Révolutions Arabes - Page 295
-
Comprendre le conflit israélo-palestinien et le sionisme
-
Nouveautés sur Avanti.be
-
Israël et la prochaine révolution arabe
16 août
Imaginons un Syrien qui rêve d’un peu de démocratie, de liberté et de justice sociale : en défi- nitive, d’un peu de dignité humaine. Contre quelles – et combien - de forces devra-t-il lutter ? En premier lieu, contre une dictature dynastique qui, depuis plus de 40 ans, a réprimé, appauvri et assassiné son peuple et qui, depuis trois ans, n’hésite pas à (...)
-
Israël : Une logique colonialiste, militariste et austéritaire
, 16 août
Israël est l’un des premiers exportateurs d’armes au monde. Après l’opération contre Gaza de 2012, les ventes d’armes ont atteint au moins 7 milliards de dollars. Le même scénario se produira-t-il après l’actuelle opération « Marge de protection » ?
Shir Hever : L’industrie militaire israélienne est l’un des secteurs les plus significatifs de l’économie. (...) -
Irak-Syrie : Chaos et intervention au Proche Orient
16 août
Je crois qu’il convient de rappeler d’emblée quel est le véritable plan étasunien pour le Proche Orient et le reste de la planète : imposer sa domination mondiale à travers des gouvernements locaux « démocratiques », et cela avec les applaudissements et l’admiration, non seulement des classes dirigeantes, mais aussi des populations soumises.
Pour leur (...)Irak : Un Califat né du chaos et qui se nourrit de l’instabilité et du sectarisme
16 août
La proclamation du Califat, ou Etat Islamique (IS), par les partisans d’Ibrahim Abu Baqr al Bagdadi est né du chaos et ne peut (...)
-
-
Agenda AFPS
-
Marche blanche
AFPS Trégor - Plestin les Grèves, dimanche 17 août 2014 -
Prochaine Mobilisation Palestine
AFPS Aubagne, mardi 19 août 2014 -
Sitting
AFPS Nord Franche Comté - Belfort, mercredi 20 août 2014 -
Rassemblement
AFPS 85 - La Roche sur Yon, jeudi 21 août 2014
-
-
AFPS Trégor Plestin les Grèves, dimanche 17 août 2014
Marche blanche
L’ AFPS TREGOR organise une marche blanche dimanche 17 août à 10h00 à Plestin les Grèves pour rendre hommage aux victimes de Gaza.
Rassemblement à 10 h 00 devant la mairie, puis déplacement en cortège sur le marché jusqu’au parvis de l’ église, avec photos d’enfants tués.
Sur le parvis, appel à signature de la pétition nationale, et affichage de photos d’enfants victimes du massacre.
-
Kurdes Irak Manifestation
Manifestation pro-kurde et Yazidis dans le calme à Paris
Environ 500 personnes, selon la police, se sont rassemblées samedi à Paris et ont manifesté dans le calme en faveur des Kurdes et des Yazidis qui font face en Irak à une offensive des combattants de l'Etat Islamique (EI), a constaté l'AFP.Après un rendez-vous près de la gare de l'Est, les manifestants sont partis en cortège vers la place du Châtelet, marchant derrière un camion sono diffusant des chants guerriers kurdes, décoré d'une banderole ornée du portrait du dirigeant des Kurdes de Turquie emprisonné, Abdullah Ocalan.
Les manifestants marchaient derrière une grande banderole sur laquelle était écrit : "L'Etat islamique prépare un génocide des Kurdes-Yazidis de Sinjar". Ils portaient des panneaux sur lesquels on pouvait lire notamment "Alerte au génocide", "Le peuple de Sinjar face à un génocide de l'EI", "Kurdes, Arabes, Chaldéens contre la barbarie de l'EI" ou encore "Le Kurdistan est allergique à l'EI". La manifestation était organisée par la Fédération des associations kurdes de France, à laquelle se sont associées de nombreux partis et organisations, notamment le MRAP et le NPA.
