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Palestine - Page 97

  • Palestine: la solidarité est un droit, pas un délit (Médiapart)

    Cinéastes, écrivain-e-s, philosophes, sociologues, universitaires, artistes, musicien-ne-s, femmes et hommes politiques lancent un appel en faveur de l’abandon des poursuites contre Alain Pojolat et l’ensemble des militants incriminés pour les manifestations de soutien à Gaza, cet été à Paris, et pour l’abrogation de la circulaire Alliot-Marie qui criminalise le boycott d'Israël.

    Cet été, l’État d’Israël a conduit une nouvelle offensive meurtrière contre la bande de Gaza. Le bilan de 50 jours de bombardements et d’opérations terrestres est édifiant : près de 2 200 morts, 11 000 blessés, des dizaines de milliers de bâtiments partiellement ou totalement détruits, plus de 500 000 personnes déplacées (soit 30% de la population), etc.

    Révoltés par cette agression, mais aussi par la position des autorités françaises qui ont, dans les premiers jours de l’offensive, déclaré leur soutien à l’État d’Israël avant d’essayer en vain de corriger le tir en dénonçant timidement la violence des bombardements, des dizaines de milliers de personnes ont manifesté, à de multiples reprises, dans de nombreuses villes de France.

    Le gouvernement Hollande-Valls, soucieux de ne pas fâcher le pouvoir israélien et inquiet de constater le développement de la mobilisation malgré la période estivale, a alors entrepris de s’attaquer frontalement à celle-ci. Il n’a pas hésité à pratiquer de scandaleux amalgames et à laisser entendre que la solidarité avec les Palestiniens portait en elle l’antisémitisme. Puis, comme cela ne suffisait pas, les autorités ont décidé d’interdire certaines manifestations, notamment à Paris.

    Nous avons été nombreux à protester contre ces interdictions, une atteinte grave, au nom de prétextes fallacieux, aux droits élémentaires et aux libertés fondamentales. Nous avons été d’autant plus révoltés d’apprendre qu’Alain Pojolat, membre du NPA, qui était en contact, au nom de nombreuses orga- nisations, avec la Préfecture pour les manifestations parisiennes, était convoqué par la justice le 22 octobre prochain sous prétexte d'avoir organisé des « manifestations illégales ».

    Nous exigeons que les poursuites contre Alain Pojolat soient immédiatement levées : manifester est un droit et même, dans certaines circonstances, un devoir, et il est scandaleux que quiconque puisse être condamné pour avoir voulu exercer ce droit.

    Nous demandons en outre que les poursuites contre celles et ceux qui ont participé ou organisé les manifestations de cet été, ou qui s’investissent dans la campagne de boycott d’Israël, soient abandonnées, et exigeons l’abrogation de la circulaire Alliot-Marie qui criminalise le boycott.

    La solidarité est un droit, pas un délit !

    Premiers signataires:

    Ahmed Abbes, directeur de recherches au CNRS; Gilbert Achcar, professeur, université Paris-8 et université de Londres; Giorgio Agamben, philosophe; Tariq Ali, écrivain; Jean-Claude Amara, Droits devant; Salah Amokrane, Tactikollectif/Origines Contrôlées; Widad Amra, professeure de lettres, écrivaine; Paul Ariès, politologue, rédacteur en chef du mensuel les Z'indigné(e)sGeorge Colette Arnauld, responsable de Femme, Culture Egalité; Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte Ouvrière; Clémentine Autain, porte-parole d'Ensemble; Ana Azaria, présidente de Femmes Egalité;

