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  • Humour: zombies!

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    Pas un pour racheter l'autre!

  • Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité

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  • Palestine: Grève d’un mois des enseignantEs (Npa)

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    En Cisjordanie, les enseignantEs se sont massivement mis en grève en février.

    Il faut dire qu’ils subissent l’occupation israélienne comme tous les autres travailleurEs palestiniens : les difficultés pour se déplacer, les bas salaires, les arrestations arbitraires… Mais à cela s’ajoute également le poids de la collaboration de l’Autorité palestinienne avec l’occupant. Depuis les accords d’Oslo, le gouvernement a accepté tous les compromis avec Israël en vue d’un illusoire « processus de paix ». Et pour donner des gages à Israël, le président Mahmoud Abbas préfère augmenter le budget des forces de sécurité plutôt que celui de l’éducation. A tel point que le salaire d’un enseignantE ne permet pas de vivre décemment et que bon nombre d’entre eux doivent cumuler plusieurs emplois. Les enseignantEs demandaient donc une augmentation des salaires à hauteur de ce que l’Autorité palestinienne leur avait promis en 2013.

    Pendant près d’un mois, plus de 30 000 enseignantEs se sont mobilisés, bloquant la plupart des écoles de Cisjordanie. De ce fait, le gouvernement était confronté aux plus grandes manifestations de protestation depuis des années. Et la direction du syndicat de l’éducation, s’étant positionnée contre le mouvement, s’est retrouvée discréditée, n’ayant plus d’autre choix que de démissionner. Des comités de mobilisation se sont alors construits à la base, organisant la grève au quotidien. Bien entendu, ils ont dû faire face à la répression de l’Autorité palestinienne : arrestations de militants… Au final, Abbas a dû annoncer le 13 mars qu’une augmentation de 10 % serait échelonnée dans les prochains mois. Les grévistes ont alors décidé la reprise du travail, même s’ils restent vigilants et prêts à se mobiliser à nouveau. Et au sein du syndicat, l’élection d’une nouvelle direction a été programmée.

    Dans un climat toujours plus tendu, le mouvement aura su montrer que des PalestinienEs ne baissent pas la tête et refusent de subir l’occupation israélienne et la collaboration de l’Autorité. Ils ont tout notre soutien.

  • Saint Brieuc: Projection-débat de "This is my land" ( Ujfp)

    Un film de Tamara Erde.

    Soirée organisée par l’Association France-Palestine-Solidarité Saint-Brieuc.

    Et si le conflit israélo-palestinien était surtout une question d’éducation ?

    This is my land observe la manière dont on enseigne l’histoire dans les écoles (publiques ou religieuses) d’Israël et de Palestine, suivi d’un débat avec la réalisatrice et Daniel Lévyne (Union Juive Française pour la Paix).

    Tamara Erde est une réalisatrice franco-israélienne de 34 ans, qui vit actuellement à Paris. C’est lors de son service militaire dans l’armée israélienne qu’elle découvre la Palestine.

    Confrontée à la réalité du terrain, elle s’est interrogée sur ces deux peuples qui coexistent et particulièrement sur l’histoire palestinienne totalement absente de son apprentissage scolaire. Alors elle a voulu savoir comment l’histoire est aujourd’hui enseignée dans les écoles israéliennes et palestiniennes, quel regard les enfants israéliens et palestiniens portent sur le conflit.

    Portraits d’enseignants, enthousiastes ou révoltés, rencontres avec des enfants désenchantés : le film révèle les murs que l’on dresse dans la tête des jeunes générations au moyen de l’éducation.

    Contact : afps22.stbrieuc@gmail.com

    Rendez-vous

    • À Saint-Brieuc (22) , projection-débat du film de Tamara Erde "This is my (...) 
      Le mercredi 27 avril 2016 à 20h00
      Cinéma Club 6

      40 Boulevard Clemenceau
      22000 Saint-Brieuc

    http://www.ujfp.org/spip.php?article4833

  • Attac/CADTM Maroc organise sa 12e Université de printemps les 9 et 10 avril à Marrakech (CADTM)

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    « Changeons le système, pas le climat »

     

    Cette activité annuelle de l’association est un moment de formation, réflexion et de débats pour les militant-e-s d’ATTAC et de d’autres forces militantes au Maroc. Des organisations partenaires prendront part à cette activité pour contribuer à l’analyse de la mondialisation capitaliste et ses effets directs et indirects sur le quotidien des citoyens. Ce travail d’analyse est nécessaire surtout dans un contexte de crise profonde et multiple du système capitaliste, dont le coût, au Maroc comme ailleurs, est systématiquement transféré à la population.

    Cette édition aura deux thèmes principaux : L’endettement public et la crise écologique. Sur le premier volet, deux ateliers seront organisés pour expliquer le processus de l’audit de la dette et la lecture des Lois de finances. L’association poursuit ainsi le travail de formation démarré au niveau des groupes locaux et les formations nationales.

    L’université consacre un large espace à la question écologique. A la veille de la tenue de la Conférence des parties (COP 22) au Maroc, nous sommes mobilisés en tant qu’association d’éducation populaire sur ce dossier. Notre lecture de la question écologique et climatique sera mise en lien avec les stratégies sectorielles à l’œuvre au Maroc dans les secteurs agricoles, de la pêche, du tourisme et de l’énergie. Ces formations seront complétées par des expériences de luttes de terrain menées dans plusieurs régions du pays afin de renforcer nos engagements dans la lutte pour une justice climatique et le droit aux ressources.

