Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Nouveautés sur AURDIP

    FlyerRomont.png

     

              | Angela Davis, Rashid Khalidi, Joan Scott, Richard Falk, Roger Waters, Alice Rothchild,        Chandler Davis, et al. |Traduction SF pour l’AURDIP |Tribunes

    • Une déclaration récemment publiée dans le New York Review of Books appelle à « un boycott économique et une non-reconnaissance politique des colonies israéliennes dans les territoires occupés » (Lettres, 13 octobre).

      Nous saluons la façon dont la déclaration brise le tabou qui frappe le boycott des institutions israéliennes complices – au moins partiellement - des violations des droits humains des Palestiniens.

      Défiant néanmoins le sens commun, la déclaration appelle à boycotter les colonies en laissant Israël, l’État qui a illégalement construit et entretenu ces colonies depuis des décennies, en dehors du coup.

    • Note de lecture du livre « Un boycott légitime. Pour le BDS universitaire et culturel de l’État d’Israël » par Eyal Sivan et Armelle Laborie
      |Sonia Dayan-Herzbrun |

      Nous connaissons tous le cinéaste israélien Eyal Sivan. En octobre 2009 il avait décliné l’invitation qui lui avait été faite par le Forum des Images d’être associé à une rétrospective intitulée Tel Aviv, le paradoxe, et qui bénéficiait du soutien du gouvernement israélien. En y présentant son film Jaffa, la (...)

    • La querelle Hamas-Fatah paralyse l’enseignement supérieur à Gaza
      | Isra Saleh el-Namey pour The Electronic Intifada

      Ahmad Abu Hasira a renoncé à rejoindre ses deux frère et sœur à l’université Al-Aqsa de Gaza, l’un des plus grands établissements palestiniens d’enseignement supérieur public.
      Abu Hasira, 18 ans, s’apprêtait à s’inscrire à l’école de journalisme de l’université, mais une crise persistante qui a vu (...)

    • « Un État de terreur », de Thomas Suárez
      | David Gerald Fincham pour Mondoweiss |

      Une critique du livre « Un État de terreur : comment le terrorisme a créé l’Israël moderne », de Thomas Suárez. Publié ce jour au Royaume-Uni, disponible en pré-commande aux USA.

      Pour introduire le thème de ce livre, je ne peux pas mieux faire que de citer son approbation par le professeur Ilan Pappé :

      « Un tour de force, basé sur une recherche archivistique appliquée qui examine hardiment l’impact du sionisme sur la Palestine et son peuple dans la première partie du XXe siècle. Le livre est la première analyse complète et structurée de la violence et de la terreur dont se servit le mouvement sioniste, et par la suite, l’État d’Israël, contre le peuple de Palestine. »

    • California Scholars for Academic Freedom lay out recent history of assaults on universities regarding academic freedom, the right of free speech and dissent
      | California Scholars for Academic Freedom

      California Scholars for Academic Freedom (CS4AF) a group of over 200 scholars at twenty California institutions of higher learning, urge a renewed and strong support by university administrators for academic freedom and the right to free speech and dissent in light of an alarming recent history of assaults on academic freedom.

     

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

    greve-medecin1011.jpg

    • Mouvement ouvrier
       
      A bas la répression contre les salariés des chantiers navals égyptiens !

      , par LEROUGE Dominique

      Au moment où cet article était écrit, il était prévu qu’un tribunal militaire prononce le 18 octobre son jugement concernant 15 travailleurs des chantiers navals d’Alexandrie, en détention provisoire depuis plus de quatre mois.
      Ceux-ci sont poursuivis suite à une mobilisation revendiquant notamment : (...)

    • Syndicalisme
       
      Tunisie : Victoire des salarié-e-s de l’hôpital de Sfax

      ,

      Les salarié-e-s de l’hôpital public et leur organisation syndicale ont remporté une importante victoire. Après plus de 13 mois de lutte, ils/elles ont contraint la coalition gouvernementale néo-libérale dirigée par des notables de l’ancien régime et les islamistes d’Ennahdha à céder :
      le directeur (...)

