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Révolutions Arabes - Page 292

  • Nouveautés sur "Samidoun"

    Samidoun: Palestinian Prisoner Solidarity Network is a network of organizers and activists, based in North America, working to build solidarity with Palestinian prisoners in their struggle for freedom. We work to raise awareness and provide resources about Palestinian political prisoners, their conditions, their demands, and their work for freedom for themselves, their fellow prisoners, and their homeland. We also work to organize campaigns to make political change and advocate for Palestinian prisoners’ rights and freedoms. Learn more....

     

    ahmad-zarir

    PLC member Ahmad Zarir arrested by occupation forces

    Israeli occupation forces arrested Ahmed Musa Zarir, 52, on Friday, August 22. Zarir is an elected member of the Palestinian Legislative Council. His home in Samu, near al-Khalil, was raided by a large number of Israeli soldiers who ransacked the home before taking Zarir. Zarir is the latest member of the Palestinian Legislative Council to […]
     
     
    khalidacampaign

    Take Action: Demand cancellation of Khalida Jarrar’s expulsion order

    Stand with Khalida. Stand with Justice. Stand with Palestine. Please visit the Khalida Jarrar Solidarity Campaign at http://samidoun.ca/khalidajarrar and join us to take action! Khalida Jarrar, member of the Palestinian Legislative Council, leader in the Popular Front for the Liberation of Palestine, and longtime advocate for Palestinian political prisoners, was given an internal expulsion order […]
     
     
    khalida-jarrar-270910

    Addameer: Urgent – Palestinian Legislative Council Member Khalida Jarrar Expelled to Jericho

     Occupied Ramallah, 20 August 2014 -  The Israeli Military Governor in the West Bank has signed a military order expelling Palestinian Legislative Council Member and Addameer board member Khalida Jarrar to Jericho for a period of six months, with immediate effect. At 1.30 A.M on 20 August 2014 approximately 50 Israeli occupying soldiers surrounded Jarrar’s home in Ramallah. […]
     
     
    khalida

    PFLP leader Jarrar ordered deported to Jericho from Ramallah in dawn raid

    Occupation forces raided the home of Khalida Jarrar, leader of the Popular Front for the Liberation of Palestine and member of the Palestinian Legislative Council, in Ramallah early on Wednesday morning, August 20, handing her an order for deportation within 24 hours to Jericho for an indefinite period. The occupation forces attempted to force Jarrar […]
     
     
    halahleh

    Former hunger striker Halahleh among 14 Palestinians arrested by occupation army

    14 Palestinians, including former prisoner Thaer Halahleh, were arrested by Israeli occupation forces in raids throughout the West Bank late Monday night and early Tuesday morning, August 18 and 19. Halahleh, a former long-term hunger striker who also contracted hepatitis during prison dental surgery, had been released in May. He has spent over 9 years […]
     
     
     
    mumia

    Bring Mumia Home Campaign: From Ferguson to Gaza We Charge Genocide

    The following statement is republished from Existence is Resistance. Solidarity with and freedom for Mumia Abu-Jamal and all political prisoners in US jails, including all of the prisoners of the Black Liberation Movement: The Campaign to Bring Mumia Home & The International Concerned Family and Friends of Mumia Abu-Jamal A Message of Solidarity From Ferguson […]
     
     
     
    attoun

    10 Palestinians held in administrative detention and legislator sentenced to 20 months

    10 Palestinians were sentenced to administrative detention, a form of imprisonment without charge or trial for up to 6 month renewable periods, on Monday, August 18. There are now over 466, after 288 people have been held under administrative detention since mid-June 2014. The 10 new administrative detainees, who are held solely on secret evidence […]
     
     
    ketz

    Occupation forces violently storm Palestinian prisoners’ rooms 16 times in August

    Occupation forces’ special units and prison guards have stormed prisons holding Palestinian political prisoners 16 times since the beginning of August 2014, reported Riad al-Ashqar of the Palestinian Prisoners Center for Studies. Raids took place 5 times in Negev (Ketziot) prison, 4 times in Gilboa, Ofer 3 times, Ramon twice, and once each in Ashkelon, […]
     
     
    mona-kaadan

    Mona Qa’adan denied family visits for two years

    IMEMC published the following story on August 19: The Palestinian Prisoner Society (PPS) has reported that a Palestinian woman, kidnapped and imprisoned by Israel since 2012, has never been allowed any family visits, especially since Israel labels her entire family as a “security threat”. The PPS said Mona Qa’dan, held at the HaSharon Israeli Prison […]
  • Palestine: manifestation nationale ce samedi à Berne (L'Anticapitaliste.ch)