Les organisateurs ont appelé "la communauté internationale à adopter des sanctions contre les états qui soutiennent l'EI, à protéger les populations civiles et à soutenir la résistance kurde contre l'EI". Jiyan Akdogan, jeune femme de 22 ans, fille de réfugiés politiques kurdes arrivée en France à l'âge de six ans, portait un drapeau à l'effigie d'Abdullah Ocalan. "Je suis venue soutenir nos combattants kurdes qui combattent les jihadistes", a-t-elle dit. "Et également remercier les puissances occidentales, dont la France, qui les soutiennent en leur envoyant des armes".
Paris, 16 août 2014 (AFP)
-
Nouveautés sur "Samidoun"
239 Palestinians arrested in last week by occupation forces239 Palestinians were arrested in Jerusalem and the West Bank over the past week, reported the Palestinian Prisoners’ Club on Friday, August 15. 132 are from Jerusalem, 32 from Ramallah/al-Bireh, 25 from al-Khalil, 16 from Bethlehem, 10 from Nablus, 9 from Jenin, 5 from Salfit, 4 from Tulkarem, 3 from Tubas and 3 from Jericho […]Palestinian statement on murder of Mike Brown and solidarity with FergusonSamidoun Palestinian Prisoner Solidarity Network is an endorser of the following statement, posted on Electronic Intifada by Rana Baker: Palestinian groups and individuals inside and outside of historic Palestine have signed thefollowing statement in solidarity with their brethren in Ferguson, Missouri. Unsurprisingly, many of the police deployed to crush unarmed protesters demanding justice for the brutal murder of […]10 Palestinians arrested as former prisoner releasedIbrahim Jaber, former Palestinian prisoner released in the Wafa al-Ahrar prisoner exchange, was released on August 12 after being re-arrested last week. He is one of 62 former prisoners released in the exchange who have been re-arrested since June; their release is one of the terms of the Palestinian resistance in relation to a ceasefire […]Palestinian lawyers meet with detainees from Gaza as many remain missingPalestinian lawyers met with 26 Palestinians from Gaza abducted by occupation soldiers during the ground invasion of Gaza on August 12, where they are being held in Ashkelon prison. A number of Palestinians continue to be unaccounted for following their disappearance during the Israeli assault on Gaza, when a reported over 250 Palestinians were arrested […]Solidarity with Ferguson: Justice for Michael Brown, End Police OppressionSamidoun Palestinian Prisoner Solidarity Network expresses its solidarity to the steadfast and struggling people of Ferguson, Missouri, U.S., who are currently facing a militarized police occupation of their community following the police killing of Michael Brown, a young Black man, on Saturday, August 9. The community of Ferguson have taken to the streets to demand […]Palestinians detained from Gaza being brought before military courtsOccupation authorities are bringing Palestinians detained in Gaza before sham military courts to extend their detention, said Raafat Hamdouna, representative of the Ministry of Prisoners’ Affairs, saying that Palestinian lawyers are pursuing the issue. 10 Palestinians from Gaza had their detention extended on August 10, 3 on August 11, 8 are scheduled for military court […]Occupation forces kill Palestinian during assault on home in NablusPalestinian Zakariya al-Aqra, 24, a Fateh activist, was killed by occupation soldiers on Monday, August 11, after his family home in Qabalan, near Nablus was surrounded by army vehicles. Soldiers fired several “Energa” shells into the home, then bulldozed the entrance to the home, after which soldiers entered and shot al-Aqra, killing him and wounding […]PFLP prisoners reject family visits in solidarity with targeted Hamas and Islamic Jihad prisonersThe occupation prison administration has prevented family visits to Hamas and Islamic Jihad prisoners for two months, reported the Prisoners Center for Studies on August 10. In addition, prisoners affiliated with these movements have had electrical appliances removed from their rooms, denied recreation and frequently transferred to other prisons. The prison branch of the Popular […]Dozens of Palestinians abducted from Gaza remain missingDozens of Palestinians abducted by Israeli occupation forces from Gaza during their ground invasion remain missing, reported Shawqi al-Ayassa, Palestinian minister of prisoners’ affairs. Over 200 Palestinians were reportedly abducted from Gaza, including a number from the Khuza’a area, and interrogated by the Shin Bet. Approximately 75 were released en masse in Beit Hanoun, but […]Palestinian political prisoners raided, stormed by Israeli special unitsPalestinian prisoners continue to be subject to aggressive armed raids and abusive sanctions, reported Palestinian lawyers. On Sunday, August 10, the Palestinian Prisoners’ Society reported that 200 special forces officers ransacked section 24 of Negev (Ketziot) prison for sudden and violent inspections. This followed an incident on Friday, August 8, when special units stormed three […] -
Maroc. Des militants emprisonnés pour avoir dénoncé des actes de torture doivent être immédiatement libérés (Amnesty)
Deux militants emprisonnés après avoir déclaré qu’ils avaient été enlevés et torturés doivent être libérés immédiatement et sans condition, a déclaré Amnesty International jeudi 14 août.
