Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Tunisie - Page 7

  • Tunisie: Plusieurs mouvements de protestations prévus dans différentes régions à partir de 03 janvier ( El Huff')

    TUNISIA DEMONSTRATION

    Des mouvements de protestation seront organisés dans toutes les régions et tous les secteurs à partir du 3 janvier, a annoncé lundi la coordination des mouvements sociaux dans un communiqué.

    La forme et la date de chaque protestation sera fixée en fonction de la nature du mouvement et de la région, précise-t-on de même source.

    Contacté par l’agence TAP, un représentant de la coordination, Abdelhalim Hamdi, détenteur d’une maitrise en Histoire et au chômage depuis 17 ans, a affirmé que ces mouvements interviennent à la suite d’autres formes de protestation et à de multiples grèves de la faim, sit-in et manifestations. Le dernier en date est, a-t-il rappelé, est le rassemblement observé devant l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP), le 10 décembre dernier, pour contester le projet de budget de l’Etat jugé “austère” et “inéquitable” vis-à-vis des opprimés et des régions marginalisées.

    Il s’agit, a-t-il dit, d’une nouvelle escalade des protestations qui se poursuivent depuis près d’un an dans les régions, devant les délégations et les mairies, et qui seront réunies sous forme de journées de protestation à partir du 3 janvier.

    Une imposante marche sera organisée, mardi, à Menzel Bouzayane (Sidi Bouzid), et s’étendra aux autres gouvernorats qui choisiront, chacun, une date symbolique pour revendiquer ses droits, a-t-il encore expliqué.

    La coordination appelle les acteurs sociaux, la population et les politiques à la mobilisation pour dénoncer le “feuilleton des procès” intentés à l’encontre des mouvements sociaux au cours de ce mois de janvier, et défendre les objectifs de la Révolution, à savoir la dignité, l’emploi et le développement.

    02/01/2017

    http://www.huffpostmaghreb.com/

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

    syrie.png

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    • Syrie
      Anger: To “leftist” admirers of Assad’s Syria

      , by MARDAM-BEY Farouk

      As a Syrian who has always identified politically with the left, I am particularly appalled by those men and women who call themselves left-wingers — and are therefore supposed to stand in solidarity with struggles for justice worldwide — and yet openly support the regime of the Assads, father (...)

    • Syria
      Document: The secret pact between Russia and Syria that gives Moscow carte blanche

      , by BIRNBAUM Michael, Russian Government, Syrian Government

      MOSCOW – When you are a major nuclear power and you want to make a secretive deployment to a faraway ally, what is the first thing you do? Draw up the terms, apparently, and sign a contract.
      That’s what the Kremlin did with Syria in August, according to an unusual document posted this week on a (...)

    • Human Rights, justice
      USA: New Trial for Palestinian community activist Rasmea Odeh

      , by FINKEL David, Solidarity (USA)

      RASMEA ODEH, THE Palestinian community activist in Chicago who was convicted in 2015 for “fraudulent procurement of naturalization” when she obtained her U.S. citizenship in 2004, has won a new trial.
      This is an important victory for Odeh and her defense team, who successfully argued on appeal (...)

    • Religious arbitration forums
      Religious arbitration bodies – Sharia debate in the UK: who will listen to our voices?

      , by 300 abused women

      Over 300 abused women have signed a statement opposing Sharia courts and religious bodies, warning of the growing threat to their rights and to their collective struggles for security and independence.
      We are women who have experienced abuse and violence in our personal lives. Most of us come (...)

    • A gauche
      Tunisie : Une année s’achève… Une autre arrive

      , par Parti des Travailleurs (Tunisie)

      Dans quelques jours, le peuple tunisien fera ses adieux à 2016 pour accueillir la nouvelle année. L’année 2016 a été assurément dure pour les travailleurs et les couches populaires, en raison des choix du gouvernement de coalition Nidaa-Ennahdha. Les belles promesses électoralistes n’étaient qu’une (...)