      Gauche radicale

      Elections législatives au Maroc : Rivalités autour d’une politique décidée à l’avance

      , par AL-MOUNADHIL-A

      Editorial du numéro 65 du journal Al Mounadhil-a
      Les élections législatives du 7 octobre 2016 ont confirmé :
      que le mécanisme politique du régime (ses pseudo conseils « représentatifs » et ses différentes institutions, ...) semble bien efficace dans son rôle de maquiller le despotisme, et concrétiser (...)

  • Nouveautés sur le site du NPA

    uner antic.jpg

    Alep, Mossoul, le jeu sanglant des grandes puissances Arrêt immédiat des bombardements ! Non à la guerre !

    Maroc : Élections sous la houlette du roi

    17 Octobre 1961 : que reste-t-il de « l’hommage » de Hollande ?

    Égypte : À bas la répression contre les salariés des chantiers navals !

    .

    Nos camarades marocains:

    Elections législatives au Maroc : Rivalités autour d’une politique décidée à l’avance

    .

    Sur Lutte Ouvrière:

    17 octobre 1961 à Paris : le massacre des Algériens

    Liberté pour Georges Ibrahim Abdallah !

    Irak : la population prise au piège à Mossoul

  • Il y a 55 ans, les médias et le massacre du 17 octobre 1961 (Acrimed)

     

    Le 17 octobre 1961 la fédération de France du Front de libération nationale (FLN) organise une manifestation à Paris. La répression policière est d’une extrême violence : outre l’internement de milliers de manifestants et l’expulsion de centaines d’entre eux, plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d’Algériens sont portés disparus – nombre d’entre eux ont été tués et jetés dans la Seine. Comment la presse a-t-elle rendu compte de ce massacre ? [1]

    À notre connaissance, la meilleure étude publiée à ce jour sur le traitement médiatique du 17-Octobre est due à Mogniss H. Abdallah : dans un article paru dans la revue bimestrielle Hommes & migrations de novembre-décembre 2000, sous le titre « Le 17 octobre 1961 et les médias. De la couverture de l’histoire immédiate au “travail de mémoire” » [2]. Notre contribution doit être comprise comme une incitation à lire cet article de référence.

    L’auteur examine ce traitement médiatique jusqu’en 2000. Mais qu’a-t-on pu lire dans la presse dans les quelques jours qui ont suivi ?

    De droite…

    « La presse populaire de droite, écrit Mogniss H. Abdalllah, à l’instar du Parisien libéré, de L’Aurore ou de Paris-Jour, reprend la version de la préfecture de police. Elle évoque de “violentes manifestations nord-africaines”, emmenées par des “meneurs” et des “tueurs”, “déferlant vers le centre de la ville” […] »

    Voici, par exemple, la « une » du Parisien libéré du 18 octobre, qui attribue les violences aux manifestants :


    Et en pages intérieures, on peut lire en tête de la page consacrée à la manifestation, cet encadré (extrait) qui résume le journalisme dont il s’agit.



    Le 19 octobre, Le Parisien libéré « explique » ainsi les manifestations, et en particulier la manifestation de femmes et d’enfants qui s’est déroulée la veille.



    Le Figaro, de son côté, commence par s’en tenir à une version pro-gouvernementale, en attribuant la violence aux « musulmans algériens ». À la « une », le 18 octobre…



    Mais, dans les jours suivants, Le Figaro (même Le Figaro…) ne peut dissimuler totalement la vérité. Ainsi, relève Mogniss H. Abdallah, «  Le Figaro du 23 octobre se départit quant à lui de son soutien initial à la police pour dénoncer des “scènes de violence à froid” dans les centres d’internement, au Palais des sports ou au stade de Coubertin. »

    À France-Soir, qui est alors un grand quotidien populaire qui affecte de n’épouser aucun parti pris, on commence, là aussi, par avaliser la version policière et renvoyer dos à dos « les extrémistes de l’OAS et du FLN »…

    Comme on peut le voir dans ce commentaire de page intérieure (extrait) :



    Mais au fil des jours France-Soir recueille également des témoignages sur l’ampleur et la violence de la répression.