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    Depuis le 8 juillet 2014, l’armée israélienne terrorise la population de Gaza par une agression militaire encore plus meurtrière que les précédentes. La grande majorité des victimes, plus de 2 000 morts et 10 000 blessés, sont des civils. Affaiblie par 6 ans de blocus imposé par Israël et soutenu par la Communauté européenne, par les Etats-Unis et par d’autres puissances de la région, la population toute entière (environ 2 millions de personnes) survit dans des conditions effroyables, sans protection et sans refuge: un désastre humanitaire.

    Halte à toute attaque contre les populations civiles

    Une solution juste et durable du conflit au Proche-Orient ne pourra être trouvée qu’à la condition d’arrêter la violence contre toutes les populations civiles, de respecter les droits humains et d’appliquer le droit international. Les populations civiles ne doivent plus craindre les attaques armées. Au vu de l’énorme disparité du nombre de victimes et des graves violations de la part d’Israël, depuis plusieurs décennies, du droit international humanitaire, notamment de la IVème Convention de Genève, des droits humains fondamentaux ainsi que de très nombreuses résolutions de l’ONU, on ne peut en aucun cas prétendre à une quelconque symétrie des responsabilités israéliennes et palestiniennes.

    Pas de paix sans justice

    Aussi longtemps que l’État d’Israël jouira de l’impunité internationale pour ses meurtres répétés de civils, pour sa politique d’annexion et de colonisation de la terre palestinienne, d’arrestations de masse, de déni du principe même du droit au retour des réfugiés palestiniens, de démolitions de maisons et de l’érection du Mur, ces graves violations du droit international, des droits humains et de la IVème Convention de Genève continueront.

    C’est pourquoi nous exigeons que le gouvernement suisse, ceux de l’Union Européenne et des États-Unis cessent leur politique de complicité avec Israël et qu’ils réalisent une politique de paix active, basée sur la justice et les droits humains.

    Nous exprimons notre solidarité avec toutes les victimes de ce conflit et exigeons l’arrêt immédiat de toute violence et de tout acte d’agression militaire, notamment la levée immédiate et complète du blocus de la Bande de Gaza. Nous devons agir en soutenant la large résistance populaire et quotidienne de la société civile palestinienne ainsi que les forces de paix en Israël.

    Nous exigeons du Conseil fédéral:

    • L’arrêt de toute collaboration militaire et coopération en matière d’armements de la Suisse avec Israël et tous les autres Etats du Proche-Orient. La Suisse doit renoncer immédiatement et de manière définitive à l’achat de drones israéliens.
    • Des pressions diplomatiques et économiques concrètes jusqu’à ce qu’Israël se retire des Territoires occupés palestiniens, applique le droit international et respecte les droits inaliénables du peuple palestinien.
    • D’offrir ses bons offices de médiation grâce aux relations que la Suisse entretient tant avec le gouvernement palestinien qu’avec le gouvernement israélien pour obtenir une paix juste et durable. La Suisse a soutenu explicitement la création d’un gouvernement palestinien d’unité nationale (DFAE, 3.6.14).
    • De soutenir le déploiement d’une force internationale de paix de l’ONU pour garantir la protection et la liberté de mouvement de la population de la Bande de Gaza.
    • De convier avant la fin de l’année, dans sa qualité d’Etat dépositaire des Conventions de Genève et pour donner suite à la demande officielle de la Palestine, une Conférence pour l’application du droit international humanitaire et de la préparer avec ses propres propositions substantielles.
    • D’assumer un rôle de précurseur en exigeant du Conseil de sécurité de l’ONU de déférer la situation des conflits, actuel et passés, dans la Bande de Gaza à la Cour Pénale Internationale (CPI), pour enquêter sur les nombreuses accusations de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre et pour juger les responsables de toutes les parties au conflit de manière à mettre un terme à l’impunité.
    • D’exiger d’Israël le dédommagement pour la destruction des infrastructures de la Bande de Gaza financées par la Suisse dans le cadre de la Coopération au développement de la Confédération (DDC) et comme l’un des plus importants États donateurs de l’UNRWA, l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens.
    • D’accueillir dans notre pays les réfugiés palestiniens.
    • De renforcer le soutien actuel à l’aide humanitaire et à la coopération au développement à long terme dans les Territoires palestiniens.

