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Solidarité - Page 106

  • La Palestine à Brest le 24 novembre

    palestine à brest le 24 novembre dans Brest et région raed

    Conférence avec R. Abu Yussef

    Lundi 24 novembre. Confé­rence. Quel déve­lop­pement agricole en Palestine occupée ?

    Dans le cadre de la semaine de soli­darité inter­na­tionale, nous inter­venons le 24 novembre à Brest. Raed Abu Yussef, agri­culteur de Halhul près d’Hébron, que nous connaissons bien, viendra nous parler de la terre sous occupation.

    Il pré­sentera la coopé­rative Al Sanabel, outil de résis­tance civile face à l’oc- cupation israé­lienne: sau­ve­garde des terres, récolte des fruits, ali­men­tation en eau. Ce projet est soutenu par plu­sieurs groupes bretons de l’AFPS depuis plu­sieurs années.

    « Quel déve­lop­pement agricole en Palestine occupée ? Coopé­ration et soli­da­rités » . Au cinéma les Studios, rue Jean-​​Jaurès, Brest. A 20h.

    http://www.france-palestine.org/La-Palestine-a-Brest-conference-le

  • Paris Syrie

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  • Jérusalem, capitale de l’apartheid (Julien Salingue)

    Et soudain, les médias et les gouvernements occidentaux firent semblant de découvrir que Jérusalem était une ville « sous tension ». La preuve ? Des Palestiniens attaquent des Israéliens et plusieurs morts sont à déplorer…

     

    Une fois de plus, difficile de croire aux larmes de crocodile de nos dirigeants, sans même parler des jérémiades des officiels israéliens : depuis des décennies, la politique de l’État d’Israël à Jérusalem est connue et documentée ; depuis des décennies, cette politique est guidée par trois principes : colonisation, expulsion, discrimination. Et elle suscite la révolte, légitime, des Palestiniens.

     

    Une explosion annoncée
    « Les [récents] développements à Jérusalem-Est ont été caractérisés par l’expansion de la colonisation et un nombre considérable de maisons démolies et de Palestiniens expulsés. Israël poursuit activement, en pratique, l’annexion illégale de Jérusalem-Est en affaiblissant la communauté palestinienne de la ville, en empêchant le développement urbain des Palestiniens et, au bout du compte, en séparant Jérusalem-Est du reste de la Cisjordanie ».


    Mais de qui émane donc ce constat sans ambiguïté ? D’un rapport rédigé… en 2009 par les 28 diplomates de l’Union européenne en poste à Jérusalem. La version actualisée de ce rapport, en 2014, dénonçait « l’accélération sans précédent de la colonisation » et alertait : « il existe un risque significatif pour que des incidents sur l’esplanade des mosquées [...] suscitent des réactions extrêmes aussi bien localement qu’à travers le monde arabo-musulman ».


    À la fin du mois d’octobre, le journaliste israélien Gideon Levy s’interrogeait, dans le quotidien Haaretz : «  Les arrestations massives à Jérusalem, qui n’ont éveillé aucun intérêt en Israël, l’invasion des colons dans les quartiers arabes avec le soutien du gouvernement et des tribunaux, la négligence criminelle dont la ville est responsable – tout ceci aura un coût. Combien de temps encore les Palestiniens verront-ils leurs enfants craindre de quitter leur maison de peur d’être attaqués dans la rue par des hooligans ? Combien de temps verront-ils leurs enfants arrêtés à chaque jet de pierre ? Combien de temps observeront-ils l’abandon de leurs quartiers ? Combien de temps consentiront-ils à leur expulsion tacite de la ville ? »

     

    Une colère qui vient de loin


    Autant dire que pour quiconque observe un tant soit peu la situation à Jérusalem, nulle surprise relative aux actuelles « tensions ». Après la conquête militaire de la partie arabe de Jérusalem en 1967, les autorités israéliennes n’ont classé que 13 % de Jérusalem-Est comme « zone constructible » pour les Palestiniens, contre 35 % pour la colonisation. Les colonies se sont développées à grande vitesse (plus de 200 000 colons aujourd’hui) tandis que les Palestiniens recevaient les permis de construire au compte-gouttes. Au cours des dix dernières années, ils en ont obtenu moins de 200 par an, alors qu’ils en ont besoin de dix fois plus pour absorber la croissance de la population. Ils construisent donc de manière « illégale » et s’exposent à des démolitions : plus de 1 200 bâtiments détruits depuis 2000 ; plus de 80 000 Palestiniens de Jérusalem vivent aujourd’hui dans des logements considérés comme « illégaux » par Israël et sont sous la menace d’un ordre de démolition.


