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Nouveautés "Syrie" sur A l'Encontre.ch
Syrie. Est-ce possible de «quitter Alep en sécurité»?
9 - décembre - 2016Par Benjamin Barthe La bataille d’Alep approche de son dénouement. Alors que les troupes pro-gouvernementales se sont emparées de plus de 80% des quartiers rebelles, des tractations sont en cours, entre diplomates russes, américains et turcs, pour permettre l’évacuation des civils et des combattants, retranchés dans un dernier carré, dans le sud de la métropole. […]
Syrie. Yassin al-Haj Saleh: «Je ne me résous pas au pessimisme total. La lutte dépasse le cadre syrien»
9 - décembre - 2016Yassin al-Haj Saleh, écrivain et dissident, a passé seize ans dans les geôles syriennes. Il s’est exilé en octobre 2013 pour échapper au régime et à Daesh. L’âpre conflit syrien vit-il un tournant fatidique? Les événements à Alep le donnent à penser. Dans la grande métropole septentrionale, la rébellion est en train de subir une défaite […]
Syrie. Alep: les milices chiites en première ligne
8 - décembre - 2016Par Louis Imbert Sur un boulevard d’un faubourg de l’est d’Alep, des centaines d’habitants attendent de quitter la ville, assis sur des valises, poussant des landaus sur des trottoirs défoncés. Ils sont filmés au téléphone portable depuis la banquette arrière d’une voiture, d’où s’échappe un chant religieux chiite à plein volume. Un chant étranger ici: […]
Syrie. Après la chute d’Alep…
8 - décembre - 2016Par David Hearst Que ce soit par habitude ou par tradition, la transition présidentielle aux États-Unis est le moment idéal pour traiter les affaires non terminées. La remise des clés d’une administration à celle qui lui succède offre des opportunités tentantes de créer de nouveaux faits sur le terrain au Moyen-Orient. Israël a exploité la […]
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Rennes Syrie
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Nouveautés sur "Amnesty International"
Syrie. Dans l'est d'Alep, les civils craignent les actes de représailles
Égypte. Une défenseure des droits des femmes est arrêtée sur fond d’intensification inquiétante de la répression
Arabie saoudite. Les condamnations à mort prononcées collectivement à l’issue d’un procès pour «espionnage» sont une parodie de justice
Sommet du Conseil de coopération du Golfe. Répression systématique de la liberté d’expression dans le Golfe
Mauritanie. 10 militants anti-esclavagistes libérés
Lien permanent Catégories : Arabie Saoudite, Droits humains, Egypte, Emirats, Mauritanie, Solidarité, SyrieOman 0 commentaire -
Nouveautés sur Association France Palestine Solidarité
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La famille Trump a donné de l’argent à des colonies illégales en Cisjordanie
Middle East Eye, vendredi 9 décembre 2016 -
Colonies : Netanyahu donne des gages à droite
Tribune de Genève, jeudi 8 décembre 2016 -
32 prisonniers handicapés dans les prisons israéliennes
Ma’an News, jeudi 8 décembre 2016 -
Kerry accuse la droite de ne pas vouloir la paix
TDG avec AFP, mercredi 7 décembre 2016
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Les dessous de la nouvelle loi anti-ONG
ACAT France, jeudi 8 décembre 2016 -
Un propre mur d’apartheid pour le Liban ?
Belen Fernandez, Middle East Eye, mercredi 7 décembre 2016 -
La France souhaite organiser la deuxième conférence pour la paix au Proche-Orient le 21 décembre
Piotr Smolar, Le Monde, mardi 6 décembre 2016 -
L’après-Abbas : qui Israël souhaite-t-il à la tête des Palestiniens ?
Jonathan Cook, Middle East Eye, lundi 5 décembre 2016
Rencontre Orient XXI « Gaza : des familles en quête de justice » 12 décembre à l’IMA
Orient XXI, mardi 6 décembre 2016-
Réunion publique : "La question de Jérusalem, état des lieux" avec Elias Sanbar
Comité Justice et Paix en Palestine et au Proche-Orient du 5e arrondissement (CJPP5), jeudi 15 décembre 2016
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Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières
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SyrieRassemblements de solidarité avec le peuple syrien le 10 décembre
Plusieurs collectifs de solidarité avec le peuple syrien appellent sur leurs propres bases, mais de manière convergente, à des rassemblement samedi prochain à Paris et dans d’autres villes de France et du monde (Brita Hagi Hasan, le représentant élu d’Alep Est, est en partie à l’origine de ces (...)
