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Palestine - Page 89

  • Quinzaine de la Palestine Cinéma Locquémeau (Afps Tregor)

    Quinzaine de la Palestine - Cinéma "La Terre Parle Arabe"

    Jeudi 22 janvier 2015 à 20h30

    Au café Théodore à Locquémeau

    La Terre Parle Arabe, de Maryse Gargour, 1h, 2007

    Film documentaire français sur les origines du conflit, l’exode et l’expulsopn des Palestiniens en 1984 : "la Nakba" ou la "Catastrophe"...

    Entrée libre

    http://www.france-palestine.org/Quinzaine-de-la-Palestine-Cinema

  • Examen préliminaire sur des crimes de guerre en Palestine (JDD)

    Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé vendredi l'ouverture d'un examen préliminaire, étape préalable à une enquête, sur des crimes de guerre présumés commis depuis l'été 2014 dans les territoires palestiniens.

    Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé vendredi l'ouverture d'un examen préliminaire sur des crimes de guerre en Palestine. Cette étape juridique sert à déterminer s'il existe une "base raisonnable" pour ouvrir une enquête, a précisé le bureau du procureur dans un communiqué : "le procureur analysera en particulier les questions liées à la compétence, à la recevabilité et aux intérêts de la justice". Le gouvernement palestinien avait adhéré au Statut de Rome, le traité fondateur de la Cour, le 2 janvier. Cette adhésion autorisera le procureur à ouvrir, à l'avenir, des enquêtes sur d'éventuels crimes. Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, avait dans le même temps envoyé à la Cour un document autorisant le procureur à enquêter sur des crimes présumés commis dans "les territoires palestiniens occupés depuis le 13 juin 2014".

    C'est à cette date qu'Israël a déclenché une vaste campagne d'arrestations en Cisjordanie occupée suivie de la guerre à Gaza. Cette campagne d'arrestations avait débuté au lendemain de l'enlèvement en Cisjordanie de trois jeunes Israéliens, ensuite assassinés. Pendant les trois mois qui ont suivi, plus de 2.000 Palestiniens ont été arrêtés dans ce territoire et à Jérusalem. Le cycle des violences s'est ensuite emballé, notamment dans la Ville sainte, secouée par des affrontements et plusieurs attentats. Moins d'un mois plus tard, Israël entamait sa troisième offensive contre la bande de Gaza en six ans, provoquant la mort de près de 2.200 Palestiniens, en grande majorité des civils. Plus de 70 personnes sont mortes côté israélien, quasiment toutes des soldats.

    Israël juge le procédé "scandaleux"

    Installée à La Haye, la CPI est compétente pour poursuivre des auteurs présumés de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre commis depuis le 1er juillet 2002. Au total, 123 Etats, parmi lesquels ne figure pas Israël, ont à ce jour adhéré au statut de Rome. "Le Statut de Rome n'impose aucun délai pour rendre une décision relative à un examen préliminaire", a précisé le bureau de Fatou Bensouda, le procureur. Des examens préliminaires ont pour l'instant été ouverts en Afghanistan, en Colombie, en Géorgie, en Guinée, au Honduras, en Irak, au Nigeria et en Ukraine. La demande d'adhésion palestinienne s'inscrit dans le cadre d'une offensive diplomatique déclenchée à l'ONU par les Palestiniens. Furieux, le gouvernement israélien avait gelé le versement de 106 millions d'euros de taxes collectées pour le compte de l'Autorité palestinienne.

    Israël a jugé vendredi "scandaleuse" l'ouverture par la Cour pénale internationale (CPI) d'un examen préliminaire, par l'intermédiaire du ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman. Ce dernier a préconisé qu'Israël ne coopère pas à ces investigations. Cet examen préliminaire est une "décision scandaleuse dont le seul but est de saper le droit d'Israël à se défendre contre le terrorisme", a dit Avigdor Lieberman selon ses services.

    Thomas Liabot (avec AFP) - leJDD.fr

    vendredi 16 janvier 20

    http://www.lejdd.fr/International/Proche-Orient/CPI-examen-preliminaire-sur-des-crimes-de-guerre-en-Palestine-713050

  • TROIS BOURREAUX DU PEUPLE PALESTINIEN A PARIS LE 11 JANVIER : QUELLE HONTE ! (Ujfp)

    Benjamin Nétanyahou, Avigdor Lieberman et Naftali Bennett représenteront le 11 janvier l’Etat d’Israël à la grande manifestation européenne de riposte aux fusillades contre Charlie Hebdo et contre le magasin casher à Paris. Ces trois personnages sont des criminels de guerre qui relèvent de la Cour Pénale Internationale pour les meurtres de masse commis à Gaza et ailleurs.

