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Révolutions Arabes - Page 68

  • Nouveautés sur Chronique de Palestine

    Gaza, territoire sous occupation

    La Cour Pénale Internationale confirme le statut de « territoires occupés » pour Gaza et Jérusalem-Est

    Middle East Monitor – Le Bureau du Procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a confirmé le statut de territoires occupés pour la bande de… lundi 21 novembre 2016

     
     
    Muhammad Abu Sada

    Muhammad Abu Sada, assassiné par les troupes israéliennes d’occupation

    Ma’an News – Muhammad Abu Sada, jeune Palestinien de la bande de Gaza, a été tué et trois autres ont été blessés par les forces…lundi 21 novembre 2016

     

    Apartheid

    28 ans après Alger, la grande illusion de l’État palestinien

    Ramzy Baroud –« Les politiques d’Obama pour les Palestiniens ont été dévastatrices » écrit le Dr Ramzy Baroud. Dans son dernier discours devant les Nations Unies, le… dimanche 20 novembre 2016 /

     
    Femmes et cinéma à Gaza

    Comment les femmes cinéastes de Gaza se révoltent contre la réalité

    Mohammed Othman – Le Women’s Affairs Center (Organisation pour les Droits des Femmes et l’Egalité des sexes) de la Bande de Gaza a organisé un… samedi 19 novembre 2016

     
    Violence forces israéliennes d'occupation

    Un nouveau procès met en cause les ventes d’armes américaines en Israël

    Charlotte Silver – Le gouvernement américain est l’objet de poursuites judiciaires pour avoir autorisé des livraisons massives d’armes à Israël. Un nouveau procès révèle que…

    jeudi 17 novembre 2016
  • Gap Palestine

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  • Mauritanie. 10 militants anti-esclavagistes libérés (Amnesty)

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    En réaction à la décision prise vendredi 18 novembre par la Cour d'appel de Nouadhibou d’acquitter et de libérer trois militants anti-esclavagistes, et de réduire la peine pour 10 autres- y compris sept qui sont libres pour avoir déjà purgé leur peine-Kiné Fatim Diop, chargée de campagne pour l'Afrique de l'Ouest à Amnesty International, a déclaré : 

    « La libération des trois militants anti-esclavagistes, qui avaient été injustement condamnés à des peines allant jusqu’à 15 ans d'emprisonnement pour avoir exprimé pacifiquement leurs opinions, est un grand soulagement pour les personnes arrêtées arbitrairement, leurs familles et pour tous ceux qui ont fait campagne pour mettre fin à la répression violente des défenseurs des droits humains en Mauritanie.»

    “Toutefois, le fait que la Cour n’ait pas acquitté les 10 d’entre eux dont trois qui vont rester en prison représente un signe inquiétant du rétrécissement de l’espace dont disposent les organisations de la société civile et les personnes qui défendent les droits humains en Mauritanie. Il est aussi consternant que la décision du tribunal ait ignoré les allégations de torture formulées par les accusés et qu'aucune enquête n'ait encore été ouverte ».

    « Les autorités doivent reconnaitre explicitement la légitimité de toutes les organisations qui travaillent à mettre fin à l’esclavage et la discrimination, y compris l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste tout en s’assurant que la justice ne soit pas utilisée contre ceux qui défendent les droits humains »

    Complément d’information

    Vendredi 18 novembre, la Cour d'appel a libéré trois militants anti-esclavagistes et réduit la peine de 10 autres qui ont été emprisonnés depuis le 30 juin. Sur les 10, sept ont été condamnés à un an de prison dont quatre mois ferme, deux à trois ans de prison dont deux ans ferme, et un dernier à six mois ferme. En dehors des acquittés, tous les autres vont payer une amende de 45. 897 USD.

    La Cour a condamné sept d’entre eux pour appartenance à une organisation non reconnue. Les deux condamnés à deux ans de prison sont accusés d’attroupement non armé, d’avoir empêché la police de faire son travail, et d’appartenance à une organisation non reconnue. Un dernier est accusé d’avoir ordonné un regroupement non armé et d’appartenance à une organisation non reconnue.