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SyrieUrgence pour sauver la population d’Alep
Plusieurs collectifs de solidarité avec le peuple syrien appellent sur leurs propres bases, mais de manière convergente, à des rassemblement samedi prochain, à Paris et dans d’autres villes de France et du monde (le représentant élu d’Alep Est est en partie à l’origine de ces rassemblements) (...)
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SyndicalismeTunisie : suite au recul partiel du gouvernement, l’appel à la grève générale du secteur public le 8 décembre a été levé
Depuis des mois, le gouvernement et le patronat tunisien avaient annoncé leur détermination à ne pas appliquer les augmentations de salaires figurant dans les accords signés suite aux vagues de grèves de 2015 http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article39608
Face à la détermination des (...) -
Morocco & Western SaharaThe reality of the elections in Morocco
At a time when real power is concentrated in the hands of the monarchy, in alliance with those who impose neoliberal policies (the World Bank, the IMF, the European Union) elections will take place on October 7, 2016 to form a “parliament” . It is an occasion for corrupt bourgeois parties to (...)
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Algérie du Possible
Pour aller plus loin, nous avons déjà publié et mis en ligne:
Algérie 1962-1965 Autogestion mythe ou réalité? (suite):
Deux textes de Mohammed Harbi.
- Mohammed Harbi, dans Autogestion, hier, aujourd’hui, demain, (Syllepse, 2010), accompagné des annexes
- Temps Modernes, juillet 1982 « l’expérience de 1962 à 1965, sa portée, ses limites ».
Autogestion, mythe ou réalité? (Algérie 1962-1965) suite Bibliographie et documents écrits et audiovisuels
Deux biographies :
Trois documents :
- La voix de l’Algérie socialiste, émission radiodiffusée du 7 août 1963
- Kader Ammout, Christian Leucate, Jean-Jacques Moulin, La voie algérienne, Maspero, 1974 (extraits)
- « L’autogestion en Algérie » Sous le Drapeau du socialisme n° 3, 1965.
Sur le site du Centre d’histoire sociale, « autogestion et équivoques du FLN », quatre articles de Daniel Guérin en 1964.
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En Algérie, incompréhension après les rafles de migrants dans la capitale (RFI)
Depuis jeudi, plus de 1 500 personnes subsahariennes ont été arrêtées, regroupées dans un camp puis emmenées à Tamanrasset pour être expulsées. Pourtant, depuis 2012, les migrants semblaient tolérés par les autorités.
Derrière les barrières de tôle, le chantier de logements semble à l’arrêt. Driss*, un Malien de 22 ans, n’est pas sorti du chantier depuis jeudi 1er décembre. Ce jour-là, vers 17h, les forces de l’ordre sont entrées sur ce chantier où sont employés et vivent des migrants subsahariens. Dix de ses collègues ont été emmenés. « Les gendarmes ont dit : est-ce que vous avez des papiers ? Puis ils leur ont demandé de monter dans le bus », raconte-t-il. L’objectif de cette opération est l’expulsion, selon plusieurs sources qui demandent à rester anonymes.
Les autorités du Niger confirment avoir été saisies par Alger pour « le passage d’un convoi de migrants à destination de leurs pays d’origine ». Depuis, Driss a peur de mettre le nez dehors. Ses employeurs, une entreprise chinoise, font les courses pour lui : « Ils m’ont demandé ce dont j’avais besoin et ils ont envoyé le chauffeur à la boutique. Eux-mêmes ne comprennent pas ce qu’il se passe et ils s’inquiètent de ne pas pouvoir continuer à travailler si les arrestations se poursuivent », explique le jeune homme.
A quelques kilomètres de là, Nassim est venu chercher Michel*, un Ivoirien installé en Algérie avec sa famille depuis un an, avec sa fourgonnette. « Je refuse de sortir seul. Si on m’arrête, qui va s’occuper de ma femme et de mon bébé ? Mais le patron a besoin que son chantier avance, donc il proposé de me récupérer chez moi en voiture », dit Michel.
Employés sur des chantiers et tolérés
A travers la capitale, les migrants subsahariens travaillent sur des chantiers de construction publics ou privés, dans des restaurants, des cafés, sur les routes. Comme dans d’autres régions du pays, les employeurs avancent des arguments similaires. « C’est impossible de trouver des Algériens pour faire ces travaux. Des électriciens, j’en ai, mais pour des maçons ou des manoeuvres, je dois embaucher des étrangers, même s’ils n’ont pas de papiers. Je n’ai pas le choix », affirme Hamid, chef d’un chantier dans un quartier huppé de la capitale.