    Ce sont trois sinistres artisans de la volonté d’Israël d’écraser le peuple palestinien : Nétanyahou, le dirigeant des massacres à Gaza, Lieberman et Bennett, deux ministres colons, l’un prévoit l’expulsion de tous les Palestiniens, y compris ceux qui vivent en Israël et l’autre se vante d’avoir tué des Palestiniens.

    Ce qui est tout aussi grave, c’est la signification que leur présence confirme, concernant la nature de cette manifestation.

    C’est pourquoi nous exhortons les diverses associations amies du peuple palestinien qui comptent se rendre à cette manifestation à reconsidérer leur décision.

    La manifestation devait être soi-disant « d’unité nationale » contre le terrorisme et pour la liberté d’expression.
    Elle sera en réalité une représentation des « valeurs du monde civilisé occidental » contre les « menaces terroristes du monde arabo-musulman », une manifestation bien dans la tonalité du « choc des civilisations » qui d’après nos gouvernants, même quand ils se défendent de diffuser ce point de vue, régit le monde actuel.

    En fin de compte tous ceux qui souhaitaient manifester demain leur solidarité avec les victimes de ces terribles attentats et pensaient sincèrement montrer une société française unie contre le crime, se sont fait confisquer leur manifestation par les organisateurs autoproclamés d’une grande messe de « l’Axe du Bien » : le gouvernement, ses amis et tous ses concurrents de droite – hormis le Front National, dont l’idéologie n'a nul besoin d'invitation pour prospérer. Les grands alliés internationaux seront présents : ces mêmes représentants d’État dont les politiques contre les peuples ont permis l’apparition du terrorisme djihadiste, les courants islamophobes, les amis de l’État d’Israël et bien sûr les représentants de cet État.
    Quant aux populations dangereuses, postcoloniales, jeunes, éventuellement porteuses de signes ostentatoires musulmans, elles subiront le dispositif de contrôle renforcé dans la période qui s’ouvre. Nous ne pouvons oublier qu’à tous ceux-là les manifestations de solidarité et la liberté d’expression ont été interdites, l’été dernier, pendant l'opération « Bordure de protection » menée contre Gaza par les trois invités israéliens de demain.

    Les représentants d’Israël ont commencé à faire de grands appels à la population juive française, soi-disant victime d’un déferlement antisémite sans précédent, pour qu’elle émigre en Israël, pays « de grande liberté ». Une fois de plus, les dirigeants israéliens mettent sciemment en danger les Juifs français par la peur et l’incitation au départ.

    Le Bureau National de l’UJFP le 11 janvier 2015

  • Nouvautés sur Agence Médias Palestine

     

    Paris, le 04/01/15 : Un citoyen israélien demande au gouvernement français de boycotter Israël

     

     

    Crédit photo: David Métra Voici la déclaration lue par Eitan Bronstein Aparicio le 04 janvier 2015 près de l’Assemblée Nationale: Je m’appelle Eitan Bronstein Aparicio, je suis citoyen israélien et j’habite à Tel Aviv. j’appelle le gouvernement français à boycotter l’État d’Israël. Au nom de l’établissement d’un foyer pour les survivants de l’holocauste, les sionistes...

     

    L’Egypte se prépare à détruire 1200 maisons dans la zone frontalière de Rafah

    L’Egypte se prépare à détruire 1200 maisons dans la zone frontalière de Rafah

    Photo: (Ma’an News) Samedi 27 décembre 2014 (actualisé le 29 décembre 2014) LE CAIRE (Ma’an) – Un comité égyptien a terminé l’inspection des domiciles de particuliers vivant entre 500 et 1000 mètres de la frontière de Gaza en préparation de l’extension à une largeur de 1000 mètres de la zone tampon de la frontière, ont...

