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  • 32ème édition du festival du cinéma méditerranéen d’Alexandrie (Babzman)

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    A l’occasion du 32ème festival international du cinéma méditerranéen d’Alexandrie qui se tiendra du 21 au 27 septembre 2016, la guerre de libération nationale algérienne sera mise à l’honneur.

    Sous le thème « Cinéma et résistance », les organisateurs ont en effet prévu la projection de plusieurs oeuvres cinématographiques traitant ledit sujet. Des nombreux films, l’assistance visionnera « La bataille d’Alger », de l’Italien Gillo Pontecorvo (cinquante ans après la sortie du film en 1966), « Zabana » (2012), de Said Ould Khelifa, mais également, « Le Colonel Lotfi » (2015), du réalisateur Ahmed Rachedi.

    Pour rappel, le festival international du cinéma méditerranéen d’Alexandrie a été fondé par l’association égyptienne des auteurs et critiques de cinéma édition, avait connu la consécration de Lotfi Bouchouchi,pour son film « Le puits », ainsi que Mohamed Zaoui pour son documentaire « Dernières paroles ». Le FICM d’Alexandrie, compte parmi les plus anciennes manifestations dédiées au cinéma en Egypte.

    Mounira Amine-Seka Août 09, 2016

    http://www.babzman.com/

    http://www.huffpostmaghreb.com/

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  • Pau Palestine (Afps)

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    "Vivre en Palestine, un peuple en lutte"

    Le 17 et 18 août prochain l’AFPS Pau sera partenaire de l’Université Populaire du Pays Basque pour un événement appelé "Palestinan bizi, herri bat borrokan" : "Vivre en Palestine, un peuple en lutte".

    Si vos vacances vous amènent en Pays Basque n’hésitez pas à venir participer avec nous à cette université.

    Consulter le programme détaillé

    AFPS Pau, mercredi 17 août 2016

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  • Un bateau marocain à la Gay Pride d'Amsterdam (El Huff' Maghreb)


     
     

    LGBT - Des Marocains étaient présents au défilé de la Gay Pride à Amsterdam, qui s'est déroulée le samedi 6 août dans l'après-midi. Ils ont défilé à bord d'un bateau arborant les couleurs du drapeau marocain.

    Le message "Join our freedom, feel free to join us" était inscrit sur le bateau. Comme on peut le voir dans la vidéo ci-dessus, les personnes à bord du bateau marocain brandissaient pour certains des pancartes appelant à l'abrogation de l'article 489 du Code pénal, qui criminalise les relations homosexuelles.

    D'autres hissaient le drapeau arc-en-ciel, symbole de la communauté LGBT, ou encore le drapeau amazigh, tandis que des passagers portaient des petites pancartes avec les inscriptions "fier", "liberté" ou "vie".

    Les Pays-Bas sont le premier pays au monde à avoir légalisé le mariage homosexuel en 2001. La Gay Pride d'Amsterdam, connue aux Pays-Bas sous le nom de Canal Pride, est un rendez-vous annuel incontournable pour la communauté gay.

    Entre 300.000 et 400.000 personnes étaient présentes à Amsterdam pour voir défiler les péniches colorées sur les canaux de la ville.

    En 2014, un bateau marocain conduit par le mouvement M.A.L.I avait participé à la Gay Pride d'Amsterdam. Vêtus d’une tunique rose avec une grande étoile chérifienne, les manifestants avaient défilé le long du canal de la ville.

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

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  • “Bilal est maintenant dans un hôpital à Ashkelon, menotté, les jambes enchaînées et attachées au lit” (NPA)

    Interview de Sahar Francis, directrice d'Addameer, organisation de soutien aux prisonniers palestiniens. 

    Bilal Kayed, militant du FPLP, est en grève de la faim depuis plus de 40 jours, pourquoi a-t-il entamé cette protestation ?

    Bilal avait purgé l'intégralité de sa peine, (14 ans et demi de prison) et devait être libéré le 15 juin 2016. Mais au lieu d'être libéré il a été placé le jour même en détention administrative pour 6 mois.

