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  • Nouveautés sur Agence Médias Palestine

     
    Arrestation des femmes du bateau pour Gaza " Zaytouna-Oliva " :  Des détails sur leur capture

    Arrestation des femmes du bateau pour Gaza  » Zaytouna-Oliva  » : Des détails sur leur capture

    Pour publication immédiate – 6 octobre 2016 Messine, Italie : Les 13 femmes du Bateau de Femmes pour Gaza ont été arretées après avoir été capturées par les Forces de Défense israéliennes (IDF) et détenues dans une prison d’Ashdod. Wendy Goldsmith, membre de l’équipe à terre chargée de sécuriser la libération des femmes, a déclaré « l’arrestation a...
     
     
    2355 Palestiniens de Jérusalem emprisonnés par Israël dans l’année écoulée

    2355 Palestiniens de Jérusalem emprisonnés par Israël dans l’année écoulée

      Le 3 octobre 2016 Des soldats israéliens arrêtent un enfant palestinien lors d’affrontements dans le village cisjordanien de Nabi Saleh, 28 mai 2010 (photo d’archive)   Les forces d’occupation israéliennes ont emprisonné 2355 Palestiniens à Jérusalem depuis le 1er octobre 2015, selon les statistiques publiées par le Comité des Familles de Prisonniers. Les arrestations...
     
     
    Attaque israélienne de la flottille des Femmes pour Gaza: Communiqués

    Attaque israélienne de la flottille des Femmes pour Gaza: Communiqués

    Voici les premières réactions suite à l’attaque hier de la flottille des Femmes pour Gaza: SOLIDAIRES: Israël contre le bateau des femmes pour Gaza ! https://www.solidaires.org/Israel-contre-le-bateau-des-femmes-pour-Gaza PCF: Bateau des Femmes pour Gaza arraisonné : Que François Hollande intervienne auprès du gouvernement israélien pour libérer les messagères de la paix http://www.pcf.fr/92236 COLLECTIF 69 DE SOUTIEN AU PEUPLE...
     
     
    Le Zaytouna-Oliva fait route pacifiquement vers la Palestine | le Bateau des Femmes pour Gaza

    Le Zaytouna-Oliva fait route pacifiquement vers la Palestine | le Bateau des Femmes pour Gaza

    Le 3 octobre 2016 Mer Méditerranée, Eaux internationales, nord-ouest de la Palestine. Le Zaytouna-Oliva poursuit comme prévu sa route vers Gaza, Palestine, où nos frères et sœurs se préparent pour son arrivée. Les participantes à bord s’emploient à mener des interviews avec les médias pour accroître la sensibilisation à leur voyage et au blocus illégal....
     
     
    Bateau des Femmes pour Gaza: A l'attention très urgente de M. le Président de la République

    Bateau des Femmes pour Gaza: A l’attention très urgente de M. le Président de la République

    Paris, le 2 octobre2016 Madame Claude Léostic, Présidente de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine à Monsieur le Président de la République Monsieur le Président, Vous n’ignorez sûrement pas qu’un bateau de la Flottille de la Liberté, la Zaytouna-Oliva, est actuellement en Méditerranée orientale, en route pour la bande de Gaza où elle...

  • Brest Gaza (AFPS)

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    Le bateau des femmes pour Gaza, la Zeytouna, a été, comme nous le craignions, détourné cet après-midi par l’armée israélienne.
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    Pourtant, selon le droit, Israël n’a pas le droit d’intervenir, ni dans les eaux internationales, ni près des côtes de Gaza qui sont palestiniennes.
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    Comme d’autres avant lui, tous attaqués, le bateau allait porter un message de solidarité aux 1,8 millions de Gazaouis, prisonniers d’un blocus inhumain qui n’en finit pas. Rappelons nous de la Marianne que nous avions accueillie l’an dernier lors d’une escale à Brest… arraisonnée elle aussi.
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    Pour le respect du droit international, pour le respect des droits du peuple palestinien, nous vous appelons à un rassemblement de soutien et de protestation demain jeudi à 18 h, place de la Liberté à Brest.

  • Nouveautés sur Cetri.be

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    La guerre d’extermination en Syrie et la fin du sens commun

     

    Syrie : devoir d’indignation

     

    Un conflit sans horizon en Syrie

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

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    • Gauche radicale
      Préparation des législatives au Maroc : Répression sur fond de mascarade électorale

      , par NPA

      Le samedi 1er Octobre, la manifestation nationale contre la réforme des retraites au Maroc a été interdite et violemment dispersée occasionnant des dizaines de blessés. Cet évènement s’est déroulé dans le contexte de la campagne ouverte pour les élections législatives qui auront lieu le 7 Octobre.
      La (...)

    • Gauche radicale
      Elections parlementaires au Maroc : voter ou devenir ingouvernables ?