Sur ce chantier coincé entre un barrage de police et la maison d’un homme politique important, une dizaine d’hommes originaires de pays d’Afrique de l’Ouest travaillent depuis plusieurs mois, sans jamais avoir été arrêtés. Selon la loi, toute personne en situation irrégulière en Algérie est passible de deux mois de prison ferme, d’une amende et est reconduite à la frontière. Depuis 2012 et le début des affrontements entre groupes armés du nord et armée malienne, les refoulements qui se faisaient à Tinzaouatine ont été arrêtés. Aujourd’hui, plus de 100 000 migrants d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale sont présents, travaillent et circulent en Algérie. Il arrive que certains soient arrêtés, condamnés pour « séjour irrégulier ». Ils passent alors deux mois en prison et sont libérés avec une obligation administrative de quitter le territoire, mais cette injonction de la justice n’est pas mise en application.
En fait, depuis 2014, seuls des Nigériens organisés en filières de mendicité ont été arrêtés et reconduits à la frontière, dans le cadre d’un accord entre Niamey et Alger. Selon les chiffres officiels, 17 000 personnes ont été ramenées à la frontière dans ce cadre. Au mois de septembre, le ministre de l’Intérieur annonçait l’expulsion de 1 492 Sénégalais et 370 Guinéens, une annonce étrange que les ambassades n’ont jamais pu confirmer. Une source diplomatique affirmait même que le nombre de Sénégalais présents en Algérie, étudiants et diplomates inclus, « ne dépasse pas les 500 personnes ». Au mois d’août, plus de 400 Maliens avaient été rapatriés au Mali après des violences dans la ville de Tamanrasset, mais ces autorités algériennes ont affirmé que c’était sur la base du volontariat.
Quatrième épisode de violence en un an
De l’autre côté de la capitale, la vague d’interpellation de jeudi et vendredi a provoqué la panique. Sophie*, Libérienne, n’a presque pas dormi depuis trois jours : « Je sursaute dès que j’entends un bruit. La gendarmerie est venue deux fois arrêter les gens dans leurs maisons. Ils ont pris des Libériens, des Guinéens, des Maliens. » Dans ce quartier, les migrants subsahariens vivent dans des garages ou petites pièces louées par des Algériens à des prix supérieurs à ceux du marché. Plusieurs enfants libériens, nigérians et camerounais, nés en Algérie, sont scolarisés depuis l’année dernière dans des écoles publiques. Une femme est même régulièrement en contact avec un procureur d’une région du centre du pays depuis que son mari a été assassiné et que la justice algérienne s’est auto-saisie pour trouver le responsable.
Il y a bien eu des affrontements avec des habitants de Dely Ibrahim, un quartier de la capitale, fin novembre. C’est la quatrième fois cette année que des violences opposent migrants et habitants dans différentes villes. A Dely Ibrahim, le maire avait alors promis aux migrants de « trouver une solution de relogement » et de régler la question « de façon définitive ». Mais lors de violences précédentes cette année, dans les villes de Béchar et Ouargla, les autorités n’avaient pas choisi d’expulser les migrants.
Dans le camp de Zéralda, en périphérie de la capitale, où ont été rassemblés plus de 1 500 migrants interpellés, comme dans le camp de la région de Tamanrasset, à l’extrême sud du pays, où ils ont été envoyés ensuite, les migrants n’ont eu aucune explication : « Nous sommes enfermés dans des bungalows, sans autorisation d’en sortir, raconte Mohamed*, Malien, à Tamanrasset. Combien de temps va-t-on nous garder là ? » Dans le bus escorté par des gendarmes, qui l’emmènent vers le sud du pays, Tristan s’inquiète : « On ne sait pas où on va. On ne sait pas ce qu’ils vont faire de nous ».
Ce mardi, les autorités algériennes n’avaient fait aucune déclaration. « On ne comprend toujours pas ce qu’il se passe », admet une ONG. « J’ai entendu des rumeurs, j’ai été saisi par des compatriotes, mais je n’ai reçu aucune explication officielle », regrette un ambassadeur concerné.
06-12-2016
*Les prénoms ont été modifiés
Commentaire: Cet article s'est retrouvé affublé d'un commentaire raciste, d'un certain "Djihad" au nom bien français. Comme il n'est pas question d'encourager la négrophobie, il a été supprimé. Veuillez nous excuser de n'avoir pas été assez vigilants!