    • Humanitaire associatif
      Le Collectif de Développement et Secours Syrien (CODSSY)

      , par Codssy

      Auto-présentation reprise du site du CODSSY le 31 décembre 2016.
      CODSSY est une association humanitaire à but non-lucratif, indépendante, non partisane et non-gouvernementale, fondée à Paris le 22 octobre 2012 et enregistrée sous le numéro W751217007. Elle est régie par la loi du 1er juillet 1901 et (...)

     

  • J’aime la révolution mais je n’aime pas les révolutionnaires (Anti-k)

    Hier, le 17 décembre, 6 ans après l’immolation de Bouazizi, nous fêtions le sixième anniversaire du déclenchement de la révolution en Tunisie.

    C’est monstrueux, mais beaucoup de ceux qui célébraient ce moment historique se félicitaient le même jour de la chute sanglante d’Alep, éreinté de l’intérieur comme de l’extérieur par les fractions concurrentes de la contre-révolution, toutes liguées d’une manière ou d’une autre pour anéantir les derniers éclats de la révolution.

    Il devrait être interdit à tout militant révolutionnaire de prononcer les paroles, célèbres dans tout le monde arabe, du merveilleux chant de Julia Boutros, Win el malayine [Où sont les millions, où est le peuple arabe].

    Un chant d’espoir, un chant d’attente, de désespoir sans renoncement, un chant qui lie la libération de la Palestine à la révolution arabe et à la mobilisation populaire. Ce chant était prophétique. Non pas en ce qu’il annonçait une réalité qui serait effectivement advenue mais en ce qu’il annonçait une possibilité qui prenait forme dans la réalité avant d’être violemment étouffée par ceux-là mêmes en partie qui vibraient lorsqu’ils entendaient l’appel de la grande chanteuse libanaise. Pas tous, je vous le concède, mais beaucoup, beaucoup trop.

    Pendant des années, des militants, les yeux humides d’émotion, ont chanté Win win win, win el malayine…Un antidote à l’abandon qui menace. Un remède contre le sentiment d’impuissance. Une arme contre la fatalité de la défaite permanente. Ils – je devrais dire « nous » – ressentaient alors une sorte de déception, presque de rancœur, contre ce peuple arabe – ou arabo-berbère dans notre Maghreb – qui semblait soumis, incapable de reprendre le flambeau des luttes révolutionnaires anticoloniales dont, un temps, Jamel Abdenasser a été le symbole à l’échelle arabe. Mais les  malayine n’avaient pas disparu, ils ne dormaient pas, ils étaient dans les prisons à ciel ouvert des Etats issus des combats pour l’indépendance.

    Pendant des années, des militants, les yeux humides d’émotion, ont chanté Win win win, win el malayine…

    Un antidote à l’abandon qui menace. Un remède contre le sentiment d’impuissance. Une arme contre la fatalité de la défaite permanente. Ils – je devrais dire « nous » – ressentaient alors une sorte de déception, presque de rancœur, contre ce peuple arabe – ou arabo-berbère dans notre Maghreb – qui semblait soumis, incapable de reprendre le flambeau des luttes révolutionnaires anticoloniales dont, un temps, Jamel Abdenasser a été le symbole à l’échelle arabe. Mais les  malayine n’avaient pas disparu, ils ne dormaient pas, ils étaient dans les prisons à ciel ouvert des Etats issus des combats pour l’indépendance.

    Il y a six ans, pourtant, l’hymne de Julia Boutros est devenu obsolète.

    Les malayine étaient là ! Dans la rue ! Excédés par les défaites successives, épuisés par la misère, affamés de dignité, avides de libertés, les malayine étaient sortis de leur torpeur. Au lendemain du 17 décembre 2010, nous n’avons pas assisté à l’éruption d’un volcan mais à l’explosion d’une chaine volcanique qui n’a pas d’autre nom que la Révolution arabe. Il était évident que dans son déferlement elle mélangerait le pire et le meilleur, qu’elle emporterait tout sur son passage, qu’aucun État de la région n’en sortirait indemne, qu’elle n’épargnerait rien et que rien, hélas, ne lui serait épargné. On ne pouvait douter qu’elle subirait le choc d’une contre-révolution mondiale, que les puissances impériales déploieraient toutes leurs forces pour en briser l’énergie et en détourner le cours, que l’État colonial d’Israël essayerait de tirer les marrons du feu, que les classes dominantes et les bureaucraties locales useraient de tous les moyens pour reprendre l’initiative, le feu, la manœuvre, le mensonge. On ne pouvait bien sûr deviner les stratégies qui seraient mises en œuvre pas plus qu’on ne pouvait anticiper Daech. Tout cela, si j’ose dire, est normal.