    … à gauche

    La presse de gauche sera plus audacieuse. Certes, elle commence par afficher une certaine prudence, qu’elle attribue, non sans raison, à la censure, comme le fait L’Humanité le 18 octobre, ainsi qu’on peut le lire dans cet encadré de page intérieure (extrait) :



    Les jours suivants, en dépit de cette compréhensible prudence [3], dans l’ensemble de la presse que l’on peut classer à gauche le ton change et les informations filtrent.

    Changement de ton, avec par exemple, cette « une » de Libération (il s’agit du quotidien issu de la Résistance…), le 20 octobre (extrait) :



    Comme le relève encore Mogniss H. Abdallah, «  Libération, Témoignage chrétien ou France Observateur publient sous la forme interrogative “est-il vrai que... ?” ou “y a-t-il eu... ?” de multiples informations sur les exactions policières et leur caractère systématique (hommes frappés et jetés à la Seine ou retrouvés pendus dans les bois, décompte du nombre des morts et des disparus qui discrédite le bilan officiel faisant état de 3 morts et 55 blessés...) “Si tout cela est exact, et nous avons de bonnes raisons de le croire, qui sont les auteurs de ces crimes ?” demande Libération du 19 octobre 1961 ».

    Pendant toute la semaine qui suit, les témoignages s’accumulent et convergent. Et le 27 octobre, bien que la grève des cheminots fasse leur principal titre de « une », L’Humanité et Libération interrogent ou, plutôt, interpellent, sur la base de nouveaux témoignages.

    Ainsi, L’Humanité  :



    Même question, le même jour, dans Libération, qui invoque des témoignages convergents dans cet encadré (extrait) :



    Enfin, des photos d’Élie Kagan (1928-1999), prises lors de manifestation du 17 octobre sont publiées par Témoignage chrétien : elles sont accablantes.


    Les « petits médias »

    Pourtant, comme le souligne Mogniss H. Abdallah, c’est surtout aux « intellectuels-journalistes » (comme Paul Thibaud ou Claude Bourdet) et aux « petits médias » que l’on doit, dès 1961, le combat le plus acharné pour la vérité : outre les exactions en tous genres, c’est un véritable massacre qui a été perpétré :

     « Les “petits” médias, dont la revue Les Temps modernes, les journaux Témoignages et documents ou Vérité-Liberté, ou encore la maison d’édition François Maspero, publient de multiples documents qui permettront de faire une synthèse sans concession des événements du 17 octobre 1961. Droit et liberté, journal du Mrap, fournit des informations sur d’autres pogroms ailleurs en France (Metz, Nancy). Côté images, le biologiste Jacques Panijel va entreprendre une enquête caméra au poing qui donnera le film “Octobre à Paris”. Beaucoup de ces publications vont être saisies, le film sera interdit, mais paradoxalement, leur contenu diffusé “sous le manteau” va marquer toute une génération, ce qui ne semble pas le cas de la grande presse et son information éphémère, volatile. »

    Mais, en ce mois d’octobre 1961, aucune mobilisation de solidarité ne sera suscitée. Il n’en ira pas de même, quelques mois plus tard, à la suite de la tuerie du 8 février 1962 au métro Charonne. Pis : la mémoire collective et la commémoration de cette tuerie ont longtemps occulté le combat pour la vérité et la reconnaissance du massacre du 17 octobre 1961. Ce combat, qui est d’abord un combat pour l’information, n’est pas fini.


    Henri Maler

    http://www.acrimed.org/

     

  • Au Moyen-Orient, arrêt immédiat des bombardements ! (NPA)

    antik355-couleurs-une.jpg

    Vladimir Poutine a été amené par Hollande à reporter son voyage du 19 octobre à Paris... Mais les bombardements continuent à Alep, et risquent d’être confortés par l’offensive majeure de la coalition anti-Daesh qui est annoncée à Mossoul en Irak.

    Au moment où le président russe s’affirme comme le maître d’œuvre de l’offensive du régime despotique syrien avec ses alliés contre la partie rebelle de la ville d’Alep, avec ses bombardements meurtriers contre les infrastructures civiles, il faut dire que cette visite faisait tache ! Il était d’ailleurs attendu de pied ferme par les défenseurs de la liberté et de la démocratie en Russie, en Syrie, en Ukraine.