    Alain Badiou, professeur émérite, Ecole normale supérieure; Etienne Balibar, professeur émérite, université de Paris-Ouest; Jérôme Bel, chorégraphe; Huguette Bellemare, professeure de lettres, écrivaine; Tarek Ben Hiba, président de la FTCR (Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives); Fethi Benslama, professeur, université Paris-Diderot; John Berger, écrivain; Alain Bertin, Inculpés BDS, Alençon; Olivier Besancenot, porte-parole du NPA (Nouveau parti anticapitaliste); Eric Beynel, co-délégué général de l'Union syndicale Solidaires; Jacques Bidet, universitaire; Martine Billard, secrétaire nationale à l’international et au développement du réseau écosocialiste à l’international - PG (Parti de gauche); Alexandre Bilous, journaliste; Simone Bitton, cinéaste; Michel Bock, conseiller régional EELV (Europe Ecologie Les Verts); Irène Bonnaud, metteure en scène; Nicolas Bouchaud, comédien, metteur en scène; Alima Boumedienne Thiery, avocate, ex-parlementaire; José Bové, député européen; Rony Brauman, médecin, enseignant; Nicole Brenez, programmatrice; Michel Broué, mathématicien; Lionel Buriello, secrétaire général CGT Arcelor-Mittal Florange; Judith Butler, professeure, University of California Berkeley;

    Nicole Cage, professeure, écrivaine, poétesse; Claude Calame, historien et anthropologue, EHESS; Paul Carali, dessinateur de presse; Carmen Castillo, cinéaste; Philippe Caubère, comédien, auteur et metteur en scène; Nahla Chahal, universitaire; Hugo Chesnard, réalisateur; Samuel Churin, comédien; Anne Clerval, géographe, université Paris-Est Marne-la-Vallée; Compagnie Jolie Môme; Eric Coquerel, secrétaire national à la coordination politique - PG (Parti de gauche); Philippe Corcuff, maître de conférences, IEP de Lyon; Marie Cosnay, écrivaine et enseignante; Christine Coulon, Inculpée BDS Alençon; Annick Coupé, Syndicaliste Union syndicale Solidaires; Pierre Cours-Salies, sociologue; François Cusset, écrivain, professeur, université Paris-Ouest; 

    Sonia Dayan-Herzbrun, professeur émérite à l'université Paris Diderot-Paris 7; Christine Delphy, directrice de recherche émérite, CNRS; Sandra Demarcq, membre de la direction du NPA (Nouveau parti anticapitaliste); Christophe Delecourt, syndicaliste CGT; Gérard Delteil, écrivain; Catherine Diverrès, chorégraphe; Eli Domota, secrétaire Général UGTG (Union générale des travailleurs de Guadeloupe) et porte-parole du LKP (Liyannaj Kont Pwofitasyon); Elsa Dorlin, professeure, université Paris 8 Saint-Denis; Cédric Durand, économiste, université Paris 13;

    Laurent Esquerre, Alternative libertaire; Jean Baptiste Eyraud, militant du logement;

    Eric Fassin, sociologue, université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis; Loic Faujour, dessinateur; Silvia Federici, Hofstra University (USA); Geneviève Fraisse, directrice de recherche CNRS; Nicolas Frize, compositeur;

    Jacques Gaillot, évêque de Parthénia; Isabelle Garo, enseignante en philosophie; Franck Gaudichaud, maître de conférences, université de Grenoble; Sylvain George, cinéaste; Jérôme Gleizes, conseiller de Paris EELV (Europe Ecologie Les Verts); Jean-Luc Godard, cinéaste; Cécile Gondard-Lalanne, co-déléguée générale de l'Union syndicale Solidaires; Dominique Grange, chanteuse; Alain Gresh, journaliste; Alain Guiraudie, cinéaste;

    Kaddour Hadadi, HK et les Saltimbank; Abdellali Hajjat, sociologue, université Paris-Ouest Nanterre; Gisèle Halimi, avocate à la Cour de Paris, ancienne ambassadrice de France auprès de l’Unesco; Salah Hamouri, militant franco-palestinien, ancien prisonnier de l'Etat d'Israël; Eric Hazan, éditeur (La fabrique);