    Mais tout ne l’est pas. Une fois passés les premiers moments d’euphorie et les victoires initiales, ces mêmes militants qui ont tant de fois acclamé Julia Boutros, ou du moins une majorité d’entre eux, ne se sont plus reconnus dans ce peuple révolutionnaire qui n’était ni de gauche ni moderne, qui voulait « juste » sa dignité par n’importe quel moyen, sans suivre forcément les chemins qu’on lui indiquait, sans s’arrêter là où les politiciens jugeaient bon de s’arrêter, sans se soucier des « impératifs du marché » ni de la « complexité des enjeux géopolitiques ».

    Dans l’esprit de ces militants, de révolutionnaires, les malayine  sont devenus alors une masse manipulable, manipulée par les islamistes, manipulée par l’impérialisme, manipulée par l’État sioniste, manipulée par les médias, manipulée par des tas d’ennemis vrais ou fantasmatiques. Ce sont ces militants qui ont servi de tremplin à la prise du pouvoir par le Maréchal Sisi en Égypte, à celle de Béji Caïd Essebsi en Tunisie comme ils ont soutenu l’État bureaucratico-militaire syrien, laïc pour les uns, anti-sioniste pour les autres.

    Une illusion d’autant plus dramatique que la révolution des peuples de la région arabe redonnait une nouvelle perspective stratégique à la lutte palestinienne, libérée enfin, ou en voie de l’être, des enjeux et des calculs immondes des dictatures, dites progressistes ou réactionnaires, pour lesquelles la Palestine n’étaient qu’un pion, otage des rapports de puissances. A la veille de la révolution, la résistance palestinienne, détachée de sa « profondeur stratégique », c’est-à-dire des masses populaires des autres pays de la région, en avait été réduite à négocier sa survie. Elle n’avait guère d’autre choix, y compris en ce qui concerne ses composantes armées, que de s’inscrire dans des jeux diplomatiques qu’elles ne pouvaient maîtriser, de monnayer quelques ressources politiques, militaires ou financières auprès de tel ou tel État, alliés de circonstances, alliés par contrainte dont elle n’ignorait pas, malgré ses affirmations contraires, les trahisons passées et à venir. Ouvert par la révolution arabe, l’horizon palestinien s’est à nouveau fermé. Non pas à cause de la révolution mais en raison de la contre-révolution dans toutes ses expressions.

    Hier, le 17 décembre, 6 ans après l’immolation de Bouazizi, nous fêtions le sixième anniversaire du déclenchement de la révolution en Tunisie.

    C’est monstrueux mais beaucoup de ceux qui célébraient ce moment historique se félicitaient le même jour de la chute sanglante d’Alep, éreinté de l’intérieur comme de l’extérieur par les fractions concurrentes de la contre-révolution, toutes liguées d’une manière ou d’une autre pour anéantir les derniers éclats de la révolution. Je ne sais pas comment dans un cœur de militant on peut fêter à la fois la naissance d’une révolution et son agonie.

    La fin, en tout état de cause, du premier cycle de la révolution arabe.

    Je n’écris pas ces derniers mots parce que je m’obstine dans un optimisme romantique, mon humeur est plutôt au défaitisme le plus noir, mais parce que la crise politique du monde arabe, révélée par la révolution et non suscitée par elle, a atteint de telles profondeurs que les mêmes facteurs qui engendrent des tragédies sont aussi susceptibles d’engendrer leur contraire. Ce n’est pas l’histoire qui nous jugera, ce sont nos morts.

    Cet article a été publié initialement sur le blog tenu par Sadri Khiari sur le site Nawaat.

  • Ce jour-là : le 29 décembre 1983 les émeutes du pain embrasent la Tunisie (Jeune Afrique)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le Fond Monétaire International (FMI) souhaite depuis un certain temps remettre de l’ordre dans l’économie du pays, et propose un plan d’austérité.