      , par CHAWQUI Lotfi

      MAROC : VOTER OU DEVENIR INGOUVERNABLES ?
      Il est nécessaire de discuter l’argumentation de la participation qui sous-tend le choix de la Fédération de la Gauche Démocratique (FGD). Le premier élément avancé est que le refus de participer revient à laisser la place aux corrompus et aux forces (...)

     

     

     

  • Nouveautés sur Agence Médias Palestine

     
    Bateau des Femmes pour Gaza: A l'attention très urgente de M. le Président de la République

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    Paris, le 2 octobre2016 Madame Claude Léostic, Présidente de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine à Monsieur le Président de la République Monsieur le Président, Vous n’ignorez sûrement pas qu’un bateau de la Flottille de la Liberté, la Zaytouna-Oliva, est actuellement en Méditerranée orientale, en route pour la bande de Gaza où elle...
     
     
    L’autre héritage, plus sombre, de Shimon Peres

    L’autre héritage, plus sombre, de Shimon Peres

    Haggai Matar – +972 – 28 septembre 2016 Shimon Peres, dernier membre de la génération fondatrice d’Israël, a été fêté internationalement comme un visionnaire de la paix. Son héritage est, en réalité, beaucoup plus complexe, et souvent abominable. Le Président Shimon Peres en visite dans une unité anti-terroriste de la police israélienne, en 2011. (Amos...
     
     
    Brèves d'informations sur Shimon Peres

    Brèves d’informations sur Shimon Peres

      28 septembre 2016 – IMEU – Shimon Peres est né Szymon Perski en 1923 en Biélorussie, qui faisait alors partie de la Pologne, avant d’immigrer en Palestine, alors sous mandat britannique, en 1934. –  En 1948, Peres a travaillé à l’approvisionnement en armes de l’armée israélienne et de son précurseur, la Haganah, au moment de...
     
     
    Le bateau des femmes "Zaytouna-Oliva" part pour Gaza - L' "Amal - Hope" est prévu à sa suite

    Le bateau des femmes « Zaytouna-Oliva » part pour Gaza – L’ « Amal – Hope » est prévu à sa suite

    Un Bateau pour Gaza Communiqué de presse – 27 septembre 2016 Messine, Italie : Ce matin, des femmes représentant 13 pays sur les cinq continents ont entamé leur voyage sur le Zaytouna-Oliva vers les côtes de Gaza, sous blocus depuis 2007. A bord, on trouve une lauréate du Prix Nobel, trois députées, une diplomate américaine médaillée,...

  • Devoir d’indignation (Politis)

    super poutine

    Devrait-elle, cette gauche, se taire quand l’assassin n’est plus George W. Bush mais Vladimir Poutine ?

    À l’heure où les bombes s’abattent sur Alep, notre indignation peut-elle encore servir à quelque chose ? Nos concitoyens sont à ce point saturés d’images dramatiques qu’il est devenu impossible de mobiliser les consciences.

    Leur réaction n’est certainement pas d’indifférence, mais d’incompréhension et de désarroi. Pourtant, oui, nous avons le devoir de parler, d’écrire et peut-être de hurler devant le massacre commis par l’infernal tandem Assad-Poutine. Nos protestations n’arrêteront évidemment pas le bras du crime, mais elles peuvent au moins nous permettre de régler un vieux compte avec une vision du monde qui devrait définitivement appartenir au passé.

    Un compte avec ces restes de pensée binaire et ces résurgences d’esprit de système qui, parfois encore, nous aveuglent. Il faudrait être avec Poutine pour être parfaitement anti-amé- ricain. Il faudrait condamner les déclarations de François Hollande à l’ONU parce que c’est François Hollande. Il faudrait excuser ce qui se passe en ce moment à Alep au nom de l’histoire longue du colonialisme et de la longue histoire des crimes occidentaux. Il faudrait trouver mille raisons pour justifier l’intervention russe, au mépris de l’évidence.

    Mais qui est ce «nous», muet ou embarrassé, dont je parle ? C’est la gauche critique. Celle de Mélenchon et du PCF, notamment [1]. La gauche anti-guerre, celle qui a condamné l’invasion américaine en Irak, en 2003, cette monstruosité qui a inauguré un cycle de violences sans fin. Cette gauche qui dénonce si justement le commerce des armes, et stigmatise les liens coupables de la France avec l’Arabie saoudite. Cette gauche qui n’oublie jamais le conflit israélo-palestinien, énorme et originel contentieux entre les puissances occidentales et le monde arabo-musulman.

    Devrait-elle, cette gauche, se taire quand l’assassin n’est plus George W. Bush mais Vladimir Poutine ? J’entends bien que la Russie a été humiliée, et comme sortie de l’histoire après l’effondrement de l’URSS. J’entends bien qu’elle se sent menacée à ses frontières par les installations de l’Otan. Je conçois qu’elle veuille sauver ses bases syriennes sur la Méditer- ranée.