    En première instance, ils avaient été condamnés à des peines allant de trois à 15 ans d’emprisonnement pour des accusations forgées de toutes pièces de rébellion, de recours à la violence, d’agressions contre des policiers et des représentants de la justice, et d’appartenance à une organisation non reconnue.

    Ces accusations étaient liées à une manifestation qui a eu lieu dans la capitale, Nouakchott, en juillet 2016 pour protester contre l'expulsion des habitants d’un bidonville. Pourtant, aucun des 13 militants n’était présent à cette manifestation et l’organisation dont ils sont membres, l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste, n’y a pas apporté son soutien.

    Cinq des sept personnes du bidonville qui ont été arrêtées sont aussi condamnées à des peines allant d’un à cinq ans d’emprisonnement par la Cour d’appel qui a ordonné une amende d’environ 3000 USD. Les deux ont été acquittés.

    18 novembre 2016

    https://www.amnesty.org/fr

  • Nouveautés sur Agence Médias Palestine

     
    Pourquoi la résistance est le plus court chemin vers la justice mondiale

    Pourquoi la résistance est le plus court chemin vers la justice mondiale

    Par Alaa Tartir – Opendemocracy – 16 novembre 2016 Dans un contexte d’injustice croissante, reconquérir l’importance et le sens du mot résistance est plus urgent que jamais. Une vue du mur de séparation, près du camp de réfugiés d’Aïda à Bethlehem. Photo Richard Gray EMPICS entertainment. Tous droits réservés. Le (dés)ordre du monde continue de...
     
     
    9 familles palestiniennes perdent la source de leurs revenus parce que, propriétaires de leurs magasins, elles sont obligées de les démolir

    9 familles palestiniennes perdent la source de leurs revenus parce que, propriétaires de leurs magasins, elles sont obligées de les démolir

    14 novembre 2016 JERUSALEM (Ma’an) – Deux résidents palestiniens de Beit Hanina, quartier de Jérusalem Est occupée, ont été obligés de démolir lundi leurs propres magasins sur ordre de la municipalité israélienne de Jérusalem. Nidal Ghaith et Muhammad al-Najjar ont dit à Ma’an qu’ils avaient vidé leurs magasins avant de démonter les toits et de...
     
     
    L’art de la carte – Mona Hatoum

    L’art de la carte – Mona Hatoum

    Pourquoi l’artiste palestinienne a-t-elle créé Temps Présent en partant d’huile d’olive, de perles de verre et de milliers de cubes de savon ?   Present Tense (Temps présent) 1996 – Mona Hatoum   C’est de la sélection, par le cartographe, des formes graphiques et artistiques de l’exposition que la cartographie tire son potentiel créatif profond et...
     
     
    Trump va-t-il aider Israël à annexer la Cisjordanie ?

    Trump va-t-il aider Israël à annexer la Cisjordanie ?

    Par Ali Abunimah, 14 novembre 2016 L’élection de Donald Trump est une occasion en or pour Israël de faire avancer son projet d’annexion de la terre palestinienne.(photo via Facebook) Le puissant lobby israélien AIPAC semble avoir laissé tomber son engagement formel envers une solution à deux Etats. Dans son tweet, le militant Daniel Sieradski fait remarquer...
     
     
    La photographie en solidarité

    La photographie en solidarité

    The Electronic Intifada, 7 novembre 2016   « Persistance et survie sont… les conditions qui permettent et la lutte et les photographies », écrit la coauteure Vered Maimon. Un manifestant pendant les confrontations avec les forces israéliennes en novembre 2015 au nord de la ville de Ramallah en Cisjordanie, près de la colonie de Beit El. Activestills :...
     
     
    Que va signifier le président Trump pour la Palestine ?

    Que va signifier le président Trump pour la Palestine ?