    Imhotep (groupe IAM), musicien; Rada Ivekovic, philosophe;

    Hugues Jallon, éditeur; Chantal Jaquet, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Sylvie Javaloyès, syndicaliste;

    Pierre Khalfa, co-président de la Fondation Copernic; Danièle Kergoat, directrice de recherche honoraire au CNRS; Razmig Keucheyan, maître de conférences, université Paris 4 Sorbonne; Nicolas Klotz, cinéaste; Stathis Kouvelakis, universitaire, membre de la direction de Syriza; Alain Krivine, ancien député européen;

    Arlette Laguiller, Lutte Ouvrière; Annie Lahmer, co-secrétaire régionale EELV (Europe Ecologie Les Verts); Véronique Lamy, PCOF (Parti communiste des ouvriers de France); André Langaney, généticien; Pierre Laurent, PCF (Parti communiste français); Olivier Le Cour Grandmaison, universitaire; Jean-Claude Lefort, ancien député PCF (Parti communiste français); Patrick Le Hyaric, PCF (Parti communiste français); Renée Le Mignot, co-présidente du MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples); Claude Leostic, présidente de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine; Didier Lestrade, journaliste, écrivain; Jean-Marc Lévy-Leblond, professeur émérite, université de Nice; Stéphane Lhomme, directeur de l'Observatoire du nucléaire; Ken Loach, réalisateur; Frédéric Lordon, chercheur au CNRS; Michael Lowy, chercheur retraité du CNRS;

    Christian Mahieux, syndicaliste Union syndicale Solidaires; Henri Maler, retraité de l'Éducation nationale; Jean-Paul Manganaro, professeur émérite, Lille 3; Dominique Manotti, romancière; Marie-José Malis, metteur en scène; Chantal Mallet, Inculpée BDS Alençon; Noël Mamère, député; Joëlle Marelli, directrice de programme au Collège international de philosophie; Catherine Marnas, metteur en scène; Myriam Martin, porte-parole d'Ensemble; Myriam Marzouki, metteure en scène; Jean-Charles Massera, écrivain, artiste; Lilian Mathieu, sociologue, CNRS; Xavier Mathieu, syndicaliste, ex porte-parole des Conti; Caroline Mecary, ex co-présidente de la Fondation Copernic; Mohamed Mechmache, AC LE FEU; Jean-Luc Mélenchon, Parti de gauche; Quentin Meillassoux, maître de conférences (Paris-1, Panthéon-Sorbonne); Daniel Mermet, journaliste; Arnaud Meunier, metteur en scène; Avi Mograbi, cinéaste; Mokless (Scred Connexion), auteur et interprète; Marie José Mondzain, directrice de recherche émérite au CNRS; Jo Montier, Inculpé BDS Alençon; Gérard Mordillat, écrivain, cinéaste; Carlos Moreira, secrétaire général de la fédération nationale des industries chimiques CGT; Alain Mosconi, délégué syndical SNCM STC; Chantal Mouffe, professeure, University of Westminster, London; Mric, dessinateur;

    Olivier Neveux, professeur, université Lyon 2;

    Gilbert Pago, universitaire; Ugo Palheta, maître de conférences, Lille-3; Jean-Michel Palin, éducateur spécialisé, homme de théâtre; Sylvain Pattieu, maître de conférences en histoire (Paris 8), écrivain; Willy Pelletier, sociologue; Charles Pennequin, poète; Elisabeth Perceval, cinéaste; Gilles Perrault, écrivain; Serge Pey, poète; Roland Pfefferkorn, professeur de sociologie, université de Strasbourg; Christian Pierrel, PCOF (Parti communiste des ouvriers de France); Philippe Pierre Charles, dirigeant du Groupe Révolution Socialiste; Philippe Pignarre, éditeur, président de la Société Louise-Michel; Laurent Pinatel, porte-parole national de la Confédération Paysanne; Didier Porte, humoriste et chroniqueur; Christine Poupin, porte-parole du NPA (Nouveau parti anticapitaliste); Philippe Poutou, porte-parole du NPA (Nouveau parti anticapitaliste);