    http://www.gauche-anticapitaliste.ch/?p=12320

  • La condamnation de Wafaa Charaf confirme les atteintes aux droits de l’Homme au Maroc (AeL)

    libérez Wafae

    La jeune militante marocaine a été condamnée le 12 août à un an de prison ferme pour "accusations calomnieuses".

    Ses soutiens français et marocains tentent de rencontrer l’ambassadeur du Maroc afin d’obtenir sa libération immédiate.

    Wafaa Charaf, 26 ans, est actuellement en prison au Maroc. Militante politique au sein du Mouvement du 20-février (M20F) et du parti La Voie démocratique (VD), membre de l’Association marocaine des droits humains (AMDH) à Tanger, elle fait partie de ceux qui ne se taisent pas. De ceux qui dérangent, donc, au plus haut niveau de l’Etat marocain. Des représentants d’associations, syndicats et partis politiques français et marocains se sont rassemblés jeudi après-midi devant l’ambassade du Maroc à Paris pour dénoncer la répression politique dans le royaume de Mohammed VI.

    Une délégation des signataires de l’appel pour sa libération avaient demandé une audience à l’ambassadeur du Maroc en France, Chakib Benmoussa. Peine perdue. Le 14 août étant un jour férié au Maroc, les policiers ont tranquillement éconduit la délégation, arguant que l’ambassade était tout simplement fermée. Saïd Sougty, secrétaire régional de VD Europe, parle du "mépris" de l’ambassadeur envers les militants du NPA, du Parti de gauche, de l’Afaspa, du Mrap, de la LDH ou de l’AMDH qui avaient fait le déplacement.

    "Notre indignation est totale aujourd’hui et nous continuons le combat auprès des prisonniers politiques. Ne soyez pas étonnés que les grèves se multiplient au Maroc, qu’il y ait des manifestations, parce que le peuple est au bout de sa patience."

    Le rassemblement s’est terminé par une minute de silence pour Moustapha Meziani, un étudiant mort menotté à un lit d’hôpital dans la nuit de mercredi à jeudi après une grève de la faim de plus de deux mois.

    Le cas de Wafaa Charaf : retour sur les faits

    Le 27 avril dernier, alors que Wafaa Charaf quitte une manifestation de soutien aux ouvriers grévistes de l’usine Greif, dans la zone franche de Tanger, elle est enlevée par des hommes en civil et emmenée de force dans un véhicule banalisé à 12 km de la ville. Ses kidnappeurs, qui se présentent comme des policiers, l’interrogent sur ses activités politiques, syndicales et associatives, sur ses contacts. Pendant plusieurs heures, des coups, des insultes... et la menace d’autres sévices si elle ne cesse pas de militer. "On lui a bien signifié qu’il faut qu’elle se calme et qu’elle arrête ses activités", explique Fatima Har, de l’association Ailes-FM. Après l’avoir intimidée, les "policiers" cassent son portable et l’abandonnent sur le bord de la route.

    La jeune femme dépose plainte auprès des autorités judiciaires de Tanger.

    "Pour les besoins de l’enquête", elle est régulièrement convoquée au commissariat. Des convocations répétées qui s’apparentent bientôt à du harcèlement et à une forme de vengeance des autorités pour avoir osé dénoncer les méthodes policières. Sa famille en fait également les frais. "Sa mère, son père et sa jeune soeur ont eux aussi été interrogés par la police, pendant plusieurs heures", ajoute Fatima Har. Wafaa Charaf décide finalement de ne pas se présenter à l’une de ces convocations. Le 9 juillet, la police vient l’arrêter au domicile de ses parents. Inculpée avec un autre militant d’"accusations calom- nieuses" et pour avoir porté plainte pour des faits qui n’ont pas eu lieu, elle est placée en détention préventive jusqu’à son procès. Le 12 août, après plus de 20 heures d’audience, Wafaa Charaf est reconnue coupable de toutes les charges retenues contre elle. Le tribunal la condamne à un an de prison ferme, 5 000 dirhams d’amende et 50 000 dirhams de dédommagement pour la partie civile (près de 5 000 euros). L’autre prévenu, Boubker Khamlichi, est relaxé.