    La conférence inaugurale aura lieu le samedi 9 avril à partir de 14h à l’hôtel Majorelle, boulevard Allal El Fassi, Marrakech (programme ci-dessous)

    Le secrétariat national

    Le 7 avril 2016


    Programme de la conférence inaugurale

    - De 14h à 16h30 :
    Les incohérences de la politique énergétique Maroc : Entre charbon, solaire et gaz de schiste

    Intervenants :

    • Abdelhakim Halaoua (ATTAC Ouarzazate),
    • Mohameb Benata (Esco, Oujda)
    • Salaheddine Abir (Attac Safi)

    - De 17h à 19h :
    Etat des luttes pour la justice climatique au Maroc : Témoignages d’acteurs en lutte

    Intervenants :

    • Imider : Droit aux ressources
    • Mohammedia : Destruction des dunes de sable
    • Ben Smim : Contre la privatisation de l’eau
    • Guich El Oudaya : Droit à la terre
    • Bni Ghil à Oujda et Figuig : Accès à la terre


    Attac Maroc

    Contre la mondialisation libérale
    Membre du Comité pour l’annulation de la dette du tiers monde (CADTM)

    8 avril par ATTAC/CADTM Maroc

    http://cadtm.org/Attac-CADTM-Maroc-organise-sa

  • L’heure est venue de libérer le peuple de Djibouti (Afriques en Lutte)

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    *

    C’est ici, à Djibouti, que les Etats-Unis ont leur seule base militaire de tout le continent.

    La Chine, qui profite du pays pour son propre enrichissement, y construit la sienne, de même que la Russie et le Japon. En un temps record, le petit Djibouti sera bientôt l’hôte du plus grand nombre de soldats étrangers au kilomètre carré.

    Le président, Ismaïl Guelleh, a fait de Djibouti un allié dans la « guerre contre le terrorisme ». De là, Washington fait voler sa deuxième plus grande flotte de drones, à la fois sur la côte somalienne contre les Chabab et à travers le détroit de Bab Al-Mandeb, vers le Yémen, l’Irak et au-delà.

    « Guerre contre le terrorrisme »

    Djibouti va organiser une élection présidentielle vendredi 8 avril. Le parti du président Ismaïl Guelleh, le Rassemblement populaire pour la démocratie, contrôle actuellement les 65 sièges du Parlement, un monopole malsain. L’opposition a d’ores et déjà appelé au boycottage de ce scrutin.

    Deux jours avant Noël, le 23 décembre 2015, la police du régime a ouvert le feu sur une manifestation pacifique dans la capitale, la ville de Djibouti, tuant plusieurs dizaines de personnes et en blessant beaucoup d’autres.

    Ismaïl Guelleh a de nouveau modifié la Constitution pour s’ouvrir la voie d’un quatrième mandat à la prochaine élection, même s’il avait promis que son troisième mandat – déjà inconstitutionnel en 2011 – serait le dernier. Depuis l’indépendance, obtenue de la France en 1977, le pays n’a eu que deux dirigeants : M. Guelleh et son oncle.

    Toutes les agences non gouvernementales présentes dans le pays – Amnesty International, Human Rights Watch, Reporters sans frontières – classent Djibouti parmi les pays les plus pauvres. La richesse de l’élite dirigeante contraste avec la majorité de la population qui n’a pas accès à l’eau, à la nourriture ni à l’assainissement.

    La torture est courante, et le meurtre « extra judiciaire », l’exil ou la disparition forcée sont le sort de tous ceux qui se lèvent contre les actions de l’Etat. Pourtant, Djibouti est un membre de la Cour pénale internationale (CPI) et l’un des plus proches alliés de la France.

    Nous avons entendu à maintes reprises que la « guerre contre le terrorisme » est menée pour rendre le monde sûr pour la démocratie. Si Djibouti est si stratégique pour les grandes puissances, sûrement la stabilité est-elle une clé pour maintenir son rôle en tant que partenaire. La stabilité à long terme dépend du respect des droits de l’homme. La liberté du peuple est un droit, garanti par de nombreuses conventions de l’Organisation des Nations unies.

    Aux nations éprises de paix

    Depuis la Révolution française de 1789, l’histoire moderne a compté beaucoup de dictateurs qui ont poussé leur peuple trop loin, entraînant le chaos et la misère. Et parfois le génocide.

    Nous, les soussignés, sommes des universitaires, des professeurs et chargés de cours sur l’étude du génocide et des droits de l’homme. Nous appelons la France, les Etats-Unis, les membres de l’ONU, l’Union africaine et toutes les nations éprises de paix à surveiller les élections du 8 avril, et de donner au peuple de Djibouti le droit à un gouvernement de leur choix. 8 avril 2016 

    Signataires:

    Charikleia Kefalidou, université de la Sorbonne (France) ; Docteur Kjell Anderson, Insitut pour la justice de La Haye (Pays-Bas) ; Professeur Allan Moore, université d’Hamilton (Ecosse) ; Docteur Elihu Richter, université de Jérusalem (Israël) ; Professeur Naupess K Kibiswa, université de Kinshasa (République démocratique du COngo) ; Docteur Ali Mahmud, université d’Erbil (Irak) ; Docteur Mark D. Kielsgard, université de Hongkong (Chine) ; Professeur Andrew Woolford, université de Winnipeg (Canada) ; Professeur Christiane Allsop, université de Boston (Etats-Unis) ; Docteur Beth Lilach, Holocaust Memorial and Tolerance Center de New York (Etats-Unis) ; Docteur Joseph Psotka, psychologue à l’Institut de recherche de l’US Army de Washington (Etats-Unis) ; Professeur Gregory Stanton, fondateur du Genocide Watch de Washington (Etats-Unis)

    Source : http://www.lemonde.fr/afrique

    http://www.afriquesenlutte.org/djibouti/article/l-heure-est-venue-de-liberer-le

  • Paris huile d'olive

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    Vendredi 8 avril  Cinéma l’Entrepôt Paris 14ème 20HOO.

    Dossier de Presse

     

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