    Il a décidé de commencer une grève de la faim pour protester contre une décision arbitraire et le principe même de la détention administrative . Un mouvement de solidarité s'est très vite développé dans toutes les prisons israéliennes, ce n'est pas une grève de la faim totale, mais des groupes de prisonniers se relayent et jeûnent pendant un ou deux semaines. Dans toutes les villes palestiniennes il y a des tentes de solidarité où la population vient montrer son soutien à la lutte des prisonniers. La grève de la faim est une forme de lutte très dangereuse et le mouvement s'inspire de la grève de la faim des prisonniers irlandais en 1981. C'est un acte de résistance qui menace leurs vies, et pour tenir le plus longtemps possible, ils commencent puis d'autres groupes les rejoignent afin de maintenir la pression sur les autorités pénitentiaires. Bilal est maintenant dans un hôpital à Ashkelon, menotté, les jambes enchaînées et attachées au lit. Il ne peut pas bouger et ce n'est pas acceptable médicalement. Les autorités disent que c'est pour des raisons de sécurité mais c'est absurde, il est très affaibli et peut à peine marcher, il n'y a aucun risque qu'il attaque les gardiens ou qu'il parte en courant. C'est juste un prétexte pour l'humilier et le torturer.

     

    Le nombre de prisonniers palestiniens détenus en Israël semble avoir beaucoup augmenté ces derniers mois

    En fait depuis la révolte d'octobre 2015 et l'agitation dans les territoires occupés, les Israéliens ont lancé  une campagne d'arrestations de masse qui continue actuellement, tous les jours et toutes les nuits dans les villes et les villages palestiniens. Plus de 6000 arrestations ces sept derniers mois, il y a maintenant 7000 détenus palestiniens dans les prisons israéliennes, dont 64 femmes, 330 mineurs et 750 détenus administratifs. Six députés du Conseil législatif palestinien sont en prison, l'emprisonnement est devenu un moyen de contrôle de la société. Nous avons hérité du système britannique de détention administrative en vigueur à l'époque du mandat, les Israéliens ont amendé leur code pénal pour pouvoir l'utiliser. Ils peuvent arrêter n'importe qui sur la base d'informations « secrètes » en prétendant qu'il est une menace pour la sécurité et renouveler sa détention indéfiniment. Le dossier secret n'est pas communiqué aux avocats, il n'est vu que par le juge militaire, il ne vous reste plus qu'à espérer qu'il sera objectif. Mais dans la plupart des cas le juge militaire confirme l'ordre donné par le gouverneur militaire. Omar Nazzal, le secrétaire du syndicats des journalistes, est en détention administrative pour avoir voulu aller en Europe donner une série de conférences. Mohammed Abou Sakha, un artiste du cirque national palestinien, un clown, en est à sa deuxième période de détention pour appartenance supposée au FPLP.

     

    Il semble que les jeunes soient particulièrement visés.

    S.F- Ce qui est nouveau c'est qu'ils arrêtent maintenant des mineurs à Jérusalem est et les mettent en détention administrative, pour des posts sur Facebook. Une jeune fille de 16 ans du camp de Deheishe a été détenue 3 mois pour avoir posté les photos des martyrs de Deheishe. Le nombre de mineurs emprisonnés a bondi. Pour eux, rien ou presque n'est prévu en prison, ils sont dans les mêmes prisons que les adultes, bien que séparés. Il n'y a aucun programme d'éducation ni de soutien psychologique, quand ils sortent ils ont beaucoup de mal à se réadapter, beaucoup sont incapables de retourner à l'école.

    Propos recueillis par Mireille Court, Ramallah, 27 juillet 2016

    https://npa2009.org/actualite/international/bilal-est-maintenant-dans-un-hopital-ashkelon-menotte-les-jambes-enchainees

  • La rentrée s’annonce houleuse (El Watan.dz)

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    Les syndicats ont déjà élaboré une plateforme de revendications

    Les syndicats autonomes représentant plusieurs secteurs névralgiques, entre autres l’éducation, la santé, la formation professionnelle, les vétérinaires, les postiers, les mécaniciens navigants d’Air Algérie… haussent le ton.