    Dans son rapport de mission pour l’Afaspa, Michèle Decaster raconte comment elle a été arrêtée et séquestrée par la police marocaine et empêchée d’assister au procès. La secrétaire générale de l’Afaspa rapporte également qu’une trentaine d’avocats avait "volontairement pris la défense des accusés" et démontré "les nombreuses irrégularités de procédure et l’absence de preuve de l’accusation". Selon Amnesty International, "un avocat de la défense a indiqué que le tribunal avait refusé d’appeler des témoins clés et n’avait pas révélé l’existence d’un enregistrement téléphonique qui a été déterminant pour la condamnation de la jeune femme".

    Après plus d’un mois en détention, la jeune femme, incarcérée à la prison de Tanger, aurait un bon moral, assure Fatima Har. Mais ses soutiens s’inquiètent pour l’état de santé physique de cette jeune fille "assez frêle". Wafaa Charaf a fait appel de sa condamnation. Tout comme Oussama Housne, lui aussi militant du M20F, également membre de l’ADMH, condamné le 23 juillet à trois ans de prison ferme et 100 000 dirhams d’amende. Son crime ? Il a porté plainte après avoir été enlevé, torturé et violé par des "inconnus". 22 août 2014 par Henri Le Roux

    source : http://www.humanite.fr

    http://www.afriquesenlutte.org/afrique-du-nord/maroc/article/la-condamnation-de-wafaa-charaf

  • Des agents de la société Transcom Tunis en grève de la faim (AeL)

    Des agents d’un call center en grève de la faim en Tunisie, voilà qui n’est pas commun et plutôt radical comme moyen de contestation.

    Entretien avec M. Mustapha Nehdi, secrétaire général de la CGTT à Transcom Tunis, pour comprendre pour quelles raisons une telle mesure a été décidée.

    Combien d’agents sont impliqués dans la grève de la faim ?

    Deux agents et syndicalistes de la CGTT ont entamé une grève de la faim avec le soutien de sept membres du bureau syndical de la société, les deux grévistes sont MM. Kamel Dali et Anis Hasnaoui.

    Pourquoi avoir choisi un mode de contestation aussi radical ?

    Cette mesure a été prise en réaction à la décision de la direction de suspendre les deux agents et membres du syndicat du travail, pour des raisons qui selon notre syndicat ne sont pas admissibles. De plus, la décision de la suspension s’est faite sans préavis et sans l’aval de l’inspection du travail. Devant une telle mesure, nos collègues n’ont trouvé aucun autre moyen que de déclencher une grève de la faim. En outre, cette décision est le résultat d’une multitude d’obstacles que nous rencontrons dans notre travail au sein du syndicat et de mesures abusives et anti-syndicalistes venant de la direction, auxquels s’ajoute la surexploitation de nos agents, d’où la décision de recourir à un tel moyen de contestation.

    Depuis combien de temps sont-ils en grève de la faim et quel est leur état de santé ?

    Depuis le 18 août, les deux syndicalistes sont en grève de la faim. Un médecin les a examinés le 19 août au matin et a jugé leur état stable.

    Y a-t-il un suivi médical pour les personnes en grève ?

    Il n’y a pas de suivi médical quotidien. Par contre, la grève de la faim a été constatée par un huissier de justice.

    Quelles sont les doléances des deux agents en grève et du syndicat ?

    Les deux agents en grève ont été suspendus de leur travail sans aucun motif valable et abusivement. Nous exigeons donc la réintégration et la reprise du travail de nos collègues, sachant que ces personnes sont des pères de famille et ont des enfants à charge.

    Des négociations sont-elles en cours et quels sont les résultats ?

    Aucune mesure de la part de la direction n’a été prise, nous ne sommes jusqu’à présent toujours pas en cours de négociation avec celle-ci.