      Par Ali Abunimah, 9 novembre 2016 Le président élu Donald Trump serre la main du vice-président élu Mike Pence au moment de son discours de remerciement lors du rassemblement le soir de son élection, à New York le 9 novembre. (John Locher / AP Photo) Par une journée à laquelle la plupart des gens ne...

  • Jeudi d’Acrimed : regards croisés sur la situation des médias en Algérie et en Égypte (24 novembre)

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    Les soulèvements arabes déclenchés à l’hiver 2010-2011 n’ont pas fini de bouleverser le paysage politique et social de la zone Moyen-Orient et Afrique du Nord [1].

    Produits de la dégradation de la situation économique et sociale dans la région, de l’augmentation des inégalités et de la persistance de l’autoritarisme et des pratiques clientélistes des pouvoirs en place, ces soulèvements étaient porteurs de revendications articulées autour des questions de justice sociale, de dignité et de libertés démocratiques.

    Le pluralisme, la liberté d’expression et la liberté de la presse étaient, pour nombre de manifestants et de groupes révolutionnaires, des préoccupations majeures. Force est en effet de constater, sans négliger la diversité des situations nationales, que la censure et la répression contre les journalistes et les médias non inféodés aux classes dirigeantes étaient la règle dans la région, d’où le rôle des nouveaux médias, et notamment des réseaux sociaux, dans la diffusion des informations lors des soulèvements [2].

    Près de six ans après le début du soulèvement tunisien, le moins que l’on puisse dire est que la situation régionale est loin d’être stabilisée, et que les pays touchés par le mouvement de révolte ont connu des trajectoires variées, de l’écroulement de l’État libyen à la difficile « transition » tunisienne en passant par la tragédie syrienne et la contre-révolution en Égypte. Sur le front de la liberté de la presse comme sur bien d’autres, l’enthousiasme initial a laissé place à la déception, au découragement, voire à une dégradation des conditions de travail des journalistes.

    En mai 2015, un rapport portant sur « l’état de la liberté de la presse dans le monde arabe (2014-2015) », établi par la Fédération des journalistes arabes (FAJ), concluait ainsi que « les changements politiques et les turbulences faisant suite aux soulèvements de 2011 ont conduit à une détérioration de l’environnement pour les journalistes dans la plupart des dix-sept pays couverts par l’étude ». La situation de la liberté de la presse en Égypte était même qualifiée de « catastrophique ».

    Qu’en est-il réellement ? Dans quelle mesure les aspirations de 2010-2011 ont-elle été étouffées dans l’œuf ? Quelles sont concrètement les conditions d’exercice de la profession de journaliste dans un environnement instable, autoritaire, voire contre-révolutionnaire ?

    C’est pour répondre à ces questions – et à bien d’autres – que nous vous invitons au prochain Jeudi d’Acrimed, durant lequel nous nous intéresserons plus précisément à deux pays, l’Algérie et l’Égypte, qui connaissent chacun des situations particulières mais partagent aussi nombre de problématiques communes, entre autres et notamment dans le champ médiatique.

    Acrimed,

    http://www.acrimed.org/

  • Déclaration de Marrakech

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    Le Maroc est prêt!

    Nous, mouvements sociaux marocains, maghrébins, africains et internatio- naux, rassemblés à Marrakech à l’occasion de la COP22 réaffirmons notre détermination à construire et défendre la justice climatique, et notamment à agir pour maintenir le réchauffement climatique sous la barre des 1,5°C  conformément à l’engagement pris à Paris par l’ensemble des chefs d’État et de gouvernement.

    Le monde ne peut pas attendre

    Partout, les inégalités sociales se creusent, les droits régressent, les conflits et les guerres se multiplient ou s’enlisent. Nos peuples sont opprimés et la biodiversité s’éteint. Les conséquences du changement climatique sont particulièrement fortes en Afrique et dans les pays du Sud.