    Les Palestiniens de Jérusalem ont un statut juridique particulier : ils sont porteurs d’une « carte de résident » qui leur permet, entre autres, de voter aux élections municipales ou de travailler en Israël. Mais l’obtention, la conservation ou le renouvellement de cette carte est un véritable parcours du combattant, et nombre de Palestiniens perdent leur statut de résident chaque année : dossier incomplet (douze documents administratifs sont nécessaires dans certains cas), absence prolongée, condamnations pénales… Tous les motifs sont bons pour les déchoir de leur statut de résident. Depuis 1994, 11 000 Palestiniens ont ainsi perdu ce statut.


    On ne sait donc si l’on doit rire ou pleurer lorsque l’on attend un officiel israélien s’insurger contre les récentes « violences » palestiniennes et déclarer sans sourciller : « il faut que la coexistence pacifique entre juifs et Arabes continue à Jérusalem ». La ville a fait l’objet, depuis des décennies, d’une politique de judaïsation, dont l’objectif est de contrer toute revendication de souveraineté palestinienne sur ce qu’Israël présente comme sa « capitale une et indivisible ». Nulle surprise, dès lors, à ce que les Palestiniens de Jérusalem se soulèvent régulièrement, comme c’est le cas actuellement. Une colère qui ne cessera que lorsque les politiques coloniales et oppressives auront pris fin.

     

    Julien Salingue 19 novembre 2014

     

    Source : site du NPA

  • Morlaix Palestine (Afps)

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    Soirée de solidarité avec la Palestine

     

    Soirée d’information et de solidarité avec le peuple palestinien

     

     

    18h30 - ren­contre débat avec Marie Jo Parbot autour de ses ouvrages (bandes des­sinée et repor­tages sur la Palestine et Gaza),

     

    apéro-​​dinatoire

     

    20h30 - film docu­men­taire « Depuis que je suis né » de Laura delle Piane

     

    débat avec la par­ti­ci­pation de Marie Jo Parbot et une jeune Pales­ti­nienne ori­gi­naire de Dheisheh en Cis­jor­danie, actuel­lement en stage SVE à la Fédé­ration Régionale des MJC des Cotes d’Armor.

     

    Dans le cadre de la semaine de la soli­darité inter­na­tionale en Pays de Morlaix, orga­nisée par les acteurs locaux de la Soli­darité Inter­na­tionale réunis autour du RESAM au sein du Col­lectif Maison du Monde

    http://www.france-palestine.org/Soiree-de-solidarite-avec-la,25186

  • Des dizaines de réfugiés syriens et palestiniens risquent d'être expulsés d'Égypte d'un moment à l'autre (Amnesty)

    Palestinian-Syrian refugees protest in front of the UNHCR office in Cairo against exclusion as refugees. Sign says 'take me back to Palestine' (Photo by:  Hanine Hassan)

    Les autorités égyptiennes doivent immédiatement relâcher et s'abstenir d'expulser au moins 66 réfugiés originaires de Syrie et de la bande de Gaza - parmi lesquels plusieurs mineurs -, illégalement privés de liberté en Égypte, a déclaré Amnesty International. Ces personnes sont détenues dans de mauvaises conditions ; certaines sont enfermées dans des pièces infestées de cafards, de moustiques et de souris.

    Le Service de la sécurité nationale du ministère de l'Intérieur a pris des arrêtés d'expulsion contre au moins 64 de ces réfugiés - qui sont donc susceptibles d'être expulsés à tout moment - bien que le parquet d'Alexandrie ait ordonné leur libération. Figurent parmi ces personnes 56 Palestiniens menacés d'être renvoyés de force en Syrie.

    « En privant illégalement de liberté des dizaines de réfugiés et en prenant des arrêtés d'expulsion à leur encontre, les autorités égyptiennes ont fait preuve d'une indifférence choquante face à leurs souffrances », a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.

    « Il s'agit là de personnes dont la vie a été bouleversée par le conflit syrien et la catastrophe humanitaire qui l'accompagne. Il est cruel de la part des autorités égyptiennes de négliger l'obligation qui leur est faite, en vertu du droit international et de la Constitution égyptienne, d'offrir protection et asile à ceux qui cherchent à se réfugier sur le territoire égyptien. »

    Au moins 150 réfugiés venus de Syrie ont été expulsés par les autorités égyptiennes vers la Syrie ou d'autres pays tels que le Liban et la Turquie depuis le début de l'année, selon les informations recueillies par Amnesty International.

    L'organisation demande que tous ceux qui sont détenues par les autorités égyptiennes parce qu'ils sont des migrants en situation irrégulière soient immédiatement relâches, ainsi que l'a ordonné le parquet.