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Paris : 10ème mobilisation citoyenne Alep, Syrie: Arrêtez le massacre!
Le 08 décembre 2016
Appel « Alep, Syrie : Arrêtez le massacre ! »
Depuis le début de la guerre en Syrie, le régime syrien vise et bombarde de manière systématique des hommes, des femmes et des enfants, violant de manière flagrante le droit international humanitaire qui exige la protection des populations civiles en temps de guerre.
Cette situation dramatique atteint son paroxysme en ce moment même à Alep, où les habitants n’ayant nulle part où se cacher sont soumis à des bombes anti-bunker, des bombes barils, des obus de mortier et des tirs d’artillerie.Face à ce drame humanitaire qui se déroule sous nos yeux et contre le silence et l’oubli, des citoyens ont lancé le 6 octobre dernier une mobilisation silencieuse et non-violente pour dénoncer cette situation, éveiller les consciences et demander au régime syrien et à l’ensemble des parties prenantes au conflit de respecter le droit humanitaire, comprenant l’obligation de créer des convois humanitaires.
Pour manifester votre indignation et votre solidarité avec le peuple syrien, rejoignez-nous !
Jeudi 8 décembre à 19h00 à Paris
Rdv place André Tardieu
Sortie du métro Saint-François-XavierDe là, nous nous déplacerons en petits groupes jusqu’à l’Ambassade de Syrie (20 rue Vaneau, 7ème arrondissement), devant laquelle nous allumerons et déposerons des bougies, en signe de soutien à la population syrienne et en mémoire de toutes celles et ceux qui ont trouvé la mort, puis nous reviendrons à la place André Tardieu.
Tant que la population syrienne continuera d’être la cible de ces massacres odieux, nous reconduirons cette mobilisation silencieuse et non-violente tous les jeudis à la même heure, même lieu.
Étant donné qu’il s’agit d’une mobilisation citoyenne, merci de ne pas apporter de signes d’appartenance (logos, banderoles, etc.) à une organisation particulière (parti politique, syndicat, etc.).
Premiers signataires :
Sylvain Cuzent, Nicolas Derobert, Muriel Menanteau, Laurent Schlumberger, Philippe Westercamp, Stéphane Lavignotte, Sergio Coronado, Elise Lowy, Pierre Larrouturou, Mathieu Gervais, Jean-Marie Gleize, Eric Fassin, Noël Mamère, Pierre Tevanian, Marina Zuccon, Marie-Christine Vergiat, Pierre Khalfa, Jean Pierre Rive, Guy Bories, Jean-Charles Tenreiro, Pia Rondé, Sophie Schlumberger, Thomas Coutrot, Nathalie Garcia, Etienne Fallot, Louisa Garcia, Valérie Rodriguez, Bernard Delprat, Jean Fontanieu, Luc Chelly, Catherine Heurteux Peyrega, Isabeau Beigbeder, Roseline Paugois, Bruno Ehrmann, Olivier Brès, Marie-Noelle Budini, Nicole Mulot-Calvino, Bernard Calvino, Didier Crouzet, Claudia Heidemann, Eric Schlumberger, Françoise Lemaire, Herbert van Tongeren, Emmanuel de Bary , Bénédicte de Bary, Guy Balestier, Christiane Le Chenadec, Stéphanie Vieuxblé, Anne-Laure Danet, Bertrand de Cazenove, Jean Frey, Robert Schlumberger, Jean-Louis Léonhardt, Jacques Daguenet, Valérie Le Du, Yves Carbonnel, Pierre Dufour, Christine Jacquet-Lagreze, Marie-Ange Weber, Gilbert Charbonnier, Robert Olivier, Francis Muller, Nadine Lambert, Bernadette Gagey, Dominique Gagey, Michel Specht, Stéphanie Lacruz, Sylvie Papasian, Bernard Brillet, Jacques Toubeau, Frédéric Trautmann, Marie-Caroline Wemaëre, Jean-Michel Arberet, Isabelle Grellier-Bonnal
Cet appel est ouvert à la signature de toute personne physique souhaitant soutenir cette démarche. Pour être signataire de l’appel, merci de contacter Nicolas Derobert sur nico_iep@yahoo.fr ou de signer directement l’appel en ligne : http://bit.ly/2dE1nmj
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Syrie, solidarité! (NPA)