    Ils menacent de riposter vigoureusement à travers des grèves, des manifestations et des marches dès la rentrée sociale si le gouvernement ne sursoit pas aux mesures «antisociales» adoptées lors du dernier Conseil des ministres et ne prend pas en charge leurs revendications socioprofessionnelles.

    La décision des syndicats a été entérinée, hier, à l’issue d’une réunion tenue au siège du Syndicat algérien des paramédicaux (SAP).

    Ainsi, le gouvernement donne encore une fois une «occasion» en or aux syndicats d’unir leurs rangs et éventuellement remettre sur rails l’idée d’une confédération regroupant les organisations syndicales ayant les mêmes objectifs et un dénominateur commun.

    Que revendiquent aujourd’hui ces organisations syndicales ?

    Il y a quelques années, elles se rejoignaient sur la question de la politique salariale et sur la revendication portant sur leur association à la prise de décision en tant que partenaire social.

    Aujourd’hui, en plus de ces deux points qui sont remis sur le tapis, les syndicats ont fait cause commune autour du projet de loi relatif à la retraite qui ne sert pas, selon eux, les intérêts socioprofessionnels des travailleurs. Ils rejettent surtout l’annulation de la retraite proportionnelle. Pour eux, ce n’est pas en portant atteinte aux droits et acquis des travailleurs que l’on sauvegarde la paix sociale.

    Les syndicats qualifient d’«aberration» et de «mascarade» une telle mesure instituée par décret dans les années où les entreprises mettaient la clé sous le paillasson. Ainsi, les représentants des fonctionnaires sont convaincus qu’en prenant cette décision, le gouvernement a porté atteinte à un «acquis irréversible» d’autant que d’autres solutions plus appropriées existent pour une bonne gestion de la Caisse de retraite.

    «Revoir la politique salariale»

    L’autre préoccupation des syndicats est la politique des salaires qui n’existe quasiment pas dans notre pays. Il n’y a, selon les responsables des syndicats autonomes, aucune référence, ni logique que l’on puisse retenir dans les salaires. Les salaires sont attribués au gré des décideurs.

    C’est pourquoi les syndicats demandent au gouvernement de revoir, ou plutôt de mettre sur place une politique salariale qui tienne compte de l’inflation galopante avec une prime compensatrice et du rang social que doit occuper la classe moyenne, hélas laminée. «Nous ne comprenons pas la logique du gouvernement ni les critères sur lesquels il se base pour l’octroi des salaires.

    Les pouvoirs publics éprouvent des difficultés à débloquer une somme pour un tel secteur, mais pour répondre à un objectif précis et récompenser les députés qui ont approuvé le projet de la nouvelle Constitution, ils trouvent de l’argent et ne se gênent pas pour augmenter leurs salaires», s’insurge Meziane Meriane, responsable du Syndicat des enseignants du secondaire (Snapest).

    Ce dernier cite également l’exemple des magistrats et des policiers, dont les salaires ont connu une augmentation conséquente. «Pour justifier cette hausse des salaires pour ces catégories de travailleurs, les pouvoirs publics ont estimé que cela s’imposait afin de les mettre à l’abri du phénomène de la corruption.

    Ceci est inacceptable ! Où est la politique des salaires qui devrait instaurer pour un même diplôme un même poste et un même salaire», demandent les syndicats, qui dénoncent les disparités entre les mêmes fonctionnaires et ouvriers. «Pourquoi le salaire des ministres et des hauts cadres est-il tabou ? Pourquoi ne dit-on pas sans complexe ce que touche un fonctionnaire qui occupe tel poste, qu’il soit ministériel ou autre ?» ajoutent-ils.

    Par ailleurs, les organisations syndicales appréhendent le nouveau projet portant révision du code du travail en gestation, qui renfermerait des dispositions remettant en cause certains acquis, dont le droit à l’exercice syndical. 3 août 2016

    Nabila Amir El Watan

    http://www.algeria-watch.org/fr/article/pol/syndicat/annonce_rentree_houleuse.htm

  • Israélisation de la gouvernance de la France : le cas emblématique de Georges Ibrahim Abdallah (UJFP)

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    Nous n’allons pas dans ce texte reprendre l’ensemble du dossier de ce scandale d’État qu’est le maintien en détention de Georges I. Abdallah

    Georges vit sa 32° année de détention à Lannemezan, Hautes Pyrénées.