    Mais rien ne justifie le massacre d’Alep, et notre silence complice. La pluie de bombes larguées au cours du week-end dernier sur la grande ville du nord a fait au moins deux cents morts. Selon l’ONG Save the children, beaucoup sont des enfants, comme près de la moitié des blessés hospitalisés. Suprême raffinement, l’aviation russe utilise des bombes à sous- munitions et un nouveau type de projectiles qui permettent de détruire un immeuble entier en un seul impact, et de pénétrer jusqu’au fond des abris souterrains où les familles trouvent refuge.

    Les convois sanitaires sont systématiquement ciblés, comme les hôpitaux. On retrou- ve à Alep la tactique du carpet bombing, dont Vladimir Poutine avait usé en Tchétchénie. Au cours de l’hiver 1999-2000, les bombardements russes avaient ainsi causé la mort de près de 200 000 Tchétchènes. Et Grozny était devenue la ville au monde la plus détruite depuis la Seconde Guerre mondiale. Va-t-on devoir inscrire Alep dans cette funeste lignée ? La violence extrême de la Russie rejoint celle de la famille Assad. Tuer «un million de martyrs» s’il le faut pour garder le pouvoir, avait prévenu un jour Rifa’at, l’oncle de Bachar. Au nom de l’asabiyya, la préservation du clan…

    La guerre contre le terrorisme n’est évidemment dans tout cela qu’un très médiocre alibi. Rappelons qu’il y a, en quelque sorte, deux conflits distincts en Syrie. L’un à l’est du pays, mené par la coalition contre Daech. L’autre, à trois cents kilomètres de là, dans ce qu’on appelle la « Syrie utile », celle des grandes villes de l’ouest : Alep, Idlib, Homs, Hama, Damas, Deraa. C’est là que l’insurrection est née et s’est développée à partir de mars 2011. C’est cette Syrie, et cette insurrection, qui est frappée par la Russie et le régime. Ce sont majoritairement les habitants de ces régions qui fuient le pays. L’amalgame entre les deux guerres est au cœur du mensonge poutinien. Ce n’est pas Daech qui est visé à Alep, pour la bonne raison que cette organisation n’y est pas, repoussée qu’elle a été par les rebelles.

    Si beaucoup est mensonge dans le discours russe et celui de Bachar Al-Assad, tout ne l’est pas. Au sein de l’insurrection, il est vrai que les jihadistes du Front Al-Nosra, rebaptisé récemment Fateh Al-Cham (Front de la conquête du Cham), ont pris au fil des années de plus en plus d’importance. Ce mouvement, dont les dirigeants ont été complaisamment sortis de prison par Bachar Al-Assad en septembre 2011, s’est renforcé à mesure que le régime durcissait la répression. Il a participé de la militarisation de la guerre civile, servi d’alibi à Damas pour attaquer l’insurrection et massacrer des centaines de milliers de civils.

    Mais il n’est pas vrai que la rébellion a disparu. Il n’est pas vrai qu’il n’y a pas d’interlo- cuteurs non jihadistes qui puissent s’inscrire dans une perspective de règlement politique. Il est surtout erroné de croire encore que Bachar Al-Assad est celui qui fait barrage aux jihadistes. Il est, depuis 2011, celui qui les renforce.

    (1) Le PCF a cependant publié lundi un communiqué demandant «un cessez-le-feu immédiat».

    Denis Sieffert 28 septembre 2016

    http://www.politis.fr/

    Commentaire: Grâce à ses médias, RT, Sputnick etc, largement repris « à gauche », Poutine intoxique aussi les « réseaux sociaux » et justifie ses massacres…

  • Nouveautés sur A l'Encontre.ch

     

    Syrie. Alep: détruire le peu d’infrastructures médicales

    1 - octobre - 2016 Publié par: Alencontre
     

    La situation est toujours aussi critique à Alep, en proie aux bombardements des avions de guerre russes et de l’artillerie syrienne depuis la fin du cessez-le-feu. Le plus grand hôpital des quartiers rebelles de la ville a ainsi été une nouvelle fois la cible, samedi 1er octobre, d’au moins deux barils d’explosifs, a fait savoir la […]

    Les multiples visages de Shimon Pérès

    30 - septembre - 2016 Publié par: Alencontre
     

    Syrie-Jordanie. Repousser les réfugiés plus loin…

    30 - septembre - 2016 Publié par: Alencontre
     

    Par Hellen Sallon Quelque 75’000 personnes sont coincées dans un no man’s land désertique entre les deux pays. Entre les «bermes» [espace entre deux zones], les deux murs de sable qui marquent la frontière avec la Syrie, dans la zone démilitarisée sous contrôle jordanien, 75’000 Syriens s’entassent dans deux camps informels. La frontière jordanienne leur […]

     
  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

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  • Pétition en Arabie pour libérer les femmes de leur tuteur (TV5 Monde)

    L'activiste Aziza Youssef lors d'un entretien, à Ryad, le 27 septembre 2016
    L'activiste Aziza Youssef lors d'un entretien, à Ryad, le 27 septembre 2016
    afp.com - FAYEZ NURELDINE

    Des milliers de Saoudiens ont signé une pétition appelant à l'abolition du système de tutelle dans ce royaume ultraconservateur où les femmes ont besoin de l'autorisation d'un tuteur pour travailler, étudier ou voyager, selon des militants.