    Serge Quadruppani, écrivain, traducteur; Nathalie Quintane, écrivain, enseignante; 

    Jacques Rancière, professeur émérite à l'Université de Paris 8; Maurice Rajsfus, écrivain et président de l'Observatoire des libertés publiques; Patrick Raynal, romancier; Emmanuel Renault, professeur, université Paris Ouest; Catherine Ribeiro, artiste, auteur, compositeur; Michèle Riot-Sarcey, historienne; André Rosevègue, co-Président de l'UJFP (Union juive française pour la paix); Kristin Ross, professeure, New York University; Mohamed Rouabhi, auteur, metteur en scène; François Ruffin, journaliste; 

    Robert Sae, responsable du CNCP (Conseil national des comités populaires); Saidou, ZEP; Julien Salingue, chercheur en science politique; Catherine Samary, économiste, retraitée de l'université Paris Dauphine; Shlomo Sand, historien israélien; Joan W. Scott, professeure émérite, Institute for Advanced Study (Princeton NJ); Thomas Sommer-Houdeville, « Flottille pour Gaza »; Catherine Sinet, journaliste; Siné, dessinateur; Evelyne Sire-Marin, magistrat et militante associative; Pierre Stambul, co-président de l’UJFP (Union juive française pour la paix); Bernard Stiegler, philosophe; Michel Surya, écrivain, directeur de la revue “Lignes”, éditeur; Taoufiq Tahani, président de l'AFPS (Association France Palestine Solidarité);

    Jacqueline Tally, secrétariat général de la CDMT (Centrale démocratique martiniquaise des travailleurs); Tardi, dessinateur; Stavros Tombazos, professeur de sciences politiques (Université de Chypre); Enzo Traverso, historien, Cornell University (New York); Jacques Testart, directeur honoraire de recherches à l'Inserm; Dominique Tricaud, avocat; Marcel Trillat, réalisateur;

    Roseline Vaccheta, ancienne députée européenne; Nicolas Vieillescazes, éditeur, Les Prairies ordinaires;

    Dror Warschawski, chercheur au CNRS; Michel Warschawski, militant anti-guerre israélien; Ellen Meiksins Wood, écrivain;

    Yannis Youlountas, écrivain, cinéaste; Youssoupha, rappeur;

    Sophie Zafari, syndicaliste enseignant; Laurent Zappi, syndicaliste enseignant; Zebda, musiciens; Malika Zediri, militante association de chômeurs chômeuses.

    Signer l'appel

    http://www.petitions24.net/solidarite_avec_les_palestiniens


  • Action à Oakland (Usa)

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  • Témoignage à Saint Malo (Afps 35)

    Anne de Bretagne

    MARYAL, une Palestinienne chrétienne, témoignera de son histoire et de la situation de son pays sous occupation. Nous sommes heureux de la recevoir à Saint-Malo, nous vous invitons à venir écouter son témoignage et à échanger avec elle.

    LUNDI 6 OCTOBRE 2014
    à partir de 18 heures
    MAIRIE DE PARAME SAINT-MALO

    La soirée se terminera par un « buffet partagé » pour lequel nous vous invitons à amener un petit « quelque chose » salé ou sucré.

    Association France Palestine Solidarité Pays de Saint-Malo
    CCFD Terre Solidaire (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement)
    Contacts :  02-99-40-30-59 et  02-96-89-12-49

    http://www.rennespalestine.fr/?+Temoignage,150+

  • Marche nationale pour la Palestine le 18 octobre

    Tous à Paris le 18 Octobre!