    Le 29 décembre 1983, à la surprise générale des Tunisiens, le gouvernement du Premier ministre Mohamed Mzali réduit les subventions sur les produits céréaliers. 

    Résultat : le prix des aliments de base flambe. La baguette coûte désormais 90 millimes, au lieu de 50, et le prix de la semoule augmente de 70% !

    Dès cette annonce, les braises de la révolte se propagent, du sud au nord du pays. Le Sud, désertique, est la région des déshérités, des plus pauvres, mais le Nord lui aussi se lève et sort manifester sa colère dans la rue. C’est le début des émeutes du pain de 1983-1984.

    La plus grande révolte populaire depuis l’indépendance

    Douz, Kebili, Kasserine, Gafsa, puis El Hamma s’embrasent tour à tour. Les centres urbains se transforment en lieux d’émeute. Les manifestants − surtout des jeunes, des chômeurs et des paysans pauvres − inondent les rues pour crier leur rage. Ils brandissent une baguette ou du pain, tel un drapeau ou une pancarte de protestation.

    Face à ces manifestants, pacifiques, s’oppose une répression policière féroce. Les lacrymogènes brûlent les yeux, les coups de matraque pleuvent. Toutefois, ils n’arrêtent pas la colère des lycéens qui bientôt rejoignent la fronde. 

    Le vent de la révolte souffle fort et atteint Gabès – où une statue de Bourguiba est renversée – le 2 janvier 1984, puis c’est au tour de Sfax et de Monastir de s’enflammer.

    État d’urgence et intervention de l’armée

    Le 3 janvier, la révolte atteint son paroxysme lorsque la capitale Tunis se soulève également. Le président Habib Bourguiba décrète un couvre-feu et déclenche l’état d’urgence.

    Pour la troisième fois en 27 ans d’indépendance – après la grève générale du 26 janvier 1978 et l’insurrection armée de Gafsa le 26 janvier 1980 – l’État fait appel à l’armée, qui investit alors la capitale avec ses blindés.

    Les émeutes se poursuivent durant trois jours, dans un climat de guérilla urbaine. Une épaisse fumée noire recouvre plusieurs points de la capitale. Pillages de commerces, incendies de voitures, bâtiments publics investis, barricades dressées : la ville et, plus largement, le pays sont totalement paralysés.

    Devant cette fronde populaire, le président Bourguiba intervient le 6 janvier à la télévision nationale. Dans un bref discours, il annonce que « toutes les augmentations sont annulées » et termine son allocution par « Que Dieu bénisse le peuple tunisien ». La Chambre des députés confirme la décision du « Combattant suprême » et vote l’annulation immédiate des augmentations céréalières.

    Pour la première fois, le régime cède face à la gronde de la rue. L’annulation des augmentations est accueillie avec ferveur par la foule qui rend hommage à Bourguiba.

    Jeune Afrique dresse le bilan de 143 morts 

    Dans les jours qui suivent cette semaine d’émeute, à cheval sur 1983 et 1984, Jeune Afrique parvient à interviewer le Premier ministre, Mohamed Mzali.

    Dans le n°1201 de JA du 11 janvier 1984, le chef du gouvernement évoque 70 morts, plus de 400 blessés et environ 800 arrestations. Après enquête, Jeune Afrique annonce pour sa part environ 143 morts et plus d’un millier d’arrestations.

    Si le Premier ministre conserve son poste (jusqu’à son remplacement par Ben Ali en 1986), la semaine suivante Bourguiba renvoie son ministre de l’Intérieur Driss Guigah pour sa gestion des troubles.