    Les personnes susceptibles d'être renvoyées de force en Syrie ou à Gaza risquent tout particulièrement d'être tuées par des bombardements ou d'être arrêtées, torturées ou soumises à d'autres formes de mauvais traitements. Le droit international des réfugiés interdit le renvoi forcé de personnes dans des lieux où leur vie est menacée.

    « Il est consternant que les autorités égyptiennes puissent ne serait-ce qu'envisager de renvoyer des réfugiés vers le conflit explosif et sanglant que connaît la Syrie. Elles mettent négligemment en péril la vie de personnes en quête de sécurité », a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui.

    « Au lieu de les enfermer comme des délinquants et de prendre des arrêtés d'expulsion afin de se décharger du problème, les autorités égyptiennes doivent offrir soutien et protection aux réfugiés. »

    La nouvelle de ces expulsions coïncide avec la décision du Liban et de la Jordanie de durcir leurs positions quant aux réfugiés syriens. Ces derniers mois, ces deux pays ont renforcé les restrictions aux frontières pour les Syriens fuyant le conflit.

    Les 66 réfugiés risquant d'être expulsés sont détenus dans trois lieux : le poste de police de Karmouz à Alexandrie, le centre de détention d'al Anfoushy dans le quartier d'al Gomrok, à Alexandrie, et l'aéroport international du Caire.

    Poste de police de Karmouz, Alexandrie

    Les personnes arrêtées comprennent un groupe de 56 réfugiés palestiniens venus de Syrie. La majorité de ces détenus sont des hommes, mais Amnesty International croit savoir qu'il y a également au moins 15 femmes et 10 mineurs, âgés de huit mois à 16 ans, parmi eux. Ils faisaient partie d'un groupe de 104 réfugiés venus de Syrie qui vivaient en Turquie. En octobre, ils ont payé des passeurs afin que ceux-ci les aident à traverser la Méditerranée et gagner l'Italie. Les passeurs ont semble-t-il eu un différend au sujet du paiement, et les réfugiés ont été abandonnés sur l'île Nelson, à 4 km au nord d'Abu Qir, à Alexandrie. Ils ont été secourus et arrêtés par la marine égyptienne après avoir appelé à l'aide. Le parquet a ordonné leur libération le 5 novembre, mais le Service de la sécurité nationale a quand même pris des arrêtés d'expulsion à leur encontre. Ils risquent d'être renvoyées de force en Syrie d'un moment à l'autre.

    Les personnes incarcérées au poste de police de Karmouz incluent par ailleurs cinq Palestiniens (quatre hommes et une femme) qui ont fui la bande de Gaza en raison de la difficile situation sur le plan humanitaire et de la sécurité sur place depuis l'opération militaire israélienne de juillet et août 2014. Trois d'entre eux ont été arrêtés par les autorités égyptiennes tandis qu'ils se dirigeaient vers Alexandrie une fois franchi le poste-frontière de Rafah, après avoir quitté Gaza. Les deux autres, un jeune couple qui s'était marié en secret contre le souhait des parents de la jeune femme, ont été appréhendés alors qu'ils essayaient d'embarquer à bord d'un bateau à destination de l'Europe. Le parquet a ordonné leur libération le 31 octobre, cependant le Service de la sécurité nationale a pris des arrêtés d'expulsion vers Gaza à l'encontre de ces cinq personnes. Le couple craint fortement d'être tué par les parents de la mariée s'ils sont renvoyés de force à Gaza.

    Centre de détention d'al Anfoushy dans le quartier d'al Gomrok, Alexandrie

    Au moins trois Palestiniens de Syrie, dont un garçon de 14 ans, sont illégalement retenus au centre de détention d'al Anfoushy dans de mauvaises conditions. Ils ont été arrêtés en septembre après avoir essayé de quitter l'Égypte de manière clandestine. Le parquet a ordonné leur libération le mois dernier, mais le Service de la sécurité nationale a exigé leur expulsion.

    « Nous n'avons personne pour nous aider ici, ni le gouvernement, ni la famille, ni des amis [...] nous sommes détenus dans des conditions abjectes, au milieu des insectes et des souris. Quel crime avons-nous commis ? De quoi peut être coupable un enfant de 14 ans pour être détenu dans des conditions aussi ignobles ? », a déclaré une de ces personnes à Amnesty International.

    Ces trois détenus commencent à souffrir des effets de l'insalubrité, puisqu'ils souffrent d'éruptions cutanées liées au manque d'hygiène sur place.