    Départ de la marche à Argeles le vendredi 26 septembre à 19H

    Le « groupe jeunes de l’AFPS66 », qui avait fortement contribué sur Perpignan à l’anima- tion des manifestations de juillet et août contre les massacres, a  lancé un « appel pour une marche nationale à Paris ». Cet appel a pour fonction de pousser le gouvernement français au  désinvestissement et aux sanctions. Sans une forte politique de boycott, de désinvestissement et de sanctions, le  droit international restera encore longtemps lettre morte en Palestine.
    Cet appel pour la marche  va dans le même sens que la pétition nationale adressée à François Hollande  Gaza, colonisation, crime de guerre : des sanctions pour en finir avec l’impunité.
     
    Une première initiative le vendredi 26 septembre à 19H dans le département : le départ symbolique de la marche à partir de la plage d’Argeles, près de la stèle aux refugiés de la Retirada.
     
    En effet c’est principalement sur  cette plage que sont venus échoués, après la victoire du franquisme en Espagne, des centaines de milliers de républicains espagnols, femmes, hommes et enfants lors de la Retirada. 450 000 réfugiés furent parqués dans des camps ignobles et inhumains, l’un des plus importants de ces camps étant la plage d’Argeles entourée de barbelés. 
     
    En commençant la marche sur cette plage d’Argeles nous voulons souligner  le lien en deux exils et deux combats libérateurs, ceux de l’Espagne républicaine qui a fortement marqué la mémoire collective du département des PO,  et ceux  du peuple palestinien. Les photos du camps d'Argeles sont très parlantes.

    Nous voulons aussi souligner  une autre proximité entre la Palestine et notre région : notre mer commune, la Méditerranée. En fixant l’horizon de la mer, on sait qu’en face de nous, à quelques milliers de Kilomètres, il y a la souffrance de Gaza et des  Palestiniens.  

     Le 26 septembre 2014 à Argeles, nous organiserons un rassemblement sur la plage près de la stèle aux réfugiés, avec une veillée (drapeaux palestiniens et bougies et lampions aux couleurs de la Palestine.). De la stèle aux réfugiés, nous partirons, avec drapeaux et lampions en Marche pour la Palestine, première étape symbolique d’une mobilisation qui doit nous conduire à Paris le 18 octobre 2014. D’autres initiatives auront lieu dans les P0 avant un rassemblement  central à Perpignan
     
    Le bureau national de l'AFPS a proposé l’organisation d’une mobilisation nationale en deux phases. Il y aurait  deux temps forts coordonnés, le premier autour des 9, 10 et 11 octobre, dans les villes et les régions et le second une semaine plus tard avec un rassemblement à Paris le 18 octobre. La proposition du BN est un point d’appui essentiel pour concrétiser la campagne.  Il propose des consignes à tous les groupes locaux et un calendrier de cadrage de campagne nationale pour le désinvestissement et les sanctions.
     
    La force et la crédibilité du rassemblement national à Paris le 18 octobre dépendra de ce que nous aurons réussi à faire dans toutes les  régions où nous sommes présents, dès les 9, 10 et 11 octobre. Nous devons répondre à une attente qui est réelle parmi bien des jeunes ayant participé aux mobilisations de l’été. Ils ne veulent pas que la mobilisation retombe après l’émotion des massacres, comme ce fut le cas en 2008. Ils veulent continuer à agir pour une solution durable et c’est tout l’intérêt de ce projet de "marche" : prolonger et faire converger  toutes les  mobilisations de juillet et aout sur un seul objectif central à Paris.

    Appel des jeunes de l’AFPS 66 pour un rassemblement des provinces

    et villes de France à Paris !

    Durant ces semaines d’horreur à Gaza, nous nous sommes rassemblés nombreux à Perpignan comme dans toutes les villes de France, pour exprimer notre indignation et notre révolte contre la machine de guerre et de propagande qui écrase la Palestine.

