qu’une oreille, aux tentatives de la France de donner un cadre international à la recherche de la paix, alors les tergiversations ne sont plus supportables.

    "Le moment venu", c’est maintenant ! En aval du vote de l’Assemblée Nationale et du Sénat en décembre 2014, le Collectif a lancé une campagne citoyenne pour la reconnaissance immédiate de l’Etat de Palestine, en proposant à la signature, une carte pétition adressée au Président Hollande pour exiger cette reconnaissance.

    Pour marquer sa volonté de poursuivre jusqu’à la reconnaissance effective de l’Etat palestinien, le collectif national invite tous les démocrates épris de paix et de justice à participer à la journée d’action nationale et décentralisée qu’il organise le 10 octobre 2015.

    Ce sera l’occasion d’exprimer leur colère et leur volonté que la demande présentée au Président soit enfin prise en considération.

    Journée nationale d’action 10 octobre 2015 à 15h00

    Place de la République

    pour la Reconnaissance immédiate de l’Etat de Palestine

    Signataires membres du Collectif National pour une Paix Juste et Durable en Palestiniens et Israéliens

    — Agir Contre le Colonialisme Aujourd’hui (ACCA)
    — AFD International - Alternative Libertaire (AL)
    — Américains contre la guerre (AAW)
    — Association Ailes-femmes du Maroc
    — Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF)
    — Association des Tunisiens en France (ATF)
    — Association France Palestine Solidarité (AFPS)
    — Association Nationale des Elus Communistes et Républicains (ANECR)
    — Association pour la Taxation des Transactions financières et pour l’Action Citoyenne (ATTAC)
    — Association pour les Jumelages entre les camps de réfugiés Palestiniens et les villes Françaises (AJPF)
    — Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC)
    — Cedetim / IPAM - Collectif des Musulmans de France (CMF)
    — Collectif Faty Koumba : Association des Libertés, Droits de l’Homme et non-violence
    — Collectif interuniversitaire pour la coopération avec les Universités Palestiniennes (CICUP)
    — Collectif Judéo-Arabe et Citoyen pour la Palestine (CJACP)
    — Collectif Paix Palestine Israël (CPPI Saint-Denis)
    — Comité de Vigilance pour une Paix Réelle au Proche-Orient (CVPR PO)
    — Comité Justice et Paix en Palestine et au Proche-Orient du 5e arrt (CJPP5)
    — Ensemble - Europe Ecologie les Verts (EELV)
    — Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR)
    — Fédération Syndicale Unitaire (FSU)
    — La Courneuve-Palestine
    — le Mouvement de la Paix
    — les Femmes en noir
    — Ligue des Droits de l’Homme (LDH)
    — Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté, section française de la Women’s International League for Peace and Freedom (WILPF) (LIFPL)
    — Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP)
    — Mouvement Jeunes Communistes de France (MJCF)
    — Mouvement Politique d’Emancipation populaire (M’PEP)
    — Organisation de Femmes Egalité
    — Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF)
    — Parti Communiste Français (PCF) - Parti de Gauche (PG)
    — Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM)
    — Socialistes pour la Paix
    — Sortir du colonialisme
    — Une Autre Voix Juive (UAVJ)
    — Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens (UTIT)
    — Union Générale des Etudiants de Palestine (GUPS-France)
    — Union Nationale des Etudiants de France (UNEF)
    — Union syndicale Solidaires

    http://www.france-palestine.org/Rassemblement-pour-la-reconnaissance-de-l-Etat-de-Palestine-10-octobre

  • Syrie. «Ni Assad, ni Daech» (Al'Encontre.ch)

    Les diverses initiatives militaires, en Syrie, d’une coalition hétéroclite contre ledit Etat islamique (Daech) participe d’une réécriture politique propagandiste du «printemps arabe» en Syrie.

    Le soulèvement massif et pacifique de la population dès mars 2011 est effacé des mémoires médiatisées. Sont gommées, de plus en plus: la terrible répression du régime Assad, opérée par son armée, ses criminels mafieux (les chabiha), ses hélicoptères déversant des barils d’explosifs sur des villes et quartiers dont le contrôle était perdu; la destruction par les chars de quartiers entiers, maison après maison; la dévastation d’hôpitaux et de cliniques; l’utilisation des armes chimiques en août 2013 (ce qui s’est répété au premier semestre 2015); la libération, dès mars 2011, d’islamistes dans le but de nourrir les affrontements «communautaires».

    La réalité de cet «Etat de barbarie», comme l’avait écrit Michel Seurat (Syrie. L’Etat de barbarie, 1989), n’est plus la source de la tragédie dans laquelle est plongée, depuis quatre ans, la population de Syrie.