    Nous voudrions aujourd’hui insister sur le fait que le maintien en détention de ce militant communiste libanais solidaire du peuple palestinien est un cas emblématique d’israélisation de la gouvernance de la France.

    En effet :

    • Non seulement Georges n’a pas été condamné à une peine de prison à perpétuité sur des preuves de culpabilité dans l’assassinat d’un conseiller militaire étatsunien et d’un agent du Mossad en France, mais sur une suspicion de complicité,
    • Non seulement Georges n’a pas bénéficié de l’échange négocié par l’entremise de l’Algérie alors que les Forces Armées Révolutionnaires libanaises ont relâché leur otage Antoine Perraut,
    • Non seulement la Justice a refusé à plusieurs reprises sa libération une fois la peine de sureté de 19 ans accomplie,
    • Mais quand la Justice elle-même a décidé de sa libération à la condition (classique et prévue par la loi) de son expulsion,
    • Alors même que les autorités libanaises sous la pression d’un mouvement en faveur de Georges avait affirmé et confirmé qu’elles étaient prêtes à l’accueillir au Liban,
    • Le Ministre de l’Intérieur (Manuel Valls) a refusé de signer l’arrêté d’expulsion, empêchant ainsi sa libération.

    Ainsi, nous pouvons dire que Georges est devenu un détenu administratif. C’est le pouvoir exécutif qui a refusé d’appliquer la décision de Justice. Sa condamnation à la perpétuité est devenue une condamnation à la perpétuité réelle, traitement considéré comme inhumain.

    Le maintien en détention de Georges est un exemple de suppression de la séparation des pouvoirs. C’est ce que vivent des milliers de Palestiniens détenus administratifs en Israël, maintenus en détention pour des périodes de 6 mois indéfiniment renouvelables par la seule volonté gouvernementale, en dehors de toute procédure judiciaire, sans même de chef d’inculpation, au nom de la « sécurité ». Le fait que cela soit en application d’une loi britannique datant du mandat que le Royaume Uni avait sur la Palestine ne contredit pas qu’il s’agit en 2016 d’une pratique typiquement israélienne.

    Dans le débat sur l’état d’urgence, on a vu dans les discours s’opérer un glissement faisant de la « sécurité » le premier droit de l’homme, alors même que la déclaration des Droits de l’Homme invoque la « sureté », qui n’est pas un synonyme, mais au contraire la garantie d’être à l’abri de mesures arbitraires, telles les lettres de cachet de l’Ancien Régime (et du Régime Valls-Hollande).

    Si le CDI est menacé dans le droit du travail, on nous propose aujourd’hui la DDI, la détention à durée indéterminée de tout « suspect » dans des centres de rétention, à l’israélienne. On peut imaginer que ces centres seront entourés de barrières en fil de fer barbelé innovantes dont Israël est le champion, mais cela fera l’objet d’un autre article.

    Nous ne céderons pas à l’état d’urgence, nous manifesterons en octobre à Lannemezan pour le triste 32° anniversaire de la détention de Georges Ibrahim Abdallah, nous maintenons l’exigence de sa libération.

    Le Bureau national de l’UJFP, le 7 août 2016

    Le site http://liberonsgeorges.over-blog.com http://liberonsgeorges.over-blog.com donne tous les éléments et nous avons déjà fait état des visites que l’un d’entre nous a pu lui rendre et rencontrer ainsi un militant toujours debout. Georges Ibrahim Abdallah, ainsi qu’une dizaine de détenus politiques et sociaux, basques et arabes de la centrale de Lannemezan, en solidarité avec les prisonniers politiques palestiniens qui sont en grève de la faim pour dénoncer la politique israélienne de "détention administrative" et pour soutenir et exiger la libération inconditionnelle du militant palestinien Bilal Kayed, ont fait la grève du plateau pendant trois jours du 4 au 6 août.