    Pierre Houpert 29 décembre 2016  
     
  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

    cropped-alep-university.jpg

     

     

  • Contre l'agression sioniste (Front Populaire de Tunisie)

    fp tun.jpg

    A BAS LES ASSASSINATS IMPUNIS DE L’ÉTAT D’ISRAËL

    VIVE LA SOLIDARITÉ AVEC LA LUTTE DU PEUPLE PALESTINIEN POUR TOUS SES DROITS

    Jeudi 15 décembre, des assassins ont tué par balles Mohamed Zouari alors qu’il quittait à bord de sa voiture son domicile à Sfax (pas moins de 20 impacts de balles).
    Nous, associations démocratiques et les partis politiques de l’immigration tunisienne en France, présentons nos sincères et tristes condoléances à la famille du martyr.
    Nous dénonçons ce lâche assassinat et toutes les agressions permanentes contre le peuple palestinien et les militants qui soutiennent sa cause, pour ses droits nationaux, contre l’occupant israélien, qui, dans le silence honteux et complice des pays européens mène une politique coloniale abjecte.

    RASSEMBLEMENT JEUDI 22 DÉCEMBRE 2016 A 18 HEURES
    TOUS ENSEMBLE A LA FONTAINE DES INNOCENTS

    Fontaine des Innocents - Châtelet
    Jeudi 22 Déc.2016 à 18h30

    Front Populaire de Tunisie - section France

    Facebook

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

    jemna.jpg

    • Tunisie
      Organiser le soutien à la lutte de l’oasis de Jemna (Tunisie)

      , par BARON Alain, Union syndicale Solidaires

      Document ayant servi de base à l’intervention d’Alain Baron (Union syndicale Solidaires) lors de la réunion publique organisée à Paris le 6 décembre 2016 par le comité de soutien constitué en France.
      Dans une première partie je résumerais ce qui m’a le plus intéressé dans les formes de lutte utilisées à (...)

    • Analysis & Debates
      The New World Struggles to be Born and the Necessary Strategic Thinking

      , by MASSIAH Gustave

      The situation seems to be desperate. The offensive of the right wing and the far right movements occupies space and minds. It spreads out in the media and claims to express the shift of societies to the right. This is not the case and nothing has been decided yet. Societies resist and (...)

    • Syrie
      Syrie : l’organisation Etat islamique entre à nouveau dans Palmyre

      , par ZERROUKY Madjid

      Les djihadistes, qui mènent une offensive depuis jeudi, ont pénétré samedi dans la ville antique, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme.
      Comme un mauvais parfum de déjà-vu, l’organisation Etat islamique (EI) est de retour à Palmyre, dans l’est de la Syrie, et dans les champs d’hydrocarbures (...)

    • Syrie
      Syrie – Les leçons du martyre d’Alep

      , par FILIU Jean-Pierre

      Daech, pourtant absent de la bataille d’Alep, en apparaît comme le principal vainqueur et reprend l’offensive à Palmyre.
      Il y aura un avant et un après Alep, en Syrie et au-delà. Mais les forces qui tireront le plus grand profit de cette tragédie ne sont pas forcément en première ligne d’une telle (...)

     

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

    Hamma-Hammami-Congres-Parti-des-Travailleurs.jpg

    Hamma Hammami, du Parti des Travailleurs

     

  • Nouveautés sur Europe Solidaire Sans frontières

    Afficher l'image d'origine

    • Syrie
      Rassemblements de solidarité avec le peuple syrien le 10 décembre

      , par Collectif

      Plusieurs collectifs de solidarité avec le peuple syrien appellent sur leurs propres bases, mais de manière convergente, à des rassemblement samedi prochain à Paris et dans d’autres villes de France et du monde (Brita Hagi Hasan, le représentant élu d’Alep Est, est en partie à l’origine de ces (...)

    • Syrie
      Urgence pour sauver la population d’Alep

      , par Avec la révolution syrienne (ARS)

      Plusieurs collectifs de solidarité avec le peuple syrien appellent sur leurs propres bases, mais de manière convergente, à des rassemblement samedi prochain, à Paris et dans d’autres villes de France et du monde (le représentant élu d’Alep Est est en partie à l’origine de ces rassemblements) (...)

    • Morocco & Western Sahara
      The reality of the elections in Morocco

      , by Al Mounadil-a

      At a time when real power is concentrated in the hands of the monarchy, in alliance with those who impose neoliberal policies (the World Bank, the IMF, the European Union) elections will take place on October 7, 2016 to form a “parliament” . It is an occasion for corrupt bourgeois parties to (...)