    Autrement dit, la propagande de la dictature de Bachar el-Assad, qui démarra les premiers jours, acquiert un statut de véracité conjuguée au présent: «Je mène une guerre contre des terroristes manipulés par des forces étrangères.» La «légitimité de l’autodéfense du régime doit être comprise».

    En traitant aujourd’hui l’organisation féroce, meurtrière de Daech comme la seule priorité militaire et politique de la «coalition de bombardiers», silence est fait sur deux éléments fondamentaux. Premièrement, Daech est la conséquence de la barbarie de la guerre impérialiste (2003) contre l’Irak, avec toutes ses suites. Dans ce sens, le titre de l’ouvrage de Gilbert Achcar, Le choc des barbaries, terrorisme et désordre mondial (2002), était prémonitoire. Ensuite, le refus, dès le deuxième semestre 2011, d’une aide matérielle et militaire réclamée à ceux qui engageaient, pratiquement, une révolution démocratique et son autodéfense contre la dictature Assad a débouché sur une tragédie humaine et sociale. Elle est d’une ampleur rarement connue dans l’après-Seconde Guerre mondiale.

    L’obsession des dites «puissances occidentales» consistait (après le désastre irakien) à maintenir une continuité de l’appareil d’Etat. Donc, au mieux, de permettre du «assadisme» sans Assad. Le peuple révolté n’existe pas pour les puissances impérialistes. Est-il nécessaire de le dire? Dans un tel contexte – marqué aussi par l’affaiblissement de l’emprise états-unienne sur toute la région – des «acteurs régionaux» (Qatar, Arabie saoudite, Turquie) ont acquis une sorte de droit de préemption sur des forces qui, face aux bataillons du régime des Assad, étaient à la recherche de ressources financières et militaires pour mener leur combat. En outre, dans un tel affrontement militaire contre un régime dictatorial qui dispose de 40 ans (1970) d’expérience – donc d’un appareil policier redoutable, de réseaux mafieux, d’appuis socio-économiques construits sélectivement – les carences d’une direction politico-militaire de la révolution démocratique se manifestèrent assez vite, malgré le courage et la détermination de ceux et celle qui étaient (et sont) engagés dans le combat pour la chute de la dictature.

    Dans cette configuration, l’Iran (en s’appuyant, entre autres, sur le Hezbollah libanais, mais aussi en encadrant des milices au service d’Assad dont les activités criminelles n’ont rien à envier à Daech) et la Russie jouaient leur propre carte. Ils ont alloué un appui décisif à Bachar el-Assad. Cela ne pouvait que renforcer la férocité de la répression et des destructions. Car, dans une telle guerre civile, un régime dictatorial consolide toujours ses méthodes terroristes au moment où son armée voit ses positions s’affaiblir. Ce qui est le cas, à nouveau, au cours des derniers mois. La montée aux extrêmes n’a donc pas cessé de s’accélérer en Syrie, pour rester cantonné à ce pays déchiqueté.

    Depuis quelques semaines, très ouvertement (car des démarches ont existé en réalité, dès 2011, avec des oscillations), la formule à l’honneur sous George W. Bush a acquis une nouvelle actualité: «mieux un dictateur que le chaos». Donc le seul véritable ennemi est Daech. Dès lors, s’est imposé dans la rhétorique le passage du «Bachar doit partir» à «il faut négocier son départ» (pourparlers de Genève 2014), puis à «nous allons examiner avec Bachar, l’Iran et la Russie la résolution du conflit». Même si les formules utilisées dans les chancelleries occidentales sont quelque peu différentes et traduisent des intérêts différents.

    Les pièces qui se déplacent sur l’échiquier géopolitique – agendas divers des membres d’une coalition hétéroclite bombardant Daech en Syrie et en Irak, accord Etats-Unis-Iran, guerre de destruction menée par l’Arabie saoudite au Yémen, accentuation rapide de la présence militaire russe en Syrie en pleine «crise ukrainienne», permanence d’une descente aux enfers dans un Irak où l’administration américaine était censée faire du «nation building» – ont offert une ouverture utilisée par le pouvoir autoritaire de Poutine. Aleksei Makarkin, qui dirige à Moscou le Centre pour les techniques politiques, explique sans détour: «Le but de la Russie est de défendre Assad; quiconque est contre lui est un facteur de déstabilisation; la Russie veut qu’Assad soit intégré dans un processus de négociation à partir d’une position de force.» (International New York Times, 3-4 octobre 2015) Pour cela, une précondition doit être remplie: assurer fermement le contrôle sur la région dont Lattaquié est le centre et qui est le fief du régime de Bachar el-Assad. La présence de forces rebelles – islamistes – implantées depuis des mois dans le nord-ouest de la Syrie menaçait ce fief. Or, il constitue de même le seul point d’appui militaire pour la Russie sur la Méditerranée.