    Quel pays au monde a dû subir autant de pressions, de menaces et d’attaques pour avoir voulu exercer son droit à lutter et à résister contre l’oppression ? 2 200 morts à Gaza. Plus de 6 000 Palestiniens en prison dont 35 députés du parlement. C’est partout  la violence quotidienne de l’occupation israélienne illégale. Cette impunité de l’Etat d’Israël serait impossible  sans la complicité scandaleuse des grandes puissances et t notamment celle du gouvernement français. Nous devons agir pour qu’il cesse de nous faire honte.. c’est pourquoi nous lançons  aujourd’hui cet appel des jeunes pour une marche nationale pour la Palestine jusqu’à Paris
     
    Comme d'autres marches, telle la "Marche des beurs", Marchons pour la Palestine".

    Suspension de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël !

    Embargo sur le commerce des armes avec l’état d’Israël

     La Cour Pénale Internationale devra juger les responsables de crimes de guerre!

     Boycott, Désinvestissement, Sanctions envers l’état d’Israël !

     Stop au blocus de Gaza ! Stop à la colonisation et à l’occupation militaire !

     Application de toutes les résolutions des Nations Unies relatives à la question palestinienne  y compris la résolution 194 sur le droit au retour des réfugiés palestiniens

    Rassemblons sans tarder toutes nos forces et marchons ensemble jusqu’à Paris, unis et déterminés, pour le respect du droit international en Palestine.
     
  • Interdiction scandaleuse d'un meeting (Npa)

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    Solidarité avec le peuple palestinien à l'Université Paris 1

    Nous avons appris, hier soir, avec stupéfaction l'intention de l'Université Paris 1 d'interdire le meeting de solidarité avec le peuple palestinien prévu à Paris 1, sur le site Pierre Mendès France (90 rue de Tolbiac) pour ce jeudi 25 septembre à 18h30.

    Cette décision intervient alors qu'une autorisation avait été délivrée selon les procédures normales dès le 8 septembre dernier. Elle s'inscrit dans la continuité de la répression contre le mouvement de solidarité avec la résistance palestinienne, que ce soit contre les militants de BDS, les tentatives d'interdiction de manifestations ou la mise en accusation de nombreux militant-e-s, dont notre camarade Alain Pojolat.

    Elle prend aussi son sens dans le cadre de l'offensive guerrière menée ces derniers jours par le gouvernement qui souhaite légitimer ses nouveaux bombardements sur l'Irak aux côtés des Etats-Unis, en manipulant l'émotion créée par le meurtre barbare de Hervé Gourdel.

    Cette interdiction constitue une grave violation du principe de la​ liberté d'expression et de l​'ouverture sur le monde des universités prévu par la loi Savary. Nous tenons à le réaffirmer, ainsi que notre ferme soutien à la résistance palestinienne après le massacre de 2200 personnes dont 600 enfants par l'Etat d'Israël cet été. De même que nous avons maintenu les manifestations interdites, nous revendiquons la tenue de ce meeting, en invitant toutes les forces favorables à la liberté d'expression à venir y exprimer le rejet de cette tentative d'intimidation. Nous exigeons également la fin de la répression du mouvement de solidarité avec la lutte du peuple palestinien et l'arrêt de toutes les poursuites contre ses militant-e-s.

    Montreuil, le 25 septembre 2014

    http://npa2009.org/communique/interdiction-scandaleuse-dun-meeting-de-solidarite-avec-le-peuple-palestinien-luniversite

  • Madrid

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  • Nouveautés sur Afps Rennes

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  • Interludes poétiques de Palestine (Afps)

     

    Institut Culturel Franco-​​Palestinien - 75005

    Evé­nement autour de la poésie pales­ti­nienne contemporaine 

    Dans le cadre de l’Année inter­na­tionale de la soli­darité avec le peuple pales­tinien (2014), et à l’occasion de la 13e édition du Fes­tival des cultures étran­gères du Forum des Ins­tituts culturels étrangers à Paris, l’Institut Culturel Franco-​​Palestinien a le plaisir de vous convier aux Inter­ludes poé­tiques de Palestine #2