Wafaa Charaf, militante politique et défenseure des droits humains, a été condamnée à un an de prison et à une amende de 1 000 dirhams mardi 12 août. Elle était accusée d’avoir fait des déclarations mensongères en affirmant qu’elle avait été enlevée et torturée par des inconnus en avril 2014.
Le tribunal lui a également ordonné de verser 50 000 dirhams de dommages et intérêts à la police marocaine pour dénonciation calomnieuse, bien qu’elle n’ait pas accusé les forces de l’ordre.
« Personne ne devrait être emprisonné pour avoir signalé des actes de torture, et la dénonciation calomnieuse ne devrait pas être une infraction pénale. Cette condamnation envoie un message dissuasif à toutes les personnes ayant subi des actes de torture ou tout autre mauvais traitement, en leur faisant savoir qu’elles feraient mieux de se taire au risque de finir derrière les barreaux », a déclaré Saïd Boumedouha, directeur adjoint du Programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.
Wafaa Charaf, 26 ans, est une militante politique de gauche et membre de l’Association marocaine des droits humains (AMDH). Elle a affirmé qu’elle avait été enlevée et torturée pendant plusieurs heures par des hommes qu’elle ne connaissait pas après avoir participé à une manifestation de travailleurs à Tanger le 27 avril 2014. Elle a déclaré que les hommes l’avaient rouée de coups et l’avaient menacée d’autres sévices si elle ne cessait pas de militer.
Trois jours plus tard, après avoir obtenu à l’hôpital local un certificat médical faisant état de blessures légères, elle a porté plainte auprès des autorités judiciaires, déclenchant une enquête de la police judiciaire de Tanger et de la brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ).
Mais le 8 juillet, avant la fin de l’enquête, Wafaa Charaf a été arrêtée, placée en détention et inculpée d’avoir porté plainte pour des faits qui n’ont pas eu lieu et de dénonciation calomnieuse, au titre des articles 263, 264 et 445 du Code pénal.
Après avoir passé plus d’un mois en détention en attendant son procès, elle a été déclarée coupable de toutes les charges retenues contre elles. Un avocat de la défense a indiqué que le tribunal avait refusé d’appeler des témoins clés et n’avait pas révélé l’existence d’un enregistrement téléphonique qui a été déterminant pour la condamnation de la jeune femme, ce qui soulève des craintes quant à l’équité du procès puisque Wafaa Charaf n’a pas été en mesure de contester la validité de cet élément de preuve. Elle est actuellement détenue à la prison locale de Tanger.
Deuxième condamnationLa condamnation de Wafaa Charaf est intervenue à peine quelques semaines après celle d’un autre militant.