     

    Le Musée palestinien en quête de récits venant de la diaspora

    Le Musée palestinien en quête de récits venant de la diaspora

    Sarah Irving – 27 décembre 2014 L’appel du Musée palestinien à participants à l’exposition projetée, “Never Part” (version arabe ici : https://www.youtube.com/embed/5AJMTjcT_8w?feature=oembed) Le Musée palestinien a lancé un appel aux Palestiniens vivant dans la diaspora – et spécialement à ceux aux États-Unis – pour qu’ils contribuent à son exposition inaugurale. L’exposition, appelée Never Part (Jamais...
  • Nouveautés sur AFPS Rennes

  • Battements de coeur en Palestine. Un film et un débat jeudi aux Studios le 8 janvier (Le Télégramme)

     Le réalisateur Mikael Baudu s'est immergé dans le quotidien de l'hôpital de Jénine, en Cisjordanie, avec deux humanitaires Brestois. Le documentaire « Battements de coeur en Palestine » sera projeté jeudi aux Studios.

    « La première image du film se déroule dans le bloc opératoire de l'hôpital de Jénine. C'était en mars 2014, nous suivions deux médecins brestois en mission humanitaire », explique Mikael Baudu, dont le documentaire titré en breton « Lammoù-Kalon e Palestinia », soit « Battements de coeur en Palestine », a été coproduit par Gwengolo Filmoù et France 3 Bretagne.

    Ce documentaire de 26 minutes sera projeté jeudi 8 aux Studios et suivi d'un débat en présence du chirurgien brestois.

    Une mission à Gaza

    La caméra suit Riwana, une jeune étudiante en médecine, ainsi que les deux humanitaires brestois : Dominique Le Nen, chirurgien, et Jean Branellec, anesthésiste. Tous deux sont des habitués de ces missions, dans des pays variés pour l'anesthésiste, mais toujours en Palestine pour Dominique Le Nen.

    « L'action doit s'inscrire dans le temps, j'ai beaucoup de liens avec l'équipe de Jénine. L'un de leurs chirurgiens est venu se former un mois à Brest, avec l'association Amani », précise Dominique Le Nen, auteur du livre « De Gaza à Jénine », vendu au profit d'Amani.

    Cette association francopalestinienne pour l'aide et la formation médicale (Amani) a été créée par le Dr Arab Salim, médecin à Lannion.

    En novembre, Dominique Le Nen est reparti en mission, à Gaza cette fois, avec Médecins sans frontières, dans leur centre de traitement des brûlés. « Il est plus compliqué de se rendre à Gaza, tandis qu'on peut aller en Cisjordanie avec un visa touriste. Pour Gaza, il faut passer le check point israélien, une forteresse équipée de scanners, c'est long et humiliant. Ensuite, il faut marcher un kilomètre dans un no man's land et l'on arrive au contrôle palestinien.

    Et, nouveauté par rapport à mon dernier séjour, en 2008, il existe désormais aussi un contrôle du Hamas. Cela m'a surpris », raconte Dominique Le Nen. En tant que journaliste, Mikael Baudu a dû passer par le ministère de l'Information israélien pour filmer à Jénine. Dans l'hôpital, mais aussi à l'extérieur, il est allé à la rencontre des Palestiniens dans leur quotidien.

    « On a filmé leur vie dans cette fausse paix qui s'est installée depuis quelques années. ». Le combat du théâtre Parmi les belles rencontres de ce séjour, une visite au théâtre, où des jeunes ont décidé de combattre autrement qu'avec des armes à la main, avec l'art. « Le directeur de ce théâtre a été assassiné parce qu'il dérangeait. L'un des jeunes m'a dit qu'il habitait à 30 km de la mer mais qu'il ne l'avait jamais vue.

    L'hôpital Kalil Suleiman de Jénine, où nous avons filmé, est à deux pas d'un camp de réfugiés palestiniens qui fut reconstruit après avoir été rasé par l'armée israélienne, en 2002. Quelques interviews ont été faites en arabe, notamment celle d'un homme âgé qui avait vécu la destruction du camp, mais pour les autres, c'était en anglais ».

    Pratique Jeudi 8, à 20 h, aux Studios, participation libre au profit d'Amani.

    Courriel, contact@assoamani.fr

    2015 / Catherine Le Guen /

     
  • Nouveautés sur AFPS Rennes

  • L’ONU rejette une résolution palestinienne, Israël « satisfait » (JDD)

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    Le Conseil de sécurité des Nations unies a rejeté la résolution palestinienne portant sur un accord de paix avec Israël par 8 voix pour, deux contre et cinq abstentions, alors que le texte devait réunir 9 voix pour être adopté.

     

    Le Conseil de sécurité des Nations unies a rejeté mardi une résolution pales- tinienne portant sur un accord de paix avec Israël, au sujet de laquelle les Etats- Unis avaient exprimé leur opposition bien avant le vote. La résolution a recueilli 8 voix pour, deux voix contre et cinq abstentions, alors qu’elle devait réunir 9 voix, sur les 15 du Conseil, pour être adoptée.