    Le jeudi 1er octobre, le premier ministre de l’Irak, Haider al-Abadi, a affirmé que Bagdad accueillerait favorablement une offensive aérienne russe contre Daech (Financial Times, 3-4 octobre 2015). Cela révèle les multiples enjeux en cours dans toute la région. La nécessité de tracer les lignes de force des agendas, aux réalisations aléatoires, des acteurs de la de facto nouvelle coalition anti-Daech.

    Pour l’heure, quiconque veut échapper au carcan d’une approche binaire – sans mentionner ceux qui, lobotomisés, se situent du côté d’Assad au nom de «l’anti-impérialisme» – ne peut qu’affirmer: «Ni Daech, ni Assad».

    Certes la désespérance domine en Syrie. Le nombre de déplacés internes s’élève à 7,6 millions. Le nombre de morts, pour l’essentiel sous les coups de la dictature, est évalué à plus de 300’000, ce qui laisse entrevoir le nombre incalculable de blessés et de victimes diverses. L’aide humanitaire de l’ONU a été bloquée par le régime. Les réfugiés dans les pays voisins (Jordanie, Liban, Turquie, Irak…) sont au moins au nombre de 4 millions.

    La vague actuelle de réfugié·e·s «en route» vers l’Europe, reflet de la désespérance, vient de régions contrôlées par le régime. Les millions de réfugiés (voir l’article publié sur ce site en date du 24 septembre) qui ont dû fuir au cours des années précédentes proviennent de régions (villes et villages) qui furent la cible des chars, des hélicoptères et de la soldatesque d’Assad. Vendre la politique actuelle de réintégration d’Assad dans une «solution», après avoir affaibli et battu Daech avec des avions de combat, relève d’une illusion criminelle. Elle est offerte aussi comme «une solution» visant à freiner le «flux des réfugiés» grâce à une transition et à une stabilisation qui marqueraient la victoire complète de la contre-révolution en Syrie. Ces options sont fort éloignées d’une urgente et nécessaire politique effectivement humanitaire. (Rédaction A l’Encontre)

    Publié par Alencontre le 4 - octobre - 2015
     
  • M. Harbi, un combattant de la démocratie et de l’autogestion (Tendance Claire)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mohammed Harbi   est  né en 1933 à El Harrouch (Skikda).

    Il s’engage dès l’âge de 15 ans dans le combat contre le colonalisme et pour l’indépendance de l’Algérie. D’abord au PPA-MTLD, il est un responsable de l’organisation des étudiants nord-africains en France, puis membre de la direction de la Fédération de France du FLN où il s’occupe de la presse et de l’information.  

    C’est en France qu’il a l’occasion de rencontrer des militants ouvriers et intellectuels comme Daniel Guérin (qui dans Ci-git le colonialisme confirme que Mohammed Harbi est le rédacteur du texte de la Fédération de France sur le FLN, « le PCF et la question algérienne » paru dans Quatrième internationale en 1958).

    Il participe aux premières négociations d’Evian et, après l’indépendance, conseiller de la présidence sous Ben Bella. Dans Une vie debout, il retrace cet itinéraire, jusqu’en 1962 pour le premier volume (le deuxième est en chantier). Après l’indépendance il s’affirme comme un des penseurs et praticiens de l’autogestion, qui se heurte à une bonne part de l’appareil politico-administratif et militaire.

    Il participe à la rédaction du programme de Tripoli, dirige le journal Révolution africaine, est conseiller auprès de la présidence sous Ben Bella, et plus particulièrement anime avec d’autres (dont Michel Pablo – Raptis)  le bureau national d’animation du secteur socialiste.

    Arrêté en 1965 au moment du coup d’Etat de Boumedienne, il est emprisonné, puis placé en résidence surveillée. Il s’évade en 1973 (Ben Bella restera en prison jusqu’en 1980). Avec Hocine Zaouane, libéré au même moment,  il portait le projet de constitution d’une gauche du FLN. Ils sont enfin libres de s’exprimer en public, et ils annoncent leur programme depuis Rome.

    C’est en exil en France que Mohammed Harbi reprend des études d’histoire et langues orientales et devient l’un des principaux historiens de l’Algérie contemporaine s’appuyant sur une approche sociologique des groupes sociaux et des classes, des pratiques qui lui permet de saisir les obstacles concrètement dressés face aux dynamiques autogestionnaires.