    Source : L’Economiste Maghrébin 22 août 2014 par Mustapha Nehdi

    http://www.afriquesenlutte.org/afrique-du-nord/tunisie/article/des-agents-de-la-societe-transcom

  • Khalida Jarrar refuse de se conformer à sa décision d'expulsion de Ramallah vers Jéricho (Al Huffington)


    Un tribunal israélien l'avait ordonné:

    Publication: 21/08/2014 14h03 CEST Mis à jour: 21/08/2014 14h12 CEST

    Khalida Jarrar, une députée du Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP) vivant à Ramallah, résiste à la décision d'expulsion vers Jéricho. Une décision qui lui a été communiquée par des troupes militaires israéliennes, selon l'agence d'information palestinienne WAFA.

    Un sit-in de solidarité avec elle avait été organisé, hier devant son domicile. Des militants palestiniens et des organisations sont venus témoigner leur solidarité avec la députée qui a décidé de "ne pas reconnaître cette décision" et a "refusé de signer cette ordonnance d'expulsion".

    Khalida Jarrar, résidant à Al-Bireh à Ramallah, est membre du Conseil législatif palestinien (CLP). Elle fait partie des palestiniens qui s'opposent à toute négociation avec Israël.

    Un tribunal militaire israélien avait ordonné mercredi l'expulsion de Khalida Jarrar dans les 24 heures sous prétexte qu'elle constitue une menace pour la sécurité publique, selon les mêmes sources.

    Jarrar a refusé de signer le document et de se conformer à l'ordonnance, qui, a-t-elle déclaré, inclut son assignation à résidence à Jericho.

    La députée palestinienne estime que cette ordonnance du tribunal israélien est "une violation des " lois internationales."

    La députée, interdite de voyages depuis de longues années, avait pris fait et cause pour la résistance palestinienne tout le long de l'agression israélienne sur Gaza et a appelé les dirigeants palestiniens à rompre toute négociation avec l'occupant.

    "La direction semble aujourd'hui croire à une réalité différente de celle que vit le peuple palestinien dans la rue", a déclaré Jarrar lors d'une interview accordée à Palestine Today, le 20 Juillet dernier.

    Dans cette même interview, la députée a dénoncé aussi l'attitude passive du Président de l'Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas. Elle lui demandera à mettre fin à toute "coordination sécuritaire avec Israël", qui, affirme-t-elle, maintient "le peuple palestinien à la merci de l'occupation."

    Le FPLP, dont elle est la députée depuis janvier 2006, est une organisation révolutionnaire de gauche fondée en 1967. Elle est aussi la deuxième plus grande formation politique constituant l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), après le Fatah.

    http://www.huffpostmaghreb.com/2014/08/21/tribunal-jarrar-decision-_n_5697355.html

     

    Israël interdit de séjour à Ramallah une députée palestinienne (Afps)

    Khalida Jarrar, cadre du Front popu­laire de libé­ration de la Palestine (FPLP), a expliqué que des soldats israé­liens étaient entrés par la force chez elle à l’aube pour lui signifier qu’elle était interdite de séjour à Ramallah pendant six mois.

    Israël a ordonné l’expulsion d’une députée de la gauche pales­ti­nienne de Ramallah vers Jéricho, deux villes de la Cis­jor­danie occupée, a indiqué jeudi la par­le­men­taire. Khalida Jarrar, cadre du Front popu­laire de libé­ration de la Palestine (FPLP), a expliqué que des soldats israé­liens étaient entrés par la force chez elle à l’aube mer­credi pour lui signifier qu’elle était interdite de séjour à Ramallah pendant six mois. Une telle mesure est rare et il s’agirait de la pre­mière depuis le début des années 1990, dit Raji Sourani, directeur du Centre pales­tinien des droits de l’homme (PCHR). Il a parlé d’une "pra­tique d’un autre âge et contraire au droit international".

    Selon Khalida Jarrar, le tri­bunal mili­taire israélien l’accuse de "mettre en danger la sécurité de la région". Khalida Jarrar a dit ignorer com­plè­tement ce qu’on lui reproche exac­tement. Les soldats, accom­pagnés de poli­ciers, lui ont remis une carte lui spé­ci­fiant les zones de Jéricho dans les­quelles elle était auto­risée à se déplacer, a-​​t-​​elle ajouté. Khalida Jarrar a été la pre­mière députée du FPLP élue au Par­lement pales­tinien. Elle a été en charge du dossier des détenus pales­ti­niens dans les prisons israé­liennes au sein du Conseil légis­latif pales­tinien (CLP, le Parlement).