Le 23 juillet 2014, Oussama Housne, 22 ans, lui aussi membre de l’AMDH à Casablanca, a été condamné à trois ans de prison pour dénonciation calomnieuse et parce qu’il aurait déposé une fausse plainte pour torture. Il s’est vu intimer l’ordre de verser 100 000 dirhams de dommages et intérêts à la police marocaine pour dénonciation calomnieuse. Il est actuellement détenu à la prison locale d’Oukacha, à Casablanca.
Oussama Housne avait affirmé avoir été enlevé et torturé par des inconnus le 2 mai 2014, alors qu’il quittait une manifestation organisée en solidarité avec des militants détenus. Selon ses déclarations, les hommes l’auraient brûlé avec une barre de fer chauffée et l’auraient violé avec leurs doigts.
Trois jours plus tard, des défenseurs des droits humains de la section locale d’AMDH ont filmé le jeune homme en train de décrire les sévices dont il dit avoir été victime et ils ont posté la vidéo sur YouTube, ce qui a poussé les autorités à ouvrir une enquête dirigée par la BNPJ.
Le 1er juin, le procureur du roi a clos l’enquête et conclu qu’Oussama Housne n’avait pas été torturé, avant d’annoncer son intention d’engager des poursuites à l’encontre du jeune militant. Celui-ci a été arrêté le jour même et inculpé de dénonciation calomnieuse et plainte pour un crime qui n’a pas eu lieu, au titre des articles 264 et 445 du Code pénal.
L’avocat d’Oussama Housne a déclaré à Amnesty International que le tribunal n’avait pas appelé des témoins clés pour la défense durant le procès, ce qui laisse craindre que le jeune homme ait été condamné à l’issue d’une procédure inéquitable. Entre-temps, il a reçu l’ordre de verser une forte somme à la police marocaine en guise de dommages et intérêts, bien qu’il n’ait fait référence qu’à des inconnus dans la vidéo publiée sur Youtube.
Le jeune homme est également un membre actif du Mouvement du 20 février, qui réclame un meilleur respect des droits humains, la démocratisation, la justice sociale et la fin de la corruption.
Les deux militants ont fait appel de leurs condamnations.
« Ces condamnations vont simplement renforcer la culture de l’impunité au Maroc. La torture ne pourra être éradiquée que quand les victimes pourront briser le silence en toute sécurité et quand les auteurs de tels actes seront traduits en justice », a déclaré Saïd Boumedouha. 14 août 2014 -
Marcher pour Gaza March for Gaza مسيرة من أجل غزة
-
Londres avec Gaza
-
Le gouvernement hypothèque la souveraineté du Maroc (Cadtm)
Seconde Ligne de précaution et de liquidité du FMI
Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé fin juillet une seconde Ligne de précaution et de liquidité (LPL) de 5 milliards de dollars au profit du Maroc, pour les 24 mois à venir, à partir d’août 2014. Le Maroc a dû recourir à cet instrument une première fois en août 2012 pour un montant de 6,2 milliards de dollars. Une ligne de crédit qui n’a pas été utilisée par le gouvernement qui a toutefois payé des commissions !
Le renouvellement de cette ligne de crédit est le signe que l’économie marocaine rencontre de grandes difficultés.
Le pays est menacé par la récession de l’économie mondiale (chocs externes), spécifiquement des pays de l’UE dont le Maroc est fort dépendant. Cette situation se manifeste par le recul des réserves en devises, le repli des transferts des Marocains résidents à l’étranger, et la stagnation des recettes du tourisme.
Les investissements directs étrangers sont également en baisse et ont enregistré une chute de 38,9 % durant le premier semestre 2014 par rapport à la même période de 2013. Et par conséquent, la couverture des exportations par les importations risque de connaître le même sort. Les recettes de l’État connaissent également une baisse causée par la politique de libéralisation généralisée (privatisation des entreprises rentables, rapatriement des dividendes des multinationales installées au Maroc, exonérations fiscales au profit des grandes entreprises) et la signature d’une flopée d’Accords de libre-échange marquée par le démantèlement du système douanier.