    Les records de chaleurs, dépassés tout au long de l’année 2016, et la succession de cyclones, d’ouragans, d’inondations, de feu de forêts, de sécheresses, nous rappellent que le changement climatique est une réalité, qui affecte d’ores et déjà des centaines de millions d’entre nous - en particulier le flot de migrant.e.s arraché.e.s de leur terre et jeté.e.s dans les eaux au péril de leur vie. Nous savons que la différence entre 1,5°C et 2°C de réchauffement n’est pas mathématique mais est une question de vie ou de mort.

    Les mouvements et les organisations de la société civile constatent que les négociations internationales sur le climat ne parviennent à déboucher sur les politiques indispensables, et considèrent donc que continuer de construire le mouvement pour la justice climatique est une priorité.

    Nous dénonçons également la présence de multinationales polluantes et criminelles dans l’enceinte de la COP. Les COP ne doivent pas être transformées en opération de greenwashing par des gouvernements qui ne respectent pas nos droits et nos libertés.

    Zéro fossile, 100 % renouvelables : notre horizon, notre lutte

    Contenir le réchauffement climatique à 1,5°C implique de laisser les combustibles fossiles dans le sol, en commençant par les hydrocarbures non-conventionnels. Nous appelons donc les dirigeant.e.s du monde entier à geler le développement de nouveaux projets fossiles et à engager la transition juste vers un futur 100% renouvelable et démocratique. L’industrie fossile est engagée dans une bataille pour sa propre survie. Nous savons donc que nous devons nous mobiliser pour bloquer ses projets destructeurs, partout où cela sera nécessaire.

    Nous devons également nous battre pour ne pas être dépossédé.e.s des alternatives : nous travaillons à une transformation sociale, écologique, féministe et démocratique et ainsi construire les emplois de demain.

    Nous exigeons également un contrôle citoyen sur les fonds verts, dont 50% des financements doivent aller à des projets et stratégies basés sur les communautés et les écosystèmes.

    C’est la seule voie pour sortir du modèle productiviste extractif, soumis aux règles du marché et ne pas tomber dans le piège de l’économie verte et des fausses solutions : notre avenir ne dépend pas de la main invisible du marché mais du pouvoir des peuples du monde entier.

    Contre Donald Trump et son monde...

    Certains utilisent la crise sociale pour justifier des politiques réactionnaires, conservatrices, racistes, sexistes, qui ne font qu’accroître les injustices climatiques.

    Donald Trump n’est que le dernier avatar de ce national-populisme autoritaire, qui menace en premier lieux les femmes, les personnes de couleurs, les migrant.e.s, les musulman.e.s et les plus pauvres d’entre nous.
    ...un climat de convergence

    Nous exigeons la libération immédiate de tou.te.s les prisonnièr.e.s environnementaux et la protection des défenseur.e.s de l’environnement, partout dans le monde.

    De notre côté, nous nous engageons à œuvrer conjointement pour :

    - instaurer des processus d’élaboration des politiques collectifs et concertés à l’échelle locale et territoriale pour garantir une participation citoyenne effective, faire entendre la voix de la société civile, et faire des législations nationales des vecteurs de justice sociale et d’émancipation permettant de garantir aux peuples la réappropriation des biens communs (la terre, l’eau, l’air, les semences), ce qui passe notamment par la défense de la souveraineté alimentaire ;

    - concevoir et mettre en place un espace régional citoyen en intégrant en particulier l’espace africain, l’espace méditerranéen et celui des États insulaires qui reflètent l’ampleur et l’urgence à avancer dans nos combats communs pour la justice climatique.

    Nos peuples souffrent mais nos luttes sur le terrain prennent de l’ampleur et la prise de conscience collective de la nécessité d’unité, de respect de la diversité et de complémentarité des modes d’action, s’amplifie.

    Nous sommes convaincu.e.s que les changements nécessaires sont profonds. Nous refusons que nos États se plient aux choix du libre-échange et permettent à des entreprises de se doter d’armes législatives leur permettant d’agir impunément et que les lois du marché puissent outre-passer l’accession aux droits pour toutes les femmes et tous les hommes, de défendre le droit des petit.e.s paysan.ne.s et pécheur.e.s, et de toute celles et ceux qui sont en première ligne de la construction d’un monde réellement juste et durable.