    Mais François Hollande a voulu saisir cette occasion d’apparaître comme un grand démocrate au niveau international. Quelques jours plus tôt, devant le Conseil de sécurité de l’ONU, une résolution française pour un arrêt immédiat des bombardements à Alep s’était vu opposer le veto du gouvernement russe. À la suite, Hollande et Ayrault ont proclamé qu’ils s’expliqueraient à Paris avec Poutine, ce qui a entraîné la défection du président russe.

    Quelle « guerre contre le terrorisme » ?

    Beaucoup dans la droite et l’extrême droite française, mais aussi certains à gauche, ont vertement critiqué Hollande pour son manque de respect à Poutine. Pour nous, ce n’est vraiment pas cela le problème. Il n’y a aucune justification progressiste à la politique impérialiste de la Russie de Poutine, son engagement aux côtés d’un Bachar el-Assad qui se vautre dans l’extermination de son peuple révolté, sans parler des autres aspects de la politique intérieure et extérieure autocratique de l’ancien colonel des services secrets russes.

    Quel contresens, de la part du très « laïque » Jean-Luc Mélenchon, de défendre le chef actuel du Kremlin, qui venait d’abord à Paris pour inaugurer le « centre culturel et spirituel orthodoxe russe », et qui, depuis la fin de l’ère Bush, est le chef d’État qui parle le plus d’une « croisade antiterroriste» au Moyen-Orient ! Et comment peut-il mépriser à ce point le peuple syrien et pratiquer de tels amalgames en assénant dans son interview à la chaîne Public Sénat, après avoir regretté que toutes les guerres sont abominables, que « Nous parlons de la zone est d’Alep. Qui est tenu par qui ? (...) des modérés, des modérés d’Al-Qaeda qui ont assassiné les rédacteurs de Charlie Hebdo. Vous tenez à tout prix à trier entre les victimes ? » À son tour, Mélenchon semble voir les peuples comme des pions manipulés par des États ou par des courants terroristes, des peuples dont les mortEs dans les bombardements ne seraient que des effets collatéraux...

    Or, le principal scandale dans l’attitude de Hollande et de son gouvernement, c’est sa concurrence/association avec les autres puissances impérialistes et colonialistes, des USA à la Russie ou à Israël, dans une prétendue « guerre contre le terrorisme » dans laquelle les bombardements aériens annihilent tout droit humain de base. Une orientation qui amène aussi la concurrence des ventes d’armes et le recul des droits démocratiques partout… Il faut nous opposer à tous les bombardements, en Syrie, en Irak, au Yémen, partout !

    Les grandes puissances font partie du problème, pas de la solution !

    À l’heure où les médias et les gouvernements d’une grande coalition glorifient au nom de l’éradication de Daesh l’offensive massive démarrée contre Mossoul en Irak, nous devons dire clairement que ces opérations militaires ne feront qu’aggraver les problèmes alors qu’une population d’1,5 million d’habitantEs est piégée dans cette ville.

    En effet, rien n’est prévu pour les conséquences de l’offensive ni pour la suite politique. Selon la coordinatrice humanitaire des Nations unies en Irak, « Si plus de 150 000 personnes se déplacent en quelques jours ou semaines, aucune institution du monde ne peut les gérer », et elles seront quasi abandonnées dans le désert... D’autre part, chacune des forces armées qui interviendront – armées irakienne, américaine, française, turque, et milices chiites, kurdes, sunnites… – ont leur propre agenda pour la suite, et comme dans la reprise d’autres villes irakiennes, les exactions sont certaines. Ainsi, les conditions de redéploiement de l’État islamique, ou d’un nouvel avatar tout aussi néfaste, seront renouées sous une forme encore plus violente.

    Les grandes puissances impérialistes ont joué un rôle majeur dans l’aggravation des problèmes du Moyen-Orient depuis des années. Nous devons imposer l’arrêt de tous les bombardements dans la région et obliger ces grandes puissances à cesser de se substituer à l’initiative des peuples. Nous devons en revanche toute notre solidarité aux oppriméEs mobilisés, et l’aide par en bas à leurs combats pour la liberté, la justice et la souveraineté !