Malgré des finances publiques au rouge, le remboursement de la dette publique n’a pas connu de répit. Au service de la dette, s’ajoute la fuite des capitaux et le pillage des deniers publics.
Dans ce contexte, le FMI impose ses conditions pour réduire le triple déficit : celui de la balance des paiements, celui de la balance commerciale et le déficit budgétaire. Pour réduire les deux premiers, le FMI recommande de recourir à de nouveaux emprunts sur le marché international (dette bilatérale, multilatérale ou des LPL).
Pour le troisième, le FMI fixe comme objectif pour le Maroc d’atteindre un déficit budgé- taire de 3 % à l’horizon 2017. Pour y arriver, l’institution conditionne son soutien par une politique d’austérité, couvrant trois axes principaux :
- masse salariale : gel des salaires dans la fonction publique et les établissements publics, réduction des postes budgétaires dans le secteur public, réduction des cotisations sociales de l’État en « réformant » le système des retraites ;
- système d’aide aux produits de base : le démantèlement de la Caisse de compensation et la remplacer par des aides directes ;
- dépenses sociales : réduire ou geler les budgets des secteurs sociaux (éducation, santé et habitat) aussi bien pour les dépenses de fonctionnement que pour celles de l’investissement.
Pour soutenir la croissance, le FMI recommande à l’État de continuer ses «réformes struc- turelles» au bénéfice du grand capital étranger et local, le tout sous le vocable de «l’amélioration du climat des affaires». Il s’agit de subventionner «la compétitivité» des secteurs d’exportation, faciliter l’accès aux crédits, approfondir la flexibilité des taux de change, des exonérations fiscales, ouverture de zones franches, des infrastructures à disposition (autoroutes, ports, etc…) et l’ouverture des secteurs sociaux à l’investissement privé.
Pour réussir ces «réformes difficiles», le FMI prêche « a bonne gouvernance» et «l’ouver- ture d’un dialogue social de haute qualité». Afin d’éviter le danger d’explosions sociales (chocs internes), suite à ces mesures, le FMI exige que le gouvernement obtienne le soutien des syndicats, de l’opposition parlementaire, de la «société civile» afin de faire passer ces plans destructeurs.
Le peuple marocain n’est pas à sa première cure d’austérité, recommandée par le FMI.
Les citoyens ont chèrement payé le prix du Programme d’ajustement structurel dès le début des an- nées 80. Le Maroc continue d’être un mauvais élève en matière de développement humain. Le chôma- ge de masse, la pauvreté et la précarité sont le lot de larges pans de la société. Mais nos gouvernants s’acharnent à appliquer ces conditionnalités. Leur «feuille de route» ne fera qu’approfondir la crise sociale actuelle. Le tout avec la bénédiction d’un parlement sans légitimité populaire. Ces nouvelles «réformes structurelles» ont pour objectif de faire supporter aux salariés et aux classes populaires le coût de l’échec d’un modèle de développement basé sur la dette et une économie extravertie.
Vus tous ces éléments, Attac/Cadtm Maroc :
- dénonce cette nouvelle manœuvre d’hypothéquer l’avenir du Maroc et des Marocains par des conditionnalités draconiennes du FMI ;
- condamne les politiques d’austérité pour satisfaire des centres de décision étrangers ;
- déplore les conséquences de ces politiques sur la situation des travailleurs et les classes moyennes les plus vulnérables qui souffrent de l’appauvrissement et de la détérioration des services publics ;
- appelle à un développement économique fondé sur la satisfaction des besoins fondamentaux des citoyens ;
- renouvelle sa demande de suspendre le remboursement de la dette publique jusqu’à ce qu’un audit citoyen de cette dette soit réalisé pour statuer sur la dette odieuse et illégitime du pays et son annulation inconditionnelle ;
- lance un appel aux organisations militantes pour s’apposer à l’offensive menée contre les droits sociaux et économiques des classes populaires.
Rabat, le 10 août 2014 15 août par ATTAC/CADTM Maroc
Le secrétariat national d’Attac/Cadtm Maroc