    Selon le Club des pri­son­niers pales­ti­niens, basé à Ramallah, une tren­taine de membres du Par­lement, y compris son pré­sident, Aziz Dweik, un diri­geant du Hamas, sont actuel­lement détenus par Israël.

    AFP | LePoint​.fr, vendredi 22 août 2014

    http://www.france-palestine.org/Israel-interdit-de-sejour-a

  • Samedi 30 août 18:00 1675 44 rue Legraverend Rennes

    Photo de couverture
     
    Palestine : Quel avenir ? Quelle solidarité ? Avec Amir Hassan
    Depuis plus d'un mois, nous sommes témoins d’un nouveau massacre en Palestine occupée. Après avoir raflé et emprisonné 1 600 personne en Cisjordanie occupée et réprimé violemment celles et ceux qui manifestaient pour défendre leur doit à l'autodétermination, l'armée sioniste bombarde maintenant nuit et jour toutes les localités de la bande de Gaza. A ce jour, plus de 2 000 Palestiniens y ont été tués, plus de 10 000 blessés et 365 000 ont dû fuir leurs maisons.

    Les demandes de toutes les factions de la résistance palestinienne (Hamas, Djihad Islamique, Fatah, Front Populaire de Libération de la Palestine, etc) sont pourtant claires et simples : la fin des attaques sous toutes leurs formes, la levée du siège et la création d'un port à Gaza, ainsi que la libération des prisonniers palestiniens.

    Pour l'heure, malgré les tentatives de négociations, la situation reste inchangée et les gazaouïs étouffent toujours sous le blocus. La discussion qui aura lieu le samedi 30 août avec Amir Hassan, auteur gazaoui résidant à Paris depuis un an, sera l'occasion de répondre à la propagande sioniste, et d'avoir une idée des conditions de vie à Gaza pendant les massacres. Mais il s'agira aussi de comprendre les mécaniques d'étouffement du peuple palestinien mise en place par l'occupant sioniste (occupation, siège, pénuries ...) dont le massacre en cours est le prolongement directe.

    La discussion pourra aussi permettre de revenir sur les différentes mobilisations qui ont eu lieu durant tout l'été en soutien au peuple palestinien, et d'envisager les suites possibles à donner à ces élans de solidarité.
     
     
    samedi 30 août
     18:00
     
     
     
    1675
    44 rue Legraverend, 35000 Rennes

  • L'humour de Dilem (Liberté Algérie)

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  • Israël. Face à la reprise des hostilités, il est impératif de laisser les groupes de défense des droits humains se rendre à Gaza (Amnesty)

    Après une frappe aérienne de l'armée israélienne sur la ville de Gaza, le 19 août 2014.
    "Les autorités israéliennes semblent s'être adonnées à un petit jeu administratif avec nous concernant l'accès à Gaza".
    Anne FitzGerald, directrice de l’unité Recherche et réaction aux crises d'Amnesty International.

    La reprise des frappes aériennes israéliennes et des tirs de roquettes en provenance de Gaza souligne à quel point il est important de permettre aux groupes de défense des droits humains de se rendre sur place immédiatement afin d'observer la situation, a déclaré Amnesty International mardi 19 août.

    Depuis le début de l'opération militaire israélienne à Gaza le 8 juillet 2014, les autorités israéliennes ont rejeté plusieurs requêtes présentées par Amnesty International afin de pouvoir se rendre à Gaza par le poste-frontière d'Erez, contrôlé par Israël. L'organisation a également demandé aux autorités égyptiennes de la laisser accéder à Gaza, sans succès pour l'instant.

    « L'apparente reprise des frappes aériennes israéliennes et des tirs de roquettes mardi 19 août rappelle une nouvelle fois que nous devons être autorisés à nous rendre dans la bande de Gaza sans plus de délai. Nous avons déjà perdu un temps précieux et il est essentiel que les organisations de défense des droits humains puissent désormais effectuer la tâche cruciale consistant à examiner les allégations de crimes de guerre », a déclaré Anne FitzGerald, directrice de l’unité Recherche et réaction aux crises d'Amnesty International.