    Nous n’attendrons pas les moments de négociation internationale pour nous réunir et travailler à notre convergence. La travail se fait depuis longtemps, se poursuit et continuera sur le terrain et au niveau des mouvements de base qui luttent localement pour un autre système, un autre monde.

    Nous tenons en particulier à affirmer notre solidarité avec toutes celles et tous ceux qui sont en première ligne de la lutte contre l’extractivisme : à Imider, à Gabes, à Aïn Salah, à Standing Rock, à Notre Dame des Landes, et partout ailleurs.

    Nous sommes solidaires de la lutte du peuple Palestinien pour sa liberté et ses droits à la terre et à l’accès à ses ressources.

    Aujourd’hui, nous réaffirmons avec force et conviction qu’un autre monde est possible !

    Fait à Marrakech, le 17 novembre 2016.

    http://www.ujfp.org/

  • Collectif pour une Syrie libre et démocratique (PSLD)

     

     

    Alep Le scénario tant redouté est maintenant en train de se jouer

    Vladimir Poutine, avec le plus grand des cynismes, a décidé de retirer la signature de la Russie du Statut de Rome et ainsi de se protéger de la Cour Pénale Internationale pour les crimes de guerre et crimes contre l’Humanité qu’il a déjà commis qu’il commet et prévoit de commettre tout particulièrement à Alep.

    Vladimir Poutine et Bachar Al Assad, forts de la complaisance de Donald Trump Président élu des Etats Unis, protégés par la passivité pathétique et honteuse des grandes puissances européennes, ont lancé leur offensive sur Idlib et Alep-Est qu’ils veulent éradiquer.

    « Pour la première fois de l’histoire de la flotte russe, le porte-avions Amiral Kouznetsov a pris part à des opérations armées », faisant décoller depuis son bord des avions Su-33, a déclaré le ministre Sergueï Choïgou. L’armée russe a, selon lui, débuté une opération d’ampleur en Syrie. Cette opération a également impliqué la frégate russe Amiral Grigorovitch, qui a tiré des missiles de croisière Kalibr, selon M. Choïgou. De leur côté, les forces du régime ont mené des raids et largué des barils d’explosifs sur plusieurs quartiers résidentiels d’Alep Est.

    Du fait du siège imposé à Alep-Est par la dictature Assad, des bombardements sur les quartiers résidentiels, écoles et hôpitaux compris, les habitants connaissent l’enfer de la famine, l’absence d’accès aux soins, la tragédie des morts et des blessés par centaines.

    Quelle justification a-t-on pour refuser de donner aux groupes rebelles modérés parfaitement identifiés des armes de défense anti-aériennes afin de protéger les populations ?

    Est-il vraiment impossible d’imposer à Vladimir Poutine, par la menace d’une amplification des sanctions économiques, une zone d’exclusion aérienne aux avions militaires afin de permettre des parachutages humanitaires ?

    En abandonnant les Syriens à Alep, puis Idlib et qui sait à Raqqa où la nature des forces se préparant à intervenir contre l’EI est loin d’être claire, la France et l’Europe feraient fausse route et hypothéqueraient l’avenir pour de nombreuses années. Un tel abandon reviendrait à nourrir la radicalisation, à faire le lit des intégristes et à pérenniser les dictatures.

    Le Collectif pour une Syrie libre et démocratique appelle à des démarches actives en direction des institutions afin de les interpeler sur l’extrême gravité de cette situation et sur l’urgence de prendre des dispositions pour qu’Alep-Est et ses habitants ne soient pas rayés de la carte.

    Il faut sauver la population d’Alep

    Paris le 18 novembre 2016

    Contact presse :

    Collectif.psld@gmail.com

    http://www.anti-k.org/

     

  • Nîmes Palestine (BDS)

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  • Manosque Palestine

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