    • le mer­credi 24 sep­tembre 2014, 19h, à la MAISON DE LA POESIE - 157 rue Saint-​​Martin - 75003 Paris. Par­ti­ci­pation aux frais : 5 €. Métro : Ram­buteau - RER : Châtelet-​​Les Halles – Bus : 29, 38, 4775

    • le jeudi 25 sep­tembre 2014, 18h30, à l’Auditorium de l’INSTITUT DU MONDE ARABE - 1 rue des Fossés St Bernard - 75005 Paris. Entrée libre dans la limite des places dis­po­nibles. Métro : Jussieu, Car­dinal Lemoine ou Sully-​​Morland.

    Réservation conseillée reservations@institut-icfp.org

    A l’affiche de cette deuxième édition : Mourid Al-​​Barghouti, Nathaly Handal, Bashir Shalash, Abdul-​​Rahim As-​​Shaikh et Donia Ismail.

    Venus spé­cia­lement du Caire, de New York, de Haifa, de Jéru­salem et de Gaza pour cet évé­nement, les cinq poètes seront accom­pagnés au piano par le vir­tuose Farag Sleman (Haifa). A leurs côtés, les comé­diens Phi­lippe Tan­celin et Soleima Arabi pré­sen­teront le récital en français. Les oeuvres gra­phiques ont été réa­lisées et choisies par le grand peintre Vla­dimir Tamari (Japon).

    Pour en savoir plus :

    http://www.institut-icfp.org/coming...

    http://www.imarabe.org/jeudi-ima/in...

    http://www.france-palestine.org/Interludes-poetiques-de-Palestine,24745

  • Convergence Palestine samedi 18 octobre 2014 (Afps)

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    ENSEMBLE NOUS DIRONS : ÇA SUFFIT ! BASTA !

    Une fois de plus l’Etat d’Israël bafoue les règles du droit inter­na­tional et huma­ni­taire et des droits humains les plus élé­men­taires. Avec l’agression contre la popu­lation pales­ti­nienne de Gaza, il a dépassé les limites.

    L’IMPUNITE GARANTIE… C’EST UN FEU VERT AUX CRIMINELS DE GUERRE

    Ces vio­la­tions sans limites du droit inter­na­tional ne seraient pas pos­sibles sans l’impunité dont béné­ficie Israël depuis des décennies. Les bonnes paroles de nos gou­ver­nants ne suf­fisent pas. Les larges sec­teurs de l’opinion qui se sont mobi­lisés cet été attendent des actes poli­tiques concrets : Il faut obtenir sans délai la levée du blocus de Gaza et, au-​​delà, la fin de la colo­ni­sation et de l’occupation.

    Pour cela, la France doit

    SANCTIONNER L’ETAT D’ISRAEL

    o Mettre l’embargo sur les armes et cesser toute coopé­ration mili­taire avec Israël

    o Interdire l’entrée des pro­duits des colonies et toute relation d’affaires pro­fitant à la colonisation

    o Faire suspendre l’accord d’association UE-​​Israël

    RECONNAITRE L’ETAT DE PALESTINE

    Elle doit aussi engager des pour­suites contre les Français auteurs ou com­plices de crimes de guerre lors des opé­ra­tions contre la popu­lation palestinienne.

    C’est pour porter ces exi­gences que dans la suite de nos mobi­li­sa­tions locales, nous conver­gerons sur Paris le 18 octobre.

    Cette ini­tiative est portée et sou­tenue aux côtés de l’AFPS par diverses orga­ni­sa­tions de défense des droits de l’homme, des syn­dicats et des partis politiques.

     

    CONVER­GENCE PALESTINE

    Les 91011 octobre dans nos régions…

    Le 18 octobre à Paris

    http://www.france-palestine.org/Convergence-Palestine