    Mais ses recherches ne l’ont pas retiré des combats pour la démocratie.  Pour reprendre l’expression de Paul Bouchet  sur  ce type d’acteurs de l’histoire, Mohammed Harbi n’est pas un « ancien combattant », c’est un vieux lutteur.

    Pour aller plus loin :

    Entretien avec Mohammed Harbi sur TV5 (29 décembre 2009) ;

    Colloque international sur Messali HadjTlemcen : 16 –18 septembre 2011. Partie 3, , intervention Mohammed Harbi. http://www.youtube.com/watch?v=2uZNtqGD5B8

    Université de tous les savoirs. Bilan d’une guerre d’indépendance, 14 mars 2012.http://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/bilan_d_une_guerre_d_independance.1268

    Mohammed Harbi. Algérie: approches historiques du FLN. D’une génération à l’autre,controverse. IREMMO, Paris. ;

    Autour de Pierre Bourdieu et de la rencontre de l’Ethnologie et de la Sociologie, Bourdieu et l’Algérie des années 60 (2011) Institut du Monde Arabe,http://www.archivesaudiovisuelles.fr/FR/_video.asp?id=108&ress=579&video=5525&format=68

    articles de presse

    « L’histoire est instrumentalisée en Algérie » Jeune Afrique, 5 juillet 2012http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/JA2686p065-067.xml0/algerie-fln-guerre-d-algerie-interviewmohammed-harbi-l-histoire-est-instrumentalisee-en-algerie.html

    L’autogestion après l’indépendance: Mohamed Harbi écorne un grand «mythe algérien» El Kadi Ihsane Publié dans Maghreb Emergent le 20 – 05 – 2011http://www.djazairess.com/fr/maghrebemergent/3437

    Algérie : un texte de Mohammed Harbi pour le colloque d’El Watan à Alger, 30 juillet 2012.http://www.afriquesenlutte.org/afrique-du-nord/algerie/article/algerie-un-texte-de-mohammed-harbi

    « Mohamed Harbi et les « volte-face » de Ben Bella », par Mustapha Benfodil. jeudi, 26 mai 2011 http://www.tamurt.info/index.php?page=imprimir_articulo&id_article=1672

    portrait de Mohammed Harbi Une histoire algérienne paru dans CQFD n°82 (octobre 2010), par Anatole Istria ;

    Interview de l’historien Mohammed Harbi, Nouvel Observateur, 11 juillet 2010http://arezkimetref.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/07/11/intrview-de-l-historien-mohammed-harbi.html

    Notes sur les écrits

    Après la réédition des Archives de la révolution algérienne. Le Matin/dz El Watan 3 janvier 2012. ;

    compte rendu de la première édition Berg Eugène. Mohammed Harbi (éd.). Les archives de la révolution algériennePolitique étrangère, 1981, vol. 46, n° 4, pp. 996-997.
    url : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/polit_0032-342x_1981_num_46_4_3099_t1_0996_0000_3

    Une vie debout ; comptes-rendus dans Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée Ivan Jaffrin, 2005) http://remmm.revues.org/2774

    Valensi Lucette. Mohammed Harbi, Le F.L.N. Mirage et réalité. Des origines à la prise du pouvoir (1945-1962)Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 1982, vol. 37, n° 4, pp. 843-844.
    url : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1982_num_37_4_282889_t1_0843_0000_009

    Une ouverture en Algérie ? Un colloque sur Mohammed Harbi à Oran. Par Benjamin Stora,Jeune Afrique, le 17 février 2008 ;

    Eléments de bibliographie

    •  Aux origines du FLN – La scission du PPA MTLD, , Bouchene, 2003

    • Préface du livre de Sylvain Pattieu, Les camarades, des frères trotskistes et libertaires dans la guerre d’Algérie, Syllepse, 2002

    • Une vie debout – T1 Mémoires 1945-1962, La découverte, 2001

    • 1954 la guerre commence en Algérie, Complexe , 1998

    • L’Algérie et son destin – croyants ou citoyens, Arcanteres, 1992

    • L’Islamisme dans tous ses états, Arcanteres, 1991

    • Le FLN, Mirage et réalité, Jeune Afrique, 1980 et 1984

    • Archives de la révolution algérienne, Jeune Afrique, 1981.

    • avec Benjamin Stora La guerre d’Algérie – 1954-2004 La fin de l’amnésie, Robert Laffont, 2004 etLa guerre d’Algérie, Fayard 2010.

    Brève publiée le 4 octobre 2015

    Les brèves publiées dans cette rubrique « Informations et analyses » le sont à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

    http://www.autogestion.asso.fr/?p=2353

    http://tendanceclaire.npa.free.fr/breve.php?id=15007

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