    Ci-dessous, une interpellation bien venue adressée à « nos » gouvernants

    Lettre ouverte du Secrétaire Général du Parti Communiste Libanais, Hanna Gharib, en commémoration de l’anniversaire de la prise de la Bastille et de la Fête nationale française, adressée aux gouvernements libanais et français.

    http://www.ujfp.org/

  • Selon Google Maps, la ‪‎Palestine‬ n’existe plus ! (Anti-k)

     
    http://i1.wp.com/www.anti-k.org/wp-content/uploads/2016/08/palestine.jpg?resize=601%2C264
     

    Selon Google Maps, la Palestine‬ n’existe plus ! Google a supprimé le nom de Palestine de ses cartes et l’a remplacé par Israël.

    La décision de Google de retirer la Palestine de ses cartes et de la remplacer par Israël‬ a été tout de suite dénoncée par le Forum des Journalistes Palestiniens.

    Selon leur déclaration, la décision de Google faite le 25 Juillet est « une partie de la stratégie d’Israël pour établir son nom en tant qu’Etat légitime pour les générations à venir et rayer définitivement de la carte la Palestine ».

    « Le déplacement vise également à falsifier l’histoire, la géographie, ainsi que le droit du peuple à avoir sa patrie, et aussi une tentative échouée de manipuler la mémoire des Palestiniens et des Arabes ainsi que du monde ».

    D’après le forum, ce remplacement est « contraire à toutes les normes et conventions internationales », ce qui souligne que Google doit refuser ses actions.

    Les internautes ont largement réagi à la décision de Google de remplacer la Palestine par Israël sur ses cartes.

    http://www.anti-k.org/

  • Nouveautés sur Agence Médias Palestine

     
    Grève de la faim du prisonnier politique palestinien Bilal Kayed et des autres prisonniers : lettre à Jean Marc Ayrault

    Grève de la faim du prisonnier politique palestinien Bilal Kayed et des autres prisonniers : lettre à Jean Marc Ayrault

    Monsieur le Ministre des Affaires étrangères Monsieur Jean-Marc Ayrault 37, quai d’Orsay 75007 Paris A Paris, Le 5 août 2016 Monsieur le Ministre Le Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens (CNPJDPI) est particulièrement inquiet et révolté par la situation du prisonnier palestinien Bilal Kayed membre du FPLP, entré en...
     
     
    Un bateau des Femmes pour Gaza partira de Barcelone en septembre 2016

    Un bateau des Femmes pour Gaza partira de Barcelone en septembre 2016

    Une nouvelle flottille, nommée « Amal- Hope  » (qui signifie Espoir en arabe et en anglais) exclusivement composée de femmes, prendra la mer cette année, tentant de briser le blocus imposé à la bande de Gaza.  Dans la continuation des Flottilles de la Liberté qui depuis 2008 ont tenté de se rendre à Gaza pour témoigner...
     
     
    Les grèves de la faim des Palestiniens : quels sont les faits

    Les grèves de la faim des Palestiniens : quels sont les faits

    Par Addameer – 3 août 2016 Quelle est l’histoire des grèves de la faim des Palestiniens ? Les grèves de la faim ont été longtemps utilisées dans différentes régions géographiques comme moyens pour protester et exiger des droits fondamentaux, dont le droit de vote, le droit d’être libéré de la torture et le droit à l’autodétermination....
     
     
    La pression monte sur Israël pour la libération de Bilal Kayed

    La pression monte sur Israël pour la libération de Bilal Kayed

    Emily Mulder – Al Jazeera – 2 août 2016 Alors qu’une grève de la faim massive en solidarité avec le membre du FPLP emprisonné grandit, des observateurs s’interrogent sur le rôle de l’Autorité palestinienne. Des affiches de Bilal Kayed et du secrétaire général du FPLP, Ahmad Saadat, sont accrochées en évidence dans le camp de...
    L'hydro-apartheid israélien maintient la Cisjordanie assoiffée

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    Par Charlotte Silver, The Electronic Intifada 1er août 2016 Des Palestiniens prennent de l’eau le 27 juin à une source du village de Salfit en Cisjordanie. Les villageois ont vécu sans eau pendant des jours parce qu’un manque chronique d’approvisionnement dû aux autorités israéliennes d’occupation continue à frapper de grandes parties du territoire. (Nedal Eshtayah / APA...