    L'aéroport international du Caire

    Deux hommes ayant fui la Syrie sont détenus dans le hall des arrivées à l'aéroport international du Caire où, selon des informations reçues par Amnesty International, on les menace régulièrement de les expulser à tout moment vers la Syrie ou Gaza. Ils avaient fui la Syrie en raison du conflit armé qui est en train d'engloutir le pays.

    http://www.amnesty.org/fr/for-media/press-releases/scores-syrian-and-palestinian-refugees-imminent-risk-deportation-egypt-2014

     

  • Rennes kurdistan

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  • Débat sur la situation des Kurdes au Proche-Orient (AFKB)

    Les Jeunes Écologistes et Amitiés Kurdes de Bretagne organisent un débat sur la situation des Kurdes au Proche-Orient lundi 17 novembre

    La lutte contre les islamistes à Kobané a mis les Kurdes syriens au cœur de l’actualité. A cheval sur quatre pays, le peuple Kurde lutte depuis longtemps pour sa reconnaissance.

    Parce que la question Kurde dépasse de loin le conflit actuel, les Jeunes Écologistes organisent avec Amitiés Kurdes de Bretagne un débat ouvert à tous sur la situation des Kurdes au Proche-Orient lundi 17 novembre à 20h30, au bar le 1675, 44 rue Legraverend, à Rennes.

    Contact : Alexis Billiet - 06 62 95 17 68 - rennes@jeunes-ecologistes.org

    http://www.amitieskurdesdebretagne.eu/

     

  • Trois expositions sur la Palestine en Novembre à Paris (Agence Médias Palestine)

    Exposition “Les Absents” du 7 novembre au 6 décembre 2014.

    Dans le cadre du Festival Circulation(s), dédié à la jeune photographie européenne, Bruno Fert dont le travail a reçu reçu le prix Roger Pic 2013, expose une série photographique intitulée “Les Absents“.

    Après l’exode forcé de plus de 700 000 Palestiniens après la Naqba, des villages entiers ont été laissés à l’abandon, effacés de la carte ou rasés. Cette exposition photo remonte le temps et revient sur ces lieux.

    Vernissage le 15 novembre à la Chambre Claire à partir de 18h.

    Adresse:

    14 rue Saint Sulpice 75006 Paris
    Métro Odéon
    du mardi au samedi de 11h à 19h

     

    Exposition “Disarming design from Palestine

    Exposition OFFPRINT à laquelle participera l’agence indépendante de design palestinien “Disarming Design from Palestine”. Elle aura lieu le 15 novembre 2014 à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris 14 Rue Bonaparte, 75006 Paris

    L’expo “Disarming Design from Palestine” est le résultat d’un échange de longue durée entre des designers européens et palestiniens, en collaboration avec des artisans et des petites entreprises de Cisjordanie. Le moteur de ce label de design est la Néerlandaise Annelys Devet dont le “Devet” opère à partir de Bruxelles. Le résultat est une collection croissante d’objets qui racontent autre chose de la réalité palestinienne. Artistes, désigners et artisans travaillent ensemble à une collection radicalement contemporaine avec des techniques artisanales et locales qui donne forme au potentiel créatif et intellectuel présent en Palestine. Les produits exposés peuvent être achetés soit sur place, soit sur la boutique en ligne www.disarmingdesign.ps

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    Exposition: “Mirage d’un Etat et mondialisation sous occupation

    Exposition / Photographie méditerranéenne du 05 novembre 2014 au 29 novembre 2014 à la Maison Européenne de la Photographie – 5/7 rue de Fourcy – 75004 Paris

    “En quelques décennies, la représentation des Palestiniens s’est construite autour du conflit, dans le décor des intifada, des camps de réfugiés, et des bombardements israéliens à Gaza : bien que ces récits soient nés de faits réels, ils ont largement contribué à figer l’imaginaire de représentation du peuple palestinien.

    Les photographies de la série Palestinian Dream évoquent une toute autre vision, celle d’une réalité naissante dans le contexte de la transformation de la société palestinienne. On y retrouve tous les signes d’une société occidentalisée et mondialisée : sa classe moyenne enthousiaste, sa business culture, ses fast-food et ses gym center, sans oublier son identité propre et séduisante. Une vitrine entretenue par les élites palestiniennes, qui ne saurait faire oublier le quotidien d’un pays vivant sous occupation : dans ce décor aux couleurs vives et naïves, les chimères d’un bonheur calibré laissent bientôt poindre un malaise, un doute dérangeant, comme un sourire forcé.”(…)

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    http://www.mep-fr.org/evenement/andrea-magda/

    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2014/11/13/trois-expositions-sur-la-palestine-prevues-en-novembre-a-paris/

  • Nanterre Palestine

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