    La pétition, qui s'adresse au roi Salmane au pouvoir depuis 20 mois, a recueilli au moins 30 000 signatures, a indiqué mardi à l'AFP l'activiste Aziza Youssef.

    Les promoteurs de cette initiative réclament que les 10 millions de femmes du royaume soient traitées comme "des citoyens à part entière" et que soit fixé "un âge (...) à partir duquel elles sont adultes et responsables de leurs propres actes", a-t-elle ajouté.

    Cette universitaire à la retraite a indiqué que la pétition serait transmise par email au cabinet royal après avoir tenté en vain lundi de la remettre directement au cabinet.

    En Arabie saoudite, grand pays du Golfe qui applique strictement la loi islamique, les femmes ont besoin de l'autorisation d'un tuteur pour "travailler, voyager, se faire soigner, se doter d'une carte d'identité ou d'un passeport" ou encore se marier, rappellent les signataires. Le royaume est aussi le seul pays au monde où les femmes n'ont pas le droit de conduire.

    Le tuteur, un fils

    Le tuteur est en principe le père ou le mari, mais il peut être aussi entre autres un frère, un fils ou un neveu.

    Des activistes relèvent que même une ex-prisonnière doit être remise à un tuteur lors de sa libération, ce qui signifie qu'une détenue peut être maintenue en prison si son tuteur refuse de l'accueillir.

    "Nous souffrons de ce système de tutelle", a déclaré Nassima al-Sadah, une activiste dans la province Orientale. La campagne a été lancée il y a deux mois sur Twitter sous un hashtag en langue arabe, appelant à l'abolition de la tutelle.

    "L'élan s'est particulièrement accéléré après la création du hashtag" et la publication d'un rapport de Human Rights Watch (HRW), a expliqué Mme Youssef.

    "Le système de tutelle masculine en Arabie saoudite reste l'entrave la plus importante aux droits des femmes dans le pays, malgré les réformes limitées de la dernière décennie", a prévenu l'organisation de défense des droits de l'Homme.

    Bien que le gouvernement n'exige plus l'autorisation d'un tuteur pour employer une femme, HRW a noté que cette autorisation est toujours exigée par des employeurs mais aussi par des hôpitaux pour certains actes médicaux.

    "Assez d'humiliation (...), je veux ma liberté", a écrit une internaute dans un tweet.

    "Comment un père illettré peut-il devenir le tuteur d'une femme très éduquée?", s'est par ailleurs interrogé un chroniqueur, Abdallah Al-Alweet, dans le quotidien local Saudi Gazette. Des militantes notent qu'obtenir l'autorisation d'un tuteur éclairé ne pose pas de problème mais la difficulté, c'est qu'il est tenu de donner son accord par écrit.

    "C'est une directive du gouvernement", en vigueur depuis une trentaine d'années, a déploré Mme Sadah.

    Chômage à 33,8%

    Pour des activistes, mettre fin au système de tutelle aidera les Saoudiennes à travailler au moment où le royaume cherche à renforcer l'emploi des femmes.

    "Cela ne peut pas se faire avec la moitié de la population paralysée", selon Mme Youssef. En avril, le vice-prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a annoncé un ambitieux plan, appelé "Vision 2030", pour diversifier l'économie et réduire la dépendance du pétrole. En vertu du Programme de Transformation nationale qui fixe des objectifs pour la mise en oeuvre de "Vision 2030", la part des femmes sur le marché de l'emploi devrait passer de 23% à 28% en 2020.

    Le taux de chômage des femmes saoudiennes s'est encore aggravé l'an dernier à 33,8%, selon des statistiques citées par la firme Jadwa Investment.

    En mars 2014, une initiative similaire avait été lancée par des militantes saoudiennes. Elles avaient appelé dans une pétition le Majlis Al-Choura, un Conseil consultatif, à agir pour promulguer un code de statut personnel et prévenir le mariage des mineures, la répudiation et le harcèlement sexuel.


  • Brest BDS (AFPS)

    STB_2450

    Brest: Action BDS ( Boycott, Désinvestissements, Sanctions) devant les Fontaines

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