    Jacques Babel

    https://npa2009.org/

  • Nouveautés sur "Amnesty International"

    mosulm.jpg

  • Nouveautés sur Alternative Libertaire

     

    Syrie : Au cœur de la mêlée impérialiste

     

    La guerre civile syrienne est devenue, pour bonne part, le thé­âtre d’un affrontement indirect entre puissances étrangères. Russie, États-Unis, Iran, Turquie, France, pétromonarchies... Qui veut quoi  ? Et le Rojava dans tout ça  ? Essai de décryptage et hypothèses.

    Pour la troisième fois cette année, la Syrie a vu l’échec, en septembre, d’une tentative de trêve parrainée par la Russie et les États-Unis. ­Échec principalement dû à la multiplication, au sein de la guerre civile, de forces armées aux objectifs contradictoires, aux alliances mouvantes, aux parrainages incertains. Difficile de faire respecter un cessez-le-feu dans ces conditions. Plus que jamais cependant, Moscou et Washington apparaissent comme le duo (...)

     

     

     

    Algérie : Un hommage à l’anarchiste Saïl Mohamed

     

    Personnage relativement connu du mouvement anarchiste des années 1930-1950, il se faisait appeler Saïl Mohamed. Sous son vrai nom de Saïl Mohand Ameziane, on vient de lui rendre un hommage public en Kabylie.

    Quelques dizaines d’habitantes et d’habitants de Tibane (Algérie), militants politiques, syndicalistes et associatifs, ont participé, vendredi 14 octobre 2016, à une journée commémorative initiée par les jeunes de l’association Taddartiw du village Taourirt, pour rendre hommage à Mohand Ameziane Sail (Saïl Mohamed) 63 ans après sa disparition. Après avoir écouté les conférences des historiens, une visite a été rendue à la maison natale de Saïl Mohamed, où (...)

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

    boy-copy-360x327.jpg

  • Rencontre à Avignon, sur le thème : Manger à Gaza? (UjFP)

    gaza.jpg

     

    A Avignon, le samedi 5 novembre 2016.

    A l’initiative du FENOUIL A VAPEUR et de PRESENCES PALESTINIENNES.

    Cette rencontre fait suite à un questionnement initié l’année passée, nous nous étions alors concentrés sur les difficultés d’approvisionnement d’eau en Palestine. Ici c’est le quotidien des gazaouis, leurs conditions de vie, la provenance des produits de 1ère nécessité, l’agriculture, la pêche, l’eau… qui viennent approfondir notre sujet.

    Le programme de la journée :

    • 10h30 au cinéma UTOPIA : LES 18 FUGITIVES, film d’Amer Shomali, suivi d’un débat animé par Dominique Gros, auteure-réalisatrice documentariste.

    Les échanges se poursuivent au local du Fenouil à Vapeur (145 rue Carreterie, Avignon) :

    • 13h : repas partagé
    • 14h30 : début de l’atelier cuisine animé par Nader (réservé aux adhérents des 2 associations, limité à 10 participants, inscription préalable nécessaire)
    • 15h : intervention de Pierre Stambul et Sarah Katz (le local sera divisé en 2 parties pour permettre la tenue simultanée des 2 activités). Pierre et Sarah rendront compte, diaporama à l’appui, d’un voyage à Gaza en mai-juin 2016 dans le cadre de la mission "Education et partage solidaire".
    • 17h 30 : Liaison Skype avec Ziad Medoukh, écrivain, poète d’expression française, Directeur du Département de Français et Coordinateur du Centre de la Paix de l’Université Al Aqsa de Gaza.
    • 19h30 : repas palestinien (prix 6,00 €)
    • 21h30 en musique avec Bassem et Nader ; Oud, percussions.

     

    Rendez-vous

    • Rencontre à Avignon, sur le thème : MANGER A GAZA ? 
      Le samedi 5 novembre 2016 à 10h30
      Cinéma Utopia, puis local du Fenouil à Vapeur

      Cinéma Utopia : 4 rue des Escaliers Sainte-Anne, 84000 Avignon
      Fenouil à vapeur : 145 rue Carreterie, 84000 Avignon.

    http://www.ujfp.org/