    « Les autorités israéliennes semblent s'être adonnées à un petit jeu administratif avec nous concernant l'accès à Gaza, l'assortissant de conditions déraisonnables alors même que le nombre de morts dans la région augmentait. »

    Amnesty International et Human Rights Watch ont prévu de diffuser un communiqué conjoint exhortant les autorités israéliennes à permettre immédiatement aux groupes de défense des droits humains de se rendre à Gaza. 19 août 2014

    http://www.amnesty.org/fr/news/israel-human-rights-access-gaza-imperative-amid-renewed-exchange-fire-2014-08-19

  • Algérie : Nouvelle grève à l’usine Tosyali de Bethioua (Ael)

    Le feuilleton concernant l’usine de sidérurgie algéro-turque Tosyali, située dans la zone industrielle de Bethioua, ne semble pas près de prendre fin. Depuis dimanche, les 600 travailleurs de cette usine sont revenus à la charge en reprenant le chemin de la grève qu’ils affirment pour cette fois illimitée. Ce débrayage est le quatrième depuis le début de l’année 2013. Ainsi, les travailleurs de cette entreprise avaient débrayé au mois d’octobre de l’année dernière. Après des négociations, le travail avait repris.

    Mais ce ne fut qu’un sursis puisque la grève a repris en mai et juin 2014. Ainsi, au mois de mai, les ouvriers avaient organisé un vaste mouvement de protestation pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail et surtout revendiquer la réintégration de 60 de leurs collègues, considérés comme victimes de licenciements arbitraires.

    La pression exercée par ce mouvement sur la direction et le mouvement de solidarité exprimé par des syndicalistes de la zone industrielle d’Arzew, avait débouché, au mois de juin, sur la satisfaction de certains points de la plateforme de revendications, à l’instar de la dissolution de la section syndicale de l’entreprise, considérée par les ouvriers comme illégitime et l’ouverture de négociations pour la satisfaction des autres points.

    Les pourparlers avec les représentants des travailleurs n’ont pas abouti à l’amélioration des conditions de travail, au versement de primes, de risque, nuisance et rendement ainsi qu’à la gratification concernant la femme au foyer. Se disant floués par leur employeur qui n’a pas tenu ses promesses depuis le premier mouvement de protestation, les travailleurs ont repris la grève tout en exigeant pour cette fois la satisfaction de l’ensemble des revendications comme préalable à la reprise du travail.

    Source : Le Temps d’Algérie 21 août 2014 

    http://www.afriquesenlutte.org/afrique-du-nord/algerie/article/algerie-nouvelle-greve-a-l-usine

  • Lannion Rassemblement vendredi 22 août

     

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    Malgré la trêve et le cessez-​​le-​​feu, la paix n’est pas signée et aucun accord satis­faisant pour les Pales­ti­niens n’ a été trouvé.

    L’ AFPS Trégor n’entend donc pas relâcher la pression sur le gou­ver­nement. Celui-​​ci doit jouer de tout son poids, avec l’aide de l’Europe, pour un règlement juste et défi­nitif du conflit qui n’a que trop duré. L’AFPS Trégor réclame donc plus que jamais :


    - le respect du droit inter­na­tional
    - la levée du blocus de Gaza
    - l’arrêt de toute coopé­ration mili­taire avec Israël, et notamment un embargo total sur les armes
    - l’annulation de tout accord d’association éco­no­mique entre Israël et l’Union Euro­péenne.

    Dans cette optique, et aussi pour rendre hommage aux vic­times de Gaza, l’AFPS Trégor invite toutes les per­sonnes qui sou­haitent témoigner leur soutien au peuple pales­tinien à un ras­sem­blement devant la

    Mairie de Lannion le ven­dredi 22 août à 18h00.

    La mani­fes­tation se rendra ensuite jusqu’au Pont des Viarmes et y accro­chera des photos d’enfants tués ces deux der­niers mois à Gaza.

    AFPS Trégor - Lannion, vendredi 22 août 2014

    http://www.france-palestine.org/Rassemblement,24535