    La France, la Chine et la Russie, tous trois membres permanents du Conseil, ont apporté leur soutien à la résolution. L’Australie et les Etats-Unis, proches alliés d’Israël, ont voté contre. Cinq pays, dont le Royaume-Uni, se sont abstenus. Devant le Conseil, l’ambassadeur français François Delattre a évoqué « l’urgence à agir ». « Nos efforts ne doivent pas s’arrêter là. Notre responsabilité est d’essayer encore. Avant qu’il ne soit trop tard », a-t-il ajouté. Le texte prévoyait notamment un accord de paix d’ici douze mois et le retrait israélien des Territoires occupés avant fin 2017.

    L’opposition américaine

    Les Palestiniens avaient apporté lundi des modifications à leur projet qui prévoit Jérusalem-Est, occupée et annexée, comme capitale d’un Etat palestinien, le règlement de la question des prisonniers palestiniens, l’arrêt de la colonisation israélienne et rappelle le caractère illégal du mur de séparation. « Cette résolution encourage les divisions et non un compromis », a déclaré l’ambassadrice amé- ricaine à l’ONU Samantha Power.

    « Ce texte n’évoque les inquiétudes que d’une seule partie », a-t-elle ajouté. Elle a défendu la position américaine de favoriser des pourparlers directs, esti- mant que « la paix viendra de choix et de compromis difficiles atteints à une table de négociations ». Avant elle, lundi et mardi, Jeffrey Rathke, un porte-parole du département d’Etat, avait estimé que le calendrier fixé par le texte « posait des délais arbitraires » et souligné « l’inquiétude » des Etats-Unis au sujet de la sécurité d’Israël

    Argentine, Tchad, Chili, Jordanie, Luxembourg y étaient favorables

    Suite au vote du Conseil de sécurité de l’ONU, les Etats-Unis n’auront donc pas besoin d’exercer leur droit de veto, dont ils se sont souvent servis pour bloquer des résolutions défavorables à Israël. Parmi les dix membres élus par l’Assemblée générale pour un mandat de deux ans, l’Argentine, le Tchad, le Chili, la Jordanie, le Luxembourg ont rejoint la France, la Chine et la Russie en faveur de la réso- lution.  La Lituanie, la Corée du Sud et le Rwanda se sont abstenus, comme le Royaume-Uni. Le Nigeria, qui devait soutenir la résolution, a changé d’avis à la dernière minute et s’est abstenu, selon des sources diplomatiques. Ce rejet sou- ligne le besoin urgent d’une reprise des négociations par les deux parties, a estimé la chef de la diplomatie de l’Union européenne, Federica Mogherini.

    « Les Palestiniens et le monde ne peuvent plus attendre »

    Mercredi, Israël a exprimé sa satisfaction. « Tout Israélien qui souhaite une paix avec nos voisins ne peut être que satisfait des résultats de ce vote », a affirmé à la radio publique le vice-ministre des Affaires étrangères, Tzahi Hanegbi. A l’issue du vote, le représentant d’Israël s’était déjà adressé aux Palestiniens : « Vous ne pou- vez pas vous diriger vers un Etat en vous agitant et en provoquant … J’exhorte le Conseil à arrêter de se prêter au jeu des Palestiniens et à mettre fin à leur marche vers la folie. »

    De son côté, le représentant palestinien à l’ONU, Riyad Mansour, a accusé le Conseil de n’avoir pas su prendre ses responsabilités et promis de chercher ail- leurs l’obtention d’une reconnaissance de la Palestine. « Les Palestiniens et le mon- de ne peuvent plus attendre. Ce message, en dépit de l’issue regrettable d’aujour-d’hui, est tout à fait clair », a-t-il déclaré devant le Conseil. Les responsables pales- tiniens se réuniront mercredi pour décider de la suite à donner au vote, a précisé Riyad Mansour. Ils avaient affirmé, qu’en cas de rejet de leur résolution, ils cher- cheraient notamment à rejoindre la Cour pénale internationale afin d’y mettre Israël en accusation pour crimes de guerre à Gaza.

     

    Anne-Charlotte Dusseaulx (avec AFP) – leJDD.fr mercredi 31 décembre 2014

    http://www.lejdd.fr/International/Proche-Orient/L-ONU-rejette-une-resolution-palestinienne-Israel-satisfait-709560